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  • Populisme et christianisme

    Populisme et christianisme

    A la suite du dictionnaire du conservatisme, Olivier Dard, Christophe Boutin et Frédéric Rouvillois viennent de publier un Dictionnaire des populismes. De Donald Trump à Vladmiri Poutine, en passant par Mateeo Salvini, Viktor Orban, Jean-Marie Le Pen ou Jair Bolsonaro, le populisme ringardise les vieux appareils politiques. Mais qu’est-ce que le populisme ? D’où vient-il ? Quels sont ses théoriciens ? Que signifie la vague planétaire qui l’incarne ? D’abstention à Zola, 260 notices et entrées rédigés par une centaine de contributeurs internationaux font de ce dictionnaire est la somme qui manquait sur la question.

    Depuis un demi-siècle, les auteurs butent sur une définition. Sans doute parce que la réalité renvoie moins à un populisme qu’à des populismes. D’où le choix assumé du pluriel pour rendre compte de la richesse, de l’épaisseur et de la diversité du phénomène : un choix qui explique aussi bien le titre de ce livre que sa forme de dictionnaire.

    La notice sur christianismes (au pluriel) alterne entre récupération de la religion chrétienne comme marqueur culturel face à l’islam et affinités entre populisme et christianisme :

    Le populisme restaure d’une manière modernisée une symbolique sacrale du pouvoir qui avait été évidée, pour reprendre une formule de Claude Lefort, par la dynamique du libéralisme politique. La conception d’un Etat neutre qui n’aurait pour fonction que d’arbitrer les conflits résultant de l’exercice de la liberté individuelle, se trouve disqualifiée par l’identification populiste faite entre l’Etat et un peuple singularisé par son héritage culturel, religieux et éventuellement ethnique propre. Cette substitution du corps du peuple aux procédures judiciaires et légales-rationnelles, garantes des droits individuels, renoue avec la construction symbolique de la monarchie sacrée. De manière analogue à la distinction entre les deux corps du roi décrite par Ernst Kantorowicz, la réthorique populiste rappelle que les titulaires du pouvoir ne sont légitimes qu’en tant qu’incarnation passagère de l’identité du peuple, ce corps immortel que l’histoire ne peut altérer.

    https://www.lesalonbeige.fr/populisme-et-christianisme/

  • JEUDI 21 NOVEMBRE, SUR RADIO LIBERTÉS, ARNAUD RAFFARD DE BRIENNE NOUS PARLERA DE GRETA OU L'EFFROYABLE IMPOSTURE

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    LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

    N° DE SYNTHÈSE NATIONALE AVEC L'ARTICLE

    D'ARNAUD RAFFARD DE BRIENNE CLIQUEZ LÀ

  • Ça va péter ! Alors, on fait quoi ?

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    Faire simple

    Ça va péter ! Tout le monde le dit. Quand ? That is the question… Mais c’est sûr… Alors, il serait peut-être temps de faire quelque chose, Monsieur le Président.

    Vous mettez en pratique un triptyque de l’ancien monde : communiquer, légiférer, manœuvrer.

    Face à cette chienlit généralisée il faut gouverner, simplement, avec efficacité.

    Qu’est-ce que gouverner ? Il faut revenir aux fondamentaux.

    Staline et Bodin sont d’accord sur un point. Ce sont les hommes qui constituent le capital sur lequel il faut miser et s’appuyer. Le premier : « De tous les capitaux, le plus précieux, ce sont les hommes. » Le second : « Il n’est de richesses que d’hommes. ». Pareil recoupement mérite qu’on s’y arrête et qu’on en tire des enseignements, sachant que l’un et l’autre ont été de redoutables gouvernants !

    Nous avons besoin d’un État qui gouverne les hommes.

    D’accord, mais comment ?

    Toujours simple : bien commun et principe de subsidiarité.

    Paul-François Schira, dont le livre La Demeure des hommes n’a pas eu le succès qu’il mérite, conclut très bien son analyse sous-titrée Pour une politique de l’enracinement par ce qui pourrait être un excellent programme politique du bien commun :

    – Assumer le commun.

    – Habiter le commun.

    – S’ouvrir au commun.

    – Servir le commun.

    Il y en a assez de ces programmes politiques en je ne sais combien de points, ressemblant à des catalogues de La Redoute, tous plus idéologisés les uns que les autres.

    Nous sortons du siècle des idéologies avec son cortège de millions de morts. Ne l’oublions pas. Le pire siècle de l’Histoire. On n’avait jamais atteint un tel niveau de barbarie. Nous avons besoin de pragmatisme. Assez de systèmes. Assez de constructions intellectuelles. Servir le bien commun au sens classique et chrétien.

    Le principe de subsidiarité, ensuite. Il a été défini par le cardinal Ratzinger : « Donner la responsabilité de ce qui peut être fait au plus petit niveau d’autorité compétent pour résoudre le problème. » Ce qui revient, finalement, à reprendre à notre compte la formule de Georges Pompidou « Arrêtez d’emmerder les Français ! » en l’étendant à tous les problèmes sociétaux.

    Du pragmatisme et du gouvernement des hommes ! C’est tout !

    Nous avons besoin d’un président de la République qui aurait un programme simple. Faire travailler les meilleurs à leurs places au service du bien commun. Assumer le commun, l’habiter de manière active, s’y ouvrir en permanence, en tout et partout et le servir afin que les citoyens se retrouvent dans un État dans lequel ils puissent retrouver la confiance ! Limiter les lois nouvelles de manière temporaire au domaine du régalien ; faire une pause !

    Un président de la République se fixant pour seule ambition de restaurer le lien entre l’État et les citoyens, d’assurer la paix intérieure et extérieure et de faire régner la justice. C’est la priorité !

    C’est sans doute le seul moyen d’éviter que la chienlit ne se transforme en une bombe à fragmentations qui provoquerait une véritable explosion sociale, lourde, très lourde de conséquences.

    Le blog de Bernard Hawadier

    Bernard Hawadier

    https://www.bvoltaire.fr/ca-va-peter-alors-on-fait-quoi/

  • Royalistes : Formation et militantisme : Le Mans, Lyon, Nantes...

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/18/formation-et-militantisme-nantes-6190820.html#more

  • Génération identitaire a organisé une marche contre les islamistes à Paris

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    Le mouvement Génération identitaire a tenu, ce 17 novembre, une marche à Paris contre les islamistes, en réaction, en particulier, à l’attentat de la préfecture de Paris d’octobre. Des slogans appelant à la «remigration» s’y sont fait entendre.

    «Nous voulons la remigration. Pas d’islamistes, pas d’attentat», scandaient, entre autres slogans, les manifestants, selon le reporter de RT France présent sur place.

    Certains manifestants arboraient des portraits d’auteurs d’attentats islamistes en France, comme celui du terroriste responsable de l’attaque sanglante de l’Hyper casher à la Porte de Vincennes à Paris en janvier 2015, Amedy Coulibaly.

    L’organisation identitaire, hostile à l’immigration et à l’«islamisation» de Europe, avait appelé à manifester contre l’«islamisme», en faisant référence en particulier à l’attaque du 3 octobre à la préfecture de police de Paris, perpétrée par Mickaël Harpon, un employé de l’administration converti à l’islam. «Harpon était habilité secret défense alors qu’il fréquentait des imams salafistes fichés par la DGSI. Un islamiste était donc infiltré au plus haut niveau de l’Etat, du jamais-vu dans toute notre Histoire», pouvait-on lire dans l’appel à manifester sur Facebook. De fait, selon un rapport interne de la Direction du renseignement de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP), Mickaël Harpon était habilité secret défense. Il avait fréquenté, à Gonesse (95) où il vivait, un imam fiché S, selon des sources proches de l’enquête citées par l’AFP.

    Génération identitaire, néanmoins, ne fait pas que dénoncer l’islamisme et le terrorisme islamiste : prenant la parole devant les manifestants, la porte-parole du mouvement Anaïs Lignier a accusé sans ambages «une grande partie des musulmans» vivant en France, de souhaiter faire «appliquer la charia, les lois islamiques en France» afin «que celles-ci prennent le dessus sur nos propres lois».

    Interrogée par RT France sur la marche contre l’islamophobie organisée la semaine précédente, la porte-parole a déclaré que la manifestation de ce 17 novembre se voulait aussi en être une «réponse», même si il n’y a pas de «lien direct» entre ces deux appels au rassemblement.

    «Quand on compare l’islamophobie qui n’a fait aucun mort en France […] en comparaison de 250 morts [du terrorisme islamiste] en quelques années, évidement qu’on répond à cela et qu’il faut être aussi dans la rue», a-t-elle déclaré.

    Pour lire la suite, c’est ici !

    https://fr.novopress.info/216036/generation-identitaire-a-organise-une-marche-contre-les-islamistes-a-paris/

  • Les cocus de l’antiracisme

    Les cocus de l’antiracisme

    Effet boomerang chez les professionnels de l’antiracisme :

    Voilà que les idéologues de l’antiracisme « première génération » expriment de plus en plus souvent leur indignation et leur amertume en découvrant le racisme de « deuxième génération ».

    On a pu ainsi, ces derniers jours, voir et entendre sur plusieurs chaînes l’avocat Alain Jacubowicz, ancien président de la LICRA, déclarer : « Oui, nous avons fait des erreurs ! », évoquant le fait que l’antiracisme d’origine était fondé sur un a priori de défense de minorités (« les juifs », « les noirs », « les arabes », « les musulmans ») et que le méchant était « toujours le blanc », « de droite » et « souvent nanti ».

    Ainsi, il n’y a pas longtemps que Jacubowicz a découvert la réalité du racisme antiblanc de l’islamo-gauchisme d’Houria Bouteldja et de ses « indigènes de la République » : avec à peine dix ans de retard sur l’AGRIF ! 

    Et comme si, d’ailleurs, le fait d’avoir érigé en principe que « le blanc » était le méchant, n’avait pas relevé d’un parfait a priori raciste. Votre racisme en vérité, Me Jacubowicz !

    Mais quelle belle preuve, aussi, de votre ignorance de l’idéologie islamique.

    Si vous aviez, au long de votre carrière, un tant soit peu pris la peine de parcourir le Coran et les Hadîths, vous en auriez trouvé, de l’appel à la haine contre les juifs et contre les « polythéistes » (les chrétiens). Et que n’avez-vous lu au moins sur cela quelques ouvrages de votre excellente coreligionnaire Bat Ye’Or !

    Ce communautarisme n’est en réalité objectivement qu’un principe d’apartheid comme cela a toujours été pratiqué dans l’islam. L’islam n’a d’ailleurs pas le monopole de cela ! Et pour ce qui est du christianisme, s’il a pu en être jadis ainsi, ce ne put jamais être fondé ni sur la lettre ni sur l’esprit de l‘Évangile.

    Pour ce qui est du combat contre le racisme antiblanc modèle Bouteldja, je conçois que vous soyez furieux de vous être somme toute fait idéologiquement cocufier par dame Bouteldja et sa clique.

    Mais voilà que vous en venez aussi à l’heureuse formulation qu’il y a des racistes partout, dans tous les peuples et sur tout l’échiquier politique.

    Et pour ce qui est du racisme antiblanc, voilà que vous vous retrouvez désormais en accord avec votre remarquable confrère, notre cher Gilles-William Goldnadel qui, lui, l’a depuis longtemps analysé et dénoncé. Il se trouve aussi que, par un hasard de « zappinge », je suis tombé la semaine dernière sur un excellent documentaire passant sur la chaîne Histoire : « Heureux comme un juif en France ».

    Qu’il était émouvant aussi, ce bon juif, aussi franc qu’islamiquement inculte, avouant ingénument que, militant antiraciste et immigrationniste, il avait pendant des années œuvré pour faire entrer en France le plus possible d’immigrés, notamment musulmans. Mais voilà que maintenant, il s’en mord les doigts. Il a certes le courage de l’avouer.

    Et pour ce qui est de nous, à l’AGRIF, nous efforçant, ô certes pas toujours très facilement, à être dans la conformité avec notre modèle évangélique, nous sommes très satisfaits de voir arriver des « ouvriers de la onzième heure » du combat contre l’authentique racisme des néo-antiracistes !

    Puissent-ils du moins ne pas nous reprocher d’avoir eu raison avant eux puisque nous n’en tirons aucun mauvais orgueil.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-cocus-de-lantiracisme/

  • "De l'Islam au Christ " témoignage du Père Paul-Elie Cheknoun le 30 novembre à Bruxelles

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    Le père Paul-Elie Cheknoun est prêtre de la Fraternité Missionnaire Jean-Paul II du Diocèse de Fréjus-Toulon.
    Algérien, musulman devenu prêtre missionnaire. Il a à cœur, depuis sa rencontre avec Jésus il y a 20 ans, de L'annoncer aux musulmans et de leur dire que Dieu le Père les a tant aimé qu’il a donné ce qu’il a de plus précieux, sa propre chair, Jésus son fils unique, pour les sauver eux aussi, car Jésus a donné sa vie pour tous les hommes, y compris les musulmans.
    L'église Sainte-Catherine est sur la place du même nom à Bruxelles. Elle est accessible en métro - station Sainte-Catherine.

    Plus d'info ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Place d’Italie : un spectacle remarquablement organisé !

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    J’étais pourtant ému aux larmes en regardant à la télé le triste spectacle de cette France qui se déchire tant.

    Et puis, j’ai réfléchi un peu… ça devenait vraiment trop « énorme ». La place d’Italie, un endroit où on peut facilement « confiner » et un endroit où il y a tellement de chantiers et tellement de matos pour des émeutes.

    Et puis, ils sont arrivés, cette meute des « casseurs » parfaitement connue et ils ont commencé à jouer leur rôle à la perfection.

    De beaux efforts pour lancer des pavés, construire des barricades de fortune, bousiller à coups de pied rageurs. Un beau spectacle avec charges, contre charges, lacrymos à l’envi… Et ces badauds qui filmaient tranquillement la scène.

    Le pompon, cela a été l’incendie de cette bagnole de la mairie de Paris. Elle en a mis, du temps, à cramer, sans même exploser. Des pompiers sont venus et n’ont réussi qu’à propager le feu aux deux véhicules garés derrière. On a même vu un flux de flammes se déverser dans le caniveau. Du grand n’importe quoi.

    L’autre pompon de la journée, ce fut ce reportage moto digne des meilleurs moments du Tour de France avec reporter commentant en direct les interventions des « BRAVE » ! Un magnifique cortège.

    Et puis, il a fallu signifier la fin du jeu. Le préfet de police est intervenu à la télé pour expliquer, avec un ravissement non simulé, que les gilets jaunes et les casseurs étaient tombés dans le piège. Désormais encerclés sur la place, ils allaient tous être interpellés et on allait voir ce qu’on allait voir.

    Puis vint 18 heures, l’heure idéale pour tomber le rideau et sonner la fin du spectacle. La place est nettoyée dare-dare ; d’ailleurs, le préfet a déclaré que les dégâts étaient insignifiants, même s’ils étaient spectaculaires…

    Sur les plateaux de télé, on met en place les débats avec « tous les spécialistes », le timing est parfait. Il ne manquait que le rappel des acteurs, on y a eu droit aux Halles ! Une resucée de violence avec les mêmes !

    Ces pauvres gilets jaunes ont été privés de leur manif. Une manif de plus pour exprimer le désespoir d’un peuple dont les représentants se font engueuler, comme cette pauvre Bretonne sur un plateau de télé ce soir.

    Patrick Robert

    https://www.bvoltaire.fr/place-ditalie-un-spectacle-remarquablement-organise/