Voici un fait divers qui en dit long sur l'état des libertés publiques en France, celle d'exprimer une opinion en restant pacifique et non violent. Etat des libertés publiques ou peur des pouvoirs publics d'un peuple qui en a marre d'avaler les couleuvres de la délinquance et des incivilités, en particulier celles des "bandes de jeunes". L'affaire de Crépol/Romans-sur-Isère en est un exemple typique.
anti-national - Page 40
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Témoignage sidérant d’une garde à vue pour un « collage d’affiches »
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Paris, Lille, Maraussan… après Crépol, les agressions se poursuivent
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Pourquoi l’État matraque les gens bien et laisse proliférer délinquance et terrorisme ordinaire
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L’Europe et ses directives stupides accélèrent les faillites et les délocalisations
Le processus de la construction européenne est une chimère destructrice.
Macron nous a promis une année 2023 sous le signe de la réindustrialisation en attendant une «grande année» 2024. Mais rien ne s’est produit hormis un taux de chômage record et une cascade de faillite même si on nous parle de balance positive de création d’entreprises.
Les emplois crées ne sont que des postes précaires tournés vers les services, alors que l’industrie subit toujours l’irresponsabilité de la hausse du prix de l’énergie et une inflation galopante. Dans ces conditions il ne peut y avoir de création notre outil économique est détruit.
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Après l’assassinat de Thomas : Panique au « Château » ?
Par Olivier Perceval
Un expert de l’élevage canin me disait un jour : « Quand un chien aboie furieusement jusqu’à mordre, c’est le plus souvent le maître qui est responsable. »
La saillie du garde des sceaux, mardi à l’Assemblée n’est-elle pas révélatrice de la panique qui s’empare aujourd’hui du patron de l’Élysée, devant la montée de la grogne de la France périphérique face à l’insécurité qui se répand dans tout le pays, fruit d’une obsession immigrationiste, et d’un échec des procédures d’intégration ?
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Attaque de Crépol : Nos premiers ennemis sont des Blancs
Chronique de Paysan Savoyard
(n° 308 – Novembre 2023)
La façon dont l’attaque de Crépol est traitée par le Système, ses politiciens, ses procureurs et ses médias, illustre une fois de plus cette réalité tragique : les premiers ennemis des Français de souche sont des Français de souche eux aussi. Nos premiers ennemis sont nos dirigeants et tous ceux qui les approuvent, les élisent et exécutent leurs ordres. Nos premiers ennemis sont des Blancs.
C’est ainsi que, comme à l’habitude, loin de prendre le parti des Français de souche et des règles de vie en vigueur dans une France française, le Système a pour seul souci d’empêcher que l’attaque de Crépol n’aboutisse à la mise en cause de sa politique d’immigration massive.
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Dominique Seux, des Echos, sur les condamnations des manifestations d’ultra-droite par le gouvernement : « La ficelle est un peu grosse. »
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Xavier Patier : « La crise de la République et l’effondrement des partis sont deux expressions d’une seule évolution qui est la perte du sens de l’intérêt commun » [Interview]
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Montargis : quand la France bien élevée relève la tête
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Crépol : pourquoi les désinformateurs ont perdu
Bonne nouvelle : la dénisphère a perdu. Ou presque. Les mensonges des désinformateurs se retournent contre eux. Les Français, longtemps trompés par le récit officiel et la diabolisation des contradicteurs, constatent les désastres qui les accablent. Les gens ne se laissent plus abuser, pour la plupart, par les dénégationnistes qui récusent les réalités dérangeantes. Le 15 mai, j’avais noté, par hasard, ce rappel à l’ordre anodin de Jean-Jacques Bourdin à son interlocuteur, sur Sud-Radio : « Je ne peux pas vous laisser dire (…) ! ». Or ce leitmotiv, repris par beaucoup de modérateurs de débats, est symbolique d’un abus d’autorité qui ne passe plus. Le scandale suscité, lundi, par le commentaire de Patrick Cohen sur France 5, à propos du drame de Crépol (Drôme) illustre l’irritation croissante d’une opinion qui sait débusquer désormais les mécanismes du bidouillage des faits.