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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Valérie Portheret : Deuxième guerre mondiale : "75 % des Juifs vivant en France ont survécu"

    André Bercoff a reçu l’historienne Valérie Portheret, auteure du livre « Vous n’aurez pas les enfants » (aux éditions XO documents).


    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/02/09/sur-sud-radio-avec-andre-bercoff-valerie-portheret-deuxieme-6211313.html

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff : Guillaume Debré : « Trump a compris que les Américains ne se sentent pas représentés par l’establishment »

    André Bercoff a reçu Guillaume Debré Auteur de « Je twitte donc je suis » aux Editions Fayard.


  • Le chemin du droit de l’entreprise : de la perte de la souveraineté de l’Etat à la dictature universelle

    Une récente manifestation médiatique arrive à point nommé pour illustrer la réalité politique de la question juridique de l’entreprise.

    Le droit de l’entreprise est au cœur de la souveraineté des États car il est le lieu privilégié où s’affrontent les forces économiques globalistes menées par les banquiers et les forces politiques légitimistes menées par les États. N’en déplaise aux esprits faux, la traduction de la souveraineté est éminemment juridique, aussi il n’existe pas de souveraineté politique sans souveraineté juridique. Dit autrement, la souveraineté politique passe de façon essentielle par la souveraineté juridique. Derrière tous les faux semblants et les jérémiades des actuels dirigeants économiques, qui contrôlent en réalité l’État français, est un principe général : « Dieu se rit des hommes – et des États – qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. » On ne peut dans le même temps à la fois jouer le jeu globaliste de ses adversaires, tout de droit anglo-saxon vêtu, et déplorer son propre asservissement, c’est-à-dire son impuissance et sa domination !

    Qu’en est-il de la souveraineté juridique française ? Sa disparition est parfaitement illustrée par l’évolution juridique du droit de l’entreprise. De ce point de vue, la France, comme la plupart des pays du monde, a abandonné son pouvoir régalien de régulation au profit de la mise en œuvre réglementaire illimitée du pouvoir de ses créanciers – les banquiers globalistes. Concrètement, la France a abandonné sa capacité a générer une économie politique autonome – comprendre « non contrôlée par les banquiers globalistes » – lorsqu’elle a refusé au Général De Gaulle la mise en œuvre juridique de la souveraineté économique, qui passait par un renouveau du droit de l’entreprise.

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  • La grande imposture du macronisme par Christian Vanneste.

    En 2017, une majorité d’électeurs a cru faire un choix, et sans en prendre conscience, ils en ont fait un autre. Au second tour de l’élection présidentielle, beaucoup de Français ont cru repousser une idéologie dangereuse et un parti incapable de gérer efficacement le pays, cru choisir celui qu’ils imaginaient être le plus compétent

    Venu de la gauche, son parcours, ses priorités, et sa capacité de rassembler des hommes et des femmes de gauche comme de droite, de la société civile, enfin (!), avaient fait naître la grande illusion d’un gouvernement qui allait privilégier le réel et l’intérêt général plutôt que l’idéologie et ses obsessions ou ses fantasmes. De nombreux électeurs de Fillon s’y sont laissés prendre et continuent parfois à baigner dans cette imposture entretenue par des médias complices. Or, rarement un pouvoir, dans notre pays, n’aura été autant pétri d’idéologie.

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  • 1 an de prison pour la patriote Catherine Blein ! Plus que Camus-Tasin réunis !

    Le grand fabuliste qu’était Jean de La Fontaine avait visé juste lorsque dans ses « animaux malades de la peste », il énonçait que « selon que vous serez puissants ou misérables, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir » !

    https://lewebpedagogique.com/annelaureverlynde/files/2014/05/Les-Animaux-malades-de-la-peste-la-fontaine-commentaire.pdf

    Et ce n’est pas, en cette triste époque où la France subit les méfaits grandissants de la « Macronie » que le contraire sera démontré.

    Car en effet, après celui de Christine Tasin, scandaleusement condamnée à 4 mois de prison (avec sursis mais prison quand même !) simplement pour des mots jugés offensants, c’est un ignominieux verdict qui vient d’être rendu contre Catherine Blein, dont le double crime, aux yeux chassieux des indignes gouvernants, est de ne pas s’abreuver exclusivement au « politiquement correct », et d’avoir été élue « conseillère régionale bretonne » sur une liste RN… ce qui en fait automatiquement une paria !

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  • Jusqu’à quand des électeurs de droite joueront les idiots utiles de la gauche ?

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    Que cache la barbe de Philippe ? Que cache celui qui, du temps du quinquennat de Sarkozy, n’avait de cesse de cogner le Président, dès qu’il pouvait venir au journal télévisé du soir ? Sans la barbe, le visage de cet ancien socialiste rocardien, passé chez le sinistre progressiste Juppé, serait le même, non pas celui de la vieille gauche, mais le visage d’une gauche selon le standard international.

    Le Premier ministre Édouard Philippe se présente au Havre. Conséquence : les encartés LR de sa liste sont mis à l’écart du parti – seulement voilà, pour l’instant, il n’y a plus de liste LR au Havre.

    Tout se passe comme si on avait oublié que Macron, le progressiste transgressif, fut placé en 2017 au second tour grâce aux voix des électeurs de gauche ayant abandonné Hamon, leur candidat naturel issu des primaires de la gauche, ou l’archaïque Mélenchon, sénateur socialiste à la retraite. L’électorat de droite, lui, se partageait entre Fillon, Le Pen et Dupont-Aignan.

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  • La volonté de rééduquer l’homme occidental

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    Par Mathieu Bock-Côté

    Dans L’Homme surnuméraire, un roman paru en 2018, Patrice Jean a eu l’intuition géniale de mettre en scène un personnage dont le travail consiste à réécrire les classiques de la littérature pour les rendre compatibles avec les valeurs de notre temps. Mais comme c’est trop souvent le cas, le réel vient de dépasser la fiction. Dans certaines maisons d’édition américaine, la tendance est à l’embauche des « sensitivity readers ». Leur rôle ? Réviser les manuscrits pour y traquer les préjugés raciaux ou les stéréotypes de genre et s’assurer d’une représentation positive de la diversité dans le texte publié, qu’il faudrait délivrer de l’emprise du « patriarcat blanc ». Parfaits commissaires politiques, ils lisent les œuvres à partir d’une grille idéologique et distribuent les bons et mauvais points. La littérature doit s’y soumettre ou se démettre.

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  • Qu’est-ce qui dérange Marine Le Pen ? (suite)

    Qu’est-ce qui dérange Marine Le Pen ? (suite)

    Il n’y a pas qu’à la conférence du conservatisme national que Marine Le Pen semble avoir interdit à ses élus et responsables toute participation de . A part Nicolas Bay, aucune figure du RN n’était présente aux obsèques de Roger Holeindre :

    Entre les travées, se croisent et se saluent l’essayiste Jean-Yves le Gallou, le garde du corps de Marine Le Pen, Thierry Légier, comme l’ancien général de corps d’armée Christian Piquemal. Tandis que se succèdent invocations latines, prières scoutes et chants «para», se recueillent le président du Parti de la France, Carl Lang, le directeur de TV liberté, Martial Bild, comme l’ancien trésorier du FN, Jean-Pierre Reveau«C’est une famille qui se retrouve. C’est touchant de voir autant de monde, lâche l’ancien eurodéputé RN à l’émotion contenue, Bruno Gollnisch. Cette belle cérémonie honore un homme auxquels les honneurs les plus élémentaires que justifiait sa carrière auront toujours été refusés.»

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  • Macron, le début de la fin ?

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    Les signaux d’un décrochage définitif s’accumulent pour Macron. Un peu à la façon d’un François Hollande, Macron se retrouve peu à peu lâché de toutes parts : sondages, opinion publique, partenaires sociaux, et même députés de la majorité. Macron tombe à moins de 25 % d’opinions favorables dans les sondages, comme Hollande après trois ans de présidence. La défiance envers le Président est quasi unanime. Par rapport à son prédécesseur, elle se double d’une haine tenace, féroce.

    Car les Français se persuadent massivement d’une quadruple imposture.

    Ce fameux gouvernement d’experts qu’on nous a vendu n’arrive à rien, se contredit sans cesse, ne parvient pas à maîtriser les conflits sociaux, les oppositions, les grèves, comme tous les autres du « vieux monde » avaient plus ou moins réussi à le faire jusqu’ici : il y a erreur sur la marchandise.

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