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  • « Mariage gay » dans l’UE : grosse pression du Parlement européen

    Europe mariage gay

    La régulation du mariage et de l’adoption n’entre pas dans les compétences de l’UE ? Qu’à cela ne tienne, c’est au nom du droit à la libre circulation et du principe de non-discrimination inscrits dans les traités que le Parlement européen exige, par une résolution adoptée le 13 septembre, que tous les Etats membres reconnaissent les « mariages » entre personnes de même sexe, « la reconnaissance, pour les parents transgenres, du genre qui est le leur en droit », ainsi que les certificats de naissance falsifiés par certains pays puisqu’ils font état de deux papas biologiques ou de deux mamans biologiques.

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  • Filière de clandestins marocains : des complicités consulaires et à la préfecture de Seine-et-Marne

    Huit personnes ont été mises en examen entre septembre 2020 et juin dernier, soupçonnées d’avoir participé à une filière clandestine faisant entrer des migrants Marocains dans l’espace Schengen et notamment en France depuis au moins trois ans. Les migrants voulant venir en France pouvaient acheter des faux papiers mais aussi de vrais titres de séjour via des individus travaillant à la préfecture de Seine-et-Marne. Au moins 200 clandestins auraient utilisé ce réseau.

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  • Orban : la politique en bon père de famille

    En Hongrie, la sur l’homosexualité déchaîne des passions qui ne sont pas sexuelles mais politiques.

    Viktor Orban, le  viktator ? On connaît le jeu de mot douteux sur le prénom du président de la Hongrie, champion d'une ligne qu'il nomme lui-même illibéral; régulièrement réélu depuis 2010 à cause des réussites de sa politique économique et aussi parce qu'il est parvenu à incarner la Hongrie sur la scène internationale, il poursuit aujourd'hui sa recherche obstinée d'une troisième voie, entre le communisme mortifère et le libéralisme de la Commission de Bruxelles, qui si on le regarde de près, ne l'est pas moins. Cette expérience hongroise est-elle importante pour une future Europe des nations ? L'enjeu est considérable en tout cas.

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  • La postmodernité est une révolution conservatrice !

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    Quel corpus idéologique succédera à la droite ? Affinons notre question : comme jamais la droite ne gagne les élections, sauf en Angleterre, comme elle connaît la défaite depuis plus d'un demi-siècle en Italie, sera-t-elle éliminée à tout jamais des prochains chapitres des livres d'histoire ? Cette question, nombreuses sont les revues les plus autorisées de l'établissement culturel et politique du monde occidental : depuis Foreign Affairs aux États-Unis, très écouté au “département d'État”, en passant par Theory, Culture and Society en Grande-Bretagne, l'une des revues les plus attentives aux phénomènes dits “postmodernes”, jusqu'au Monde Diplomatique de Paris, qui se pose comme l'observateur classique de la gauche en matières de politique internationale.

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  • Serge Federbusch : « On est dans une forme d’analogie avec ce qui s’est passé en 40 »

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    Serge Federbusch revient sur son livre Covid Story : une étrange défaite, où il fait un état des lieux des mesures prises en raison de la  sanitaire. Couvre-feu, confinement, passe sanitaire… L’essayiste analyse ces nouvelles contraintes dans son ouvrage, soulignant notamment des restrictions de libertés proches de celles qui furent mise en place dans les périodes sombres de l’Histoire. Il s’explique au micro de Boulevard Voltaire.

  • L’armée française décapite Daech au Sahel, par Antoine de Lacoste.

    L’EIGS, l’État islamique au Grand Sahel, vient de subir une perte importante avec l’élimination de son chef Adnan Abou Walid al-Sahraoui (appelé AWAS par l’armée). Il est peut-être exagéré de parler de « coup décisif », comme l’a fait Florence Parly, le ministre des Armées, mais c’est tout de même une étape importante dans la lutte contre le Daech local dont la structure est très centralisée.

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  • Contre la fin de l’histoire ou comment ne pas en sortir 6/6

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    L’histoire, une façon pour l’homme de devenir

    Par suite, l’histoire n’est nullement à définir comme une suite d’événements ou de faits sans enchaînements, comme la simple succession des générations ; elle n’est pas non plus un “spectacle” ou un “objet de culte”. Elle est la perpétuelle transformation des sociétés par cette conscience historique qui est un spécifique de l’homme. L’histoire est la façon de devenir de l’homme : l’homme en tant qu’homme devient historiquement — et ce devenir ne dépend que de lui seul. Le “sens de l’histoire” n’est pas indépendant de sa volonté. Se demander quel est le sens de l’histoire, c’est se demander si l’homme lui-même a un sens : l’histoire prend un sens par rapport à la perspective la plus forte que l’homme institue sur elle. Dans cette conception qui nous est proposée par Nietzsche, l’homme est le seul qui fasse l’histoire — non en tant qu’il s’inclut dans une classe ou qu’il satisfait aux prescriptions d’une dogmatique, mais en tant qu’homme totalement libre, non déterminé, trouvant en lui-même seulement la possibilité d’être plus que lui-même.

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  • Sous le masque du Covid, la numérisation intégrale de la société

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    Quid des changements structurels : moyens pour l’hôpital public, lutte contre la pollution, prévention des maladies environnementales ? Contre le Covid, le gouvernement a préféré tout miser sur la vaccination et le traçage numérique. Pour le bonheur des tenants des industriels de l’e-santé, de l’intelligence artificielle et de la big data.
    Une analyse signée Celia Izoard, journaliste et membre de la revue Z, et qui notamment traduit des ouvrages critiques de la technologie moderne, dont 1984, de George Orwell (janvier 2021).

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  • Michel Onfray : « Contrairement aux élites, les Français aiment leur passé ».

    ENTRETIEN. Vianney d’Alançon est un jeune entrepreneur en spectacles historiques, créateur du parc à thème le Rocher Mistral, en Provence. Nous lui avons proposé de croiser son regard avec celui de Michel Onfray pour parler patrimoine et identité française.

    Front populaire : Les journées du patrimoine (18 et 19 septembre) célèbrent cette année le « patrimoine pour tous ». Que vous inspire ce slogan et cette célébration ?

    Michel Onfray : C’est une formule de publicitaire et de communicant assez démagogique comme si le patrimoine, après avoir été déclaré matrimoine il y a quelque temps, était une affaire aristocratique, élitiste, réservée à une caste. Si tel est parfois le cas, c’est parce qu’un lieu commun de la « gauche » a opposé les acteurs de l’art contemporain aux vieux barbons défenseurs des vieilles pierres…En augures du politiquement correct, cette « gauche » oppose les progressistes bien sûr situés du bon côté de l’histoire aux passéistes qui campent sur son mauvais côté. Le patrimoine c’est l’histoire, refuser le patrimoine c’est tout bonnement refuser l’histoire, ce qui est la ligne de force de l’idéologie Woke et de la cancel culture.

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