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  • Le local parisien des jeunes identitaires attaqué

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    Jeudi soir dans le XVe arrondissement de Paris, 10 nervis de l'officine terroriste intitulée "antifas" ont essayé de détruire le local où se réunissent les jeunes de Génération identitaire. Heureusement, les dégâts se limitent à l'extérieur du bâtiment. 

    Face aux agissements criminels de ces miliciens à la botte des intérêts du Parti de la Finance mondiale que sont les "antifas", petits valets de Castaner et de Mélenchon, il est temps d'envisager une véritable riposte patriotique d'envergure afin d'exiger la mise hors la loi de ces bandes ultra violentes. 

    De plus, nous sommes (relativement) étonnés que ni Madame Hidalgo, ni Madame Pécresse, se soient rendues sur le lieu de l'attentat pour s'indigner face à de tels agissements.

    S.N.

    Quoiqu'il en soit rappelons que l'association identitaire Paris fierté organise aujourd'hui :

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    En savoir plus cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Gilets jaunes : Acte IX en direct de Bourges

  • Gilets jaunes : la version du commandant Didier Andrieux mise à mal par de nouvelles videos

    Gilets jaunes : la version du commandant Didier Andrieux mise à mal par de nouvelles videos
    © Capture d'écran YouTube @Mediapart
    Le commandant Didier Andrieux face aux Gilets jaunes à Toulon, le 5 janvier.

    La défense Didier Andrieux avait dénoncé la «violence» des manifestants, produisant une vidéo dans laquelle on le voit à terre, roué de coups. Mais d'après des vidéos révélées par Mediapart, le commandant aurait été le premier à frapper.

    Filmé en train de boxer un individu près de la gare, puis de s'en prendre violemment à un autre lors de l'acte 8 de la mobilisation des Gilets jaunes à Toulon, le commandant Didier Andrieux était déjà aux prises avec les manifestants quelques heures plus tôt dans la journée du 5 janvier.

    Son avocat avait en effet transmis une vidéo à France 3, largement diffusée, sur laquelle on voit le commandant à terre, frappé par des manifestants, avant qu'il ne reçoive l'aide de ses collègues. Par ces images, l'avocat du commandant entendait souligner la «violence inouïe» des manifestants contre la police, et montrer que Didier Andrieux avait été le premier à subir des violences, ce qui pouvait expliquer les interpellations polémiques du commandant décoré de la Légion d'honneur, pour lesquelles deux enquêtes ont été ouvertes.

    Mais cette version des faits est désormais mise à mal par des vidéos que s'est procuré le site d'investigation Mediapart, qui montrent le déroulé des événements avant cette scène. Sur celles-ci, le commandant, casque de moto sur la tête, est filmé en train de s'en prendre à un manifestant qu'il frappe sans raison apparente, alors que la situation semble plutôt calme. Il s'en prend ensuite à un autre, avec ses pieds et avec ses mains.

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  • Acte 9 : les Gilets jaunes se mobilisent partout en France

    Acte 9 : les Gilets jaunes se mobilisent partout en France
    © ERIC GAILLARD Source: Reuters
    Des Gilets jaunes à Nice le 11 janvier.

    Les Gilets jaunes se rassemblent pour le neuvième acte de leur mobilisation ce 12 janvier. Paris et Bourges pourraient être les épicentres de cette nouvelle journée de rassemblements.

    Mise à jour automatique
    • Le groupe Facebook nommé «la France en colère» publie des images de la mobilisation à laquelle il a appelé à Bourges, dans le centre de la France. Priscillia Ludosky, une des figures des Gilets jaunes, est présente sur place, notamment.

    Selon BFM-TV, 24 personnes ont déjà été interpellées à 11h à Paris.

    A Pau, des Gilets jaunes manifestent portant 11 cercueils en hommage aux victimes de la mobilisation depuis le début du mouvement le 17 novembre.

    Des images postées par Aude Lancelin, la directrice de publication du Média, montrent le début de la mobilisation à Bourges où la place Seraucourt est investie par des dizaines de Gilets jaunes.

    Voir la suite et les photos

     

  • Nucléaire, solaire, éolien : cessons les mensonges et revenons aux faits

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    Le nucléaire, peut-on entendre, ne produit pas l’électricité au meilleur coût : le coût de l’enfouissement des déchets et du démantèlement des centrales n’est pas connu et n’est pas pris en compte.

    C’est faux : ces deux coûts font l’objet de provisions d’EDF et sont pris en compte. Un doute peut être émis sur l’exactitude de leur évaluation car, faute de retour d’expérience, il a fallu élaborer des hypothèses sur la base de scénarios de décontraction.

    Quant à l’enfouissement des déchets, c’est la prudence et la très haute exigence de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pour garantir la sécurité des Français (et tant mieux !) qui entraîne un décalage dans l’opération d’enfouissement : technique de conditionnement des déchets, site de stockage sûr et accepté par la population, influencée par les positions idéologiques et/ou politiques exprimées. À tel point que des installations de conditionnement et d’entreposage des déchets activés ont pour but de les conserver sous très haute surveillance en attendant de disposer de lieux de stockage définitifs.

    Rappelons que l’ASN est une entité indépendante qui assure les missions, au nom de l’État, de contrôle de la sûreté nucléaire, de la radioprotection et de l’information des citoyens « pour protéger les travailleurs, les patients, le public et l’environnement des risques liés aux activités nucléaires ».

    On dit que le débat sur la sûreté des centrales est fui pour éviter les questions gênantes, que les accidents de Tchernobyl et de Fukushima ne sont pas pris en compte et que nous avons frôlé la catastrophe nucléaire.

    C’est faux : je n’ai pas connaissance d’accident en centrale qui ait relevé du niveau de catastrophe nucléaire… L’ASN suit chaque incident survenant dans une centrale, les actions correctives effectuées ainsi que les contrôles et corrections réalisés sur l’ensemble du parc pour supprimer tout risque de cet incident sur les autres centrales. Aucun réacteur ne peut redémarrer sans son accord et chaque incident est accompagné d’une communication dans les médias.

    D’autre part, EDF s’est particulièrement investie dans la mise sous sarcophage de Tchernobyl et c’est l’unité d’EDF chargée de la déconstruction des centrales qui a directement travaillé avec les Américains sur cette action lui permettant d’en tirer un retour d’expérience pour le parc français.

    Enfin, rappelons que nous avons des dizaines d’années de retour d’expérience sur un parc de 58 réacteurs répartis entre 19 centrales. Une enquête auprès des populations vivant près des centrales, et notamment lorsqu’il est question d’en fermer une, en dit plus que les réquisitoires sans fondement avéré.

    On lit que l’électricité éolienne et solaire est rentable et moins chère que le nucléaire.
    C’est faux : pour promouvoir l’électricité « verte », son prix est subventionné par le biais de la CSPE (contribution au service public de l’électricité), qui apparaît sur les factures d’électricité et qui prend en compte l’obligation d’achat par EDF de cette électricité à un prix supérieur au prix du marché : le surcoût est calculé à partir de la différence entre le tarif d’achat et les prix de marché de gros de l’électricité. De plus, nous n’avons pas de retour d’expérience comparable au nucléaire et nous ne pouvons pas garantir la durée de vie des installations.

    À cela, il faut ajouter que remplacer un seul des 58 réacteurs par des éoliennes implique de trouver des centaines de sites pour les implanter, avec un impact sur l’environnement et sur le paysage français. Et, le nucléaire supprimé, il faudra payer cash le surcoût : ce n’est pas dans l’air du temps !

    Pierre Ripoll

    http://www.bvoltaire.fr/nucleaire-solaire-eolien-cessons-les-mensonges-et-revenons-aux-faits/

  • 67% des Français les plus modestes veulent que le mouvement des Gilets jaunes se poursuive

    67% des Français les plus modestes veulent que le mouvement des Gilets jaunes se poursuive
    © Benoit Tessier Source: Reuters
    Des Gilets jaunes occupent un rond-point à Nemours le 9 janvier (image d'illustration).

    Le mouvement des Gilets jaunes s'essouffle-t-il ? Alors qu'un sondage semble pointer un effet de ras-le-bol de la part des Français les plus aisés, ils sont plus des deux tiers des plus modestes à souhaiter que les manifestations continuent.

    Le soutien au mouvement des Gilets jaunes est-il en déclin ? C'est ce que semble montrer un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro publié le 10 janvier qui annonce que «près d'un Français sur deux souhaite désormais l'arrêt du mouvement». 

    Cependant, les chiffres avancés par ce sondage montrent également plus des deux tiers des Français aux revenus les plus modestes (67%) veulent pour leur part une poursuite du mouvement. Inversement, un peu moins des deux tiers des sondés les plus aisés (62%) souhaitent qu'il prenne fin. Le clivage social semble se répercuter sur l'échiquier politique : les soutiens de la France insoumise (LFI) sont à 78% pour la poursuite de la mobilisation et ce chiffre monte à 84% chez les électeurs du Rassemblement national (RN). Fait notable : ce chiffre est en hausse, puisqu'il était à 77% la semaine précédente.

    Par contre, les sympathisants du Parti socialiste (PS) se positionnent en défaveur de la poursuite des manifestations pour la première. Cette décote a été rapide : ils étaient seulement 33% dans ce cas le 3 janvier, ils sont aujourd'hui 55% selon ce nouveau sondage. Les marcheurs (LREM), sans surprise, sont pour leur part à 94% pour l'arrêt du mouvement.

    Sept Français sur dix (70%) jugent que le gouvernement porte «une grande responsabilité des violences» qui ont eu cours lors des dernières manifestations. Mais l'opposition n'est pas non plus épargnée, puisque, dans le même temps, 63% des sondés estiment qu'elle est responsable des violences. Quant aux forces de l'ordre, 51% des Français pensent qu'elles sont responsables des violences.

    Selon les tendances politiques, ces chiffres varient très amplement : 86% des sympathisants LFI jugent que le gouvernement est responsable de ces violences. Idem pour les sympathisants RN. Au contraire, les sympathisants LREM mettent en cause les Gilets jaunes qui sont responsables selon 95% d'entre eux.

    Manuel Bompard@mbompard

    Énorme intox des éditorialistes aux ordres. 60% soutiennent aujourd'hui le mouvement des . C'est 59% mi-décembre et 61% le premier janvier. Il n'y a aucune baisse mais au contraire un soutien constant et massif. 

    1 164 personnes parlent à ce sujet

    https://francais.rt.com/france/57754-67-francais-plus-modestes-veulent-mouvement-gilets-jaunes-poursuivent

  • Gilets jaunes : « La police s’est enfermée dans une logique d’escalade et d’affrontement »

    Le journaliste indépendant David Dufresne, spécialiste de la question du maintien de l’ordre dans la police, recense depuis début décembre. Il en a aujourd’hui 253, qu’il a tous notifiés, via Twitter, au ministère de l’Intérieur. Interview.

    […] On fait des effets d’annonces et dramatiser en annonçant un déploiement inouï de policiers – comme l’a fait Edouard Philippe lundi en annonçant 80.000 forces de l’ordre pour samedi –, on envoie des policiers au front qui ne sont absolument pas formés et entraînés au maintien de l’ordre. Ils ont l’habitude d’être gardiens de la paix, policier de l’anti-gang ou de la Brigade anti-criminalité (BAC). Ils viennent avec leur culture, leurs méthodes, leurs appréhensions, ils ne sont pas du tout préparés à se retrouver face à une foule de manifestants. […]

    Quelle serait, selon vous, la réponse policière proportionnée face aux manifestants violents, pour certains dotés de bombes artisanales ou autres ?

    Question insidieuse : aucun des blessés graves n’était porteur de menaces dont vous faites état. La question est, comme le dit un syndicat puissant de commissaires, de sortir du côté match de foot manifestants vs. policiers. C’est à l’arbitre – le politique – de donner une réponse proportionnée. Elle sera politique, sociale, économique. Pas répressive.

    Vos signalements ne concernent pas seulement des violences physiques.

    En effet. Certains portent sur des manquements potentiels à la déontologie. Briser le téléphone portable d’un manifestant qui filme n’est pas physiquement violent, mais ça reste illégal. Idem quand un policier arrache un gilet jaune. Ou quand les canons à eau visent, comme à Toulouse samedi dernier, des secouristes volontaires. […]

    Le problème, c’est qu’on a des chiffres extrêmement précis concernant les forces de l’ordre, mais pas concernant les manifestants. Les chiffres varient, on serait entre 1.200 et 1.700 blessés côté manifestants. Tout le monde n’est pas blessé au Flash-Ball bien sûr, mais ces chiffres sont considérables. L’omerta sur ces chiffres est tout proprement incompréhensible. […]

    Le Nouvel Obs

    http://www.fdesouche.com/1139707-gilets-jaunes-la-police-sest-enfermee-dans-une-logique-descalade-et-daffrontement

  • Macron estime que beaucoup de Français oublient le «sens de l'effort», l'opposition s'insurge

    Macron estime que beaucoup de Français oublient le «sens de l'effort», l'opposition s'insurge
    © POOL Source: Reuters
    Emmanuel Macron devant la galette des rois le 11 janvier à l'Elysée.

    A la veille de l'acte 9 des Gilets jaunes, Emmanuel Macron a tancé les nombreux Français qui «pensent qu'on peut obtenir sans qu'[un] effort soit apporté». Il a d'ailleurs fait une allusion à peine masquée aux Gilets jaunes.

    Emmanuel Macron a-t-il volontairement jeté de l'huile sur le feu avant les nouvelles manifestations des Gilets jaunes du 12 janvier ? La veille de l'acte 9, le président a ainsi déclaré, lors d'un point presse, devant les maîtres-boulangers réunis à l’Elysée pour la traditionnelle galette des rois : «Les troubles que notre société traverse sont parfois dus au fait que beaucoup trop de nos concitoyens pensent qu'on peut obtenir sans qu'[un] effort soit apporté.»

    «Parfois on a trop souvent oublié qu'à côté des droits de chacun dans la République – et notre République n'a rien à envier à beaucoup d'autres – il y a des devoirs», a poursuivi le chef de l'Etat. Précisant sa pensée, Emmanuel Macron a clairement adressé un message aux nombreux Français qu'il estime peu enclins à l'effort afin qu'ils s'engagent dans le travail : «S'il n'y a pas cet engagement, ce sens de l'effort, le fait que chaque citoyen apporte sa pierre à l'édifice par son travail, par son engagement au travail, notre pays ne pourra jamais pleinement recouvrer sa force, sa cohésion.»

    Une maladresse ? Apparemment non. En effet, les termes de «sens de l'effort» ont semble-t-il été calculés et assumés. Pour preuve, certains sur les réseaux sociaux ont remarqué que le community manager de l'Elysée avait préparé un hashtag «sens de l'effort»... avant de le supprimer, quelques instants plus tard. Par peur des réactions sur les réseaux sociaux ?

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  • Un nouveau numéro hors-série de Présent consacré à François Brigneau et à Jean Madiran

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