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La Russie est prête à attendre si les autorités ukrainiennes estiment que le moment des négociations n’est pas venu, a déclaré le président russe Vladimir Poutine lors d’une réunion avec Alexandre Loukachenko. Il a néanmoins jugé «positifs» les pourparlers qui se sont tenus à Istanbul.
Face à l’opacité persistante sur l’origine de la viande vendue en France, une application entend répondre à une attente croissante des consommateurs soucieux de transparence et attachés aux traditions culinaires. Lancée en mars 2024 par Alain de Peretti, vétérinaire et président de l’association Vigilance Halal, « Suivez le coq » permet de scanner les produits carnés afin de connaître leur mode d’abattage : conventionnel (avec étourdissement) ou rituel (pratiqué sans insensibilisation préalable). L’initiative vise à pallier une carence réglementaire persistante. Car, aujourd’hui encore, aucun étiquetage spécifique n’est prévu pour distinguer les viandes issues de l’abattage halal. « C’est un moyen de faire comprendre à la population qu’on est en train de se faire islamiser de manière douce », affirme Alain de Peretti, auprès de BV. Pour lui, la transparence est devenue un enjeu culturel et identitaire.
Mardi 29 juillet 2025 en pleine journée, l’octogénaire, malade, a été victime d’un traumatisant home-jacking. A Mandelieu (Alpes-Maritimes) Malgré le choc, la malheureuse témoigne.
Ministre de l’Agriculture et présidente de la commission nationale d’investiture des Républicains, Annie Genevard veut une “vague bleue” aux municipales. Elle déclare dans Le Figaro :
Dans le silence assourdissant de tant de haut-fonctionnaires paralysés par la peur du qu’en-dira-t-on, le préfet Alexandre Brugère, lui, agit. Et frappe. Fort. Dans les Hauts-de-Seine, cet ancien bras droit de Darmanin au ministère de l’Intérieur applique enfin la politique que tant de Français réclament depuis des années : expulser sans états d’âme les fichés S, les islamistes radicaux, les étrangers violents, les clandestins perturbateurs.
Le «laboratoire BRICS» fait preuve d’un esprit créatif incessant et en constante adaptation. Il l’emporte à chaque fois sur la frénésie douanière.
La quatrième session plénière du Parti communiste chinois a été programmée par le Politburo pour octobre (aucune date précise n’a été annoncée ; probablement quatre jours au cours de la deuxième quinzaine d’octobre). C’est à ce moment-là que Pékin délibérera sur les grandes lignes de son prochain plan quinquennal. Le plénum devrait réunir plus de 370 membres du Comité central, l’élite du parti.
Ils vivaient tranquillement (ou presque) bercés par l’illusion qu’ils détenaient la vérité et que leurs adversaires étaient dans l’erreur. Ils pensaient que l’Europe devaient suivre la pente naturelle qui la menait à l’intégration complète et que tous les peuples d’Europe fraternisés après des siècles de guerres incessantes allaient fusionner entre eux « comme « les marrons dans la purée » pour reprendre l’expression de de Gaulle.
Une pétition demandant la suppression de l’Arcom (Autorité publique française de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) a été mise en ligne le 27 juillet sur une page officielle de l’Assemblée nationale. Une semaine plus tard, celle-ci frémit et recueille déjà presque 10.000 signatures. Le début d’un phénomène politique ?
Jusqu’à quand cela va-t-il durer ? Jusqu’à quand des nazillons qui se disent antifascistes vont-ils, en toute impunité, intimider, menacer, agresser, frapper leurs opposants politiques et décider qui a le droit d’exister, et qui doit se terrer et se taire ?
Cela n’est possible que parce que l’appareil d’État protège les agresseurs gauchistes, parce qu’ils exécutent les basses œuvres qui rendent service au pouvoir politique.
Des voix s’élèvent parmi les rangs habituellement européistes, c’est-à-dire tous ceux qui sont, soit ouvertement pour notre maintien dans cette organisation bureaucratique à tendance autoritaire, ou ceux qui se prétendent souverainistes tout en refusant l’idée de quitter ce machin oppressif. Là, devant la capitulation, ou le consentement traître, de Von-der-Leyen face à Trump, concernant les droits de douane, les seconds ne sont pas contents, et ils le disent, non mais… On s’est fait rouler dans la farine, cela ne fait jamais que des années, cet accord va désavantager nos produits, pour sauver ce qui reste de l’industrie allemande. Donc ça grince, ça renâcle et contre cet état de fait ces personnes proposent quoi… Eh bien que l’on ne suive pas ses directives. La bonne blague, c’est oublier que les lois de l’UE s’imposent à tous les pays membres, c’est faire comme si on ne savait pas que nous n’avons plus notre mot à dire, sauf à entrer en dissidence, c’est-à-dire s’opposer farouchement aux décisions qui vont contre les intérêts de la France, en gros, toutes.