Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • Européennes : le deuxième tour a commencé – Journal du mardi 28 mai 2019

     

    Européennes : le deuxième tour a commencé

    A peine les élections européennes terminées, de nouveaux enjeux se dessinent à Bruxelles. Formations des groupes, tractations pour les postes clés de la Commission… Décryptage d’un deuxième volet crucial des élections.

    Autriche : Sebastian Kurz chancelle

    Coup de tonnerre en Autriche. Moins de 24 h après une victoire éclatante lors des élections européennes, le chancelier autrichien, Sebastian Kurz, a été renversé par une motion de censure. Une décision historique qui plonge l’Autriche dans l’incertitude politique.

    Inde : Narendra Modi réélu avec succès

    Les nationalistes gardent le pouvoir en Inde. Le parti de Narenda Modi a largement remporté les élections législatives, un scrutin peu médiatisé en Occident mais qui revêt une importance régionale et mondiale.

    L’ actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/europeennes-le-deuxieme-tour-a-commence-journal-du-mardi-28-mai-2019

  • Vous êtes pour l’immigration de masse ? Alors écoutez ceci !

  • UNE ELECTION PEUT EN CACHER D’AUTRES

    18831125lpw-18831140-article-noumea-nouvellecaledonie-jpg_6196732_660x281.jpg

    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Alors que tous les regards étaient, à juste titre, braqués sur les scores des uns et des autres aux élections européennes, tant en France même que chez ses voisins, deux autres consultations électorales sont passées, presque, inaperçues.

    La première, c’est l’élection du nouveau Congrès de Nouvelle-Calédonie et des trois assemblées provinciales de ce territoire d’outre-mer. La seconde, est l’élection municipale à Barcelone où Manuel Valls s’est fait durement rosser.

    A Nouméa, dimanche 12 mai, dans la foulée du référendum du 4 novembre 2018 où le « oui » à l’indépendance a frôlé les 44 %, les indépendantistes pensaient gagner la compétition électorale pour le renouvellement du Congrès de Nouvelle Calédonie et des trois assemblées provinciales nées des accords de Matignon. Pari raté, ce sont les « loyalistes » qui continueront de détenir la majorité territoriale. Ce qui est intéressant à noter, c’est le basculement qui s’est opéré au sein de la majorité, redessinant la carte politique de « La Grande terre ».

    Lire la suite sur Synthèse nationale

  • RÉSULTAT DES EUROPÉENNES (JE RÉPONDS À EDOUARD PHILIPPE)

  • La Petite Histoire – Guerre de Vendée : crimes ou génocide ?

    S’étalant de 1793 à 1796, la guerre de Vendée a fait entre 100 000 et 200 000 victimes, dont beaucoup de civils. Le tout au nom d’un conflit idéologique entre la République venue proclamer l’homme nouveau à grand renfort de baïonnettes, et une population rurale attachée à ses traditions, notamment religieuses. Si le terme de guerre civile est souvent retenu et que les massacres et atrocités perpétrés durant cette période ne sont plus un mystère, il est en revanche une question sur laquelle le débat reste enflammé, voire tabou : la France révolutionnaire a-t-elle commis un génocide sur une population qui se payait l’audace de s’opposer à ses grands principes ?

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-guerre-de-vendee-crimes-ou-genocide

  • VOTEZ CONTRE LE CLIMAT : LE TOTALITARISME QUI VIENT

    Boulevard_Voltaire_22nov2018.jpg

    Franck Buleux Métainfos cliquez ici

    Lors de ces élections européennes, il est de notoriété publique que la surprise est venue des voix écologiques. Le total des voix EELV (Europe-Écologie-Les Verts), Génération écologie (GE), le Parti animaliste et Francis Lalanne, proche de l’Alliance indépendante écologique (AEI) s’élève à 18 %.

    Bien entendu, les médias et l’Éducation nationale ont beaucoup œuvré à ce résultat, intégrant dans l’esprit des plus jeunes électeurs, l’ennemi principal, c’est-à-dire le climat.

    Comme nos ancêtres les Gaulois (réfractaires ?) qui avaient peur que le ciel ne leur tombe sur la tête, les néo-électeurs ont peur du climat.

    Cette orientation de l’opinion permet de conjurer d’autres phénomènes graves : le phénomène migratoire et les orientations de l’Union européenne. D’ailleurs, on en arrive même à dire que les phénomènes migratoires sont liés au climat, cela pour éviter de limiter les migrations aux guerres (ce qui, de facto, permettrait de rejeter la plupart des migrants), voire même de « surfer » sur cette vague dite populiste en affirmant que la limitation des migrants s’opérera quand le Soleil perdra de son rayonnement… En ce sens, le vote vert est démagogique et d’un populisme exacerbé. Il repose sur un préjugé, celui du réchauffement climatique ou plus exactement, du dérèglement climatique. En effet, si le réchauffement n’est pas avéré, il s’agit probablement de dérèglement. Et si vous n’y croyez pas, les ayatollahs verts vont feront la morale. Le danger c’est le climat vous dis-je, le climat ! Les climato-sceptiques n’ont guère droit à la parole, les médias les traitant même de « révisionnistes », renvoyant le traitement de leurs idées au néant intellectuel. Vous n’avez pas la parole car vous contestez le dérèglement climatique.

    Souvenez-vous de la mise à l’écart de l’ancien ministre socialiste de l’Éducation nationale, Claude Allègre, parce qu’il avait osé remettre en cause le dogme, celui du climat déréglé.

    Le vote contre le climat représente le choix électoral le plus mondialiste qui soit. Le thème de l’écologie traditionnelle, dite « de droite » est à redécouvrir avec l’expression du localisme. Mais nous en sommes loin et ce n’est pas le propos de ce billet. Aujourd’hui, les défenseurs auto-proclamés de la planète veulent totalement modifier notre système.

    Les khmers verts sont près du pouvoir, d’ailleurs ils ont déjà participé au gouvernement de la gauche plurielle de Lionel Jospin, entre 1997 et 2002. En effet, ils n’hésiteront pas à servir de roue de secours de La République en marche (LRM), s’il en était besoin. Comme en Allemagne, ou au choix, ils peuvent soutenir les démocrates-chrétiens d’Angela Merkel comme les sociaux-démocrates.

    Le totalitarisme qui vient, ce n’est pas le populisme qui n’a aucune structure idéologique commune si ce n’est la reconstitution des frontières, c’est ce mode de pensée du quotidien, avec des règles alimentaires strictes (les végan), l’énergie du soleil et du vent, la culture sans engrais.

    Le modèle écologique est bien plus qu’un mouvement politique, c’est le mouvement qui définira, si l’on n’en prend pas garde, notre quotidien.

    Nous nous émouvons, parfois et à juste titre, de modes de vie différents de notre culture européenne mais ces modes de vie ne concernent que des minorités. Ici, le danger ne vient pas de l’étranger mais d’une mouvance occidentale qui n’a qu’un seul but : transformer le quotidien de tous et de chacun.

    Bien sûr, cette poussée n’est pas nouvelle, les mouvements écologiques avaient déjà fait l’objet de poussées électorales. En France, la « poussée verte » a fait tomber de nombreuses mairies de droite en 1977. Depuis 1977, les élections européennes ont vu les mouvements verts avec des scores à deux chiffres, d’Antoine Waechter avec 12 % en 1989 jusqu’à Daniel Cohn-Bendit avec 16 % il y a dix ans, mais ce qui est interpelant aujourd’hui, c’est la conjonction entre des institutions, une certaine jeunesse déconnectée des problèmes culturels et sociaux et les urnes.

    Ces mouvements n’ont rien de scientifique, ils sont la réponse de l’irrationnel. Ils ne voient pas, ils estiment. Le climat a été remplacé, selon eux. Ils sont les chantres d’un certain remplacement.

    Le clivage de demain s’inscrit dans les élections d’hier. Les Gilets jaunes sont loin, j’entends déjà parler d’espérance verte. Une couleur dont il faut se méfier.

    2017 12 01 PUB SITE 1.jpg
  • Jean-Yves Le Gallou : « Reste l’hypothèse de Marion Maréchal »

    jean-yves-le-gallou.png

    "Encore faut-il qu'elle sorte de son Aventin..."

    Jean-Yves Le Gallou analyse la situation à droite de l’échiquier politique au lendemain des élections européennes.

    Je vous cite ‘’ percée identitaire, partout sauf en France’’.
    Or nous nous sommes levés ce matin avec une victoire du Rassemblement national.

    C’est une victoire relative. Le Rassemblement national est certes sorti en tête mais avec deux points de moins qu’en 2014, alors que dans la majorité des pays européens, les partis nationaux et identitaires ont nettement progressé. Ce n’est pas le cas du Rassemblement national qui est passé de 25 % à 23 %, alors qu’il a bénéficié du vote utile. Macron et les médias avaient fait de cette élection une sorte de match entre le Rassemblement national dans le rôle du méchant et Macron dans le rôle du gentil.

    Les Républicains sont aussi perdants dans cette élection avec 8,5 %.
    Comment expliquez-vous la défaite de la liste menée par François-Xavier Bellamy ?

    On ne peut pas mettre sur le même plan le recul de 2 % du Rassemblement national et le recul de 13 % de LR. Pour LR ce n’est pas un recul, mais un effondrement qui est comparable à celui du parti socialiste.
    LR partait de 21 % en 2014 et aujourd’hui il tombe à 8 %, alors qu’il avait un candidat plutôt brillant et une campagne plutôt dynamique.
    Quelles sont alors les explications possibles de la chute de LR ? Le vote utile. LR, le RPR, l’UMP ont autant vécu sur le vote utile sur le thème ‘’votez pour nous, votez pour la concurrence ne sert à rien’’.
    Ils ont été victimes du vote utile puisqu’on leur a dit que c’était un match entre Macron et le Rassemblement national. Ceux qui ont des sentiments identitaires, c’est-à-dire une petite partie de leurs électeurs ont dû filer au Rassemblement national.
    Dans le XVIe, à Neuilly, au Vésinet ou à Versailles, la République En Marche est devant LR et devant Bellamy. Il suffit de regarder les résultats. La droite d’argent s’est ralliée à Macron comme représentant du parti de l’ordre et du parti de l’argent. Pour LR c’est extrêmement préoccupant. Ils sont vraisemblablement en voie de disparition.

    Comment la droite peut-elle retrouver une dynamique qui permettrait de se relancer ?

    Cela n’est pas facile. Marine Le Pen reste malgré tout démonétisée, même si ce résultat la remet en selle. On pourrait rêver d’un Macron de droite, d’un Macron national et identitaire. Cela se heurte à deux difficultés. Macron a été créé grâce et avec les médias. Les médias ne vont pas jouer le rôle de créateur d’un candidat de renouveau identitaire et de droite. Cela serait tout à fait contraire à l’intérêt des gens qui les dirige. Reste l’hypothèse de Marion Maréchal, mais encore faut-il qu’elle sorte de son Aventin. Je ne sais pas si le temps est encore venu pour cela.

    https://www.bvoltaire.fr/jean-yves-le-gallou-reste-lhypothese-de-marion-marechal/

  • Claque pour Dupont-Aignan et Florian Philippot… Résultats des 28 listes qui font moins de 5 % de voix

    Sur les 34 listes qui ont participé aux élections européennes en France, 28 listes obtiennent chacune moins de 5% des votes, et n’ont bien sûr aucun élu au Parlement européen. Tour d’horizon de leurs résultats.

    Debout la France : 3,51%
    La liste Le courage de défendre les Français, menée par le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, ne recueille que 3,52% des voix, selon les résultats complets communiqués par le ministère de l’Intérieur. Le député de l’Essonne promettait pourtant qu’il serait “la surprise de ce scrutin”, et les sondages le créditaient d’un score variant entre 7% et 8% des intentions de vote.

    Génération.s : 3,27%
    La liste citoyenne du printemps européen, déposée par l’ancien candidat socialiste à l’élection présidentielle Benoît Hamon, obtient 3,27% lors de ce scrutin.

    Le PCF : 2,50%
    Menée par le porte-parole du Parti communiste français (PCF) et adjoint à la maire de Paris en charge du logement, Ian Brossat, la liste Pour l’Europe des gens contre l’Europe de l’argent recueille 2,50% des suffrages exprimés.

    L’UDI : 2,49%
    La liste Les Européens, dirigée par le député de Seine-Saint-Denis et président de l’Union des démocrates et indépendants (UDI), Jean-Christophe Lagarde, arrive juste derrière le PCF, avec 2,49% des voix.

    Le parti animaliste : 2,17%
    Le parti animaliste, dont la liste était menée par l’avocate Hélène Thouy, également co-fondatrice de l’association Animal justice droit,  a recueilli 2,18% des suffrages, selon les résultats complets du ministère de l’Intérieur. Un score qui a doublé par rapport aux élections législatives de 2017, où le parti animaliste avait recueilli 1,10% des votes.

    Urgence écologie : 1,82%
    La liste Urgence écologie, menée par le philosophe et ancien vice-président de la Fondation Nicolas Hulot, Dominique Bourg, obtient 1,82% des suffrages aux élections européennes. Cette liste comptait dans ses rangs la députée des Deux-Sèvres et ancienne ministre de l’Ecologie, Delphine Batho, ainsi qu’Antoine Waechter.

    L’UPR : 1,17%
    Conduite par François Asselineau, la liste Ensemble pour le Frexit de l’Union populaire républicaine (UPR), recueille 1,17% des voix. Un léger mieux par rapport à l’élection présidentielle de 2017 où François Asselineau avait obtenu 0,92% des suffrages exprimés.

    Lutte ouvrière : 0,78%
    La liste Contre le grand capital, le camp des travailleurs, dirigée par l’ancienne candidate aux élections présidentielles de 2012 et 2017, Nathalie Arthaud, obtient 0,78% des suffrages, soit un peu plus de 175 000 voix lors de ces élections européennes, contre 0,64% (232 000 voix) lors de la dernière présidentielle.

    Les Patriotes : 0,65%
    Grosse déconvenue pour le député européen Florian Philippot, ancien vice-président du Front national (FN) et président du mouvement Les Patriotes depuis son départ du FN. Sa liste Ensemble patriotes et gilets jaunes : pour la France, sortons de l’Union européenne recueille seulement 0,65% des voix. Les sondages le créditaient de 1 à 2,5% des suffrages. “Les résultats des Patriotes sont bien entendu en-deçà de nos espérances”, a déclaré dans un communiqué Florian Philippot, qui perd ainsi son siège de député européen.

    Alliance jaune : 0,54%
    C’était l’une des deux listes représentant le mouvement des “gilets jaunes” pour les élections européennes. La liste Alliance jaune, la révolte par le vote obtient un peu plus de 122 000 voix, soit 0,54% des suffrages exprimés. Elle était menée par le chanteur Francis Lalanne, et comptait aussi parmi ses candidats Jérémy Clément, autre “gilet jaune” médiatique et fervent défenseur du référendum d’initiative citoyenne (RIC). La défaite est claire pour cette liste : le 23 janvier, l’institut de sondage Elabe créditait une potentielle liste représentative du mouvement de 13% des intentions de vote.

    Les oubliés de l’Europe : 0,23%
    La liste Les oubliés de l’Europe – Artisans, commerçants, professions libérales et indépendants – ACPLI recueille 0,23% des suffrages exprimés, d’après les résultats du ministère de l’Intérieur. Cette liste se présentait comme “une organisation sans étiquette politique”. Sa tête de liste, Olivier Bidou, est chef d’entreprise et président de la Coordination nationale des indépendants.

    Le parti pirate : 0,14%
    La liste du parti pirate, menée par l’ancienne candidate aux élections législatives Florie Marie, obtient 0,14% des voix, soit un peu plus de 31 600 voix.

    L’Union des démocrates musulmans de France : 0,13%
    Portée par le fondateur de l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) Nagib Azergui, la liste Une Europe au service des peuples obtient 0,13% des suffrages, soit près de 28 400 voix.

    L’Espéranto : 0,08%
    Le mouvement européen Espéranto, qui prônait une “démocratie linguistique” avec sa liste Langue commune équitable pour l’Europe recueille 0,08% des suffrages (18 500 voix) lors de ce scrutin. Cette liste était emmenée par Pierre Dieumegard, président de la section française du mouvement Espéranto.

    Le parti fédéraliste européen : 0,06%
    La liste Pour une Europe qui protège ses citoyens, menée par le président et fondateur du PFE, Yves Gernigon, récolte 0,06% des suffrages exprimés, ce qui correspond à environ 12 600 voix. Yves Gernigon, dirigeant d’une agence de communication institutionnelle et financière, souhaitait avec cette liste prôner la création d’une “puissance publique européenne”.

    A voix égales : 0,05%
    Menée par l’ancienne avocate de Jacqueline Sauvage, Nathalie Tomasini, cette liste féministe obtient 0,05% des suffrages, soit 11 850 voix.

    Décroissance 2019 : 0,05%
    Même score pour la liste Décroissance 2019, dirigée par l’enseignante de formation Thérèse Delfel. Cette liste, qui appelle à “une Europe de la décroissance” et à une “sobriété heureuse”, obtient 0,05% des voix, soit quelque 10 400 votes.

    Allons enfants : 0,04%
    Cette liste, dont tous les candidats étaient âgés de moins de 30 ans, était menée par la jeune diplômée de Sciences Po Sophie Caillaud, et recueille 0,04% des voix, soit 8 200 votes.

    Le parti des citoyens européens : 0,03%
    La liste Parti des citoyens européens obtient 0,03% des votes, soit 6 760 voix. Elle était dirigée par Audric Alexandre, un professeur d’anglais à la faculté de Douai et cadre dans le milieu associatif.

    Le mouvement pour l’initiative citoyenne : 0,03%
    La liste “Mouvement pour l’initiative citoyenne” obtient elle aussi 0,03%, précisément 6 286 voix. Cette liste, qui défend le RIC, était menée par Gilles Helgen, chef d’entreprise en Ille-et-Vilaine et déjà candidat aux élections européennes de 2009, où il avait recueilli seulement 581 votes.

    L’UDLEF : 0,02%
    L’Union démocratique pour la liberté égalité fraternité (UDLEF), qui promeut “une France au cœur de l’Europe, ouverte sur le monde”, était menée par Christian Person, chef d’entreprise breton, âgé de 50 ans. Elle a obtenu 0,02% des voix, soit à peine plus de 5 000 votes.

    La liste de la Reconquête : 0,02%
    Il s’agit de la liste soutenue par Dissidence française, une formation politique fondée par Vincent Vauclin en 2011. Elle a récolté 0,02% des suffrages, précisément 4 851 votes.

    Démocratie représentative : 0,02%
    Cette liste, menée par le militant d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) Hadama Traoré, visait à “créer une passerelle entre la banlieue et les ‘gilets jaunes'”. Elle obtient 0,02% des suffrages, soit 3 469 voix.

    L’Alliance royale : 0,01%
    La liste Une France royale au cœur de l’Europe, menée par le délégué général de l’Alliance royale, Robert de Prévoisin, recueille 0,01% des voix lors de ces élections européennes, soit 3 374 votes.

    Neutre et actif : 0,01%
    La liste Neutre et actif, “100% nordiste”, selon les mots de sa tête de liste Cathy Corbert, obtient 0,01% des votes – à peine plus de 2 800 voix.

    Evolution citoyenne : 0,01%
    Défaite cinglante pour la deuxième liste représentant le mouvement des “gilets jaunes” pour les élections européennes. Evolution citoyenne, menée par le forgeron Christophe Chalençon, l’une des figures médiatiques du mouvement, n’a récolté que 0,01% des votes, c’est-à-dire 2 117 voix à travers la France. Dans sa commune, Sault (Vaucluse), Christophe Chalençon n’a récolté que deux voix.

    La ligne claire : 0,01%
    Déposée par l’écrivain homosexuel Renaud Camus et Camel Ouchikh, président du SIEL, cette liste n’obtient que 0,01% des voix, et est l’une des deux seules listes à compter moins de 2 000 votes (1 893 sur l’ensemble du pays).

    Parti révolutionnaire communistes : 0,01%
    Issu d’une scission avec le PCF, le parti révolutionnaire communistes, dirigé par l’ouvrier métallurgiste Antonio Sanchez, est la liste rassemblant le moins de votes lors de ces élections européennes. Elle récolte 0,01% des suffrages exprimés, soit précisément 1 458 voix.

    https://www.medias-presse.info/claque-pour-dupont-aignan-et-florian-philippot-resultats-des-28-listes-qui-font-moins-de-5-de-voix/108905/

  • Ils avaient choisi François-Xavier Bellamy comme bouc émissaire

    Ils avaient choisi François-Xavier Bellamy comme bouc émissaire

    Voici ce que j’écrivais ici-même le 23 janvier alors que François-Xavier Bellamy était pressenti mais pas encore nommé pour mener la liste LR, et qui se réalise dès le lendemain de l’élection :

    Conduire une liste pour ensuite assumer un résultat autour de 10%, loin derrière le RN et LREM, c’est aller au casse-pipe.

    Et c’est là que la place laissée à François-Xavier Bellamy s’avère un tantinet piégée. Et les inquiétudes manifestées par certains ténors LR préparent la suite : une fois l’élection passée, ils feront comme avec Nicolas Sarkozy en 2012. Ils mettront l’échec sur le dos de la “droitisation” du parti, des idées “conservatrices” de la tête de liste, de son hostilité assumée à l’avortement, de son engagement auprès de La Manif Pour Tous. Et ils tenteront de faire sauter Laurent Wauquiez, qui a glissé au Monde :

    “Bellamy, c’est le visage d’une nouvelle droite, une droite qui assume ses idées et ses valeurs”.

    Et derrière Wauquiez, Éric Ciotti et Bruno Retailleau, qui défendent la candidature de Bellamy, seront également tenus pour responsables.

    […] Une droite qui s’assume, c’est une bonne chose. Mais pour combien de temps ? Nommer Bellamy tête de liste le 29 janvier, après les polémiques, ce sera déjà courageux. Mais il faudra alors à LR être courageux jusqu’au bout et ne pas le renier après l’élection du mois de mai

    Visiblement, c’est mal parti.

    https://www.lesalonbeige.fr/ils-avaient-choisi-francois-xavier-bellamy-comme-bouc-emissaire/

  • Marine Le Pen : « Les anciens partis sont en train de signer leur arrêt de mort »

    28/05/2019 – FRANCE (NOVOpress)
    La présidente du Rassemblement national, dont le parti est arrivé en première position aux élections européennes, a réitéré sa position de premier parti d’opposition.

    Pour Marine Le Pen, le clivage gauche-droite est dépassé :

    Le nouveau clivage, c’est le clivage entre mondialistes et nationaux. Il traverse la France, l’Europe, le monde.

    https://fr.novopress.info/