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[MIEUX VAUT EN RIRE] Trop de Blancs à l’Assemblée, selon Rokhaya Diallo !
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“Wesh c’est bon wallah” : propos sur les femmes, intrusions, pollution, équipements pour handicapés détériorés, menace de ramener les “frères”… la plage du Trottel (Ajaccio) rendue invivable par une bande de jeunes
Depuis le début de l’été, une bande d’adolescents et leurs proches provoquent quotidiennement les nageurs-sauveteurs, certains riverains et des commerçants. Au menu notamment : insultes, regards menaçants et détériorations. (…)
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L’Empire britannique en guerre (1857-1947)
Benoît Rondeau, enseignant et historien, s’est spécialisé dans l’histoire militaire. Son nouvel ouvrage, paru chez Perrin, est consacré à un siècle de combats épiques au nom de la “Rule Britannia” menée par une armée trop souvent oubliée.
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Les héritiers des Lumières volent bas et pensent creux
La « clarification » obscure, cette coquecigrue produite par Emmanuel Macron en dissolvant l’Assemblée nationale, reflète la confusion intellectuelle qui s’est installée au cœur du Système qui s’effondre. Le pouvoir se comporte comme un canard sans tête. Une bêtise collective s’est emparée des élites en chaises longues. Celles-ci ont unanimement réduit le débat politique à des postures irréfléchies contre le RN, rendant infertile le champ des idées. Rien ne pousse sous les tas de pierres lancées depuis des lustres par des Jean Moulin d’opérette contre le fascisme que représenterait Marine Le Pen. Mais si Le Pen est le fascisme, le fascisme n’était-t-il donc que cela ? Les résistants du nouveau « No pasaran ! » se flattent, derrière le chef de l’Etat, d’avoir écarté « l’extrême droite » de Matignon en la personne de Jordan Bardella.
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Racisme décomplexé à Mediapart
Ils croyaient que l’élection d’une majorité de députés RN aurait pour conséquence l’expression d’un racisme décomplexé, mais c’est l’inverse : pas de majorité RN et un racisme décomplexé à gauche :
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Il fallait y penser avant…
Un sondage révèle que 74% des Français se disent insatisfaits du résultat des élections législatives. Le seraient-ils moins s’ils avaient voté en leur âme et conscience au lieu de suivre dociles les consignes des partis ? Certainement, car lorsque l’on reste libre de son choix on peut être déçu, mais on ne nourrit pas un sentiment de frustration. Ce mécontentement traduit peut-être aussi le réveil douloureux des électeurs, constatant que la gauche en tête de sièges, ne l’est pas en voix, loin s’en faut. Dépossédé volontairement par le jeu des alliances, l’électeur qui s’est laissé guider plus qu’il n’a été acteur ne peut que s’étonner à présent, mais c’est bien là son unique faute et la lettre de Macron conforte cette impression. Un président qui affirme que personne n’a gagné au motif qu’il n’a pas, lui, de majorité absolue, berne les Français. Macron fait une nouvelle fois une lecture de la constitution très « Fabusiomacronienne ». À aucun moment il n’est dit qu’un parti l’emporte seulement s’il a 289 députés. En définitive Macron prend ce prétexte pour s’affranchir de choisir un Premier ministre dans le groupe le plus nombreux, comme il est de coutume sous la Vème république, en clair il ne reconnaît pas le résultat des urnes, qui lui est très défavorable et appelle à une entente large, façon de transformer un massif rejet des français à son encontre, en une splendide victoire tactique.