
L’élection présidentielle qui doit se dérouler cette année est paradoxale. Sans doute est-ce la plus décisive depuis 1981 et la rupture avec la continuité de la Ve République amorcée par l’arrivée des socialo-communistes au pouvoir, alors que partout ailleurs, ils s’effondraient en même temps que la contestation du capitalisme libéral. Pourtant, perçue pendant longtemps comme une fatalité permettant au manipulateur d’être reconduit face au même adversaire qu’en 2017, elle ne paraissait qu’une formalité.




