
Quand un homme nie les droits de tous par le crime, il se place hors du pacte républicain. Dans les cas extrêmes, la peine de mort n’est pas vengeance mais justice. La République doit se défendre. La loi, expression du peuple, le peut.
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Quand un homme nie les droits de tous par le crime, il se place hors du pacte républicain. Dans les cas extrêmes, la peine de mort n’est pas vengeance mais justice. La République doit se défendre. La loi, expression du peuple, le peut.
Selon Mediapart, des notes déclassifiées de l’Élysée et de la DST confirment qu’un « pacte secret » a été noué dans les années 1980 entre François Mitterrand et le groupe terroriste Abou Nidal, auteur de l’attentat du restaurant Jo Goldenberg rue des Rosiers à Paris (6 morts, 22 blessés le 9 août 1982). Ce marché prévoyait l’arrêt des attaques en France en échange d’avantages : libération anticipée de deux assassins de l’OLP (Hatem et Assad), ouverture d’un bureau clandestin pour le groupe, protection sur le territoire français.
Nous connaissons tous le refrain qu’on nous joue après chaque attentat musulman. Les enfumeurs de service, derrière Karim Zeribi Mohamed Sifaoui, nous expliquent que cela n’a rien à voir avec l’islam, et encore moins avec les musulmans, qui bien évidemment sont dans leur grande majorité profondément amoureux de la France, patriotes, laïques et républicains, et aiment tous les Juifs.
Pour cet épisode estival de Chocs du monde, le magazine des crises et de la prospective de TVL, Edouard Chanot reçoit Hervé Juvin, mais aussi trois chroniqueurs français de Russie : Xavier Moreau, Fabrice Sorlin et Alexis Tarrade.
La Fédération internationale d’athlétisme a validé, mercredi 30 juillet, la mise en place de tests pour déterminer génétiquement le genre des athlètes souhaitant participer à des compétitions féminines comptant pour le classement mondial. Une mesure qui entrera en vigueur juste avant les Mondiaux, à Tokyo (du 13 au 21 septembre).
Il est des nouvelles qui, en ce monde saturé de nouvelles mauvaises, brillent d’un éclat singulier, presque grisant. La quasi-faillite de Media Matters for America, machine inquisitoriale au service de la gauche américaine, en est une. Une sorte de jubilé du réel, où les justiciers masqués de la désinformation se retrouvent nus, ruinés, et seuls, dans l’arène qu’ils avaient eux-mêmes ensanglantée.
La France est en train d’être sacrifiée sur l’autel d’un écologisme radical, imposé par une caste politique coupée du réel. Derrière la propagande lénifiante du « sauvetage de la planète » se cache un projet liberticide qui piétine le bon sens, ruine les propriétaires, frappe les classes populaires et détruit des millions de logements. Sous couvert de comportements vertueux, l’État a déclenché une véritable guerre contre son propre peuple, imposant des lois d’inspiration totalitaire. Le texte de Julius Muzart qui suit, premier volet d’une série à suivre, démonte ce mensonge et révèle comment l’idéologie verte est devenue l’arme d’une minorité pour contrôler et appauvrir la majorité.
Polémia
L’actualité judiciaire de ces derniers jours en dit long sur l’état de notre justice, devenue une loterie morale où le sort des accusés dépend davantage de la nature du symbole que de la gravité du geste.
Le 30 juillet, un homme de 27 ans, schizophrène diagnostiqué, a été condamné à un an de prison ferme pour avoir brûlé un Coran devant une mosquée de Villeurbanne. Cela ressemble même à une condamnation à mort quand on sait ce qui l’attend en détention si il n’est pas placé à l’isolement.