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  • Les gilets jaunes et le débat national – Quelques réflexions supplémentaires

     

    Le mouvement des gilets jaunes s’est maintenu, quelles que soient les variations du nombre de participants, au-delà de la « trêve des confiseurs. » Il n’y a que le gouvernement pour en être surpris: tant que les causes subsisteront, le mouvement persistera. Or il n’y a pas eu jusqu’ici de réponse sérieuse aux préoccupations exprimées par les gilets jaunes, et bien au contraire. Le gouvernement est certes désemparé. Mais il est visible qui cherche à esquiver et il ne cache pas qu’il maintient ses projets, aussi éloignés soit-il de l’attente sociale exprimée par le mouvement. Pire encore : alors que les gilets jaunes sont des personnes de catégories moyennes qui arrivent difficilement à vivre, et qui demandent que cesse le matraquage fiscal, le gouvernement s’occupe des SDF et des chômeurs, catégories toute différentes qui vivent, elles, des aides sociales. À moyen terme cela veut dire que l’on ponctionnera encore davantage les classes moyennes, c’est-à-dire que l’on fera l’inverse de ce qui est demandé… Peut-on dès lors être surpris de la persistance du mouvement ? Jupiter (le vrai) rend fous ceux qu’il veut perdre. L’on notera au passage que ce gouvernement et les technocrates qui le soutiennent sont non des êtres supérieurs comme ils essayent de le faire croire, mais des amateurs qui n’ont aucune idée de la réalité sociale et du terrain qu’ils ne connaissent que depuis les fenêtres de l’ENA .

    Pour écarter les réformes qu’il ne veut pas faire, notamment une grande réforme de la fiscalité, le gouvernement tente de détourner l’attention vers les casseurs. Effectivement, des casseurs ont tenté de profiter de l’effervescence causée par le mouvement des gilets jaunes soit dans un but d’anarchie (destruction, attaques contre les forces de l’ordre ou contre des bâtiments, vandalisme) soit dans un but de pillage et de vol. Le gouvernement, soutenu par sa majorité de rencontre où se trouvent pas mal d’anciens ( ?) socialistes jusqu’ici partisans du laxisme, s’en est servi, s’en sert et s’en servira pour discréditer le mouvement des gilets jaunes, composé en général de gens pacifiques.

    Il a déjà existé une loi anticasseurs après les événements de mai 1968, et l’une des premières mesures de la gauche, après son arrivée au pouvoir en 1981, a été de l’abroger. L’on pense au vieil adage « tous les républicains ne sont pas des bandits, et tous les bandits sont républicains. » La pseudo-droite, quand elle est revenue au pouvoir, n’a pas fait mieux, puisque, fidèle à l’effet de cliquet (ce que la gauche a gagné, on ne le remet pas en cause) n’a pas rétabli cette loi. Depuis lors les gouvernements, quels qu’ils soient, tolèrent l’irruption des casseurs. Ce sont les contribuables qui payent !

    Entendu en substance de la bouche un officier de police : « en cas de troubles au public, notre tâche est d’abord de rétablir la circulation normale. Notre rôle n’est pas prioritairement de procéder à des interpellations. » Ce genre de consignes explique que les casseurs bénéficient d’une large impunité et reviennent à chaque fois.

    Ajoutons à cela le « syndrome » de Malik Oussekine, un manifestant dialysé (exotique au surplus) qui était décédé à la suite d’une manifestation, ce qui avait provoqué de nouveaux mouvements de désordres. Comme l’un des ministres de l’époque, plus déterminé que ceux de maintenant, l’avait dit à propos du père de l’individu : «  si j’avais un fils dialysé, je ne laisserais pas faire le c… dans les manifestations. » Ce décès a entraîné un amollissement de la réaction policière. Paradoxalement les manifestants classiques ou convenables, comme ceux de la manif pour tous, on beaucoup plus à craindre de la part des forces de l’ordre qui, dans leur cas, savent qu’il n’y aura guère de débordements, que les casseurs et les violents qui savent qu’ils bénéficieront d’une large impunité.

    L’on ne peut donc que se réjouir de voir le gouvernement agir enfin contre les casseurs, à condition cependant qu’il n’en profite pas pour les amalgamer avec les vrais manifestants ou pour détourner l’attention des sujets qui fâchent. L’on observera cependant les délais de la remise en route d’une législation qui aurait dû être rétablie depuis longtemps. Gouverner c’est prévoir, et il vaut mieux ne pas avoir à traiter les dossiers à chaud. Ceux qui ont abrogé la précédente loi et qui ont appelé au laxisme doivent faire leur mea culpa, et leur aveuglement les rend indignes de diriger.

    Illustration immédiate : une proposition de loi anticasseurs allant dans le bon sens a été votée récemment par le Sénat, mais, comme c’était avant les manifestations de la fin 2018, le gouvernement a refusé de la soutenir ! Belle illustration de son sens de l’intérêt national, de la réalité de ses convictions et de sa compréhension de la situation ! Plutôt que de se greffer sur cette proposition déjà votée par une des assemblées, le gouvernement veut désormais reprendre toute la procédure législative à la base ce qui implique des délais. Il annonce une loi qui, dans le meilleur des cas, verra le jour dans un mois et demi, alors que les manifestations vont avoir lieu dans quelques jours ! L’idée de faire prendre en urgence une loi en deux articles remettant en vigueur l’ancienne loi anticasseurs, et de proclamer l’état d’urgence en attendant, ne semble même pas avoir été envisagée. Bref, c’est encore un « enfumage. »

    L’on remarque au passage l’amateurisme des dirigeants : par exemple le Premier Ministre a prétendu que l’État veut désormais faire payer les casseurs plutôt que les contribuables. C’est très justifié, mais le dispositif légal existe déjà en droit de la responsabilité (« tout fait de l’homme qui cause un préjudice à autrui l’oblige à réparer »). Il ne fonctionne pas à cause du laxisme des pouvoirs publics, qui ne se sont pas souciés jusqu’ici d’arrêter et de poursuivre systématiquement les casseurs, notamment pour leur faire payer des réparations. Gageons qu’un de ces jours le gouvernement s’apercevra aussi que la juste répression est gênée par l’existence de juges de gauche qui ont noyauté la magistrature (le « mur des c… » en est une illustration pénible et jusqu’ici impunie). Malheur aux gens qui maudissent des effets de causes qu’ils vénèrent. Comme les poissons pourrissent par la tête, libéraux et socialistes pèchent d’abord par leurs idées fausses, dont le désordre n’est que la traduction pratique.

    À côté de ce premier contre-feu, la lutte tardive et limitée contre les casseurs, le gouvernement en allume un second : le grand débat national. L’on ne sait pas vraiment comment l’organiser (l’on remarque seulement que la personne que le gouvernement avait chargée de mener le débat devait être largement rémunérée, ce qui montre que la portée des critiques contre les facilités que s’octroie l’ « establishment » n’a pas été comprise). Il convient, sans illusion sur l’efficacité immédiate, de participer dans les instances officielles, mais aussi en dehors de ce grand débat ou déballage : faire connaître nos idées, faire réfléchir…

    Par ailleurs l’on sait déjà que certains sujets – la peine de mort, l’IVG, les lois Taubira, l’immigration – seront tabous… Ceux qui veulent que ce débat ait quelque utilité ne doivent bien évidemment tenir aucun compte de ces limitations que le gouvernement prétend imposer à la discussion. Un grand nombre de Français, gilets jaunes et au-delà, veulent que l’on discute de l’immigration, et on en discutera, même s’il faut aller occuper des ronds-points le samedi pour l’obtenir…

    L’on ne doit pas non plus perdre de vue la perspective des élections européennes. À cette occasion les défenseurs de la nation et ceux du pays réel doivent infliger une sévère correction par les urnes – aux cosmopolites, aux technocrates et aux fédéralistes européens, bradeurs de l’indépendance et de l’identité nationales… Curieusement, les partisans d’une Europe des nations sont plus proches les uns des autres que jamais : avec les Hongrois, les Italiens, et maintenant les Allemands les Espagnols, ainsi que tous les autres européens qui désirent, dans un continent en paix et en amitié, maintenir l’originalité de leur nation, l’on aperçoit la possibilité de combattre les utopies uniformisatrice et des oligarchies financières et cosmopolites qui les soutiennent. Il faut que les Français soient au rendez-vous.

    Une petite réflexion encore: parmi les saccages récents, il en est un qui mérite un sort particulier car il ne fait de peine qu’aux partisans de la guerre contre l’automobile, à savoir la dégradation des radars. En effet, ces dispositifs ont avant tout pour but de remplir les caisses de l’État. Dans un esprit punitif qui ne l’a jamais quitté, le gouvernement annonce que les contribuables paieront la remise en ordre desdits radars. Il nous semble qu’une revendication devrait être le non-remplacement de la plupart des radars et la mise sous contrôle des maires du petit nombre subsistant, qu’ils décideraient d’implanter aux endroits réellement dangereux. En aucun cas des radars ne seraient installés pour fournir des ressources à l’État verbalisateur.

    Enfin il ne faut pas relâcher la vigilance : alors même que son attention devrait être retenue ailleurs, le gouvernement envisage de modifier la loi de séparation de 1905. Sans être aucunement partisan de la laïcité – la nature a horreur du vide – nous devons être vigilants pour empêcher toute modification de cette loi qui ouvrirait des brèches en faveur d’un financement ou de facilités administratives accordée à l’Islam. L’Islam reste une religion étrangère à notre continent et hostile aux bases chrétiennes et naturelles de notre civilisation, et il n’y a pas et il ne doit pas y avoir d’Islam de France. Nous proposons que tous les ans un hommage national soit rendu à la mémoire de Charles Martel et de la victoire de Poitiers !

    François Marceron

    https://www.medias-presse.info/les-gilets-jaunes-et-le-debat-national-quelques-reflexions-supplementaires/103483/

  • Hémorragie d’habitants à Paris : quand Hidalgo saigne notre ville

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    C’est un funeste record : Paris perd 12.000 habitants par an. Les médias pour bobos ont beau tenter de disculper Hidalgo, sa responsabilité est écrasante.

    D’abord, dans la foulée du sinistre Delanoë, elle a complètement déséquilibré le marché immobilier en procédant à des achats massifs d’immeubles et d’appartements. Plusieurs milliards d’euros ont été déversés, ces dernières années, pour des préemptions à des fins clientélistes car Hidalgo cherche avant tout à se constituer un réservoir d’électeurs reconnaissants.

    Récemment, le maire socialo-macroniste du 13e arrondissement Jérôme Coumet a reconnu que la moitié des appartements étaient attribués par la ville, ses bailleurs sociaux ou l’État au titre du soi-disant logement social. Autant dire que si vous n’êtes pas propriétaire de longue date ou pistonné, vous êtes exclu du système.

    L’enfer socialiste est pavé de bonnes intentions. Au lieu de faciliter l’accès au logement, cette politique n’a fait qu’attiser la crise immobilière et rendre la vie impossible aux classes moyennes et familles nombreuses. Imaginez la vie d’un couple avec trois, quatre ou cinq enfants à Paris : à moins de disposer de revenus considérables, il devra quitter la ville. Et ce phénomène commence à toucher les familles de deux enfants. Résultat final : de plus en plus de gens s’inscrivent sur la liste des demandeurs de HLM, démonstration par l’absurde de l’échec de cette politique.

    À ce facteur essentiel, il faut ensuite ajouter les désagréments des transports : réseau souterrain du métro bondé que la ville ne considère pas comme prioritaire, embouteillages liés à des aménagements de voirie dictés par la communication et le dogmatisme, pollution subséquente.

    L’insécurité, la saleté, une politique démagogique vis-à-vis des clandestins incités à venir à Paris, puis discrètement éloignés, avec, à chaque fois, une pompe aspirante réamorcée : tout concourt à dégrader peu à peu la vie des Parisiens.

    Les gens restent autant qu’ils le peuvent parce que l’offre culturelle est unique au monde et la beauté des rues inégalée, sauf par quelques villes italiennes. Mais ils souffrent et beaucoup finissent par partir. New York ou Londres sont chers eux aussi. Mais la qualité de la vie et des services municipaux y est grandement supérieure.

    Cette ville gentrifiée, communautarisée et muséifiée produit des phénomènes singuliers comme le développement fulgurant d’Airbnb. C’est, en réalité, une réaction d’habitants qui cherchent à se faire quelques sous pour faire face à des dépenses croissantes et insupportables. En bonne pompière pyromane, Hidalgo, loin de corriger ses politiques, tente à nouveau d’interdire et de réglementer – sans succès, évidemment. C’est le socialisme dans toute son absurdité.

    Avec Aimer Paris, l’association que j’ai l’honneur de présider, nous offrirons en 2020 une alternative radicale à toutes ces aberrations. Nous cesserons immédiatement les préemptions de logements et vendrons les appartements à leurs occupants pour fluidifier, à terme, le marché, nous supprimerons les aménagements de voirie absurdes, nous mettrons les services du nettoyage au travail et nous réduirons les taxes en introduisant une vraie démocratie par un recours aisé au référendum municipal citoyen.

    En 2020, les Parisiens devront éviter l’erreur commise par les Français en 2017 : se débarrasser d’Hidalgo pour mettre un machiniste à sa place, car le remplaçant serait pire que le sortant.

    Aimer Paris leur offrira la possibilité de rester dans la ville qu’ils veulent continuer d’aimer.

    http://www.bvoltaire.fr/hemorragie-dhabitants-a-paris-quand-hidalgo-saigne-notre-ville/

  • Matteo Salvini appelle à la renaissance des vraies valeurs européennes

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Lors de la présentation de ses vœux, hier, Matteo Salvini a notamment déclaré ceci :

    L’Europe s’est habituée pendant des années à parler de l’axe franco-allemand, nous nous préparons à avoir un nouvel équilibre et une nouvelle énergie en Europe. […] La Pologne et l’Italie seront, absolument, les protagonistes de ce nouveau printemps européen, de cette renaissance des vraies valeurs européennes avec moins de finances, moins de bureaucratie et plus de travail, plus de famille et surtout plus de sécurité.

    Cet appel à une réforme de l’Union européenne a ensuite été poursuivie de sa part par des instructions sur la nécessité de fermer les frontières et ne pas céder « aux chantages de Bruxelles ».

    Cette allocution semble faire également référence à son implication dans la cause des Gilets jaunes ainsi qu’aux mauvaises relations entre la direction italienne et française ; puisque pour lui une nouvelle Europe qui sera portée par les Gilets jaunes et autres mouvements va bientôt voir le jour.

    https://fr.novopress.info/

  • Le Journal de la Réplique du 09/01/19 avec Jean-Yves Camus : les Gilets Jaunes à la loupe

    Pour ce numéro du « Journal de la Réplique », Pierre Henri et Arnaud Menu reçoivent le politologue spécialiste des radicalismes Jean-Yves Camus. Ils évoquent l’évolution du mouvement des Gilets Jaunes, sa sociologie, son aspect géographique, sa différence avec Mai 68. Ils parlent aussi du consentement à l’impôt, du référendum d’initiative citoyenne et des élections européennes.

  • De quelle violence parlons-nous, Monsieur le Président ?

    De quelle violence parlons-nous, Monsieur le Président ?

    Réflexion de Terre et famille :

    La violence d’un régime qui s’est imposé par un génocide, celui des vendéens ?
    La violence de ceux qui mirent en place les inventaires et la spoliation des biens de l’Eglise à la suite de la loi de 1905, envers et contre le peuple ?
    La violence d’un matraquage intensif des esprits par l’éducation nationale pour désapprendre tout, y compris notre Histoire au profit de la théorie du genre et des « droits sexuels » ?
    La violence des législateurs qui osent décréter la liste des sujets tabous ?
    La violence du mépris de 54.8 % des français contre le traité de Lisbonne lors du référendum du 29 mai 2005 ?
    La violence qui crée le déséquilibre partout et culpabilise ceux qui osent dire que l’immigration est un malheur pour tout le monde ?
    La violence qui consiste à imposer ce qui serait bon pour les familles, à imposer le choix de l’école, les vaccins, le médecin et la médecine… ?
    La violence qui consiste à rendre la vie des petites villes et villages impossible (loi NOTRe) ?
    La violence qui consiste à ignorer, mépriser des millions de français qui manifestent pour le retour du bon sens et contre la loi Taubira ?
    La violence qui consiste à défendre des hystériques aux seins nus (Femen), anges noirs de George Soros, contre des militaires français ou les gardiens de la cathédrale Notre Dame de Paris, fidèles à leur vocation de protecteur ?
    La violence impliquée par la « marchandisation » de la vie à travers la PMA, la GPA, la manipulation génétique sans vergogne ?
    La violence qui consiste à faire passer un chevalier pour un voyou et un voyou pour un chevalier ?
    La violence qui transforme les femmes, « sentinelles de l’Invisible », en porteuses de matraques ?
    La violence qui est hypocritement voilée sous le terme « plan de restructuration » des entreprises et qui masque le chômage et le déclin de l’investissement pour satisfaire les pulsions malsaines de quelques-uns ?
    La violence qui installe la loi du plus gros (Uberisation) contre les petites entreprises ?
    La violence qui détruit le service public ?
    La violence qui est complice de la médecine qui rapporte ?
    La violence qui pousse au suicide nos paysans ou à les faire tuer de deux balles dans le dos parce qu’ils s’opposent à l’industrialisation de l’agriculture, comme Jérôme Laronze le 20 mai 2017 à Sailly ?
    La violence qui taxe à mort le travail pour financer l’idéologie dominante ?
    La violence du soutien aux terroristes d’Al Nosra en Syrie ?
    La violence qui consiste à tout faire plier devant l’argent ?
    La violence qui a eu pour but de contrôler ce qui était vital (politique, économie, énergie, agriculture, santé, éducation, instruction, …) et qui maintenant a pour ambition ultime de contrôler la Vie elle-même ?
    La violence qui finalement vous pousse à votre propre destruction ?

    Si oui, Monsieur le Président, alors nous sommes d’accord, la violence est à combattre de toutes nos forces.

    Stéphanie Bignon

    https://www.lesalonbeige.fr/de-quelle-violence-parlons-nous-monsieur-le-president/

  • Après la Libération, il faudra procéder à une Épuration

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    Bernard Plouvier

    ... et cela aura un petit air de « déjà vu » !

    Non seulement, il faudra punir les traîtres à la patrie qui auront favorisé l’essai de destruction de notre Nation par une immigration-invasion d’une ampleur incommensurablement plus grande que les tentatives perpétrées par les hordes de Huns ou de mahométans, jusqu’à ce que ces derniers reçoivent deux déculottées, près de Bordeaux et de Poitiers.

    Mais aussi, il faudra se souvenir du traitement honteux infligé au peuple de France par Grand Président Macron, son joueur de poker favori, le sieur Castaner, et leurs hordes de flics déchaînés.

    Dans l’article de Claude Janvier – excellent comme toujours, avec ce rédacteur enthousiasmant –, paru in Eurolibertés du 11 janvier 2019 cliquez ici, on lit une déclaration issue d’un syndiqué de France Police, exprimée fin décembre, où le zélé fonctionnaire se retranche derrière « les ordres des ministre, préfets et commissaires », pour justifier les yeux et les membres perdus de manifestants dits « Gilets jaunes », les centaines de personnes tabassées ou intoxiquées par les gaz projetés.

    Il est bon de rappeler à nos pandores que, si certains d’entre eux sont de redoutables carriéristes sans conscience, ils ne sont pas des robots et que la Loi est faite pour eux comme pour tout autre citoyen.

    L’article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (ONU) et l’art. 9 de la Convention Européenne des susdits ont reconnu une Liberté de Conscience (encore faut-il en avoir une !), soit – entre autres choses – le droit pour un militaire ou un policier de s’opposer à certains ordres, notamment ceux dont l’exécution est une flagrante violation de la Loi, comme le fait de tirer avec une arme potentiellement léthale (ou tueuse, comme on voudra) sur des individus désarmés. 

    Comme le Bon Peuple ne doit pas trop espérer de ses « forces de l’ordre », censées le protéger, puisque ses membres sont soldés par le produit des impôts et des taxes, le Bon Peuple doit, pour l’heure, faire un effort de mémoire et se préparer à l’apurement des comptes... qui suivra l’inévitable période de Libération.

    Nous avons connu Philippe Le Bel (Homme) et le Grand Charles (le Général de TSF bien connu). De nos jours, il faut compter avec Emmanuel Le Pétochard et ses sbires. C’est assez dire notre déchéance. Toutefois, même chez une Nation en déclin, le réveil des pauvres – forcément plus nombreux que les riches – est toujours dangereux. Macron and Co., manifestement ignares en matière d’histoire, risquent de l’apprendre à leurs dépens.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Gilets jaunes : 12 personnes ont perdu un œil, 4 ont perdu une main

    Gilets jaunes : 12 personnes ont perdu un œil, 4 ont perdu une main

    Le LBD 40 (lanceur de balles de calibre 40 mm), la nouvelle arme à la mode pour le maintien de l’ordre, a remplacé le “Flash Ball”. Il est plus puissant (il porte plus loin) et il est plus précis.

    Jim venait de l’île d’Oléron, avec sa femme, pour participer à la manifestation du 8 décembre à Bordeaux.

    « On ne connaissait pas la ville. On a essayé de partir par les petites rues mais les policiers en civil bloquaient et nous tiraient dessus. J’ai voulu protéger ma femme. Après… Je ne me souviens plus de rien ».

    Il a été victime d’un tir de LBD 40 au visage et a perdu un œil tandis que l’autre a perdu en acuité.

    « On m’a fait une piqûre d’adrénaline. Je me rends compte que j’ai failli y passer. Je me suis réveillé le dimanche. J’ai 15 fractures au visage et désormais, j’ai une plaque en titane sur le côté droit ». « J’ai la rage. Je suis un ancien para. Si l’on vise la tête, c’est que l’on a des ordres ! 220 joules en pleine tête, ce n’est pas anodin. C’est pour faire peur aux autres. Qui radicalise l’autre ? Vous savez, tous les proches des victimes sont très en colère. Il faut changer la politique de maintien de l’ordre ».

    Selon Reflets, c’est voulu :

    Au cours de chacune des manifestation que nous avons suivies depuis le 8 décembre, le processus se répète : les manifestants marchent dans le calme. Soudain, les forces de l’ordre organisent une nasse. Enferment les manifestants dans un périmètre restreint pendant une demi-heure ou une heure. La tension monte, les forces de l’ordre tirent des gaz lacrymogènes, la tension monte encore d’un cran, les affrontements deviennent plus violents, la police riposte avec des grenades de désencerclement et des tirs de LBD 40. Il ne s’agit pas de prendre parti dans un match qui opposerait les gilets jaunes aux forces de l’ordre, mais de dresser un constat objectif, basé sur une observation in situ. A chaque fois que la police a nassé sans raison apparente les manifestants, cela a dégénéré. Ce fut le cas par exemple lors de l’Acte VIII quand la police a soudain stoppé la manifestation au niveau du musée d’Orsay et de la passerelle Léopold-Sédar-Senghor. Jusque là, il n’y avait pas eu d’affrontements. A de très nombreuses reprises, l’usage des grenades de désencerclement ou les tirs de LBD étaient inutiles, la sécurité des forces de l’ordre n’étant pas mise en cause. Rien en tout cas qui ne pouvait se régler avec du gaz lacrymogène.

    Selon Me Pichon

    Le fait est que des effectifs de la BAC et de la BRI, dont ce n’est pas la mission première, sont mobilisés en maintien de l’ordre et se lâchent littéralement parce qu’ils se sentent couverts par la hiérarchie.

    Et il ajoute :

    l’usage n’est pas proportionné et les règles d’utilisation en la matière sont très strictes. J’ai des dizaines de témoignages précis et circonstanciés de personnes qui se sont fait tirer dans le dos par des policiers de la BAC ainsi que de la DOPC de la Préfecture.

    https://www.lesalonbeige.fr/gilets-jaunes-12-personnes-ont-perdu-un-oeil-4-ont-perdu-une-main/

  • Italie : arrestation de 15 trafiquants qui organisaient des traversées de combattants djihadistes en les faisant passer pour des réfugiés

    Après avoir reçu des informations d’un ancien djihadiste, la police italienne a arrêté 15 passeurs appartenant à une organisation soupçonné d’avoir aidé des djihadistes à entrer clandestinement en Europe en tant que demandeurs d’asile, via des traversées en bateau.

    Les arrestations ont eu lieu cette semaine dans les villes de Palerme, Trapani, Caltanissetta et Brescia.

    L’ancien djihadiste a fait sauter le couvercle de l’opération en disant à la police : « Il y a une armée de kamikazes en Italie ».

    Les procureurs ont ajouté que l’organisation, qui a en grande partie fait passer clandestinement des djihadistes de Tunisie, « constitue une menace actuelle et concrète pour la sécurité nationale car elle est capable de fournir à plusieurs migrants illégaux un passage maritime caché, sûr et rapide.’

    (…)

    Il Giornale

    http://www.fdesouche.com/1139127-italie-arrestation-de-15-trafiquants-qui-organisaient-des-traversees-de-combattants-djihadistes-en-les-faisant-passer-pour-des-refugies