Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 6

  • Pierre Hillard et Bruno Gollnisch débattent du mondialisme

    Pierre Hillard et Bruno Gollnisch étaient les invités de Michel de Rostolan sur Radio Courtoisie. Ils évoquent l’actualité politique et le mondialisme.

  • Les Républicains : s’allier au Rassemblement national ou mourir

    Coup de tonnerre pour Les Républicains : un temps revigorée par des sondages prometteurs, la liste menée par le talentueux François-Xavier Bellamy n’obtient, finalement, que 8 % des suffrages.La droite traditionnelle, hier principale force politique française, s’effondre. 
    Après la défaite de François Fillon à la présidentielle de 2017, Les Républicains avaient pourtant sauvegardé l’essentiel : une base électorale, comme en témoigne leur semi-succès aux élections législatives, et un appareil politique en meilleure posture que celui du Parti socialiste, dont la disparition fut aussi brutale qu’inattendue.
    Les résultats des élections européennes envoient pourtant un signal dénué d’ambiguïté à Laurent Wauquiez et, plus largement, à sa famille politique. 
    Si Les Républicains ont récemment su renouer avec une ligne politique plus « gaulliste », ils l’ont fait avec vingt ans de retard sur le Rassemblement national. 
    Celui-ci en tire logiquement, aujourd’hui, les bénéfices et prétend, à bon droit, représenter la seule opposition crédible à droite sous les yeux ébahis de bien des représentants des Républicains, ahuris devant une telle déculottée électorale.
    Car il ne s’agit pas d’une défaite mais d’un point de rupture. 
    Désormais, le bloc souverainiste représente près de trois Français sur dix et Les Républicains, jadis maîtres du jeu, se retrouvent dans une position des plus inconfortables. 
    Ravalés au niveau des petits partis d’extrême gauche, ils n’ont plus la légitimité pour parler au nom de la droite. 
    Leur volonté de reconstruire celle-ci d’ici 2022 est, certes, louable, mais elle oblitère le réel ; leur électorat s’est évanoui. 
    Le phénomène Macron a fini par leur briser les reins, précipitant une recomposition politique qui a vu une grande part de leur électorat – la droite orléaniste – se retrouver dans le projet social-démocrate de La République en marche. 
    Les autres sont partis au Rassemblement national. 
    In fine, pour reprendre les mots d’Éric Zemmour, Les Républicains ne sont plus qu’un « club de retraités de Nice » coupé des classes populaires auxquelles ils ne savent plus s’adresser. 
    C’est pourtant elles qui font l’élection présidentielle. 
    Autour de Laurent Wauquiez, on louvoie donc pour éviter de voir ce qui crève les yeux : sans alliance avec le Rassemblement national, Les Républicains seront réduits à subir le destin du Parti socialiste et à ne représenter qu’un électorat très restreint composé de la bourgeoisie catholique et de retraités.
    Une impasse politique se profile donc, qui rappelle celle d’un Rassemblement national trop clivant pour espérer gagner seul les présidentielles de 2022. 
    Si un bloc progressiste s’est constitué autour de Macron, regroupant les partisans d’un monde déraciné, le bloc souverainiste souffre encore les douleurs de l’enfantement et peine à émerger sur la scène électorale, alors même qu’il porte les idées d’une majorité de Français. 
    S’ils veulent redresser la France, Les Républicains ne doivent plus se bercer d’illusions, ils sont aujourd’hui condamnés à former une coalition de toutes les droites incluant la principale : le Rassemblement national. 
    Laurent Chauvet

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/05/les-republicains-sallier-au.html

  • Bilan sur les élections européennes

    28/05/2019 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    En effet, les analyses qui suivent les soirées électorales ne favorisent pas vraiment la distance nécessaire à l’analyse objective des résultats.

    Deux thèmes sont particulièrement revenus en boucle, qu’il convient de nuancer :

    La participation, d’abord. Si celle-ci a effectivement augmenté par rapport à 2014 (de 42 à 50%), il faut noter que les élections étaient organisées en même temps que des scrutins locaux ou régionaux, ou référendums nationaux dans plusieurs pays, réduisant mécaniquement l’abstention. Ajoutons à cela la campagne médiatique littéralement sans aucun précédent ayant martelé, des semaines durant, que ces européennes 2019 seraient « les plus graves pour l’avenir ». Deuxièmement, la « vague verte » écologiste. En France, la « percée » (13,4%), inférieure à celle de 2009 (16%) qui fut sans lendemain, est tout de même à relativiser. Les hauts scores allemands et français, les deux pays les plus peuplés, font mécaniquement grimper la moyenne globale, alors qu’elles sont inexistantes dans des pays comme l’Italie ou la Pologne.

    Les populistes ont confirmé qu’ils s’étaient largement installés dans le paysage politique européen.

    Les projections de sièges des trois formations eurosceptiques de l’hémicycle – l’Europe des nations et des libertés (ENL, de Marine Le Pen et Matteo Salvini), les Conservateurs et réformistes européens (ECR, dominé notamment par des élus polonais et britanniques) et Europe de la liberté et de la démocratie directe (EFDD, de Nigel Farage et du Mouvement 5 étoiles) – pour le futur hémicycle atteignent ainsi 172 sièges, à en croire des projections nocturnes du Parlement. Le PPE et le PSE, avec 179 sièges annoncés pour les conservateurs et 150 pour les sociaux-démocrates, perdent leur majorité absolue pour la première fois depuis 1979.

    En France, le RN et LREM polarisent la France qui vote

    Les deux partis se placent en tête du scrutin européen dans des zones très différentes. Le Rassemblement national, avec 5,3 millions de voix fait ses meilleurs scores dans ce que l’Insee appelle les communes des zones périphériques, tiraillées entre différentes métropoles, longtemps oubliées avant l’émergence du mouvement des gilets jaunes. À l’inverse, la liste de Nathalie Loiseau soutenue par Emmanuel Macron performe particulièrement dans les métropoles. L’électorat macroniste est largement dominé par les couches supérieures, un profil très proche des sympathisants des Verts, à l’âge près : le vote écolo est plus jeune, les sympathisants marcheurs, plus âgés. En revanche, le RN obtient ses meilleurs résultats au sein des milieux populaires, qui forment par ailleurs les gros bataillons des abstentionnistes. Surprise en banlieue parisienne, où le parti d’extrême droite connaît un essor inattendu : elle arrive ainsi en tête à Aulnay-sous-Bois, Sevran, Villepinte ou Livry-Gargan, en Seine-Saint-Denis, mais aussi à Orly et Villeneuve-Saint-Georges, dans le Val-de-Marne.

    https://fr.novopress.info/

  • « La vie commence toujours demain... »

    jeanne19-Roland-Helie-768x512.jpg

    Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale

    L'Europe a parlé et elle a plutôt bien parlé. Les résultats des élections européennes du 26 mai sont sans équivoque, partout sur notre continent la prise de conscience identitaire pour laquelle nous militons devient une réalité. Sous des formes différentes certes, mais avec un objectif commun, celui de sauver nos nations et notre civilisation, les partis que l’on dit « populistes » font une percée historique. Le combat que nous menons depuis des décennies finit par être entendu tant au niveau national qu’au niveau européen.

    Nous l’avons répété à maintes reprises : tant que les peuples européens ne prendront pas conscience au niveau continental des dangers qui menacent leur existence, rien ne sera vraiment possible. Or, ce à quoi on assiste aujourd’hui, c’est justement aux prémices du réveil européen. En 1984, le Front national avait introduit l’immigration incontrôlée dans les débats bruxellois mais il était bien le seul ou presque. Depuis, malgré quelques feux de paille ici ou là, les choses n’avaient pas vraiment changé. Au Parlement européen, les partis nationalistes, parfois pour des raisons historiques ou par crainte (ce qui est un comble) de heurter le « politiquement correct », étaient divisés et leur impact restait donc réduit. Mais cela, espérons-le, c’était avant...

    Le cas de la France

    Aujourd’hui, dans pratiquement tous les pays membres de l’Union, des forces nouvelles ont émergé et nous ne pouvons que nous en féliciter. Tablons que la raison l’emportera et que celles-ci sauront (dans un esprit de synthèse) travailler ensemble. Contre les diktats politico-économiques de la Finance et face aux flux migratoires, il en va de l’avenir de la civilisation européenne...

    Autre constat qu’il faut faire suite à cette élection européenne, ce sont les résultats obtenus par les patriotes en France. Certes, le Rassemblement national arrive en tête mais son score est en deçà des espérances de beaucoup vue la situation dramatique dans laquelle est plongé notre pays. Malgré les difficultés du gouvernement et la crise des Gilets jaunes, ce score est sensiblement le même que celui obtenu par le Front national lors de la précédente consultation de ce type en 2014. Mais, ce qui est intéressant, c’est que celui-ci (tout de même honorable) a été réalisé par un jeune de 23 ans, inconnu jusque là. Marine Le Pen, candidate inamovible depuis son accession à la présidence du FN en 2011, a en effet laissé, par nécessité semble-t-il, la tête de liste à Jordan Bardella et cela, visiblement, n’a pas été un frein pour le Rassemblement national. Bien au contraire, Bardella a égalisé sa présidente et son talent personnel qui est indéniable n’y est certainement pas pour rien. L’émergence de Jordan Bardella donnera-t-elle un élan nouveau au courant national ? L’avenir le dira...

    Et le RN n’était pas le seul sur le créneau national et souverainiste. Il y avait bien-sûr l’inévitable Dupont-Aignan qui, en bon gaulliste qu’il prétend être, s’est signalé par une succession de reniements. Il y avait Asselineau et Philippot qui voient en l’Allemagne l’ennemi de toujours et qui s’accrochent désespérément à « la France seule ». Il y avait Renaud Camus qui s’est avéré bien décevant et il y avait aussi, pourquoi pas, une liste royaliste. Mais toutes ces initiatives qui regroupaient des gens certainement sincères n’avaient pas, à proprement parler, de véritables créneaux.

    Là où il y a une volonté, il y a un chemin

    En revanche, ce qui a retenu notre attention, c’est la présence de la Liste de la Reconquête présentée par La Dissidence française de Vincent Vauclin. Pour être tout a fait honnête, je dois reconnaître mon scepticisme lorsque Vincent, l’hiver dernier, me fit part de son ambition de monter une liste pour que les nationalistes révolutionnaires se fassent entendre lors de cette élection. Présenter une liste, pour une petite organisation comme la sienne, me semblait être un projet bien audacieux. Mais, force est de reconnaître qu’il avait raison puisqu’il a gagné son pari et que, même si son score est modeste (sans bulletin de vote et sans profession de foi, il était difficile qu’il en soit autrement), la DF a réalisé un bon « coup de pub » à moindre frais. Vauclin a aussi prouvé qu’avec une petite structure militante homogène et combative comme la sienne, il est possible de réaliser « l’impossible », ce qui est à son honneur. Comme quoi, là où il y a une volonté, il y a un chemin. Il faudra désormais compter avec lui...

    La « macronie » est toujours debout

    L’autre leçon que nous retiendrons, c’est que la « macronie » ne s’en tire pas si mal que cela. Et c’est ce qui est le plus inquiétant. Bien-sûr, le pouvoir n’a pas lésiné sur les moyens (et il en a beaucoup) car ce n’était pas gagné d’avance pour lui. Malgré son bilan désastreux, malgré sa soumission aux dogmes mondialistes, malgré la répulsion qu’inspirait sa candidate, la République en marche a réussit à limiter les dégâts. En se positionnant comme la seule alternative au « populisme », LREM a atomisé ses concurrents potentiels et elle a définit le cadre de la prochaine élection présidentielle. Le rêve de Macron étant de se retrouver à nouveau face à... Marine Le Pen qui, consciente des limites de la « victoire » du Rassemblement national, s’est subitement abstenue d’exiger la démission du président de la République. Mais, Macron devrait le savoir, en politique on ne sait jamais de quoi demain sera fait...

    Et maintenant ?

    Alors maintenant, me direz-vous, en ce qui nous concerne nous autres nationalistes et identitaires, que faut-il faire ? « La vie commence toujours demain » dit souvent avec malice Jean-Marie Le Pen. Nous devons donc continuer et amplifier notre combat afin que ce « demain » soit celui que nous espérons. Nous n’avons plus vraiment le temps de faire les fines bouches. Chaque année, des pans entiers de nos industries sont bradés aux multinationales apatrides. Chaque année, des centaines de milliers de migrants viennent s’agglutiner sur notre continent, victimes qu’ils sont de l’illusion d’un avenir meilleur auquel ils n’accéderont jamais. Ainsi est le monde que veulent nous imposer les mondialistes, qu’ils soient libéraux ou sociaux-démocrates...

    Le combat que nous menons est un combat vital pour nos peuples européens. C’est un combat que nous n’avons pas le droit de perdre. Ce n’est certainement pas au moment où l’Europe se montre de plus en plus réceptive à nos idées que nous allons renoncer à nous battre. Voilà pourquoi nous vous fixons à tous rendez-vous le 13 octobre prochain à la treizième journée de Synthèse nationale à Rungis afin de préparer ensemble les nouvelles offensives qui nous mèneront à la victoire finale.    

    Editorial du n°51 de Synthèse nationale qui sortira en début de semaine prochaine.    

    2017 12 01 PUB SITE 1.jpg
  • Une information très peu médiatisée : Les excellents scores du RN dans les départements d’outre-mer

    Une information très peu médiatisée :  Les excellents scores du RN dans les départements d’outre-mer

    Très surprenant pour un parti xénophobe et raciste. C’est peut-être pour cela que les médias n’en parlent pas. Le RN est en tête dans huit des onze territoires ultramarins et obtient son meilleur score au niveau national à Mayotte (45%) :

    Ainsi, dans les deux départements français des Antilles, le score du Rassemblement national a été multiplié par trois depuis les européennes de 2014, passant de 5 à 16 % des voix en Martinique, et de 8,7 à 23,7 % en Guadeloupe, un score quasi identique à celui de la France métropolitaine. Mais poursuivons notre croisière électorale juqu’en Guyane : Jordan Bardella y obtient un score de 27,5 % des voix. Quittons les rives américaines de l’Atlantique pour nous transporter à 12.000 km, dans l’océan Indien : à La Réunion, le RN dépasse les 30 % et à Mayotte, où la population est principalement issue d’ethnies africaines et malgaches et où 95 % des citoyens sont de tradition musulmane, Bardella obtient 45 % des voix, contre à peine 5 % il y a cinq ans.

    https://www.lesalonbeige.fr/une-information-tres-peu-mediatisee-les-excellents-scores-du-rn-dans-les-departements-doutre-mer/

  • Pour Steve Bannon, le projet d’intégration européenne est mort

    28/05/2019 – EUROPE (NOVOpress)
    Steve Bannon dresse le bilan des élections européennes, et estime que la donne en Europe a changé après la défaite de la liste Renaissance, parlant d’humiliation d’Emmanuel Macron.

    Il voit en Marine Le Pen une stratège qui pourra monter avec ses alliés politique européens un supergroupe ayant une masse critique suffisante pour réorienter l’UE.

    https://fr.novopress.info/

  • Pédophilie, viol et séduction: Damien Viguier à Annecy ce 1er juin

    À l’occasion de la sortie des Leçons de droit n°5, l'équipe E&R Annecy recevra Damien Viguier pour la dernière conférence d'un cycle de conférence-débat-dédicace exceptionnel autour du sujet : « Pédophilie, viol et séduction ».

    La conférence aura lieu à Annecy le samedi 1er juin 2019 de 15h à 18h

    Réservation obligatoire : conf.hautesavoie@yahoo.fr

    Entrée : 7 € (ou 10 CHF)

    Conf_Viguier_-_Pedophilie_-_2019_BAT2-d706d.png

    2017 12 01 PUB SITE 1.jpg
  • Peine de mort : les djihadistes français face à leur destin

    16275643438_977e2246e4_b-845x475.jpg

    L’heure des comptes a sonné. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que face à la Justice irakienne, qui n’est apparemment pas aussi conciliante que la Justice française, ils ont perdu de leur superbe. Fini, le temps où ils paradaient armés de kalachnikov ou de lances-roquettes RPG-7, perchés sur les véhicules de Daech. Terminés, les communiqués guerriers et triomphateurs, lancés depuis les radios ou les télévisions islamistes financées par le terrorisme. Oubliés, les messages de haine appelant à tuer les « mécréants » occidentaux où qu’ils se trouvent, tout en fomentant, depuis des lieux reculés du désert irakien ou syrien, des attentats contre la France et ses alliés.

    Mais n’oublions pas, au moment où ces « combattants » sont face à leurs juges, les centaines de morts et les milliers de blessés qui sont tombés sous leurs balles ou ont été déchiquetés par leurs explosifs alors qu’ils prétendaient agir au nom de leur religion. Nombreux sont ces Français d’origine à être partis avec femmes et enfants pour le djihad. Plusieurs centaines ont ainsi rejoint l’armée de l’État islamique et ont prêté allégeance à ses chefs. Plusieurs dizaines ont servi dans des unités combattantes et ont ainsi contribué à la mort de milliers de civils sans le moindre état d’âme en usant parfois d’une cruauté extrême. Application stricte de la charia dans les villes qu’ils occupaient, sanctions corporelles pouvant comprendre des mutilations, exécutions sommaires, partout où ils sont passés, ils ont semé la mort et la désolation.

    Mais aujourd’hui, la roue a tourné. La coalition conduite par les États-Unis à laquelle la France et d’autres pays occidentaux ont participé a gagné la guerre. Le temps de la justice est donc venu, ainsi que celui de rendre des comptes.

    Parmi les « combattants » de l’États islamique arrêtés et emprisonnés figurent un certain nombre de ceux qui furent nos compatriotes. Pour quelques-uns d’entre eux, ils viennent de passer devant les tribunaux irakiens et la rigueur ne s’est pas fait attendre. Quatre condamnations à mort ont été prononcées. D’autres pourraient subir le même sort dans les jours et les semaines qui viennent. Tous ont ce même profil d’avoir quitté la France pour rejoindre, selon différents itinéraires, les zones de combat situées en Irak et en Syrie. Tous ont porté les armes contre la France et ont encouragé explicitement ou implicitement à la commission d’attentats sur notre sol.

    Pourtant, ils sont maintenant plusieurs, malgré des éléments à charge irréfutables, à chercher à minimiser leur participation à ces massacres. Subitement, ils regrettent tous leurs gestes et demandent pardon à la Terre entière. Nous sommes bien loin des « héros » vêtus de noir qui cherchaient à imposer leur vision de l’islam.

    Alors, bien sûr, au nom d’une humanité purement occidentale et protectrice des droits de l’homme, il se trouvera sans doute des âmes charitables pour défendre ces individus, traîtres à leur pays et tueurs impitoyables. À chacune et à chacun, en son âme et conscience, de se forger son opinion. Mais soyons clairs, il ne s’agit pas de crier vengeance mais bien de laisser passer la justice.

    C’est en toute responsabilité et au nom de convictions sciemment revendiquées que ces individus ont pris les armes.

    C’est au nom de ces mêmes convictions qu’ils ont participé à la destruction des pays qui, aujourd’hui, les jugent.

    C’est donc bien dans ces pays qu’ils doivent être éventuellement condamnés. Alors que ceux qui n’ont pas tremblé en prononçant la peine de mort, souvent aveuglément, contre des hommes, des femmes et des enfants assument maintenant pleinement les conséquences de leurs actes. Fût-ce au prix de leur vie.

    Olivier Damien

    https://www.bvoltaire.fr/peine-de-mort-les-dihadistes-francais-face-a-leur-destin/

  • L’immigration, une fatalité et une nécessité ? Un énorme mensonge !

    france-immigration-peuplement-588x330.jpg

    Par Julien Dir, contributeur pour Breizh-Info ♦ À longueur du débat sur l’immigration, on entend les partisans d’un laxisme généralisé à nos frontières (qu’elles soient européennes ou françaises) dire qu’il serait impossible de contrôler l’immigration, que « de toute façon, vous ne pourrez jamais empêcher les gens qui veulent venir en Europe d’y accéder, par tous les moyens ».
    Ces phrases sont énoncées comme des prophéties divines presque, auxquelles il serait impossible de répondre. Pourtant, ce sont des mensonges, car ce que ne vous disent pas ces gens qui vous expliquent à longueur de journée que l’immigration serait à la fois un besoin et une fatalité, c’est que des solutions, concrètes, existent, pour stopper totalement l’immigration et dissuader les immigrés du monde entier de venir en France (et même pour inciter ceux qui sont déjà en Europe à repartir).

    Refouler systématiquement les bateaux de migrants

    Les armées européennes alliées à Frontex ont les effectifs (plutôt que de mettre des soldats avec des armes approvisionnées, mais non armées pour faire Vigipirate) pour patrouiller — cela demande une volonté globale en Europe — en Méditerranée notamment, pour éliminer physiquement les passeurs (qui se soucie que l’on élimine des djihadistes au Mali ? Des islamistes en Syrie ? Pourquoi pas des pirates en Méditerranée ?), repousser les bateaux qui approchent de nos côtes, liquider les esclavagistes en Libye. Tout est une question de volonté politique.

    L’Australie a considérablement freiné les tentatives pour accoster son île. La Hongrie y est parvenue — par la terre cette fois-ci, avec des moyens limités. L’Europe en serait incapable ? Ben voyons…

    Faire pression économique sur les pays de départ

    Vous vous rappelez des embargos contre l’Irak, contre l’Iran ? Vous vous rappelez des pays ostracisés dans le monde ? Pourquoi l’Europe, au nom de la protection et de la sécurité de ses frontières et de sa civilisation, ne pourrait pas faire de même ? Réclamer aux États africains qu’ils agissent, à la fois sur la démographie de leurs nations (pour la freiner) et qu’ils prennent les mesures (cela ne nous regarde pas de savoir lesquelles) pour empêcher l’émigration.

    Vous ne faites rien pour empêcher vos ressortissants de partir ? Arrêt de l’aide au développement, ce résidu post-colonialiste consistant à donner de l’argent, notre argent, à toute la planète, sans demander le moindre compte.

    Vous ne faites toujours rien pour empêcher vos ressortissants de partir ? Gel des comptes bancaires que les dirigeants de ces pays possèdent en Europe. Interdiction pour eux de venir se soigner dans nos hôpitaux. Fin des passeports diplomatiques, fermeture des ambassades.

    Cela va bien entendu de pair avec l’interdiction, pour les entreprises européennes, de se lancer à la conquête de marchés dans les pays dont les ressortissants veulent immigrer chez nous, pendant une période définie. Il n’y a aucune raison réciproquement à toutes ces mesures, que les Européens se fassent de l’argent sur le dos des Africains ou des Asiatiques…

    Ne dites pas que c’est impossible, d’autres l’ont fait avant l’Europe, et d’autres le feront encore après. La volonté politique qu’on vous dit !

    Expulser automatiquement les clandestins présents sur le territoire, rompre les traités qui nous empêchent d’agir

    Un traité international, une convention, cela se signe. Cela s’efface également. La volonté politique, encore et toujours. Des avocats et des associations obtiennent que des « mineurs isolés » soient maintenus sur notre territoire ? Y compris quand ils commettent des actes de délinquance ? Fin des traités qui les protègent. Les compagnies aériennes ne veulent pas mettre à disposition leurs avions pour des expulsions massives ? Amendes pour entrave à la justice. Suppression d’appels d’offres. Sanctions économiques.

    Des individus ayant obtenu la nationalité française très récemment commettent des actes répréhensibles par nos lois ? Expulsion immédiate et sans discuter dans le pays d’origine.

    Pas besoin de supprimer l’AME et les aides si plus d’immigration

    La suppression de l’AME, l’Aide médicale d’État, et la suppression des allocations familiales, voici deux arguments bien hypocrites sortis par des responsables politiques qui ont la trouille d’aller plus loin dans leurs déclarations sur l’immigration. Pourtant, supprimer l’AME à l’heure actuelle reviendrait à exposer notre population à des maladies que nous avions chassées de notre continent. Ne pas soigner, y compris s’ils n’ont pas d’argent, les malades sur son territoire, c’est se tirer une balle dans le pied.

    Par contre, s’il n’y a plus d’immigration, et si les immigrés qui sont ici ne peuvent plus automatiquement bénéficier d’aides sociales et n’ont pas le droit de travailler, alors par définition, ils ne viendront plus. Fin du problème.

    L’immigration n’est pas une nécessité

    Notre continent vieillit. C’est cyclique, tout simplement. Là encore, ce n’est pas une fatalité. Et les politiques familiales incitant à faire des enfants si besoin est, cela existe aussi. Salaire parental, ouverture de crèches, d’écoles dans la ruralité. Mise en valeur de la famille (il est vrai que dans une société où le mot famille traditionnelle est en passe de devenir une injure, il y a du boulot), et, éventuellement, investissement dans la robotisation, pour éviter à tout le monde de devoir effectuer des tâches pénibles. La fameuse arnaque de « les immigrés font les travaux dont les Français ne veulent pas » doit être balayée. Les Français ne veulent pas bosser à nettoyer les toilettes de ceux qui s’en mettent plein les poches, pour 1 000 euros par mois. Ils ont raison. Ils exigent de la dignité, y compris salariale. Et si un robot pouvait empêcher, à la fois aux Français comme aux autres d’ailleurs, de faire des tâches ingrates, nos sociétés ne s’en porteraient que mieux.

    On voit encore une fois tout le paradoxe à ce que des gens qui se proclament de gauche, humanistes, et tout le tralala, trouvent fantastique que des immigrés fassent la plonge à mi-temps, nettoient les toilettes des aéroports et des gares, ou emballent du poulet halal n’ayant jamais vu le jour dans une usine tenue par un patron suspect. Le tout pour, cerise sur le gâteau, un salaire de misère permettant de se concentrer avec sa famille dans un logement pourri d’une grande agglomération.

    Le vrai humanisme, c’est de respecter chaque individu, chaque peuple, chaque ethnie, chaque civilisation. De permettre à chacun d’avoir un avenir sur SA terre. Nos pays ne sont pas des hôtels. Nous ne sommes pas interchangeables. Nous ne pouvons pas vouloir sauver la planète du réchauffement climatique, protéger les espèces animales en voie de disparition, et dans le même temps vouloir un grand brassage, un grand mélange de peuples qui par ailleurs, se font la guerre dès qu’on les force à vivre ensemble.

    Pas de dictature, du bon sens, de la volonté politique… et pas d’immigration

    Ce sont des mesures, toutes simples à mettre en place, qui ne chambouleront nullement le quotidien de notre peuple. Qui ne feront pas « basculer dans la dictature » comme hurleront quelques responsables associatifs épaulés médiatiquement à qui la France ou l’Europe peut proposer d’obtenir, moyennant accord avec les pays tiers, la résidence dans un des pays d’origine de ceux qu’ils s’acharnent à défendre au quotidien, bien plus que leur propre population, et parfois que leurs propres enfants.

    L’immigration n’est pas une fatalité. Les Africains et les Asiatiques ne sont pas de grands enfants que nous devrions prendre par la main, mais des peuples qui doivent apprendre à réguler leur démographie, à développer, s’ils le souhaitent, leur économie, et à vivre selon les préceptes de leurs civilisations. Les immigrationnistes se comportent d’ailleurs très souvent comme des néo-colonialistes, mais il est vrai qu’en matière de colonialisme, la gauche a de l’expérience.

    L’immigration, une fatalité et une nécessité ? Non. Nous n’avons pas besoin d’immigrés. Pas de quotas, rien. Et nous pouvons empêcher ceux qui ne sont pas invités à venir chez nous d’y rentrer. Mesures économiques, mesures militaires, mesures sociales.

    Ce n’est pas compliqué, c’est au contraire très simple… basique. Tout est question de volonté et de courage politique !

    Julien Dir 25/05/2019

    Source : Breizh-Info

    https://www.polemia.com/immigration-fatalite-necessite-enorme-mensonge/

  • Quand des élus LR préfèrent voter Front de gauche plutôt que RN

    Quand des élus LR préfèrent voter Front de gauche plutôt que RN

    Et après, ils s’étonnent d’être jugés incohérents et non crédibles par les électeurs. Cela se passe au conseil municipal de Nîmes pour désigner un élu pour siéger à Nîmes Métropole. Les élus LR ont préféré voter pour le Front de gauche pour éviter que ce soit un élu RN :

    Depuis que le LR Anthony Chaze s’est retrouvé dans l’impossibilité de siéger à l’Agglo, du fait de son recrutement dans l’une des communes de Nîmes métropole, l’un des 104 sièges étaient vacants. La Ville a pensé un temps qu’il n’était pas nécessaire de renvoyer quelqu’un, le préfet a finalement donné une autre interprétation.

    Les LR étant déjà au complet à l’Agglo, les conseillers municipaux nîmois ont eu à choisir entre trois candidats. L’UDI Nathalie Bousquet, la FG Janie Arnéguy et le RN Olivier Rolland.

    Alors que le chef du groupe LR Julien Plantier donnait (publiquement) une consigne de vote blanc à son groupe, une grande partie de ses membres faisaient un autre choix, votant pour la FG Janie Arnéguy (17 voix), tandis que Nathalie Bousquet ne récupérait que les voix de son groupe, les centristes (9 voix) de même que le RN (7 voix).

    https://www.lesalonbeige.fr/quand-des-elus-lr-preferent-voter-front-de-gauche-plutot-que-rn/