
Après avoir régulièrement critiqué l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour sa gestion de la crise mondiale provoquée par le coronavirus, Donald Trump a annoncé le gel de la contribution américaine, qui restera en vigueur jusqu’à la conclusion d’« une étude pour examiner le rôle de l’OMS dans la mauvaise gestion et la dissimulation de la propagation du coronavirus ».
« Si l’OMS avait fait son travail et envoyé des experts médicaux en Chine pour étudier objectivement la situation sur le terrain, l’épidémie aurait pu être contenue à sa source avec très peu de morts ».
https://www.lesalonbeige.fr/donald-trump-suspend-la-contribution-americaine-a-loms/



Vingt-huit minutes. Le discours prononcé par le chef de l’Etat était long. Inversement proportionnel à la densité de son contenu. Dans les dix premières minutes, il a fallu se concentrer pour réussir à tirer la moindre information du laïus. Fidèle à lui-même, Emmanuel Macron a, avec une aisance parfaite, débité du vide. Le temps des discours énergiques du début du quinquennat, comme celui qu’il avait prononcé pour Arnaud Beltrame, semble dater d’une éternité. Ces discours étaient à l’époque écrits par Sylvain Fort, un auteur publié aux éditions Pierre-Guillaume de Roux bien connues de nos lecteurs, et gage d’une certaine qualité de style.

