10/09/2024
Après 15 ans de vie commune, le couple – ils sont les parents de 8 enfants – a divorcé il y a quelques années. À bout, son ex-épouse a déposé un signalement au mois de mai 2024 (…)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
10/09/2024
Après 15 ans de vie commune, le couple – ils sont les parents de 8 enfants – a divorcé il y a quelques années. À bout, son ex-épouse a déposé un signalement au mois de mai 2024 (…)
Par Henri Bec
Après 52 jours d’un gouvernement s’étant auto-qualifié démissionnaire, Macron vient de nommer un Premier ministre dans la personne de l’incolore, inodore et sans saveur Michel Barnier. Sauf quelques cabrioles des clowns habituels, le pays a, pendant ces deux derniers mois, continué de fonctionner :
par Pierre Simon
Est-ce que 97% des scientifiques sont réellement d’accord sur le «changement climatique», sa nature anthropique et son extrême danger, comme le prétendent les militants du climat, les médias généralistes, le GIEC de l’ONU et la plupart des gouvernements occidentaux ?
Eh bien non ! Comme le dit, le climatologue, Anthony Watts, mis à part le fait que cette affirmation est actuellement utilisée pour aider à justifier des politiques et des réglementations qui nuisent à l’économie et qui embêtent considérablement la population, «cette affirmation est complètement fausse».1
mais elle n’est pas forcément anodine, surtout dans une mondialisation qui a tant valorisé la finance au détriment du partage et de l’usage commun, et qui a fait sienne la sinistre formule de Benjamin Franklin, « le temps, c’est de l’argent ». Mais, au-delà de cette appréciation, encore faut-il reconnaître que l’ancienne Monarchie d’avant 1789 fut confrontée au même souci de financement que l’est notre République de 2024 : Pierre Gaxotte avait résumé la situation du royaume de Louis XVI par une formule simple, « Un Etat pauvre dans une France riche ».
En avril 2022, un accord a été conclu entre Kiev et Moscou, puis les États-Unis avaient fait échouer les négociations de paix. Victoria Nuland a récemment admis publiquement le rôle des États-Unis et des Britanniques dans l’échec des pourparlers.
Les États-Unis avaient « conseillé » à l’Ukraine d’abandonner les négociations avec les Russes en 2022