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  • La natalité, grande absente du débat sur la réforme des retraites

    Depuis plusieurs semaines la France se déchire au sujet de la réforme des retraites proposée par le gouvernement Macron. Cette réforme, qui mêle fin des régimes spéciaux et allongement de la durée de cotisation – via un « âge d’équilibre », terme technocratique qui correspond à un allongement de la durée de travail, est largement rejetée par une majorité de Français après plusieurs semaines de grève.

    Si la fin des régimes spéciaux peut faire naître un sentiment d’équité chez une majorité de Français qui travaillent dans le privé, l’allongement de la durée de cotisation lui, ne passe pas auprès de l’opinion qui a bien compris que le gouvernement se servait des régimes spéciaux pour passer en force sur l’âge de départ à la retraite.

    La relance de la natalité, une réponse au vieillissement de la population

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  • Mes comptes Facebook supprimés

    Mon compte facebook Patrice Plard a été supprimé parce que je partageais des articles de Génération identitaire, le deuxième que j'ai crée pat plard lui n'a pas tenu 24 h mais sans aucune précision. Partagez au maximum les articles de ce blogue ! Merci

  • Macron Dégage !

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    Bernard Plouvier

    Non seulement cet arriviste prétentieux n’a strictement rien fait d’autre depuis deux ans que de mettre en furie la fraction la plus pauvre et la moins réfléchie de notre malheureuse nation.

    Mais en plus, les videos de la nuit du 31 décembre 2019 au 1er janvier 2020 montrent  des scènes de guerre civile, de chaos à Toulouse, Strasbourg, Limoges et dans bien d’autres villes. Nantes est devenue une métropole du crime. L’administration de Macron, c’est la honte pour notre pays ! Alors que ce jeune prétentieux dégage !

    Il est indispensable que notre nation reprenne en mains ses destinées : on chasse les pourris, on réexpédie chez eux les immigrés extra-européens qui sont en situation de parasites, de criminels ou de délinquants récidivistes, et on se remet au travail.

    On reconstruit notre France, en limitant la mixité raciale, en refusant le remplacement de population dominante, en appliquant dans toute sa sévérité la Loi de séparation des cultes et de l’État, ce qui revient à combattre militairement l’islam djihadiste, à la fois meurtrier et conquérant.

    On refait une France où les campagnes ne doivent plus être déshéritées, étant indispensables à notre survie, et pas seulement alimentaire : la vie urbaine n’est supportable que si l’on peut retrouver un contact avec la nature.

    On restaure un enseignement de qualité, où les humanités, les sciences et les techniques soient enseignées et surtout pas les immondices tiers-mondistes et droits-de-lhommesques.

    On réinstaure notre fierté de Français qui furent de brillants colonisateurs pacifiant et modernisant des continents arriérés, au prix de dépenses énormes de la part des contribuables français.

    Et le petit sot prétentieux va se vautrer dans la repentance abjecte et les poncifs les plus éculés de cette gauche ringarde qu’on croyait morte avec l’immonde bête soviétique !

    Macron et sa clique de politiciens plus arrivistes encore que ceux qui entouraient un Sarkozy et beaucoup plus nocifs que la bande de nuls de l’administration Hollande doivent dégager. Sinon, il va falloir les y aider.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La liberté statutaire du Roi pour ordonner l'économique au bien commun.

    Se battre pour une cause n’est pas forcément inutile, au contraire de ce que suggèrent les partisans du désordre établi et les fatalistes de tout acabit, et le royalisme, aujourd’hui marginalisé, mérite ainsi toute l’attention que l’on peut porter à une école de pensée et de pratique politique qui évoque le bien commun plutôt que la carrière de ses amis. Pourquoi ? Parce que, aujourd’hui, la question sociale semble, plus que jamais irrésolue et le pays déchiré autour du souci des retraites et de leur financement nécessaire. Or, s’il n’est pas de sauveur suprême, comme le chantaient jadis les marxistes, il n’y a pas pour autant de fatalité en ce domaine et la justice sociale n’est pas une option facultative mais une obligation, un devoir d’Etat qui, d’ailleurs, participe à fonder une part de sa légitimité.

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  • Fiscalité : l'imposture écologique

    La fiscalité verte rend les Français jaunes de rage. Ils sentent bien que l’écologie n’est qu’un prétexte pour tenter de combler escomptes publics. Sous prétexte de sauver la planète, Macron prend à la gorge une France périphérique au bord de l’asphyxie.

    « Discutons, mais payez d'abord ! » c'est en substance la réponse d'Emmanuel Macron aux Gilets jaunes, pour qui la hausse des taxes sur les carburants a été l'étincelle qui a fait exploser une colère qui ne semble pas près de se calmer. Le Président garde le cap de ses réformes fiscales « écologiques », mais propose une « grande concertation sous trois mois ». Tout au plus ouvre-t-il la piste de taxes ajustables en fonction des cours du brut pour en amortir les effets, un prototype de fausse bonne idée, déjà testée et abandonnée par Jospin entre 2000 et 2002.

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  • Policiers, pilotes, SNCF… Les concessions de l’exécutif sur la réforme des retraites

    Un geste en faveur des policiers, une série de concessions au profit des personnels navigants du transport aérien, des avantages maintenus pour les danseurs de l’Opéra de Paris… Depuis la mi-décembre, le gouvernement a lâché du lest à plusieurs reprises sur sa réforme des retraites pour tenter de faire retomber la contestation qui s’exprime – ou qui couve – parmi plusieurs catégories d’actifs.

    Le Monde

    https://www.tvlibertes.com/actus/policiers-pilotes-sncf-les-concessions-de-lexecutif-sur-la-reforme-des-retraites

  • Emmanuel Macron ou l'illusion du pouvoir

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    Le billet de Patrick Parment

    Gouverner est au 21ème siècle un art d’autant plus difficile que ses conditions d’exercice ont brutalement changé depuis l’apparition de l’informatique dans l’univers de la communication. L’exercice dans notre pays est encore rendu plus difficile par ce goût qu’ont tous nos gouvernants de vouloir tout contrôler et d’avoir au fil du temps, du moins depuis la IIIe République, sophistiquer l’appareil étatique.  La machine s’est largement complexifiée au point de devoir faire appel à des « experts » dans tous les domaines. Preuve aussi que ça ne marche pas toujours non plus. Les maux français sont essentiellement d’ordre politique, administratif et fiscal, c’est-à-dire techniques au point que les « pékins » que nous sommes n’y comprenons plus grand-chose. » Nul n’est censé ignorer la loi » relève du vœu pieux.

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