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  • Quand les allocations familiales finançaient Daech

    Quand les allocations familiales finançaient Daech

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    Après des mois d’investigations dans le cadre de la commission d’enquête parlementaire relative à la lutte contre les fraudes aux prestations sociales, dont les conclusions ont été présentées à l’Assemblée nationale mardi 15 septembre, son rapporteur, le député UDI Pascal Brindeau, livre à Valeurs actuelles une de ses funestes découvertes. Alors qu’il se rend à Tours au Sandia (Service administratif national d’identification des assurés), dépendant de la Cnam et attribuant des numéros de sécurité sociale aux personnes étrangères ou françaises nées hors de France, Pascal Brindeau cherche à vérifier la concordance entre une liste de fausses identités mise à sa disposition par la police aux frontières et les immatriculations inscrites dans les fichiers du Sandia. Sur les 83 usurpateurs d’identité manifestes, 46 ont eu des droits ouverts en France leur permettant de toucher en moyenne 9 000 euros par an. Parmi les fraudeurs: Zakaria Asbai, dit Abu Zubair, un des fondateurs de Dae’ch… Né au Maroc mais de nationalité belge, ce combattant de l’État islamique parti en Syrie en 2013 profitait donc sans vergogne de la générosité française, via une caisse d’allocations familiales de l’Essonne…

    https://www.lesalonbeige.fr/quand-les-allocations-familiales-financaient-daech/

  • Comment vivaient nos ancêtres

    Les chercheurs sont de plus en plus nombreux à faire parler les archives sur la vie quotidienne d’autrefois. En témoignent les travaux consacrés à l’Ancien Régime.

    En 2005, le musée national des Arts et Traditions populaires a fermé ses portes. Créé au Trocadéro en 1936 – avec la bénédiction du Front populaire -, il visait à conserver des objets d’autrefois, témoins d’une France rurale, essentiellement paysanne. Installé en 1972 au bois de Boulogne, l’établissement avait vu sa fréquentation décroître : 125 000 entrées en 1978, 22 000 en 2003. Il est vrai que, pendant trente ans, les autorités avaient peu fait pour en assurer la promotion, quand la moindre exposition d’art « premier » ou d’art contemporain avait bénéficié de toutes les faveurs, et accessoirement de la manne publique.
    La raison véritable de la condamnation du musée des Arts et Traditions populaires, c’est qu’il n’était plus dans le ton, à l’heure où il convenait de s’incliner devant les «cultures autres».

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  • Aventures en Méditerranée….

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    En cette année doublement désastreuse pour la santé et pour l’économie, M. Macron dont les Français jugent l’autorité inférieure à celle de ses deux premiers ministres successifs, a décidé de se refaire… une santé sur la scène internationale. C’est une année « de Gaulle » et le voilà parti aux dires de certains sur le chemin de la troisième voie : ni Moscou, ni Washington mais en première ligne en Méditerranée Orientale, au Liban, et aux côtés de la Grèce face à sa tête de Turc : Erdogan. Le président turc est si antipathique que s’attaquer à lui peut susciter l’adhésion d’électeurs « de droite » que Macron rêve de séduire d’ici 2022. Cette posture n’a pas la clarté de celle de Sarkozy qui avait choisi l’Amérique en réintégrant l’OTAN et en participant au prétendu Printemps arabe de l’ère Obama avec une intervention aux conséquences catastrophiques en Libye et une condamnation du président syrien. La France jouait les atlantistes appliquées et se trouvait en compagnie douteuse d’Erdogan et du Qatar, c’est-à-dire des Frères Musulmans, le visage caché de la « révolution » arabe. Pour celui qui avait reçu Kadhafi et Bachar Al-Assad à l’Elysée, le tête-à-queue était impressionnant et n’avait rien de gaulliste !

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  • Splendeurs et misères de la gouvernance Que faire ?

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    Splendeurs et misères de la gouvernance

    La crise du coronavirus marquera, à plus d'un titre, l'histoire du monde. Peut-être moins en raison du nombre de morts que la pandémie aura provoqué qu'en raison de ce qu'elle aura révélé sur l'aveuglement des gouvernants et la docilité des gouvernés. Que sait-on au juste de ce virus ? Malgré des médias mainstream abreuvant d'informations, le péquin moyen ne dispose de quasiment rien de précis et de fiable. Il est, par exemple, impossible de calculer le taux de létalité du virus puisque, faute de tests, on ignore le nombre de personnes infectées. Et pourtant, les tenants de la gouvernance ne cessent de justifier leurs décisions en brandissant l'argument d'autorité scientifique (la consultation d'un comité d'experts). Si cela apermis, un temps, d'étouffer le débat et d'essayer de faire passer les esprits critiques pour des irresponsables, la cohérence du discours s'est assez rapidement fissurée quand sont apparues au grand jour les concurrences entre équipes de chercheurs laissant entrevoir des intérêts plus financiers que médicaux. S'il existe un traitement (qui n'est certes pas une panacée) à base de chloroquine associée à d'autres médicaments pour soigner les seuls malades, pourquoi certains veulent-ils (à tout prix...) un vaccin susceptible d'être imposé à toute l'humanité ?

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  • Hervé Ryssen est en prison...

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    Hervé Ryssen (Hervé Lalin de son vrai nom) est un écrivain qui, depuis une vingtaine d'années, dans une dizaine d'ouvrages, avec un certain courage et un talent indéniable, dénonce ce qu'il considère être, à ses yeux, les causes de la déchéance de notre pays. C'est son stricte droit et à ce titre il mérite le respect. Mais le respect de ses opposants n'est pas la qualité première du pouvoir mondialiste en place. Et la répression est un moyen facile pour les faire taire.

    Ryssen a sans doute sous-estimé cela car il vient d'être incarcéré tel un vulgaire délinquant. Et encore, bien souvent la "justice" aux ordres se montre moins sourcilleuse avec les délinquants qu'avec les opposants... On peut sans doute reprocher à Hervé Ryssen de ne pas avoir été suffisamment prudent face à l'appareil répressif du Système, mais le problème n'est pas là...

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  • Royaliste n°1194 (14 Septembre 2020)

    Un nouveau numéro de “Royaliste” (numéro 1194, daté du 14 septembre) vient de paraître.

    SOMMAIRE du numéro

    Page 1 – Les ultras verts.
    Page 2 - Politique : un plan de relance en trompe-l’œil.
    Page 2 - Politique de l’offre vs politique de la demande.
    Page 3 – Toi aussi, deviens Royco-friendly !
    Page 3 - L’Écho du net.
    Page 4 – Convention citoyenne sur le climat : un objet politique sans portée juridique.
    Page 4 - La quinzaine sociale.

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  • Cette crise sanitaire est l’occasion de faire de grands choix de rupture

    Cette crise sanitaire est l’occasion de faire de grands choix de rupture

    Extrait de l’éditorial de Marion Maréchal sur le site de l’ISSEP :

    « Entre un monde qui meurt et un monde qui naît il s’insère toujours une période creuse. Elle est en même temps un tombeau et un berceau. Un monde qui meurt y agonise en se débattant, en cherchant à écraser de son poids le monde qui naît, n’a pas encore les yeux ouverts, ne sait pas encore son nom ». Magistrale réflexion que celle de l’historien suisse Gonzague de Reynold qui semble décrire parfaitement notre époque. L’ancien monde se meurt lentement et résiste alors que le nouveau balbutie et peine à émerger. Nous vivons cette époque de transition, ce sas, non pas de décompression mais, au contraire, de compression où s’accumulent toutes les tensions sociales, identitaires, géopolitiques, économiques, jusqu’à l’ébullition.

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  • Le 4 septembre 1870, une journée dans l’Histoire de France

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    « Ce que vous me proposez, Messieurs, je ne puis, je ne dois pas y consentir. Croyez-moi, les épreuves que je viens de subir ont été si douloureuses, si horribles, que dans ce moment, la pensée de conserver cette couronne à l’empereur et à mon fils me touche très peu. Mon unique souci, la seule ambition est de remplir dans toute leur étendue, les devoirs qui me sont imposés. Si vous croyez, si le Corps Législatif croit que je suis un obstacle, que l’on prononce la déchéance, je ne me plaindrais pas. Je pourrais quitter mon poste avec honneur, je ne l’aurais pas déserté. Mais je suis convaincu que la seule conduite sensée, patriotique, pour les représentants du pays serait de se serrer autour de moi, de laisser de côté, quant à présent, toutes les questions intérieures et d’unir étroitement nos effort pour repousser l’invasion ».

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  • Écologistes : « Faites comme je dis pendant que je fais ce que je veux ! »

    L’écologie c’est l’autre nom du socialisme, donc de l’intolérance à l’égard des traditions, des commémorations, de tout ce qui ne sert pas le projet de réformer l’homme, qu’il le veuille ou non.

    Christian Combaz