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Le morceau de bois norvégien épileptique qui se présente comme secrétaire général de l’OTAN a livré une sacrée performance.
Nous sommes le monde. Nous sommes le peuple. Nous sommes l’OTAN. Et nous venons vous chercher – où que vous soyez, que vous le vouliez ou non.
Appelez cela la dernière itération pop de «l’ordre international fondé sur des règles» – dûment baptisé lors du 75e anniversaire de l’OTAN à Washington.
La Majorité mondiale avait déjà été avertie, mais sous le techno-féodalisme, les cerveaux ont tendance à se réduire en bouillie.
“Comment avons-nous pu autant nous tromper” se demande bien trop tard et une fois dans le mur Gilles le Gendre grognard de la macronie après sa Bérézina.
Simple cher Monsieur le Gendre.
Par arrogance.
Par suffisance.
Parce que vous pensiez tous savoir bien mieux que les autres.
Parce que vous pensiez pouvoir faire sans les autres et contre les autres.
Alors, oui, au bout de 7 ans, c’est un champ de ruine qui est laissé par le Mozarillon du Palais.
Les citoyens veulent moins d’immigration, moins d’impôts ? Ils en auront plus encore. Ils veulent s’inscrire dans la continuité historique de leur nation millénaire ? Ils subiront davantage les assauts de la nouvelle France multiculturelle et de ses minorités quérulentes. Ils veulent la droite ? Ils auront la gauche. Ainsi fonctionne, cul par-dessus tête, la démocratie française. Le RN a rassemblé hier soir, à l’issue du second tour des législatives, 8,7 millions de voix et la formation d’Eric Ciotti 1,3 million, tandis que le NFP en a aligné 7 millions et Ensemble 6,3 millions. Mais c’est l’extrême gauche (NFP) qui engrange 182 députés, la macronie (Ensemble) 163 et le bloc national…143. Jean-Luc Mélenchon, immédiatement après 20 heures et au nom de LFI (70 députés), s’est même précipité devant les télévisions pour s’approprier la victoire, en oubliant de la partager avec les socialistes et les verts.
Plus d’un spécialiste, à l’issue des dernières législatives, renvoie dos à dos plus ou moins toutes les formations politiques, pour leur impéritie, mélange d’incompétence de certitudes fragiles. Au Rassemblement National, Bardella a esquissé un début de constat sur la légèreté avec laquelle ils ont sélectionné leurs candidats. Mais il n’y a pas que cela. Ce débat sur les postes interdits aux binationaux est une question parfaitement légitime, mais qui n’a rien à faire dans un débat électoral. Les raisons sont très nombreuses pour sanctuariser certains postes à responsabilités pour des Français dont on est parfaitement sûr. L’affaire Harpon, avec un musulman radical au sein même de la préfecture de police et plus loin, l’affaire de la bombe atomique pakistanaise, construite par un ingénieur musulman formé en Europe et avec qui justement, on avait laissé accès aux informations les plus secrètes. La France détient une force de dissuasion nucléaire et il est bien entendu qu’on ne saurait prendre le risque de la laisser à des binationaux dont on n’est pas sûr de la loyauté. On a bien un fiché S à l’assemblée nationale. Sans parler des responsables et élus qui font du communautarisme à tour de bras. D’ailleurs en Algérie et partout ailleurs aussi, certains postes ne sont pas ouverts aux binationaux, mais en Algérie, cela ne semble pas poser de problème aux gauchistes d’ici, ouvertement soutiens des terroristes musulmans, palestiniens par exemple. Mais c’est le genre de question sensible qui s’aborde en sous main, une fois élu, et pas dans le cadre d’une campagne électorale.
Mais qui imaginerait que l’ancienne star du groupe NTM se retrouverait treize ans plus tard dans le collimateur de ces flics aguerris pour des accusations bien réelles et infamantes ?
La composition du groupe NFP ne finit pas de faire polémique.
Entre les nouveaux entrants comme le fiché S Raphaël Arnault, le soutien à l’imam Iquioussen Aly Diouara et les vieux briscards de retour comme François Hollande, il y en a pour tous les goûts…
Alors que l’attente se prolonge pour la nomination d’un nouveau Premier ministre, le secrétaire général du groupe RN à l’Assemblée nationale, Renaud Labaye, a récemment affirmé que son parti ne s’opposerait pas systématiquement à un gouvernement de gauche. Cependant, Marine Le Pen a rapidement nuancé ces propos.
Le terme de nationalisme est aujourd’hui dangereusement incompris. À l’origine, il s’agit d’un concept de gauche justifiant simplement pour chaque peuple l’existence d’un État-nation qui lui soit propre. Depuis, en raison des conflits que l’on attribue à une évolution pervertie du concept, le nationalisme, « c’est la guerre », pour reprendre les mots du président Mitterrand. C’est un procès facile mais qui tend à négliger une chose pourtant capitale. Les deux guerres mondiales ne sont pas des conflits nationalistes mais des conflits impérialistes.
Après la formation des « Patriotes pour l’Europe », 4e groupe au Parlement européen, regroupant 84 eurodéputés issus notamment du RN, du Fidesz hongrois, du FPÖ autrichien et de la Lega italienne, et présidé par Jordan Bardella, voici « L’Europe des nations souveraines ».
L'armée russe a pris le contrôle du village de Voskhod, en république populaire de Donetsk, et frappé l'ennemi en divers endroits du front, rapporte le Défense russe dans son bilan quotidien.
Le village Voskhod a été libéré en république populaire de Donetsk, a annoncé ce jeudi 11 juillet le ministère russe de la Défense dans son bilan quotidien. Le groupement russe Centre a aussi repoussé plusieurs contre-attaques dans sa zone de responsabilité. Les pertes ennemies s'élèvent à 335 militaires.