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  • Le gourdin sanitaire, pour masquer les mensonges d’Etat, par Ivan Rioufol

    Partout, la courbe est la même : l’épidémie de Covid-19 est en phase descendante. La “deuxième vague”, prédite par certains, n’est actuellement pas observable. Aucune raison ne s’oppose plus à la levée des derniers interdits imposés par le gouvernement. Les jardins, les cafés, les restaurants, les théâtres, les cinémas doivent rouvrir. Les Français doivent pouvoir se rendre où ils veulent, en se délivrant de cette laisse des 100 km imposée comme une punition. Surtout, les citoyens doivent urgemment s’émanciper de l’emprise étatique qui les a déresponsabilisés, à force d’être traités comme des enfants incapables. Trois-quarts des salariés ont été pris en charge par l’Etat. On en serait presque à remercier à plat ventre le premier ministre de la grande bonté qu’il aurait à ouvrir la cage.

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  • Plan de relance de l'UE : qui paye commande !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    L'annonce faite mercredi par la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen (NDLR : photo ci-dessus) de la mise en oeuvre d'un plan de relance communautaire destiné à mutualiser les dettes engagées par les pays membres pour faire face aux conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire du COVID-19, plan de 750 milliards d'euros, soit 250 de plus que ce que proposaient Macron et Merkel la semaine dernière, constitue un pas de plus sur la voie du fédéralisme et de l'effacement des Nations au profit de la technostructure mondialisée  bruxelloise.
    C'est une très mauvaise nouvelle pour les peuples européens et en particulier pour la France.
    D'abord parceque ces sommes vertigineuses empruntées directement par l'UE en bénéficiant des taux actuels, faibles, voire négatifs, devront un jour être remboursées. Elles le seront par les États non pas en fonction de ce qu'ils auront reçu, mais par rapport à leur PIB. À ce jeu, la France sera nécessairement confrontée à une perte sèche qui pèsera lourdement sur les contribuables le moment venu.
    Ensuite parce que, ce faisant, la Commission renforce son pouvoir. Qui paye, commande. Comme ce fut le cas il y a dix ans avec la Grèce, l'UE disposant des fonds et des leviers de leurs distribution, sera à la fois arbitre et acteur principal, pesant sur les orientations, intervenant et décidant des budgets nationaux, imposant ses choix politiques et ses lois d'austérité.
    Une Europe nouvelle, puissante, identitaire et libérée des tutelles intercontinentales, est pour nous, nationalistes, qui ne ne nous reconnaissons pas dans le souverainisme  moisi, un objectif majeur, mais encore lointain. Sa construction ne se fera que par les victoires politiques des mouvements nationaux au sein de chaque Etat, victoires qui ouvriront alors la voie à des changements de paradigmes permettant des transferts structurels librement consentis. Nous n'y sommes pas.
    Le fédéralisme globaliste, antagoniste à toutes nos aspirations et négateur des volontés des peuples européens, vient malheureusement, quant à lui, de marquer un point décisif. 
  • Sur le site Front Populaire, encore quelques informations édifiantes sur Le Monde et Libération.

    Site : https://frontpopulaire.fr/

    Chers amis de Front Populaire,

    Vous avez été très nombreux à réagir à l’article de Michel Onfray que nous avons publié hier sur Le Monde et Libération.

    Au delà de la confiance et de l’amitié que vous nous faites, vous nous avez aussi envoyé plusieurs documents et informations qui permettent d’éclairer le passé trouble de ces deux quotidiens moralisateurs :

    - Denis nous a ainsi envoyé les Unes de Libération des 17 et 18 avril 1975 qui montrent l’enthousiasme du journal de Jean-Paul Sartre pour l’arrivée au pouvoir de Pol-Pot (rappelons que celui-ci est l’homme d’un génocide qui a tué 1,7 millions de Cambodgiens).

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  • Coronavirus : le déclin du courage, par Jean-Yves Le Gallou

    C’est la peur qui a inspiré nos dirigeants. Peur de s’éloigner de la doxa idéologique. Peur de s’écarter du conformisme managérial.

    30 000 morts en France à la fin du premier épisode épidémique (fin mai), c’est plus qu’une grippe saisonnière tuant 10 000 à 15 000 personnes. Ce n’est pas non plus une grande peste : si le coronavirus infectait la moitié des Français, avec un taux de létalité de 0, 5%, il tuerait 150 000 personnes : une surmortalité annuelle de 25 %, socialement difficilement acceptable, mais sans commune mesure avec les épidémies des temps anciens anéantissant la moitié d’une population.

    Le respect des procédures, maladie sénile des bureaucrates

    Pourtant le coronavirus a été un formidable révélateur du manque de courage de nos élites politiques et administratives. Incapables de décider à temps. Incapables de prendre leurs responsabilités. Soumis à ses dogmes et emberlificoté dans les règles de Schengen, le gouvernement a refusé de fermer les frontières. Quant aux Français qui manquent de masques et de tests, qu’ils soient rassurés : les normes AFNOR, les procédures ISO, les exigences « qualité », et le code des marchés publics ont été respectés ! « L’action, jeu divin du héros », disait le général de Gaulle. « Le respect des procédures, maladie sénile des bureaucrates ! », pourrait-on dire de la Ve République finissante.

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  • À Libé, on rêve de confiner les populistes !

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    Ah, si la droite n’existait pas, si ces populistes, ces conservateurs, ces nationalistes, patriotes et autres souverainistes pouvaient n’avoir jamais vu le jour… Si les Boulevard VoltaireValeurs actuellesTV Libertés et autres pouvaient être censurés, caviardés, brûlés en place publique, dans un bel autodafé, digne des heures les plus glorieuses de l’URSS… Tel est le rêve des journalistes de , un monde où la droite n’existerait pas, où tout le monde ne regarderait plus que BFM, n’écouterait plus que France Inter, ne lirait plus que… Libération. Ce qui changerait drôlement la vie des employés du journal, qui perd chaque jour un peu plus de son lectorat au point que Patrick Drahi, son actuel propriétaire, cherche désespérément à refiler le bébé à une bonne âme de passage.

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  • Et si on parlait solutions concrètes ?

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    par Natacha Polony

    Alors que la crise qui vient s’annonce ravageuse pour des pans entiers de notre économie, et plus largement pour le pays dans son ensemble, du bien-être de sa population à sa place dans le concert des nations, on reste consterné devant le niveau des débats sur le monde d’après et les moyens d’en sortir. Ne parlons même pas de la nouvelle fracture idéologique autour d’une molécule extraite de la quinine, permettant aux uns de dénoncer partout des taupes des lobbys pharmaceutiques et aux autres de débusquer des cryptofascistes. Le reste est à l’avenant. On découvre que notre classe politique est unanimement attachée à la souveraineté (mais « sans tomber dans le souverainisme », pour citer l’inénarrable Najat Vallaud-Belkacem), à l’indépendance, à la préservation de l’industrie... A se demander comment Jean-Pierre Chevènement n’a pas été élu triomphalement en 2002, tant on lui trouve d’électeurs cachés.

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  • Quel avenir pour l’Europe ?, par Jean Viansson-Ponté.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    L’Union européenne est nocive, et la crise du coronavirus révèle à quel point ses règles empêchent la France d’agir pour son bien.

    L’Europe est une réalité géographique et historique dont l’empreinte fut et reste majeure dans l’équilibre du monde. Les pays qui la composent sont autant d’entités qui ont conservé leur nature propre au-delà des normalisations communes à tous les États dans notre univers mondialisé.

    Il suffit de sortir des aéroports et des avenues éclairées des villes-capitales pour mesurer la richesse et la diversité des modes de vie, des rythmes, des regards. Et pour percevoir en même temps ce qui identifie les peuples européens, leur proximité, à force d’échanges entre des générations qui ont, tour à tour, partagé l’affrontement et la concorde au fil des siècles.

    L’Union Européenne, c’est tout autre chose. Du noyau de l’Europe des six, on est passé par étapes à une superstructure qui prétend se substituer aux États, les reléguant à un rôle mineur dans la conduite de leurs affaires, y parvenant dans certains domaines, mais ayant échoué dans la mise en place d’un modèle politique, économique, social et stratégique indépendant.

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  • DÉCONFINEMENT : LES FAUTES DE L'ÉTAT

  • L’État pèse trop lourd, mais combien pèse-t-il ?, par Philippe Kaminski.

    Source : https://www.profession-spectacle.com/

    Avec la crise sanitaire et le confinement, le PIB annuel va chuter dans des proportions jamais vues, tandis que la dépense publique, elle, aura fortement augmenté. Mais ne faisons pas dire aux chiffres qu’on ne manquera pas de nous répéter au fil des mois, ce qu’ils ne disent pas. Explications.

    Actualité de l’économie sociale

    Je suis souvent amené à déplorer la trop grande prépondérance de l’État dans notre économie et dans notre société. Je n’en fais ni un dogme, ni une fixation, comme certains apôtres acharnés d’un libéralisme absolu ; mais il faut bien convenir que les occasions de stigmatiser notre État omniprésent, obèse et inefficace sont assez nombreuses et touchent à tous les aspects de notre existence.

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  • McDonald’s : du Big Mac au Big scandale !

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    La chronique de Philippe Randa

    Décidément, le temps n’est pas au beau fixe pour les multinationales ; après Amazon – l’ogre du commerce électronique – dont les conditions de travail ont été sévèrement recadrées, jusqu’à obliger ses centres de distribution en France à fermer, faute de conditions sanitaires satisfaisantes – c’est au tour de McDonald’s – le monstre de la malbouffe – d’être dans le collimateur de la justice : il est poursuivi devant  l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) depuis le 18 mai pour « harcèlement sexuel systématique ». Qui l’eût imaginé ?

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