Vous connaissez "l'affaire Cassandre Fristot". Cette jeune femme engagée dans le combat nationaliste depuis des années qui est allé manifester à Metz au mois de juillet contre l'absurde dictature sanitaire imposée par le gouvernement et qui, depuis, est la cible de la répression du Pouvoir encore en place.
En effet, ce jour là, Cassandre avait confectionné un panneau sur lequel était inscrit une liste de noms en vogue dans l'actualité du moment au milieu de laquelle on pouvait lire une énigmatique interrogation "Mais qui ?", faisant allusion à une réplique inquisitrice et paranoïaque d'un chien de garde de la bien pensance adressée lors d'une émission télévisée à un général signataire de l'appel des militaires publié au mois d'avril dernier.
Pour être franc, je pense que le panneau de Cassandre n'était pas opportun dans le climat actuel. Ce d'autant plus qu'il était évident qu'il pouvait lui attirer les foudres de la justice... mais qu'importe. Cassandre a voulu exprimer, maladroitement peut-être, ce qu'elle ressentait face à la situation et cela devrait être son stricte droit. Mais, contrairement à ce que l'on nous radote à longueur de journées dans les médias du Système, il y a bien longtemps que la liberté en France n'est plus qu'une illusion.
Si, comme nous l'espérons tous, dans quelques mois les choses doivent réellement changer dans notre pays, l'une des premières décisions à prendre sera l'abolition immédiate des lois liberticides (Pléven, Gayssot, Toubon et autres...).
En attendant, Cassandre se retrouve face à de nombreuses difficultés (elle vient, entre autres, de perdre son emploi) et la solidarité nationaliste doit s'organiser. Civitas, le Parti de la France, des associations ainsi que de nombreux particuliers lui ont déjà manifesté leur sympathie.
Si vous souhaitez, vous aussi, apporter un soutien moral ou financier à Cassandre Fristot, victime d'un acharnement politico-médiatico-judiciaire inouï, envoyez vos lettres et vos chèques à cette adresse : Cassandre Fristot 39 F rue Georges Bizet 57800 Freyming-Merlebach.
Quoi que l'on pense de son initiative, il ne faut pas laisser tomber Cassandre Fristot.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Lire la suite