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  • Front national : l’échec de Florian Philippot

    Chronique de Paysan Savoyard (n° 187, septembre 2017)

    Si le Front national veut pouvoir participer à l’exercice du pouvoir dans les années qui viennent, il doit rompre avec les choix stratégiques inspirés par Florian Philippot, qui se sont révélés des impasses et ont débouché sur l’échec.

    Philippot affirme, lui, que ces choix étaient les bons puisqu’ils ont permis au FN de réaliser en 2017 le score le plus élevé de son histoire (presque 34% des suffrages exprimés au second tour, soit 10,6 millions de voix, contre 18% en 2012 et 6,4 millions de suffrages). Si la progression des scores est incontestable, l’analyse de F. Philippot est pourtant erronée. Les résultats du FN, en effet, sont dus à la dégradation continue et vertigineuse de la situation du pays (invasion migratoire, islamisation, terrorisme, délinquance, tiers-mondisation) qui confirme les analyses et les prédictions que le FN de Jean-Marie Le Pen avait défendues, seul contre tous, pendant 40 ans. La situation du FN est inverse de celle que décrit F. Philippot : c’est malgré sa mauvaise stratégie que le FN a réalisé ses résultats relativement élevés de 2017.

    Encore faut-il ajouter que les résultats du FN, pour être les plus élevés jamais atteints, restent tout de même limités. Dans d’autres pays européens ou occidentaux, ce qu’il est convenu d’appeler l’extrême droite a atteint d’ores et déjà presque les 50%, comme en Autriche. De même Trump a été élu pour une bonne part grâce à son programme « droitier » anti-immigration. C’est également en raison de la question de l’immigration avant tout que le camp du Brexit l’a emporté au Royaume-Uni. Au niveau obtenu en 2017, le FN reste, lui, très éloigné du pouvoir.

    La stratégie inspirée par F. Philippot était triplement erronée : concernant l’euro, concernant l’immigration, concernant le positionnement politique.

    La mise en avant du thème de l’euro a constitué une erreur stratégique majeure

    La mise en avant du thème de la sortie de l’euro a constitué une erreur stratégique de première grandeur, pour différentes raisons :

    • Elle a tout d’abord conduit le FN à être perçu comme antieuropéen. Or la quasi-totalité des Français sont fortement attachés à l’idée européenne et estiment, à tort ou à raison, que « la construction européenne » garantit la paix. Il est certes possible de contester les choix politiques et idéologiques de l’UE sans pour autant être opposé au principe d’une union des pays européens : telle est d’ailleurs notre position personnelle. Mais cette distinction nécessaire entre « UE » et « Europe » ne pouvait être perçue par l’électorat puisque le FN mettait, lui, en avant le principe de souveraineté des Etats, contraire à l’idée même d’union entre européens.
    • La focalisation sur l’euro était une erreur grossière pour une seconde raison. Le FN avait choisi, à tort selon nous (nous y venons ci-après), de mettre au second plan la question de l’immigration dans le but de se « dédiaboliser ». En se prononçant pour la sortie de l’euro, et en en faisant, qui plus est, le cœur de son programme, le FN a choisi, de façon incohérente, un thème qui l’a immédiatement « rediabolisé », le Système n’ayant pas eu de difficulté à le discréditer auprès d’une opinion massivement pro-européenne.
    • La thématique de l’euro constituait une erreur, troisièmement, parce qu’elle ne pouvait que susciter, en raison de sa technicité, l’incompréhension de la quasi-totalité de l’électorat. Il était impossible que les électeurs accordent de l’intérêt à des débats hermétiques sur le marché des changes, la parité de pouvoir d’achat ou la distinction entre monnaie commune et monnaie unique. De plus, les responsables du FN, Marine Le Pen en tête mais également Florian Philippot, ont montré dans leurs interventions qu’ils ne maîtrisaient pas les sujets qu’ils abordaient.
    • Le choix de la sortie de l’euro, quatrièmement, était sur le fond contestable. La situation dégradée de l’économie française n’est pas liée prioritairement à la question de la compétitivité vis-à-vis de l’Allemagne et des autres pays de l’UE. D’abord parce que le rapport euro-dollar a, lui aussi, une incidence importante sur les échanges extérieurs de la France. Surtout, les délocalisations d’une part et l’immigration d’autre part ont des conséquences bien plus graves sur l’économie française (en particulier du fait du poids écrasant des dépenses sociales qu’elles engendrent) que celles que peuvent avoir les questions de compétitivité.

    La mise au second plan de la question de l’immigration a constitué une autre erreur considérable

    Sous l’influence de F. Philippot, le FN et sa candidate ont décidé de mettre en avant les questions économiques et de souveraineté et de placer l’immigration au second plan, en la présentant comme l’une des conséquences parmi d’autres de la mondialisation. Non seulement la question de l’immigration a été reléguée au second plan, mais le FN, sous l’influence de F. Philippot, a adopté sur le sujet un discours presque identique à celui du Système.

    Le FN a ainsi choisi de tenir un discours républicain parfaitement conforme, en déclarant par exemple que, dès lors qu’ils font le choix de s’intégrer à la communauté nationale, les immigrés en sont membres à part entière. De même le FN a insisté sur l’arrêt de l’immigration clandestine, comme le font tous les autres partis. Il s’en est seulement distingué en déclarant vouloir ramener le solde de l’immigration légale à 10.000 par an (il faut d’ailleurs signaler que, si l’on se fonde sur le « solde migratoire » de l’Insee, un solde de 10.000 correspond en réalité à un nombre d’entrées légales bien plus élevé (*).

    • La position du FN concernant l’immigration est insatisfaisante parce qu’elle ne permettrait en rien, dans l’hypothèse où elle serait appliquée, d’arrêter l’invasion migratoire en cours. L’arrêt de l’invasion supposerait non seulement d’arrêter toute immigration, légale comme irrégulière, mais de procéder en outre à une remigration significative : le FN de F. Philippot n’a malheureusement jamais mis en avant ce type de position.
    • La position du FN sur l’immigration est insatisfaisante également parce qu’elle ne se distingue en rien des partis du Système. La modération du FN sur le sujet offre à la droite une occasion décisive : comme l’a montré Sarkozy à deux reprises, il suffit à la droite de tenir un discours dur sur l’immigration quelques semaines avant l’élection pour apparaître crédible et doubler le FN. F. Philippot affirme que, le FN étant d’ores et déjà doté d’une forte crédibilité sur le sujet de l’immigration, il doit plutôt enrichir son discours et se rendre convaincant sur d’autres secteurs de l’action publique, en particulier sur l’économie. Le raisonnement de F. Philippot est inexact. D’abord, parce que l’électorat se renouvelle constamment et que les électeurs jeunes n’ont pas nécessairement en tête l’histoire et les traditions du FN. Surtout, une grande partie de l’électorat ne porte attention à la vie politique qu’au moment de la présidentielle : il suffit dès lors au candidat de la droite de tenir un discours musclé au moment de l’élection pour que les électeurs, qui auront oublié les discours et les bilans du passé, tombent dans le panneau.
    • Le choix de faire passer la question de l’immigration au second plan est une erreur pour une troisième raison, la plus importante. Tous les électeurs ou presque ont bien conscience de la gravité de la question de l’immigration et sont effrayés par l’avenir qu’ils pressentent. Pourtant la majorité des électeurs ne votent pas pour le FN, et ce pour les deux raisons suivantes : certains ne votent pas FN par fatalisme et sentiment d’impuissance ; ils considèrent que l’immigration ne peut pas être arrêtée, que le FN lui-même n’y pourra rien et qu’il est donc inutile de voter pour lui ; les autres, la majorité, ne votent pas FN parce qu’ils ont peur que son arrivée au pouvoir ne déclenche la guerre civile.

    C’est donc sur ces deux points qu’il nous faut convaincre. Convaincre que des mesures efficaces sont possibles. Et qu’elles peuvent être mise en œuvre sans déclencher de conflagration immaîtrisable. Au lieu de mettre la question de l’immigration sous le boisseau, il faut au contraire l’aborder de façon frontale et prioritaire et s’efforcer de convaincre sur les points qui jusqu’à présent ont éloigné les électeurs.

    Le positionnement politique « souverainiste de gauche » inspiré par F. Philippot a constitué une dernière erreur

    Le FN a cherché au cours de la campagne de 2017 à s’adresser aux électeurs de Mélenchon en tentant de concurrencer celui-ci sur le terrain économique et social. C’était là encore une erreur. La plupart des électeurs de Mélenchon ne sont pas des salariés avant tout préoccupés de la question sociale : ces électeurs de profil « communiste » ont depuis longtemps rejoint le FN ou le camp de l’abstention. Les électeurs de Mélenchon sont des gens de gauche ancrés dans l’idéologie mondialiste, droits-de-l’hommiste et immigrationniste : le FN est pour eux un repoussoir et un ennemi. L’électorat de Mélenchon comprend aussi, il convient de ne pas l’oublier, une proportion d’immigrés sans doute non négligeable.

    C’est au contraire vers les électeurs de Fillon qu’il fallait se tourner. On se souvient que sous l’influence de Philippot, le FN avait choisi de ne pas s’engager aux côtés de « la Manif pour tous ». Cette erreur énorme a accentué la cassure entre les deux électorats. La seule solution permettant au FN d’accéder aux responsabilités est pourtant une alliance entre les électeurs du FN et ceux de la droite, au-delà de leurs différences, autour d’un programme de défense de l’Europe et d’arrêt de l’invasion.

    Dans la même logique, depuis qu’il a été chargé de fixer la ligne du parti, F. Philippot a cherché à rompre avec le FN traditionnel, allant jusqu’à exclure J.M. Le Pen, fondateur et président du FN pendant 40 ans et propre père de la candidate. F. Philippot s’est ainsi entouré d’une cour interlope, choisissant et promouvant des responsables dont la vie privée et le comportement personnel sont aux antipodes des traditions du Front. Il a accompagné cette politique en affichant son mépris pour les militants et responsables intermédiaires du FN « traditionnel », tandis qu’il prenait soin de copiner avec les journalistes. Les motivations et l’état d’esprit de F. Philippot sont apparus avec netteté lorsque, tirant parti de l’échec de M. Le Pen, il a créé sans attendre sa propre association politique, sans consulter ni M. Le Pen ni le reste de la direction du parti.

    Quant à la stratégie de « dédiabolisation », elle a constitué elle aussi une erreur. Que le FN ait abandonné les références provocatrices à la seconde guerre mondiale est une bonne chose. Il reste que la dédiabolisation constitue une entreprise vaine. Sauf s’il s’aligne dans tous les domaines principaux sur les choix de la classe dirigeante, en particulier sur l’immigration, le FN sera nécessairement diabolisé par le Système, dont il est l’ennemi. La diabolisation par le Système, notamment par les journalistes, n’est d’ailleurs pas forcément un obstacle : D. Trump vient ainsi de montrer qu’on pouvait être élu en s’y attaquant frontalement. Mieux : son attitude de diabolisation choisie et assumée a probablement favorisé son élection. En cherchant, lui, à se dédiaboliser, le FN a fait fausse route. Cette erreur stratégique a été d’autant plus grossière que, comme nous l’avons noté plus haut, le FN n’a eu de cesse, après avoir remisé le sujet de l’immigration pour complaire au Système, de se rediaboliser immédiatement en mettant en avant la sortie de l’euro.

    Face au Système mondialiste, immigrationniste et libéral libertaire, face à l’alliance des bobos et des capitalistes, le FN devrait, nous semble-t-il, mettre en avant un nouveau programme. Ce programme devrait aborder les principales thématiques et être à la fois social, écologiste, anti-UE mais pro-européen. L’arrêt de l’invasion de l’Europe devrait cependant constituer le point majeur du programme du FN.

    Le FN doit expliquer que la défense de l’Europe, de ses peuples, de son territoire et de sa civilisation passe par l’arrêt de toute immigration non européenne et par une politique de remigration significative. Il s’agit de montrer qu’une telle politique est à la fois vitale pour les Français et les Européens ; qu’elle est matériellement possible ; et qu’elle peut être conduite de façon pacifique.

    En complément de ce programme, le FN doit adopter une nouvelle stratégie : s’attacher à réaliser une alliance avec la droite. Cette alliance pourrait s’envisager autour de cet axe simple, transcendant les différences qui peuvent exister entre les électeurs de droite et ceux du FN : arrêter l’invasion migratoire de la France et de l’Europe. En proposant à la droite un accord sur cette base, la démarche du FN serait sans aucun doute bien perçue par l’électorat de droite, favorable dans sa majorité à une solution politique de ce type. Elle mettrait en difficulté les leaders de la droite favorables au Système et pourrait conduire une partie d’entre eux à tenter l’aventure d’une alliance.

    Si elle veut pouvoir conserver la direction du FN et y exercer une action efficace, M. Le Pen aurait tout intérêt à se détourner de F. Philippot, à changer de stratégie et à remplacer ses conseillers.

    Le Paysan savoyard 2/09/2017

    Source : https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2017/09/02/front-national-lechec-de-f-philippot/

    (*) Voir « Comment l’Insee manipule les chiffres de l’immigration » :
    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2017/07/01/comment-linsee-manipule-les-chiffres-de-limmigration/

    https://www.polemia.com/front-national-lechec-de-florian-philippot/

  • Important : L'analyse d'Eric Zemmour sur le cas Wauquiez. Il a raison !

    AINSI VA LA VIE (ET LE MONDE) A DROITE...

    Analyse publiée dans le Figaro magazine du vendredi 8 septembre. Et qui risque, sur la future présidence Wauquiez des Républicains, un pronostic qui a toutes chances de s'avérer exact.  LFAR

    Cela n'a pas tardé. En prenant Virginie Calmels à ses côtés, Laurent Wauquiez a donné les gages que beaucoup attendaient : d'ouverture, de rassemblement, de tolérance. L'élue bordelaise, femme, centriste, libérale, juppéiste, a le profil idéal. Elle sera à Wauquiez ce que NKM ou Valérie Pécresse furent à Sarkozy, ce que Michèle Barzach fut à Chirac ou Simone Veil à Balladur : des cautions à la fois de « modernité » et de « tolérance ». Des pare-feu médiatiques et idéologiques pour se faire accepter par la bonne société politiquement correcte. D'ailleurs, Wauquiez a déjà livré les deux modèles qu'il a choisis s'il devient, comme c'est probable, le prochain président des Républicains : Chirac et Sarkozy.

    Tout est dit : Chirac prit le mouvement gaulliste en dénonçant le «parti de l'étranger» des européistes pour finir par appeler à voter oui au traité de Maastricht ; Chirac défendit « l'immigration zéro », la suppression du regroupement familial et du droit du sol dans les années 1980, avant d'achever sa carrière en porte-parole de la gauche contre le FN. De même, Sarkozy promit le « Karcher » et on eut Kouchner. Il nomma un ancien socialiste comme ministre de l'Identité nationale et de l'Immigration, et jamais le nombre d'immigrés ne fut aussi élevé.

    Les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. Le rassemblement tourne toujours au profit des mêmes. La droite amène les électeurs et les centristes amènent les élus. Les électeurs de droite sont les éternels cocus d'un système qui oblige le patron du parti à tenir des propos flatteurs pour les attirer, puis à renoncer à tout lorsqu'il faut rallier les centristes. Au nom de la République, des droits de l'homme, de l'Etat de droit, de la modernité, de l'humanitarisme, les « modérés » tirent toutes les ficelles, avec la bénédiction de la gauche et le soutien actif des médias.

    Comme Chirac et Sarkozy avant lui, Wauquiez a déjà mis le doigt dans un engrenage qui le broiera. Plus il parlera haut et fort, moins il agira. Certains observateurs sagaces ont déjà remarqué que, lors de son premier discours de campagne, il aparté de tout sauf des sujets sensibles qui tournent autour du « mariage pour tous ». C'est la leçon que la droite, suivant là encore la gauche et les médias, a tirée de l'échec de Fillon à la présidentielle : trop réac, trop catho, trop tradi.

    Wauquiez est sans doute persuadé d'être habile. Mais il sera lui aussi victime de la « maladresse des demi-habiles » qu'évoque Pascal. Il arrive trop tard dans un monde trop vieux. Il ne pourra pas, comme ses prédécesseurs, se rattraper par un discours économique libéral et antisociaIiste, Emmanuel Macron faisant en économie la politique de la droite. Il ne pourra attirer l'électorat populaire qui vote massivement FN qu'en reprenant le programme de ce parti sur l'immigration. C'est exactement ce que lui interdiront ses alliés modérés et centristes. Ils le sommeront de ne jamais faire de concessions aux idées du FN. Wauquiez devra se soumettre d'autant plus qu'il est soupçonné des pires arrière-pensées. C'est ce qui s'appelle perdre sur tous les tableaux.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/09/10/important-l-analyse-d-eric-zemmour-sur-le-cas-wauquiez-il-a-raison.html

  • Climat de guerre civile et violences ethniques dans l’île antillaise de Saint Martin

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    12/09/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie:

    Les Saint Martinois font face à une situation de chaos après le passage de l’ouragan Irma qui a détruit 95 % des habitations et causé des dégâts matériels évalués à 1.2 milliard d’euros. Le nombre de morts est encore trop incertain pour être avancé. Des gangs armés, composés d’individus d’origine africaine, volent tous types de denrées dans le but de créer un marché noir et instaurent un climat de terreur.

    Les forces de l’ordre ont tardé à arriver et le gouvernement est critiqué pour son impréparation et sa gestion calamiteuse de la crise

    Côté néerlandais de l’île, l’armée avait déjà été déployée en amont de l’ouragan afin d’anticiper les pillages. Côté français, ce sont 1 100 gendarmes, policiers et soldats qui sont arrivés seulement vendredi sur les îles de Saint Martin et de Saint Barthélemy. Le président français, après avoir organisé une réunion d’urgence ce samedi, a décidé d’envoyer 240 gendarmes supplémentaires et 30 hommes du GIGN.

    Plus grave, les habitants blancs font état de violences ethniques à leur égard

    Exactions, menaces de mort et coups de feu omniprésents, les habitants livrés à eux mêmes sont obligés de créer des milices pour se protéger. Les gangs meurtriers ont dévalisé l’armurerie de la police aux frontières et des douanes. Ils sillonnent l’île et défoncent les portes des habitations, armes au poing en criant « dehors les blancs ». Cette chasse aux blancs terrorise les Saint Martinois qui veulent à tout prix être évacués, car ils se savent en danger de mort.

    https://fr.novopress.info/

  • Politique magazine • Le numéro de septembre est paru : « Macron président »

    Et c'est une bonne nouvelle car Politique magazine n'avait pu paraître en mai et juin dernier. Le voici heureusement de retour. Et nous publierons mardi prochain une remarquable analyse d'Hilaire de Crémiers : « Macron, le sophiste ». LFAR

    Au sommaire de ce numéro de septembre :

    UN DOSSIER : Macron peut-il réussir ?

    UNE ETUDE : Une nouvelle guerre de Corée ?

    Et aussi dans ce numéro…  des pages d’actualité et de culture !

    s’abonner à Politique magazine

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • JEUDI 14 SEPTEMBRE : LE ROMANCIER TOMÀS TURNER INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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    ÉCOUTER RADIO LIBERTÉS CLIQUEZ ICI

    LES PRÉCÉDENTES

    ÉMISSIONS SYNTHÈSE CLIQUEZ LÀ

  • Saint-Martin : L'effondrement prophétique de l'état français

  • Nicolas Bay succède à Marine Le Pen

    ... à la co-présidence du groupe Europe des Nations et des Libertés :

    6a00d83451619c69e201b8d2a96840970c-200wi.jpg"la délegation française du groupe Europe des Nations et des Libertés (ENL) au sein du Parlement européen a élu Nicolas Bay comme nouveau co-président du groupe, à l’issue d’un vote à bulletin secret.

    Député au Parlement européen depuis juin 2014, élu dans la grande circonscription Nord-Ouest, Nicolas Bay est par ailleurs Conseiller régional de Normandie et Secrétaire général du Front National. Il succède dans cette fonction de co-président à Marine Le Pen.

    Le groupe ENL rassemble 40 députés issus de neuf nations, parmi lesquels 20 Français."

    Michel Janva

  • LE CHANTEUR BRETON CHRISTOFF DONNERA UN CONCERT À L'OCCASION DE LA Xie JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE LE DIMANCHE 1er OCTOBRE À RUNGIS

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