Alors que dans le cadre de "certains voyages en Europe" (13) Evola décida de se rendre à Bucarest en mars 1938 pour y rencontrer Corneliu Codreanu, on comprend alors pourquoi il fit référence à ceux qu’il définit une fois les "amis roumains" (14) et une autre fois "un Roumain avec lequel il était déjà en relation, parce qu’il s’intéressait aux études traditionnelles" (15) — et que Claudio Mutti, après une série de recherches et de croisements entre différentes sources, identifie avec Vasile Lovinescu alias "Geticus" et avec Mircea Eliade (16). Eliade aurait été présent à la rencontre entre Evola et Codreanu (17). Mais ce dernier détail n’est pas si important que cela en réalité. Est important par contre le fait qu’il y eut une connaissance et une estime propres à pousser Evola à faire référence justement à Lovinescu et à Eliade.
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MARCHE DES SOLIDARITES AVEC LES MIGRANTS: DES MILITANTES DU COLLECTIF NEMESIS PRENNENT LA PAROLE.
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Tyrannie sanitaire et citoyens de seconde zone. Un projet de loi liberticide présenté par Jean Castex ?
Témoigne de ce climat de tyrannie sanitaire un projet de loi « instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires » déposé par le Premier ministre Jean Castex et justifié ainsi :
« L’ambition du présent projet de loi est ainsi de substituer à des dispositions, conçues dans des circonstances particulièrement contraintes et pour faire spécifiquement face à l’épidémie de covid‑19, un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles »
(…) Lire la suite sur Breizh Info
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La dictature pour cadeau de Noël
François Billot de Lochner décrypte le projet de loi évoqué hier :
Tout doucement, l’air de rien, à quelques jours de Noël, le Premier ministre Jean Castex a déposé en procédure accélérée hier, lundi 21 décembre, un projet de loi tout bonnement hallucinant. Aux sceptiques qui trouvent que nous exagérons, nous rappellerons que les régimes dictatoriaux ont traditionnellement comme arme privilégiée l’utilisation de l’état d’urgence et la suspension des garanties publiques pour pouvoir s’installer durablement, en toute quiétude et avec un semblant de légalité.
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Sur Valeurs Actuelles, "Il y a un consensus scientifique et médiatique mais pas de preuve sur le réchauffement climatique".
Philippe Herlin est économiste et Docteur en économie du Conservatoire National des Arts et Métiers, il réagit à l'annonce d'Emmanuel Macron de modifier la Constitution par voie de référendum et y intégrer la lutte contre le réchauffement climatique.
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Julius Evola et Mircea Eliade : une amitié oubliée 1/3
Les rapports entre Mircea Eliade et Julius Evola sont encore, pour ainsi dire, peu connus. Extérieurement, ils se limitent à des citations réciproques et sans excès, mais il est évident qu’il y a beaucoup plus entre eux, même s’il me semble que personne n’a encore essayé d’analyser complètement leurs rapports personnels et les éventuelles influences réciproques du point de vue intellectuel. Ce dernier problème a été affronté par bien peu d’auteurs, et je pense à Ioan Culianu, Furio Jesi et Crescenzo Fiore, qui l’ont d’ailleurs fait à travers le filtre d’un préjugé que l’on pourrait bien qualifier d’idéologique, puisqu’ils considèrent presque comme une "faute" le fait qu’Eliade ait entretenu des rapports avec ceux que l’on définit ironiquement comme "les maîtres de la Tradition" (c’est-à-dire Guénon et Evola) et qui par conséquent acceptent chaque fois ce fait acquis comme un élément pour l’excuser ou bien au contraire, ils s’en servent pour lui reprocher certains choix méthodologiques et philosophiques.
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Dictature sanitaire et passeport vaccinal, le plan Macron – JT du mardi 22 décembre 2020
Au programme ce soir, la nouvelle charge du gouvernement contre les libertés. Lundi, le premier ministre, Jean Castex, a tranquillement proposé un projet de loi en lecture accélérée, bouleversant les équilibres institutionnels. Le texte consacre également une forme d’obligation vaccinale déguisée… Maître Fabrice di Vizio, avocat du professeur Raoult et spécialiste des questions de santé répondra à nos questions dans cette édition.
Nous reviendrons également sur ces plaintes de l’Ordre des Médecins à l’encontre des professionnels de santé, dont les Professeurs Raoult et Perronne et le Docteur Delépine, qui ne cèdent pas au sanitairement correct.
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DE NAPOLÉON À LOUIS XVIII
En 1814, Talleyrand gagne le tsar au retour des Bourbons.
Le 31 mars 1814, il y a deux cents ans, Alexandre Ier, tsar de toutes les Russies, entrait dans Paris en vainqueur. La veille encore, on s’était battu à Pantin et à Montmartre. C’était la fin de la campagne de France. Deux mois durant, Autrichiens, Prussiens, Russes, Britanniques et Suédois avaient affronté un Napoléon qui avait retrouvé l’énergie et le génie stratégique de sa jeunesse, comme le rappellent les témoignages réunis par l’historien Jean-Joël Brégeon (1). Vaincus à Montmirail, à Champaubert, à Montereau et à Reims, les coalisés l’avaient quand même emporté, leurs troupes ayant pour elles le nombre et l’expérience, et la volonté d’en finir, tandis que l’Empereur s’était battu avec les débris de la Grande Armée et des conscrits inexpérimentés, et que la lassitude pointait dans un pays qui, à l’issue de vingt années de guerre, aspirait à la paix.
La suite n’était pas écrite d’avance : les souverains alliés n’étaient pas d’accord entre eux sur le sort à réserver à la puissance occupée. Talleyrand, ancien ministre des Relations extérieures, désormais brouillé avec Napoléon, estime que le rétablissement des Bourbons serait accepté par les vainqueurs comme par les Français, une fois leurs réticences dissipées. Le diplomate commence par en convaincre le tsar qui loge chez lui, rue Saint-Florentin, tout en lui exposant que cette nouvelle orientation politique ne doit pas émaner de l’étranger. Le 3 avril, le Sénat vote donc la déchéance de Napoléon et, deux jours plus tard, fait appel au comte de Provence (Louis XVIII), qui est invité à devenir « roi des Français (…) par le voeu de la nation ».
Talleyrand a imposé une solution française, mais Alexandre Ier s’y est rallié, et amènera les autres souverains à cette solution, parce que le tsar, homme des Lumières, a reçu l’assurance que la Restauration ne serait pas la restauration de l’Ancien Régime. Cet épisode est connu, mais Marie-Pierrre Rey, une spécialiste de la Russie, l’éclaire d’un jour nouveau (2). C’est un paradoxe : l’institution d’une monarchie libérale, en France, en 1814, a été rendue possible par la rencontre du Diable boiteux, qui avait servi tous les régimes, et du tsar, qui était un autocrate.Jean Sévillia
(1) Histoire de la campagne de France. La chute de Napoléon, de Jean-Joël Brégeon, Perrin, 400 p., 21 €.
(2) 1814. Un tsar à Paris, de Marie-Pierre Rey, Flammarion, 332 p., 22 €.
https://www.jeansevillia.com/2015/04/11/de-napoleon-a-louis-xviii/
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Les éoliennes transforment tous les paysages en sites industriels
Propos recueillis par Eugénie Bastié
Le philosophe et académicien, Alain Finkielkraut, qui plaide pour une « écologie poétique », explique pourquoi il est fermement opposé à l’implantation d’éoliennes qui détruisent la beauté des paysages français.
Le Figaro. Tout en exprimant son attachement au nucléaire, Emmanuel Macron a réaffirmé son souhait de développer l’éolien en France pour augmenter nos capacités en énergies renouvelables. Que vous inspire ce choix du président de la République ?
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Le numéro 86 de Terre & peuple magazine est paru
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