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anti-national - Page 109

  • De la discrimination positive à la préférence allogène.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Après l'annonce, fin janvier, par le Premier ministre, Jean Castex, du versement de 3,3 milliards d'euros en faveur des "quartiers défavorisés" inscrivant ainsi ses pas dans ceux de tous ses prédécesseurs engagés au service de la ruineuse et folle "politique de la ville" qui, en trente ans a coûté au contribuable français - en pure perte - plus de 50 milliards, c'est au tour du Président de la République de se lancer dans la course républicaine à l'échalote du meilleur défenseur des droits des minorités et du plus ferme partisan de la lutte contre la "discrimination". À moins de quinze mois de la Présidentielle, il s'agit pour la macronie de soigner son flanc gauche.
    En déplacement à Nantes ce jeudi, Emmanuel Macron devant les étudiants de l'Institut régional d'administration (IRA) a donc annoncé plusieurs mesures pour promouvoir plus de diversité sociale et culturelle dans la haute fonction publique. Le nombre de places destinées aux étudiants des quartiers défavorisés ou ruraux va être augmenté de 1.000 pour passer à 1.700 et des accès leur seront réservés dans cinq grandes écoles publiques, dans la limite de 15 % du nombre de reçus via le concours externe. 
    Au moment où une grande école comme Sciences Po sombre dans le chaos après son ouverture idéologique aux "minorités" et son adhésion aux pires courants de la déviation sociétale, on peut craindre le pire pour une administration qui fut jadis une fierté nationale et qui devient petit a petit une des principales forces de sapement de l'Etat et de l'ensemble de la société française.
    Sarkozy avait déjà rêvé d'installer la discrimination positive comme principe d'action et avait entamé un processus largement développé par Hollande. Macron, lui,  fait de la préférence allogène une urgence sociale et la place au centre même de nos Institutions.
  • Pourquoi cette gouvernance par la peur ?

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    L’oligarchie mondiale aux prises avec une profonde crise de surproduction, d’augmentation de la dette publique et de baisse des taux d intérêts prépare un nouvel ordre mondial (NOM) incluant le grand reset financier. Il lui faut obtenir notamment la baisse des salaires et des retraites et attaquer les économies des épargnants.

    Ne pouvant obtenir le consentement que d’une minorité non ou peu concernée par la baisse prévisible du pouvoir d’achat des masses, elle a mis en place une gouvernance basée sur une propagande orchestrée par des medias, propriétés d’une poignée de multimilliardaires, fondée sur la peur.

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  • De l’affaire Duhamel à la démission du directeur de Sciences Po : portrait de l’oligarchie

    Le directeur de Sciences Po, Frédéric Mion, a donc fini par démissionner à la suite des révélations de Marianne puis de celles du Canard enchaîné sur ses mensonges dans l’affaire Duhamel. Et, tout à coup, c’est un des temples des élites politico-médiatiques qui tremble sur ses fondations. Ou plutôt sur sa Fondation, celle dont Olivier Duhamel a quitté la présidence, confiée par intérim à Louis Schweitzer, et qui se retrouve désormais privée de son administrateur. Un salutaire nettoyage des écuries d’Augias, penseront tous ceux qu’horrifie le silence pudique utilisé comme arme des puissants pour garantir l’impunité et perpétuer un pouvoir. Et l’occasion, peut-être, de comprendre quel rôle joue l’Institut d’études politiques dans la perpétuation d’un système oligarchique dont le principal fait d’arme est l’émergence d’une défiance profonde des citoyens envers les institutions et leurs représentants.

    Marianne

    https://www.tvlibertes.com/actus/de-laffaire-duhamel-a-la-demission-du-directeur-de-sciences-po-portrait-de-loligarchie

  • Menacé par les islamistes – Didier Lemaire : “Je constate que la République a failli à Trappes”

    Didier Lemaire

    Ce professeur a été placé sous protection policière à Trappes après des menaces. Didier Lemaire, professeur de philosophie à Trappes (Yvelines), était l’invité de Patrick Roger le 8 février dans l’émission “C’est à la une” sur Sud Radio.

    Didier Lemaire est professeur de philosophie à Trappes (Yvelines) depuis vingt ans. Dans son lycée, il alerte quant à la montée d’un radicalisme islamiste. Lui qui avait écrit après la mort de Samuel Paty, a-t-il peur, aujourd’hui, et envie de jeter l’éponge ?

    Plus je m’expose, plus ma sécurité est en jeu

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  • Clientélisme LR auprès des barbus

    Clientélisme LR auprès des barbus

    Du Canard Enchaîné :

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  • Le régime Macron ? Une démocrature

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    La loi Sécurité globale soulève de vives inquiétudes. Elle n’est pourtant que le dernier rejeton d’une lignée de lois liberticides que le régime de Macron produit avec régularité, quand il n’est pas occupé à réprimer violemment la contestation. L’extrême centrisme est un autoritarisme.

    Liberté d’informer menacée. Extension du domaine de la surveillance de masse. Mise au pas de la presse. Impunité croissante des forces de l’ordre. Répression policière des opposants : le récent vote du projet de loi Sécurité globale nous a offert un concentré de l’exercice macronien du pouvoir dans le texte comme dans la pratique.

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  • Claire Koç valide par son parcours les analyses d’Éric Zemmour et nous appelle tous au sursaut

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    Connaissez-vous Claire Koç ? Retenez bien son nom – mais aussi son prénom – car ils vont faire parler d’eux et d’elle durant les prochains jours et au-delà. Son compte Twitter la présente ainsi : « Journaliste @franceinfo, passionnée par le savoir-faire français et le cinéma. » Ce même compte arbore le tableau de Delacroix qui a valu à Boulevard Voltaire une coupure de courant. Son tweet épinglé : « J’entends de jeunes journalistes en devenir m’expliquer qu’ils veulent être journaliste pour “dire la vérité”. Non. Notre métier est de rapporter des faits. Nous ne sommes ni juges ni avocats, nous ne sommes pas là pour faire justice. Encore moins pour dire ce qu’il faut penser. » Le décor est planté, et il est avenant.

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  • «Oligarchie», «réseau occulte» ? Des Gilets jaunes dévoilent la liste des membres du Siècle (mars 2020)

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    Un groupe de Gilets jaunes se présentant comme les «Gilets jaunes constituants» a dévoilé un document du club Le Siècle, dans lequel sont mentionnés l'ensemble des membres, réunis en février. De nombreuses personnalités y figurent. Les «Gilets jaunes constituants» ont divulgué le 5 mars un document dévoilant la liste complète des invités du club d'influence Le Siècle, à l'occasion de son 831e diner le 26 février 2020. Selon eux, le document en question leur a été remis par une source interne pour «aider le combat [des] Gilets jaunes».
    En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/72082-oligarchie-reseau-occulte-gilets-jaunes-devoilent-liste-membres-siecle

  • Le Samedi Politique avec Xavier Raufer – Pédophilie : la chute des intouchables ?

    Cette semaine, « Le Samedi Politique » s’intéresse à un sujet particulièrement sensible : les affaires de pédocriminalité qui touchent des personnalités de l’élite parisienne.

    Les révélations de Camille Kouchner des viols présumés d’Olivier Duhamel sur son frère jumeau (fils de Bernard Kouchner) remettent sur le devant de la scène des pratiques criminelles de certaines personnalités bien connues du grand public. Olivier Duhamel, grand constitutionnaliste, patron du Siècle, de la fondation Sciences Po, tête pensante de l’école du même nom… dont il a démissionné… Olivier Duhamel a également été conseiller du président du Conseil constitutionnel. L’homme a donc trainé dans les plus hautes sphères d’influence.

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  • Une conspiration contre Trump ? Le Time révèle les dessous d’un vaste plan contre The Donald

    Trump a crié à la fraude, à la conspiration menée par toute la bien-pensance universelle contre lui afin qu’il perde les élections. Le monde s’est moqué de lui, l’a traité de complotiste, a diabolisé ses soutiens. Tout le monde se souviendra des graves allégations de fraude formulées par l’équipe juridique de Trump au lendemain de la victoire de l’opposant démocrate, qualifiées de théories de « conspiration » et sans fondement. « Ils nous ont volé les élections », avait déclaré Trump devant ses partisans le 6 janvier. Et pourtant…

    Tout à leur victoire, les opposant à Donald Trump se lâchent et ne cachent plus les sombres manœuvres entreprises pour empêcher que l’ancien président des Etats-Unis ne fasse un second mandat à la Maison Blanche.

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