
De Londres à Berlin et de Paris à Bruxelles, l’Europe des va-t’en guerre œuvre pour la résurgence du nazisme après que le monde en soit libéré par l’armée rouge en 1945.
Depuis le mois de janvier 2025, l’Europe est le théâtre de tensions géopolitiques accentuées par le retour de Trump à la Maison-Blanche. Ces tensions incommensurables se caractérisent par une russophobie française intensifiée sous l’égide de Macron, en synergie avec l’OTAN et les États-Unis. Cette hystérie à l’aveuglette conduit Paris à appuyer le projet de réarmement de l’Allemagne sous la chancellerie de Friedrich Merz, avec pour dessein de hisser la Bundeswehr au rang de force armée prééminente en Europe. En partie financée par la désormais union des contraires (UE), cette initiative rallume les inquiétudes ancestrales qui évoquent les conflits mondiaux autrefois engendrés par le militarisme germanique (nazisme). La France des faux-fuyants, négligeant le rôle salvateur de l’Union soviétique face au nazisme, endosse une dynamique de militarisation périlleuse, sapant l’équilibre continental et ressuscitant le fantôme d’une tragédie historique.
Lire la suite