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anti-national - Page 421

  • I-Média n°244 – Yes, la meuf est porte-parole

    Yes, la meuf est porte-parole

    Sibeth Ndiaye est le nouveau porte-parole du Gouvernement. Cette fille de la haute-bourgeoisie sénégalaise n’est devenue française qu’en 2016. Entre vulgarité et agressivité, voilà qui promet !

    Zapping

    Coup de chapeau à Sonia Mabrouk qui a tenu tête à Bernard-Henri Lévy en lui rappelant son soutien au criminel Battisti.

    Agression « transphobe » : Padamalgam pour tous !

    Même si une agression « transphobe » a lieu en plein milieu d’une manif d’Algériens, hors de question pour les journalistes de faire des amalgames.

    Tweets

    Et si la plus grande victime de la loi anti-fausses nouvelles était en fait… LREM ?

    Le Pen face à Hanouna, papy sympa

    Cyril Hanouna a interrogé Jean-Marie Le Pen. Pour de nombreux médias, l’animateur vedette a rendu l’homme politique trop sympathique.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n244-yes-la-meuf-est-porte-parole

  • Gilets jaunes ep.3 pour mars 2019 – Revue Militant

    #GiletsJaunes #Nationalisme #Militant – XXII ème entretien-vidéo de la Revue Militant réalisé pour fin mars 2019 avec André Gandillon assisté de F. Rouanet (https://francenationaliste.wordpress.com) et de J. Lamour.

    Sommaire séquentiel :
    0:43 Introduction des sujets.
    1:56 Mépris de la classe dirigeante contre la population.
    27:31 Sociologie de la révolte populaire.
    1:06:18 Proposition et récuperation des Gilets Jaunes.
    1:21:14 Crise et réaction. Conclusions nationalistes à tirer des évènements.
    1:36:43 Critiques constructives de nos internautes.
    1:41:20 Suivez et soutenez la Revue Militant !

    Le montage a été renouvelé légèrement depuis ces quelques années de production sans changement. Deux caméras sont rivées sur l’élément principal pour une première, agrémenté également de quelques images.

    https://florianrouanet.wordpress.com/2019/03/26/gilets-jaunes-ep-3-pour-mars-2019-revue-militant/

  • Super-Flic de Grand Président est-il un menteur ou un délirant ?

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    Bernard Plouvier

    L’excellent site Breizh Info (cliquez ici), dans l’édition du soir du mercredi 3 avril, nous informe de la dernière prestation théâtrale de notre distingué ministre de l’Intérieur et des Cultes : selon cet homme, en principe bien informé de toutes les questions touchant à l’ordre public, le Gilet Jaune agressé à Besançon « a été poussé »... et rien de plus !

    Après tout pourquoi pas ? D’autant que 20 épisodes pour accoucher de la souris « Grand Débat » et de cadeaux fiscaux, illusoires car temporaires, ça suffit !

    Objectivement, il est temps de passer aux choses sérieuses : la lutte contre l’immigration incontrôlée et l’insécurité subséquente, la lutte active contre la désertification industrielle de la France et l’inefficacité du système d’Instruction Publique, qui génèrent un chômage massif de longue durée... bref, tout ce qui empoisonne la vie des Français honnêtes.

    L’ennui, c’est que Grand et Génial Président a remplacé un ministre de l’Intérieur un peu usagé par un joueur de poker et que même s’il n’est de sot métier, l’on voit parfois de sottes gens.

    De fait et tout bien considéré, on ne sait plus trop si son excellence Castaner joue au poker menteur ou s’il délire totalement... en clair, s’il se moque de nous ou s’il a pleinement « perdu les pédales », comme d’autres membres de l’entourage présidentiel.

    En effet, notre ministre faisait référence à ce qui s’était passé le samedi 30 mars, au Quai Veïl-Picard de Besançon. Or, un honnête citoyen avait filmé l’agression du dit GJ par un « policier » fou de rage et l’argumentation du Grand Ministre ne tient plus, mais alors plus du tout !

    Le GJ regarde des policiers charger ses co-manifestants et se présente dos tourné à son flic-agresseur. Il regarde et ne fait strictement RIEN, ni jet de pierre, ni hurlement : il contemple médusé les violences policières et se fait agresser d’un violent coup de matraque par un fou en uniforme (car ce lâche cogneur, on ne peut le désigner comme étant un policier, un homme « des forces de l’ordre »). Il s’agit d’un acte de pure brutalité d’un voyou sur un manifestant CALME.

    Il en est résulté un traumatisme crânio-facial... que notre Castaner des familles réduit à un simple effet de poussée.

    Ou bien Castaner nous prend pour des abrutis incapables d’aller consulter les vidéos qui circulent sur le Net. Ou bien, assuré comme ses confrères ministres et députés macroniens, d’être en place pour longtemps et assurés d’une quasi-impunité, il a perdu tout bon sens et prend ses désirs pour des réalités.

    Mensonge ou délire ? Dans les deux cas, cet homme n’est pas un démocrate et n’est en aucun cas apte à gérer le Bien Commun. Les prochaines élections doivent être un raz-de-marée démocratique contre Macron et ses collaborateurs au comportement de mafieux : brutalités gratuites, mensonge et omerta.

    Que Macron et ses sbires aillent « administrer » ailleurs, mais pas la France, autrefois Terre des Lois... Au fait, va-t-on voir un honnête magistrat condamner le flic-voyou et sanctionner le ministre menteur ou délirant ? Bof, il ne faudrait pas trop y compter !  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/04/super-flic-de-grand-president-est-il-un-menteur-ou-un-delira-6141297.html

  • Place de la République : sous les pavés… la charia ?

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    Cela crèverait les yeux de l’observateur le plus sceptique, tous l’ont vu, tous l’ont pensé mais combien l’ont écrit ? La scène de cette personne transsexuelle molestée par une poignée d’individus au cœur de la foule a fait le tour du web et révolté l’intégralité de la caste médiatique.

    « Transphobie ordinaire, lutte contre la haine… » tous les poncifs habituels y sont passés, à l’exception d’un seul. A chaque agression envers la communauté LGBTQIAZERTY, il se trouvait toujours quelque ministre zélée ou quelque procureur d’opérette pour désigner cette intolérable montée de l’homophobie due au discours de la Manif pour tous. Mais ici, ils n’auront pas osé. Car, dans les tourbillons de cet odieux lynchage, flottaient les drapeaux algériens. Ici, ces racailles binationales (pardon ces personnes racisées victimes de discriminations) n’auront même pas la joie d’être désignées comme telles a contrario de leurs homologues (d’après Marlène Schiappa) de la Manif pour tous. Nos confrères journalistes parleront pudiquement de « personnes », de « foule » ou encore « d’individus ».

    Et là, nous imaginons sans peine les pensées apeurées de tel ou tel pigiste : « Pourvu que cet article ne serve pas d’argument aux islamophobes. »

    Qu’il se rassure, lui et tous les autres, SOS Homophobie a tweeté « Que cela ne serve pas de prétexte aux discours racistes ou xénophobes de celles et ceux qui ne défendent les personnes LGBT que quand leurs agresseurs sont racisés. » On n’ose imaginer le procès médiatique qui aurait été fait si ces agresseurs portaient un signe distinctif de la Manif pour tous, on n’ose subodorer les réactions emphatiques et dégoulinantes des observateurs condamnant d’un seul geste les fautifs, les responsables et toutes leurs descendances sur douze générations.
    Vivre-ensemble à deux vitesses

    Paradoxalement, la veille sur le réseau social Twitter, le militant identitaire Clément Galant postait la photo d’une famille de Clichy-sous-Bois : le père, la mère et les quatre enfants dont des fillettes en bas âge intégralement voilées. Ce dernier alertait donc sur le nouveau visage de Clichy qui n’avait, peut-on le nier, strictement rien de réjouissant. Las, Clément Galant se prit instantanément une avalanche de critiques de journalistes bien blancs et bien implantés entre Saint-Cloud et le VIIe arrondissement qui ont préféré s’extasier sur cette famille heureuse. Ceux-là mêmes qui sont incapables de faire une corrélation entre l’explosion de l’immigration musulmane et l’augmentation drastique des actes antisémites, homophobes, transphobes et anti-blancs. Ceux-là mêmes qui s’obstineront à ne pas voir ce qui leur crèvent la vue à savoir des drapeaux algériens environnant cette malheureuse victime perdue au milieu de ses bourreaux.

    Ces mêmes journalistes qui prônent chaque jour et de concert une immigration massive, le vivre-ensemble et l’inclusivité, ces mêmes journalistes dont on rit car ils déplorent les effets dont ils chérissent les causes.

    Etienne Defay

    Article paru dans Présent daté du 3 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Marine Le Pen à une journaliste d’Euronews : «Merkel s’en mord les doigts d’avoir accueilli 1M de migrants et commence à serrer toutes les vis»

    Marine Le Pen (RN) à Sophie Claudet (Euronews) : «L’Allemagne s’en mord les doigts aujourd’hui d’avoir accueilli 1M de migrants et Mme Merkel est en train de serrer toutes les vis, il n’y a qu’un malheur, c’est que quand Mme Merkel fait venir 1M de personnes, il y en a combien de centaines de milliers qui se retrouvent après en France ?»
    – Euronews, 3 avril 2019

    (À partir de la 14ème minute)

    http://www.fdesouche.com/1186545-marine-le-pen-a-une-journaliste-deuronews-merkel-sen-mord-les-doigts-davoir-accueilli-1m-de-migrants-et-commence-a-serrer-toutes-les-vis
  • Clarifications

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    On doit à Emmanuel Macron et à ses ministres plusieurs clarifications importantes.

    Je ne parle pas de ses envolées lors du débat avec les intellectuels, où les « externalités climatiques négatives » rejoignaient les « impacts négatifs d’un système productif » annihilant sans doute le « pouvoir d’évaluation des politiques publiques », ce qui était d’ailleurs sans gravité car « le phasage tel qu’il a été décidé crée une primauté de la fonction présidentielle » dans une « maïeutique à ciel ouvert » (merci à Slate pour son compte rendu).
    On l’aura compris, il s’agissait moins là de clarifier les choses que de les emporter dans l’empyrée des concepts et en même temps de les poser comme soubassements d’une nouvelle civilisation. Vaste programme. Non, la clarification c’est la manière dont le président de la Ve République a définitivement montré que ses institutions ne servaient à rien. La démocratie représentative a vécu, et sans doute la démocratie elle-même. Voilà plusieurs semaines, plusieurs mois que le Parlement assiste sans bouger à l’organisation d’une consultation directe des Français où les représentants ne servent à rien, sinon à parfois réserver les salles. Chaque corporation s’est emparée du Grand Débat pour y participer ou le décliner en version Medef ou Beaux-Arts, un peu comme ces cuisiniers médiatiques qui revisitent la blanquette, et le président lui-même s’est affranchi joyeusement de la règle qu’il avait posée en cannibalisant les réunions où personne ne parle sinon lui, ses ministres lui servant de porteurs d’eau, et en faisant en sorte que les journaux ne parlent que de ses performances puis de ses possibles arbitrages puis du rythme et des séquences de son quinquennat. Le magicien a fait disparaître les représentants et éclipsé le peuple, bravo l’artiste !

    La démocratie représentative a vécu 

    Bruno Le Maire est admirable de constance. À chaque fois que l’Union européenne retoque ses projets fiscaux, sociaux et industriels, il l’accuse d’être une institution aveugle et sourde, insensible aux mouvements du monde et impuissante à s’adapter, refusant tout à la fois de comprendre les enjeux nationaux et d’assurer la défense des intérêts européens – ce qui est logique puisqu’il la suppose incapable de les discerner et de les définir. Les européistes, de leur côté, avec la même constance, expliquent que l’Union européenne protège, défend, et enrichit puis se dépêchent, les uns de ne pas acheter à Arianespace ses vols spatiaux, les autres de ne pas acheter les armes françaises, tous de ne pas taxer les GAFA et ils appellent la France à ne pas traiter ses manifestants comme des Vénézuéliens moyens. Alors Bruno Le Maire explique que les nations sont souveraines puis appelle à voter aux Européennes pour empêcher les nationalistes de défendre les intérêts nationaux et pour empêcher les populistes de réformer l’Union européenne. Quant aux éditorialistes de France Culture, ils expliquent que voter aux Européennes signifie voter contre Marine Le Pen et pour Macron, achevant eux aussi de nationaliser ce scrutin international. Utiles dévoilements des perspectives dans laquelle chacun considère l’Union.

    La dictature de la richesse sans frontière et sans frein 

    Bernard-Henri Lévy considère, dans un journal belge, que le vote des populistes n’est pas à prendre en compte, les adversaires de Trump considèrent que l’enquête qui le blanchit ne prouve rien, les partisans du remain considèrent qu’ils ont raison contre le référendum et qu’il faut donc empêcher le Brexit par tous les moyens légaux ; tous sont démocrates. Démocrate comme Macron qui considère que les Français n’ont pas le choix et pose l’alternative « le chaos ou moi » – alors que le chaos et moi serait plus macronien et plus juste, à considérer les rues. La démocratie ne se confond ni avec la république, ni avec les formes républicaines, ni avec le pouvoir. Voilà l’ultime et la plus nécessaire clarification. Ceux qui détiennent la puissance ne veulent pas que son usage soit limité : les journaux doivent être plus puissants que les faits, la justice doit se plier aux ordres, le peuple ne délègue aucun pouvoir, il doit faire preuve de son allégeance à des intérêts supérieurs que seule l’élite comprend.
    « Les pauvres sont faits pour sentir, les riches pour comprendre et en abuser raisonnablement », disait Marcel Aymé dans son Confort intellectuel. C’était avant. Maintenant que les riches sont au pouvoir, ils réclament d’abuser déraisonnablement de leurs privilèges et ils réclament qu’on les acclame : qu’on proteste, qu’on les suspecte, qu’on les contredise, qu’on les déteste leur est insupportable. La dernière liberté dont jouissait le peuple, ils méditent de la lui enlever. Car le pouvoir n’est pas synonyme de consensus ou de dialogue, surtout quand il vise à établir la dictature de la richesse sans frontière et sans frein.  

    Philippe Mesnard

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/04/02/clarifications-6140802.html

  • Les Black Blocs, ces enfants de bourgeois qui se donnent des frissons

    Les Black Blocs, ces enfants de bourgeois qui se donnent des frissons

    Samuel Pruvot a enquêté pour Famille chrétienne sur les Black Blocs. Une source du ministère de l’Intérieur lui indique :

    «Ces jeunes sont en général issus des classes moyennes ou supérieures. Ils sont instruits et ils ont les moyens de se déplacer à l’étranger pour commettre leurs méfaits. »

    Nos dirigeants politiques ont-ils pris conscience des dangers ?

    «Ils ont pris la décision de dissoudre certains groupes d’extrême droite, mais ils font preuve d’un certain laxisme avec l’ultragauche. Il est temps pour eux de s’attaquer à ces groupuscules nocifs et toxiques qui constituent le vivier de recrutement des black blocs. Certains pensent encore, à tort, qu’il faut que jeunesse se passe… »

    Jacques de Guillebon ajoute :

    «Refusant les voies du parlementarisme comme celles qu’offre la société – famille, école, Église –, assimilées à des instruments de domination, il ne leur reste plus que cette voie-ci. » «Ayant moi-même, jeune, participé à ce type de manifestations, alors contre la mondialisation, je conçois la fièvre qui peut saisir le manifestant et quelle jouissance il y a à détruire des “symboles du capitalisme”. Mais là, c’est de toute évidence organisé, voulu, planifié, et c’est le fait d’enfants de bourgeois qui se donnent des frissons. »

    https://www.lesalonbeige.fr/les-black-blocs-ces-enfants-de-bourgeois-qui-se-donnent-des-frissons/

  • Pour un 1er mai jaune et noir ! Acte Ultime : Paris, capitale de l'émeute

    « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs » 
    Article 35 - Déclaration des droits de l'homme et du citoyen
    Le gouvernement macronien s'est mis en tête de briser la contestation sociale actuelle par la force, atteignant un niveau de répression encore jamais vu jusqu'alors: Interdictions de manifester, déploiement de militaires, utilisation de blindés, utilisation de marqueurs chimiques et d'armes de guerre face aux manifestants, peines d'emprisonnement à la pelle, mains arrachées, manifestants éborgnés...
    Lors de la manifestation du 1er mai 2018, la Préfecture de Police dénombrait 14 500 manifestants "en marge du cortège syndical" (soit presque autant que dans le cortège traditionnel) dont 1 200 "individus radicaux".
     Le 16 mars dernier, lors de l'acte 18, c'était 1 500 "ultras violents" qui étaient présents parmi les 7 000 manifestants selon les chiffres de cette même police.
    Aujourd'hui, ce qui fait peur à l'État, ce ne sont plus les émeutiers eux-mêmes, mais bien l'adhésion et la compréhension qu'ils suscitent parmi le reste de la population. 
    Et ce malgré les appels, semaine après semaine, à se dissocier des "casseurs".
    S'il y a bien un groupe qui frappe actuellement la France de toute sa violence, ce n'est pas le Black Bloc, ce ne sont pas non plus les Gilets Jaunes, c'est bel et bien le gouvernement lui-même.
    Nous lançons un appel à tous les révolutionnaires de France et d'ailleurs, à tous ceux qui veulent que cela change, à venir former un cortège déterminé et combatif. 
    Car si la répression s'abat sur toutes et tous, notre riposte doit être commune et solidaire.
    Contre Macron et son monde, prenons la rue tous ensemble pour faire revivre la convergence des colères et des espoirs.
    Préparons nous, équipons nous, organisons nous, pour le renverser et lui faire revivre une journée en enfer.
    La guerre est déclarée ! 
    Facebook.

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/04/pour-un-1er-mai-jaune-et-noir-acte.html

  • La bonne nouvelle du jour : les complices de l’immigration clandestine en grève

    La bonne nouvelle du jour : les complices de l’immigration clandestine en grève

    Les associations de soutien aux migrants se mettront « en grève » le 9 avril :

    Une vingtaine d’associations et de collectifs d’aide aux migrants ont annoncé mercredi qu’elles comptaient suspendre leurs interventions à Paris et en proche couronne, mardi 9 avril, pour dénoncer « l’action des pouvoirs publics » face à cette situation « dramatique ».

    « Depuis plus de trois ans un cycle infernal fait de campements, de démantèlements, de dispersions et de harcèlements se développe dans le Nord-Est de Paris et dans son immédiate périphérie, avec à chaque fois une violence accrue », affirment dans un communiqué ces associations, parmi lesquelles Médecins du monde, Emmaüs France et le Secours catholique.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-bonne-nouvelle-du-jour-les-complices-de-limmigration-clandestine-en-greve/

  • Un antiracisme coupable du délit de bêtise…, par Philippe Bilger

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    Des étudiants et des militants de la cause noire ont empêché par la force la tenue d’une pièce d’Eschyle, Les Suppliantes, au motif que des acteurs blancs portaient des masques sombres ou étaient grimés en noir” (Le Monde).

    Ces étudiants appuyés et soutenus par le CRAN jamais en retard d’un combat absurde dénonçaient le “blackface”, un procédé qui consistait à exhiber et à ridiculiser des Noirs pour amuser les Blancs.

    Pour le metteur en scène Philippe Brunet, helléniste passionné, il s’agit “d’une forme d’ordre moral imposé de force“. Il récuse à juste titre l’accusation d’avoir voulu tourner en dérision les Noirs alors que dans le théâtre antique, le masque est constamment utilisé et que faute de budget et de temps, il n’a pu faire porter aux comédiens les masques dorés initialement prévus.

    Par ailleurs, la tragédie d’Eschyle est aux antipodes du sarcasme et de la discrimination : elle se contente d’être une grande oeuvre universelle.

    Philippe Brunet, la pièce ayant dû être annulée, s’interroge sur un dépôt de plainte ou non. Ces censeurs se rengorgeant face au succès de leur intervention, la plainte marquerait un coup d’arrêt et l’expression du refus de céder à cette scandaleuse intimidation (Le Figaro).

    Que tirer de cette lamentable péripétie ?

    D’abord l’absence de culture, radicale, de ces étudiants et militants. Ils ignorent tout et ont remplacé le savoir par un esprit vindicatif compulsif mettant sur le même plan des démarches douteuses et racistes qui ont existé et des manifestations honorant le théâtre et n’offensant en aucun cas ce qu’ils sont.

    C’est de la bêtise dans sa quintessence.

    Mais, comme ce groupuscule et le CRAN sont prétendus progressistes, de gauche et forcément admirables puisqu’ils mettent en cause un racisme, aussi imaginaire soit-il, ils ne sont pas traités comme ils le mériteraient : pour des ignares que l’idéologie a rendu délirants. Il y a encore un zeste de révérence pour ces obsessionnels de la race. Au point de faire ressembler leur antiracisme à une lamentable pantalonnade tristement contre-productive.

    Tentons de deviner quelles seraient les réactions si l’extrême droite ou le catholicisme conservateur, face à d’authentiques indignités, se révoltaient et faisaient annuler une pièce emplie de toutes les nauséabondes audaces que l’air du temps adore : la prévision est facile, ce serait un lynchage politique et médiatique contre ces rustres incapables d’apprécier les vrais, les grands spectacles.

    Deux poids deux mesures à l’évidence.

    Cessons de gratifier en l’occurrence ces étudiants et le CRAN de quoi que ce soit d’autre que de bêtise !

    Il faudrait inventer ce délit pour eux.

    Philippe Bilger

    Texte repris du site Philippebilger.com

    https://fr.novopress.info/