Il semblerait que Marine Le Pen suive une trajectoire plus conforme à ce que ses électeurs attendent du RN, que celle affichée bien maladroitement par son poulain. Elle se dit prête à voter une nouvelle motion de censure, tandis que Bardella se retient d’exiger la démission de Macron, au motif que rien n’oblige institutionnellement le président à le faire. C’est exact, pour autant au soir des élections européennes il a bien demandé la dissolution de l’assemblée nationale et rien ne forçait Macron à s’y plier non plus. Mais passons sur cette erreur de jugement, le plus intéressant c’est bien la volonté de MLP de ne plus s’en laisser compter, et de se placer systématiquement sur la ligne non pas la plus dure, mais la plus cohérente qui soit, à savoir refuser les compromis à la petite semaine qui permettraient la mise en place d’un budget n’ayant toujours pas comme objectif la réduction des dépenses superflues ou même totalement inutiles.
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Marine sur la ligne dure…
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Censure : un coup de pied bienvenu dans la fourmilière
Dans Polémia, il y a polémique. Voici un texte de Michel Geoffroy sur la censure. À contrepied de Jean-Yves Le Gallou, il analyse positivement le geste de censure du gouvernement Barnier par le Rassemblement national (RN).
PolémiaCoup de tonnerre dans le ciel politicien
Depuis 40 ans, nous vivions la même palinodie : un nombre croissant d’électeurs votaient pour le RN ou pour Marine Le Pen, mais cela ne servait jamais à rien.
Les élus comme les électeurs finissaient toujours ostracisés. Au Parlement on ne reprenait pas les propositions des élus RN et on ne leur confiait aucune présidence. L’extrême gauche, on l’écoutait et on la respectait ; mais pas le RN. -
Pouchiline a parlé de l'avancée des troupes russes dans trois directions
DONETSK, 8 décembre – RIA Novosti. Les troupes russes avancent dans les directions de Krasnolimansky et Chasovoyarsky, ainsi que dans Dzerjinsk, a déclaré le chef de la RPD Denis Pouchiline . -
« Vous allez tuer la France ! » : un musulman prend la défense de Noël
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La crise politique en France et les appels à la démission de Macron
La France traverse actuellement une crise politique majeure, marquée par la démission du Premier ministre Michel Barnier suite à une motion de censure adoptée par l’Assemblée nationale. Cette situation a intensifié les appels à la démission du président Emmanuel Macron, reflétant un mécontentement croissant au sein de la population française.
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Quand nos dirigeants accentuent les méfaits de l’UE
1% de baisse du revenu médian réel en France ! Les statistiques officielles camouflent l’appauvrissement et la précarisation des Français, avec ces moyennes déformées par l’explosion des inégalités et ce chômage de masse invisibilisation par un sondage complaisant. Mais ce qui frappe dans l’UE, c’est que notre pays est peut-être celui qui s’en sort le moins bien, du fait des choix de nos dirigeants.
Le sacrifice de la France à un rêve européen
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L’accord avec le Mercosur et les filières énergétiques européennes
On a bien compris que l’accord avec le Mercosur consistait à ouvrir les marchés sud-américains à l’industrie automobile allemande en sacrifiant l’agriculture française – et Mme von der Leyen n’est, en ce sens, qu’une excellente négociatrice allemande (dont seul M. Macron croit encore qu’elle défend les intérêts “européens” qui n’existent pas!).
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Séisme politique en Roumanie : les élections présidentielles annulées
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Crise de régime : après Philippe de Villiers, c’est Édouard Philippe qui le dit
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Ukraine : Les ados fuient à l’étranger craignant l’abaissement de l’âge de mobilisation
Alors que les États-Unis intensifient la pression sur Kiev pour abaisser l’âge de la mobilisation, de nombreux adolescents ukrainiens prévoient de quitter le pays et de ne jamais y revenir.
Face à la pression croissante des États-Unis pour abaisser l’âge de la mobilisation, de nombreux adolescents ukrainiens envisagent de quitter le pays sans intention de revenir, a rapporté The Times.
Le secrétaire d’État américain sortant, Antony Blinken, a déclaré en début de semaine qu’il n’était pas juste que «les jeunes de 18 à 25 ans ne participent pas à la lutte» contre la Russie. «Impliquer les plus jeunes dans le combat est, selon nous, et selon beaucoup d’entre nous, nécessaire», a-t-il souligné.