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Brexit, Etats-Unis… : les erreurs de prévision des économistes
Extrait d’une analyse lue sur Aliter, qui accompagne les investisseurs :
Après une année 2018 difficile, l’année 2019 restera dans les annales comme la plus favorable depuis 2009… +30% pour les actions mondiales (MSCI W EUR), et +6.8% pour les obligations en devise locale, même l’or s’est apprécié de 21% en EUR. Pourtant, la croissance mondiale a été plusieurs fois révisée à la baisse (2.9% en 2019 contre 3.5% anticipés par le FMI), et la croissance des bénéfices des entreprises a été pratiquement nulle en 2019, voire négative (+0.2% aux USA, -5% en Europe).
Alors pourquoi cette hausse des marchés ? Essentiellement du fait que les craintes d’il y a un an – hausse des taux aux Etats-Unis, ralentissement économique de la Chine, conflit commercial entre les Etats Unis et la Chine, élections européennes avec une crainte populiste, conséquences néfastes du « Brexit » – ne se sont pas matérialisées. La surprise la plus importante du point de vue des marchés a été l’activisme des banques centrales et la baisse des taux aux Etats Unis à trois reprises, alors qu’il y a un an deux hausses étaient anticipées. […]
Dans le numéro de La Nef de février, Pierre de Lauzun écrit à propos de l’argent :
c’est justement parce que l’argent joue dans les existences contemporaines un rôle encore plus massif et central qu’autrefois, que les chrétiens, et plus encore les catholiques, doivent s’emparer activement du sujet. Sans inhibition mais sans superficialité, activement et résolument. Pour leur salut comme pour notre avenir commun.
https://www.lesalonbeige.fr/brexit-etats-unis-les-erreurs-de-prevision-des-economistes/
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LES GILETS JAUNES, ACTE 64 : SALE AMBIANCE
Les Reportages de Vincent Lapierre
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Collectif Némésis : « Les féministes de gauche ne pointent pas les persécuteurs de Mila pour des raisons idéologiques »
Le collectif Némésis dénonce l’indignation à géométrie variable des féministes, dans de récentes affaires ayant touché des jeunes femmes victimes de viol (étudiante à Rouen) ou de menaces de mort (Mila) ou, plus récemment, lors du meurtre sordide de Laura.
Quelle est votre position sur l’affaire Mila ?
Nous avons soutenu la jeune Mila dès le début de l’affaire et relayé le hashtag #JeSuisMila, nous considérons que cette jeune fille n’a fait qu’utiliser son droit à la liberté d’expression et qu’il est intolérable qu’en France, elle doive se cacher comme si elle vivait en Afghanistan ou en Égypte. Elle a rejoint la longue liste de supposés blasphémateurs comme Salman Rushdie (victime d’une fatwa de l’ayatollah Khomeini), Taslima Nasreen, plus proche de nous Robert Redeker, les dessinateurs de Charlie Hebdo et tant d’autres qui ont été menacés de mort pour avoir osé critiquer la religion musulmane.
Vous avez pointé la lâcheté des associations féministes. Pourquoi, selon vous ?