
Alors que l'enquête se poursuit, ce dimanche, sur l'attaque au couteau d'une femme juive, chez elle, à Lyon, la députée de La France insoumise Mathilde Panot a, le jour même, sur X, accusé « l'extrême droite » de « semer le chaos » en France.
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En Allemagne aussi, les manifestations s’accumulent pour protester contre la guerre entre le Hamas et Israël. Les autorités ont notamment constaté que les déclarations antisémites lors des manifestations pro-palestiniennes se multipliaient. Face à cette vague de violence, la police tente de faire son travail. Mais elle semble être à bout de nerfs.
27/10/23
Le traitement du conflit a donné lieu à l’envoi mardi dernier d’une note de service de la direction de l’AFP intitulée « consignes éditoriales sur la couverture de la guerre entre Israël et le Hamas » à laquelle Le Figaro a pu avoir accès. On y lit notamment que le Hamas peut être désigné comme un « mouvement islamiste palestinien », mais qu’il faut parler de « combattants du Hamas » et pas d’ « islamistes du Hamas ».
Le qualificatif « terroriste » est « proscrit » s’agissant du mouvement palestinien pour les journalistes de l’AFP, dont la « mission », précise la même note, est de « rapporter les faits sans jugement sur des groupes ou des individus ». Les rédacteurs sont autorisés à mentionner que l’organisation palestinienne est « qualifiée de “terroriste” par les États-Unis, l’Union européenne et Israël ». Si les circonstances les conduisent à utiliser le terme « crimes de guerre », il leur est conseillé de « rappeler que selon des experts juridiques interrogés par l’AFP les deux camps pourraient être accusés de crime de guerre ».
Joint par Le Figaro Phil Chetwynd, directeur de l’information de l’AFP, a justifié le non-emploi du qualificatif de terroriste en nous expliquant que le « mot a perdu son sens ». Selon lui, « tous les gouvernements autoritaires du monde utilisent le mot pour parler de leurs opposants, par exemple. Nous privilégions les faits dont nous pouvons témoigner nous-mêmes. La description détaillée des attaques atroces en Israël est claire pour le lecteur ».
C'est un nouvel épisode de l'emprise des dealers sur certains quartiers de Nîmes (Gard) que révèle Le Parisien, ce samedi 28 octobre. Le quotidien donne la parole à un habitant du quartier de la cité populaire du Mas de Mingue, à Nîmes : « Je ne peux plus rentrer chez moi. La police m’a dit que je risquais ma vie. Je n’ai plus de logement, j’ai dû quitter mon quartier. » Cet homme de 47 ans est désormais réfugié, depuis la mi-octobre, dans un hébergement d’urgence, car il a été chassé de chez lui par des dealers.
Michel Onfray
La liberté d’expression est morte depuis qu’elle est devenue, pour les tenants du gauchisme culturel, la liberté d’interdire d’expression quiconque ne pense pas comme eux. On ne compte plus les atteintes à cette liberté : interdiction à tel ou tel de donner une conférence, défense de réunir ses lecteurs dans une salle publique, une bibliothèque, une librairie, à l’École normale supérieure, à Science Po, dans des universités.
Bernard Germain
Erwan Chartier vous ne voyez pas de qui il s’agit ? C’est le rédacteur en chef du petit journal gauchiste « Le Poher » qui doit tirer à 1 000 ou 2 000 exemplaires par semaine et qui est basé pas très loin de Callac.
Ces derniers temps on voyait beaucoup le « résistant » Erwan Chartier sur les plateaux télé et dans la presse. Pensez donc il a même écrit un livre, un petit livre d’après ce que j’ai vu lorsqu’il l’a montré au cours d’une émission à sa gloire, sur FR3 me semble-t-il. Il paraît que dans ce livre il parle de la résistance notamment FTP (communiste) à Callac durant la seconde guerre mondiale et fait d’après ce que j’ai compris un parallèle avec le combat mené à Callac pour la venue de migrants et contre les horribles « fachos ».