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anti-national - Page 581

  • Marks & Spencer vend des voiles islamiques pour fillettes et déchaîne la colère des Britanniques

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    Royaume-Uni – La chaîne de magasins Marks & Spencer suscite une vive polémique après avoir mis en vente sur sa page « Équipement de base pour l’école » des voiles islamiques pour fillettes. La direction de la firme tente de se défendre en déclarant que ses hijabs font partie d’un uniforme scolaire pour jeunes filles musulmanes et correspondent à une demande d’un  «certain nombre d’écoles ».‎

    Les réseaux sociaux s’emballent et de nombreux appels au boycott y ont été lancés.‎

    https://www.medias-presse.info/marks-spencer-vend-des-voiles-islamiques-pour-fillettes-et-dechaine-la-colere-des-britanniques/99286/

  • Pour Louis Aliot, “l’Aquarius doit rester à quai” même s’il retrouve un pavillon

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    Orientales était l’invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC.

    Il est revenu sur la polémique autour de l’action de navire humanitaire l’Aquarius en Méditerranée.

    https://fr.novopress.info/212274/pour-louis-aliot-laquarius-doit-rester-a-quai-meme-si-il-retrouve-un-pavillon/

  • Rififi au Conseil européen

    Rififi au Conseil européen

    Le Conseil européen réunit les chefs d’État ou de gouvernement des 28 États membres de l’UE, le président du Conseil européen et le président de la Commission européenne. Chaque année ce Conseil adopte à l’unanimité le texte qui fait le bilan de l’application de la Charte des droits fondamentaux de l’UE et indique les progrès à réaliser.

    Mais cette année le ministre polonais de la Justice a mis son veto. Le texte ne sera pas un texte officiel de l’UE, mais une simple « conclusion » non officielle…

    Les gardiens de l’idéologie sont furieux.

    « Les Polonais ont bloqué à cause d’un passage sur la communauté LGBT qui ne leur convenait pas, a assuré une source diplomatique, évoquant une situation « sans précédent » et une ambiance « très tendue » à la table des ministres. « Certains ministres présents dans la salle ont dit que c’était une honte. »

    Le ministre polonais a constaté que le texte faisait état des discriminations contre la « communauté LGBT », mais ignorait les discriminations fondées sur la religion, notamment à l’encontre des chrétiens et des juifs. Les autres ministres ont refusé de mentionner les chrétiens et les juifs. Le ministre polonais, Zbigniew Ziobro (qui est un ancien procureur), a donc rejeté le texte.

    On remarquera que le président du Conseil européen, le gauchiste Donald Tusk, est également polonais et qu’il n’est pas pour rien dans la persécution de l’UE à l’encontre du gouvernement polonais actuel.

    https://www.lesalonbeige.fr/rififi-au-conseil-europeen/

  • « Mimi » plus fort que Benalla : le livre qui pourrait faire tomber Emmanuel Macron ?

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    Emmanuel Macron – c’était louable – entendait renouer avec la verticalité du pouvoir, malgré son jeune âge. D’ailleurs, Louis XIV, au début de son règne, n’était pas non plus le faisan de l’année. Avec l’affaire Michèle Marchand se profilant à l’horizon, ce serait plutôt le retour à l’horizontalité des pratiques d’antan, personnalité de cette nouvelle Athénaïs de Montespan oblige.

    En effet, après l’affaire Benalla, Mimi, titre du livre éponyme, signé Marc Leplongeon et Jean-Michel Décugis, respectivement journalistes au Point et au Parisien, annoncé pour le 17 octobre prochain, le temps pourrait durablement se couvrir au Château. Mais qui est « Mimi », dame de 71 ans, qui gère la communication présidentielle depuis plus d’un an ?

    À en croire Le Point« Michèle Marchand, fille de coiffeurs de Vincennes, a été gérante d’un garage du VIIIe arrondissement parisien, femme de voyou et directrice d’un magazine pour amateurs d’armes. En 1986, elle est condamnée à quatre mois de prison avec sursis pour émission de chèques sans provision. Au début des années 1990, elle tient des boîtes de nuit lesbiennes rue de Ponthieu ou porte Maillot, où l’on croise Muriel Robin et Pierre Palmade, des malfrats et des flics dont elle est l’indic. » Il est un fait qu’à ce palmarès comparé, Alexandre Benalla, c’est un peu Bernard Menez, l’imparable caïd des films de Pascal Thomas.

    La carrière de Michèle Marchand ne s’arrête évidemment pas là. Toujours selon les mêmes sources : « Après un retour à la case prison en 1994 pour trafic de cannabis, elle entre à Voici et, déjà grand-mère, y fait une OPA. Virée pour avoir inventé une interview d’un garde du corps de Lady Di, elle reste rédactrice en chef officieuse, tant elle est indispensable. » Mieux que Voici, nous y voilà. Michèle Marchand, à la tête de Bestimage, la société qu’elle fonde dans la foulée, est alors l’une des pipelettes les mieux informées de France. Mais comment expliquer, ensuite, son voisinage de plus en plus intime avec la sphère politique ? Tout simplement parce que les grands de ce monde sont les plus avides des commérages du demi-monde. Qui couche avec qui ? Tel homme est-il véritablement porté sur les femmes, malgré les apparences ? À l’instar des rois de jadis, nos Présidents aiment savoir ce genre de choses ; surtout quand elles peuvent les toucher de près.

    Et c’est ainsi que « Mimi » désamorce les rumeurs parfaitement infondées et relatives à l’homosexualité présumée d’Emmanuel Macron. C’est encore la même qui, sachant tout des liens unissant François Hollande et Julie Gayet, ne fait rien pour empêcher la révélation de cette affaire. Interrogé par les auteurs de ce livre, le prédécesseur de Macron reconnaît : « Vous ne pouvez pas avoir à l’Élysée quelqu’un dont le métier est de faire de la révélation privée. » Étrange mélange des genres, donc. Mais qui s’explique aussi par l’antédiluvienne propension des gens de pouvoir à fricoter avec des personnages qui ne sont pas toujours des enfants de chœur.

    François Mitterrand et Bernard Tapie, Dominique de Villepin et Alexandre Djouri, Valéry Giscard d’Estaing et Michel Poniatowski, Napoléon et Fouché, Nicolas Sarkozy et Patrick Balkany, quoi de commun ? Si ce n’est l’odeur un peu soufrée de la transgression et de l’encanaillement.

    Dans le registre, Michèle Marchand est d’autant plus imbattable que rusée comme un régiment de fouines. Elle sait d’où vient le souffle dominant et, surtout, jusqu’où il peut la porter. D’où des amitiés politico-médiatiques soigneusement mises en scène. Cyril Hanouna, toujours à en croire Le Point, l’appelle sa « deuxième maman », tandis que « Marc-Olivier Fogiel, qui vient de publier un livre sur ses deux filles nées d’une GPA, la remercie pour avoir veillé à ce que son intimité ne devienne pas publique ». Comme madame Mado, la mère-maquerelle des Tontons flingueurs, madame Mimi sait protéger ses arrières.

    On ne lui en voudra pas, tant tout cela relève de « l’ancien monde ». Le problème, c’est qu’un certain Emmanuel Macron s’est hissé à la plus haute marche du podium en voulant abattre ce dernier et en proposer un « nouveau ». Il fallait être aussi naïf qu’un Philippe de Villiers ou la quasi-majorité du troupeau de l’électorat conservateur pour ne pas voir que notre Saint Louis en devenir était, par nature, programmé pour finir comme Paul Deschanel.

    Nicolas Gauthier

    http://www.bvoltaire.fr/mimi-plus-fort-que-benalla-le-livre-qui-pourrait-faire-tomber-emmanuel-macron/

  • La France, abandonnée sous la menace, n’a pas de ministre de l’intérieur, mais le président s’éclate à l’extérieur !

    La France, abandonnée sous la menace, n’a pas de ministre de l’intérieur, mais le président s’éclate à l’extérieur !
  • Renaud Camus : “le Grand Remplacement est le seul problème sérieux”

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    Renaud Camus et Karim Ouchikh ont annoncé qu’ils tenteront de présenter une liste aux élections européennes.

    Dans une tribune publiée dans Valeurs Actuelles, l’écrivain et le président du SIEL (Souveraineté, Identités Et Libertés) affirment que le problème principal est le Grand Remplacement et qu’il existe une seule solution pour combattre ce péril : “la remigration, la décolonisation, la libération du territoire“.

    Extraits :

    La seule frontière qui compte aujourd’hui, c’est celle qui sépare les remplacistes des antiremplacistes, ou réfractaires, ou résistants, ou dissidents (du remplacisme).
    D’un côté de cette frontière, il y tous ceux qui consentent au Grand Remplacement, peu ou prou, ou qui le promeuvent, ou qui l’incarnent, ou qui le nient ; de l’autre il y a ceux qui le refusent de tout leur être, de toute leur chair, de toute leur âme.
    D’un côté, il y a ceux qui acceptent le changement de peuple et de civilisation, soit parce qu’ils en nient l’existence, soit parce qu’ils n’en sont pas dérangés, soit parce qu’il sert leurs intérêts ; de l’autre il y ceux qui aimeraient mieux mourir que de s’y résigner.
    (…)
    Outre la ligne claire, celle qui va du constat du Grand Remplacement à la double exigence de la Remigration et de la Désislamisation, nous disposons d’une arme formidable, que les autres, par définition, n’ont pas : la vérité. On l’a vue renverser des murailles, et défaire d’un coup des systèmes presque aussi redoutables que celui auquel nous avons affaire, et comme lui construits sur le mensonge.

    https://fr.novopress.info/

  • Francophonie = racisme et colonialisme ?, par Francis Bergeron

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    Des idées toujours plus folles

    Dans son introduction à Destin français, Eric Zemmour raconte que les Zemmour étaient une tribu berbère, « une des dernières à se soumettre à la France, bien après la prise de la smala d’Abd el-Kader ». Néanmoins, poursuit Zemmour, « j’avais encore comme ancêtres les Gaulois et mon père bénissait cette filiation ». Rappelons-nous aussi ce dessin d’Hergé, où des enfants congolais lisent la phrase : « Nos ancêtres les Gaulois » sur le tableau noir. Comme l’histoire des Gaulois, la francophonie fait partie d’un passé commun, d’un héritage commun, de valeurs partagées, et cela indépendamment du fait que notre langue se soit propagée par le commerce, par la guerre ou par l’instruction.

    Mais la tenue du 17e sommet de la francophonie a donné lieu, pour la première fois depuis que de tels sommets existent, et pour la première fois depuis que la langue française existe, aux plus saugrenues manifestations d’une contestation du principe même de la francophonie, au nom de l’antiracisme, de l’antifascisme et de l’anticolonialisme.

    La presse de gauche s’est en effet fait l’écho, avec une certaine délectation, de prises de position à l’emporte-pièce de quelques brillants intellectuels, destinées à fustiger le principe même de cette défense et illustration de la langue française : « La francophonie n’est que le résidu archaïque d’une période coloniale révolue », nous dit l’un. Elle « compense symboliquement l’empire colonial perdu […]. Elle a juste transféré les indigènes d’hier en francophones d’aujourd’hui », nous assène un autre. Voilà qui fera plaisir aux 240 millions de personnes qui, de par le monde, outre les Français eux-mêmes, pratiquent cette langue depuis leur naissance !

    A les entendre, le simple concept de francophonie véhiculerait donc racisme, fascisme et pour tout dire colonialisme.

    Comme pour l’écriture inclusive, la musique de Berlioz, les romans de Pierre Loti, ou le mariage pour tous, la gauche, privée désormais de tout repère dans le champ politique, économique, social, financier, se rabat sur de dérisoires tentatives de dynamitage de quelques marqueurs identitaires, y compris donc la langue, prenant ainsi le risque de se marginaliser, voire de se ridiculiser toujours plus.

    « La langue est fasciste » (Roland Barthes)

    Cette offensive antifrancophone repose sur quelques idées fortes, par exemple celle-ci, venue de l’extrême gauche soixante-huitarde, et héritée du maoïste Roland Barthes, pour qui « la langue est fasciste », et bien évidemment d’abord la langue française.

    Chez d’autres francophobiques, cette antipathie à l’égard du français trouve sa source dans le constat que notre langue n’est que la cinquième langue de la planète, après l’arabe. Il est évidemment tentant, pour les tenants de l’islamisme, de jeter l’opprobre sur le français, au profit de l’arabe, même si le recul de notre langue, y compris en terre d’Islam, quand il est constaté, s’opère toujours au profit de l’anglais (voyez le Liban, la Syrie ou l’Egypte).

    Mais les plus francophobiques répondent majoritairement à d’autres motivations, sans doute plus vénales : la France aurait contracté une dette à l’égard de ses anciennes colonies, à cause de la langue française, qui a de fait privé ces peuples de leurs si riches langues ancestrales. Qui dit dette dit réparations financières. Suivez mon regard. L’autodénigrement et le révisionnisme historique, si bien portés chez nos élites, ne sont toutefois pas allés jusqu’à entériner à Erevan, cette semaine, ces discours fortement intéressés.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • La Nouvelle Librairie a subi une nouvelle attaque : les médias complices

    La Nouvelle Librairie a subi une nouvelle attaque : les médias complices

    Juste en face du Sénat, tout va bien dans en macronie :

    Ouverte en septembre dernier, et immédiatement dénoncée par l’Express comme une librairie n’ayant pas sa place au Quartier latin, parce que de droite, la librairie liée à l’excellente revue Eléments, avait subi une première intimidation le 10 septembre lorsqu’un petit groupe de militants d’extrême-gauche avait menacé physiquement le gérant François Bousquet, avant de dégrader la vitrine de la librairie pendant la nuit, comme nous l’avions relaté dans Valeurs actuelles.

    A l’occasion de la venue d’Eric Zemmour dans la librairie, invité à signer son livre Un destin français, mercredi 26 septembre, les antifas, via notamment un autoproclamé Comité d’Action Autonome de la Sorbonne, avaient promis de venir perturber l’événement avant de renoncer face au déploiement conséquent des forces de police autour de la librairie, ce qui n’a pas empêché certains médias d’ironiser sur la protection pourtant indispensable dont bénéficiait l’essayiste.

    A la fin de la manifestation interprofessionnelle du 9 octobre à Paris, après une dispersion sauvage vers la contrescarpe, les militants d’extrême-gauche sont revenus avec des intentions criminelles affichées. A 19h15, un antifa a pénétré dans la librairie en insultant le libraire, trois clients et une partie de la rédaction de la revue Eléments qui y organisait une réunion, annonçant qu’il allait revenir et faire « cramer » la librairie avec ses copains. Et en effet, quelques minutes plus tard, un groupe de 150 à 200 activistes débarquaient devant la librairie en menaçant d’y mettre le feu, et commençaient à dégrader la vitrine. La police alertée est heureusement arrivée quelques minutes après et des dizaines de fourgons de CRS ont très rapidement quadrillé la rue Médicis.

    Barricadés à l’intérieur de la librairie pendant près d’une heure, les clients, le libraire et les rédacteurs d’Eléments ont finalement été exfiltrés par les CRS à 20h30 sous les injures des militants contenus par les forces de l’ordre.

    Cette nouvelle attaque, plus grave que la précédente, fait peser une menace de plus en plus lourde sur une librairie parfaitement légale, laquelle est soutenue par une revue parfaitement légale elle aussi, et dont les idées ont droit de cité au même titre que les autres.

    Mais le plus révoltant dans cette affaire est le silence coupable de la presse et des médias. Selon nos informations une journaliste de l’AFP se trouvait sur place lors de l’attaque : pas une dépêche n’a pourtant été publiée. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/la-nouvelle-librairie-a-subi-une-nouvelle-attaque-les-medias-complices/

  • Le gouvernement mondial à l’œuvre : l’ONU somme l’Algérie d’arrêter d’expulser des migrants

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    L’Algérie vient d’expulser des milliers de migrants. Au terme d’un rapport incendiaire qui la condamne, l’ONU la somme d’arrêter. Il s’agit d’une ingérence manifeste dans les affaires d’un pays souverain en matière d’immigration : le gouvernement mondial s’installe et nous menace.
    Hodie sibi, cras nobis : ce qui arrive à l’Algérie et aux Algériens aujourd’hui peut nous arriver demain en France si nous menons une politique de fermeté comparable à celle que mènent les autorités algériennes en Algérie.

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