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Déconfinement, grande pagaille annoncée
La fin du déconfinement approche et c’est la panique à tous les étages dans les ministères.Au ministère de la Santé, la situation semble totalement échapper à son plus haut responsable, le ministre, seulement chargé d’expliquer au bas peuple les bienfaits des mesures prises dans les arcanes de son administration ; ainsi, plutôt que se comporter en homme politique responsable ou en médecin à l’avis autorisé, il se contente d’être le porte-parole d’une administration que, visiblement, il ne contrôle pas.
Après avoir autorisé un fonctionnaire à l’allure macabre à nous débiter, tous les soirs, à l’heure du dîner, la longue litanie des morts quotidiens et des hospitalisations, il eût fallu préciser si ces données reflétaient la totalité des malades hospitalisés ou seulement ceux qui étaient hospitalisés ou décédés suite à une infection par le coronavirus, car sans ces précisions, impossible d’en tirer une conclusion valable sur l’évolution de l’épidémie mais, par contre, l’annonce de ces chiffres faisait naître dans la population un sentiment de peur, voire de panique, permettant de justifier le confinement et d’imposer des mesures qui n’avaient, pour but principal, que d’éviter l’engorgement des services de réanimation des hôpitaux, déjà mis à mal depuis des années par des suppressions de lits, qui n’étaient plus en capacité de recevoir les malades d’une épidémie, qu’elle qu’en soit l’origine d’ailleurs. -
L’UE a accordé une protection à près de 300.000 migrants en 2019
Les 27 États membres de l’Union européenne (UE) ont accordé une protection à 295 800 demandeurs d’asile en 2019, un chiffre en baisse de 6% par rapport à 2018 (316 200). En plus de de ce nombre, les États membres de l’UE ont accueilli plus de 21 200 réfugiés réinstallés. Ces données sur les décisions relatives aux demandes d’asile dans l’UE sont publiées par Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne.
Parmi l’ensemble des personnes ayant obtenu une protection en 2019 dans l’UE, 141 100 se sont vu octroyer le statut de réfugié (48% de toutes les décisions positives), 82 100 une protection subsidiaire (28%) et 72 700 une protection pour raisons humanitaires (25%).
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Banlieues hors-la-loi – La partition en deux de la France officialisée
Nous le savions déjà depuis longtemps : malgré les affirmations du gouvernement selon lesquelles la loi républicaine s’appliquerait partout et de la même manière sur le territoire français, les banlieues ethniques font de toute évidence, et depuis des années, l’objet d’un traitement particulier en ce sens où l’Etat a renoncé à y mettre de l’ordre et a capitulé face aux délinquants et aux islamistes. Une constatation qu’est venue prouver samedi la révélation dans les médias d’une note interne aux forces de l’ordre dans laquelle la direction de la police du Calvados demande ouvertement à ses agents de ne pas intervenir dans les quartiers « à forte concentration de population suivant le ramadan » afin d’éviter que la situation ne dégénère.
Eviter un surcroît des émeutes ethniquesAdressée vendredi dernier, jour du début du ramadan, à l’ensemble des commissaires du département, cette note interne est en effet on ne peut plus claire. Appelant les policiers à « faire preuve de discernement », le chef de la direction départementale de la sécurité publique du Calvados leur demande de ne pas « intervenir dans des quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan, pour relever un tapage, contrôler un regroupement de personnes rassemblées après le coucher du soleil ». La note va même jusqu’à préciser que, « sauf atteinte aux personnes ou atteinte grave aux biens, il faut éviter qu’un manquement aux règles de confinement ne dégénère et provoque un trouble supérieur de violences urbaines » !
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L’union nationale : prochaine arnaque gouvernementale ?
Quand un gouvernement est dépassé par les événements, demeure toujours l’issue de secours de la fameuse « union nationale ». Celui d’Emmanuel Macron ne paraît pas échapper à la règle. Ainsi, note Claude Nicolet, secrétaire national du Mouvement des citoyens fondé par Jean-Pierre Chevènement, à l’occasion d’une tribune publiée dans Marianne, ce 25 avril dernier : « Dans un entretien accordé au Financial Times, Emmanuel Macron est allé jusqu’à dire que nous vivons un “moment de vérité” et que le temps était venu de “penser l’impensable”. Soit le moment d’une véritable “union sacrée” et d’un gouvernement de “salut public”. »
L’hypothèse vient d’être testée, ce lundi 27 avril, à l’occasion d’un sondage IFOP pour La Lettre de L’Expansion. Résultat ? Sept Français sur dix seraient favorables à un tel bouleversement des traditionnel équilibres politiques ; ce qui est à la fois peu et beaucoup. Pour aller dans les détails – là où le diable se niche –, les électeurs de LREM seraient bons derniers (62 %), assez loin derrière ceux de LR (84 %), du PS (76 %), du RN (75 %) et de LFI (62 %).
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Messes ? INTERDITES ! Ramadan ? Tolérance ! : l'ADN du Système...
Avant même que d'être anti-royale, la Révolution française fut anti-chrétienne, et la Révolution se voulut dès le début une Nouvelle Religion Républicaine : à preuve sa décision de dater les évènements de "l'an 1 de la République", pour signifier la fin de l'ère chrétienne, qui datait - elle - les évènements à partir de la naissance du Christ : "Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789..."
Depuis l'instauration de la République idéologique en 1875, le but essentiel et premier du Système fondé sur cette Révolution est de mener au christianisme une guerre sans merci, une guerre d'extermination.
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Quoi qu’il en coûte !
Pieter Kerstens
Lors de son allocution au peuple Français le 12 mars dernier, le docteur Micron avait affirmé à trois reprises qu’il fallait soutenir l’économie française, pour éviter la grande crise, « quoi qu’il en coûte ». C’est donc l’Etat Providence qui se chargera de distribuer des revenus, des aides, des subventions, des dons et des prêts, aux sociétés comme aux personnes physiques, afin de sauver l’économie, victime des erreurs de stratégie et des mauvais choix du pouvoir en place.
Pourtant il faut se souvenir que le Président français avait déclaré le 12 juin 2018 que les services sociaux dans l’Hexagone, « cela coûte un pognon de dingue » alors que les gens restent quand même pauvres. Il fallait selon lui, les responsabiliser davantage.
Et on a pu se rendre compte que les assistants du docteur Micron sont mauvais, qu’ils mentent à longueur de temps à propos des « masques inutiles », des tests de détection pour les malades contaminés, des appareils respiratoires, des mesures de distanciation ou encore des fermetures des lieux de loisirs à ciel ouvert. Les ministres sont de piètres clowns au sein du Coronacircus.
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Déconfinement : le gouvernement à la recherche de l’équilibre (Pierre Bergerault)
Dernière ligne droite avant déconfinement ! Mardi, le premier ministre présentera sa stratégie devant l’Assemblée nationale. L’enjeu est double : relancer l’activité sans relancer l’épidémie. En attendant, il planche sur les derniers arbitrages et passe en revue les principaux secteurs, à commencer par la santé.
En effet, l’épineuse question des masques est sur toutes les lèvres. Y en aura-t-il assez ? En tout cas, leur vente est de nouveau autorisée depuis dimanche dans les pharmacies même si la moitié d’entre elles n’en ont pas ce lundi. Le port du masque devrait être généralisé mais sera-t-il obligatoire dans tous les lieux publics ? Jeudi, l’Elysée affirmait qu’il le serait « probablement » dans les transports en commun. Reste à savoir si les Français sauront se les partager dans la concorde et ainsi éviter les mêmes scènes qu’avec le papier toilette…
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L’ONG Reporters Sans Frontières (RSF) publie son rapport 2020 sur la liberté de la presse. La France occupe la 34e place
OJIM – L’ONG Reporters Sans Frontières (RSF) vient de publier son classement annuel mondial de la liberté de la presse 2020. Il revient sur la situation de cette dernière durant l’année précédente (vous pouvez retrouver notre article sur le rapport de 2019 ici).
Ce classement est “une photographie (subjective, NDR) de la situation de la liberté de la presse, fondée sur une appréciation du pluralisme, de l’indépendance des médias, de la qualité du cadre légal et de la sécurité des journalistes” dans 180 pays du monde.
“UNE DÉCENNIE DÉCISIVE POUR LE JOURNALISME” ET UN IMPACT CERTAIN DU CORONAVIRUS SUR LE CLASSEMENT 2021
Ce rapport commence sur de la prospective pour la nouvelle décennie qui vient de s’ouvrir, considérée comme “décisive pour le journalisme”. Cela est la conséquence des nombreuses crises auxquelles font face les journalistes : “crise géopolitique (agressivité des modèles autoritaires), technologique (absence de garanties démocratiques), démocratique (polarisation, politiques de répression), de confiance (suspicion, voire haine envers les médias d’information) et économique (appauvrissement du journalisme de qualité)”.
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Crise du CORONAVIRUS «Le Socialisme Tue !»