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anti-national - Page 577

  • Clandestins à Ouistreham : une situation bientôt apocalyptique ?

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    Ouistreham dans le Calvados, charmante cité balnéaire de Normandie, subit depuis 2016 une véritable invasion migratoire. La ligne de ferry qui relie Ouistreham à Portsmouth est régulièrement la cible des clandestins bien décidés à passer au Royaume Uni. Face à cette situation dramatique, les habitants se sont regroupés dans un mouvement de résistance avec l’association pour le Retour au Pays des Expatriés  (ARPE).

    Vous avez fondé à Ouistreham l’ARPE, Association pour le Retour au Pays des Expatriés. Pourquoi avoir choisi ce nom ?

    ARPE : Nous avons choisi ce nom, parce qu’on nous reproche souvent d’être « contre les migrants », alors que ce que nous demandons, c’est au final une solution très simple et de bon sens : le rapatriement des expatriés.

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  • La paupérisation... par l'impôt

    L’humoriste Alphonse Allais disait : « Il faut prendre l’argent là où il se trouve : chez les pauvres. D’accord, ils n’en ont pas beaucoup, mais ils sont si nombreux ! »

    Cette maxime est aujourd'hui largement appliquée par les gouvernements successifs qui se sont juste permis d'y adjoindre la classe moyenne. Celle-ci ayant eu tendance à s'accroître et engraisser avec les Trente Glorieuses, elle est en effet devenue la cible privilégiée de la nouvelle fiscalité. D'où le phénomène actuel constaté d'une paupérisation par l'impôt de cette classe moyenne, fragilisée de s'être trop enrichie pour échapper à l'impôt mais pas suffisamment riche pour justement pouvoir y échapper par la niche fiscale ou l'expatriation. Rappelons que si seulement 43 % des 38 millions de foyers fiscaux paient l'impôt sur le revenu, c'est aussi parce que sur les 22 millions qui en sont exemptés, sans doute un tiers l'est grâce aux divers mécanismes d'optimisation fiscale dont beaucoup sont réservés aux revenus les plus importants. Tout le monde n'a pas les moyens de se créer du déficit...

    Quoi qu'il en soit, cette spoliation fiscale de la classe moyenne prend sous Macron de nouvelles formes. D'abord, l'attaque contre l'immobilier. Ensuite, les efforts demandés aux retraités et futurs retraités. Enfin, le prélèvement à la source qui livre les petits contribuables pieds et poings liés à l'Etat.

    Concernant l'immobilier, Emmanuel Macron affirme vouloir favoriser l'investissement et sanctionner fiscalement la rente, improductive selon lui. Il amalgame donc rente et immobilier, d'une part, investissement et capital financier, d'autre part. Autrement dit, la relance macronienne passe par un allégement de la fiscalité financière compensé par un alourdissement de la fiscalité immobilière. Or, l'immobilier constitue souvent l'essentiel du patrimoine des Français moyens alors que les capitaux restent entre les mains d'un petit groupe au caractère oligarchique et au profil plus international. D'où le matraquage fiscal de la classe moyenne auquel on assiste aujourd'hui, coincée en France avec son immobilier, pendant que l'élite financière est préservée, au motif qu'elle est censée investir et que, surtout, elle peut à tout moment s'exiler si la pression fiscale s'accentue.

    La tranche la plus fragile de la classe moyenne-supérieure

    Dans les faits, on voit donc la fiscalité des plus hauts revenus financiers descendre de 60 % à 30 % avec le prélèvement forfaitaire unique, pendant que la fiscalité immobilière augmente, notamment avec le passage des prélèvements sociaux de 15,5 à 17,2 % qui touche avant tout les ménages les plus modestes. Ainsi, un couple de retraités non imposable et qui arrondit ses fins de mois avec la location d'un petit studio loué 300 € voit son imposition passer de 46,5 € à 51,6 €, ce qui peut paraître faible mais représente plus de 10 % d'augmentation...

    Avec l’IFI, Macron s'attaque cette fois-ci à ce que l'on peut appeler le ventre mou des patrimoines aisés ou, plus exactement, la tranche la plus fragile de la classe « moyenne-supérieure », celle dont le patrimoine repose avant tout sur un immobilier peu rentable et surtout peu mobile. Les hautes fortunes sont pour leur part ravies de ne plus acquitter d'ISF sur leurs biens financiers et peu leur chaut de payer encore un solde d’IFI sur leur résidence principale, secondaire, voire tertiaire qui, mises bout à bout représentent une part infime de leur patrimoine.

    La classe « moyenne-supérieure » voit donc son patrimoine s'étioler sous les coups de boutoir de l'IFI et des taxes foncières et finira sans doute par vendre des immeubles parfois de famille qui partiront alors dans l'escarcelle d'on ne sait qui ou d'on ne sait quoi, situé on ne sait où.

    Finies les remises gracieuses

    Quant aux retraités, tous, dès environ 22 000 € de revenus annuels pour un couple, subissent depuis le 1er janvier la fameuse hausse de CSG de 6,6 à 8,3 %. Or, il est évident que cette augmentation est plus durement ressentie par les petits dont le superflu est faible.

    Et si les petits salariés ont pu compenser la hausse de la CSG par une baisse des cotisations sociales, celle-ci est bien partie pour n'être que temporaire comme l'annonce l'augmentation des cotisations AGIRC-ARRCO au 1er janvier prochain, à l'occasion de la fusion des deux caisses. Les retraités de demain, à la différence des retraités actuels, continuent donc d'avoir des cotisations qui augmentent pour des prestations à venir qui ne cessent de baisser... Ce souci n'est pas celui des dirigeants qui bénéficient en général de retraites maison ou constituées lors de leur parcours à l'étranger et qui garantissent en principe le remplacement de tout ou partie de leur rémunération actuelle.

    Enfin, le prélèvement à la source n'arrangera pas l'affaire de ces petits contribuables pour qui l'impôt représente la charge de trop. Car comment déposer une remise gracieuse lorsque l'impôt a déjà été prélevé ? Les 200 000 démarches initiées annuellement en matière d'impôt sur le revenu risquent de s'estomper dans les années à venir, au grand soulagement de Bercy.

    Manuel Calambra monde&vie  27 septembre 2018

  • Matteo Salvini a ordonné le transfert des migrants installés illégalement dans le village de Riace

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    Matteo Salvini poursuit son coup de force contre Riace, cette petite commune de Calabre dont il qualifie d’illégale la politique d’accueil des migrants.

    Le ministre italien de l’Intérieur a ordonné samedi le transfert des quelques 200 migrants du village vers des centres d’hébergement plus grands dès la semaine prochaine.

    Le maire de Riace, Domenico Lucano, sympathisant communiste, a été arrêté et assigné à résidence au début du mois. Il est accusé d’aide à l’immigration clandestine. Mais ce dernier tient tête et affirme que les migrants resteront dans son village :

    Ils ne partiront pas parce qu’ils n’ont pas d’endroit où aller avec leurs enfants. Il y a beaucoup de familles dans ce cas-là. Dernièrement, quelqu’un est parti parce qu’il y avait beaucoup d’incertitude, mais la majorité d’entre eux n’ont pas d’endroit où aller.

    Le bras de fer ne fait que commencer entre Salvini et le maire pro-migrants.

  • Génération Identitaire occupe les locaux de SOS Méditerranée !

  • Immigration : et si on arrêtait de mentir ?

    Immigration : et si on arrêtait de mentir ?

    Rattrapés par la réalité, et voyant comment les gouvernements des pays voisins basculent les uns après les autres à cause de l’immigration, nos médias seraient-ils prêts à arrêter de désinformer ?

    https://www.lesalonbeige.fr/immigration-et-si-on-arretait-de-mentir/

  • Lorient : même le maire socialiste s’inquiète de l’insécurité provoquée par les clandestins

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    Le sujet de l’immigration est un tel tabou en France, que le constat du maire de Lorient mérite d’être relevé. Car, si le lien entre invasion migratoire et insécurité galopante paraît une évidence, rares sont les élus qui osent transgresser volontairement la chape de plomb idéologique qui pèse sur la liberté de parole dans notre pays.
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  • L’immigration, cause de la chute d’Angela Merkel

    L’immigration, cause de la chute d’Angela Merkel

    En septembre 2013 : “La presse européenne salue le triomphe d’Angela Merkel“, réélue pour un troisième mandat.

    Durant l’année 2015, Angela Merkel fait entrer 1 million d’immigrés en Allemagne (principalement des hommes). En décembre 2015, des milliers de femmes sont agressées sexuellement par des immigrés. “En Allemagne, outre Cologne, onze villes sont touchées : Hambourg, Stuttgart, Bielefeld et Düsseldorf principalement. 12 des 16 Länder ont été impacté.”

    En octobre 2018 : “échec électoral en Bavière pour Merkel“. L’Union chrétienne-sociale, parti frère de la CDU de Mme Merkel, qui domine cette région depuis les années 1950, arrive certes toujours en tête avec 35,5%, mais ce score a tout d’une débâcle politique puisque la CSU perd 12 points par rapport à 2013, sa majorité absolue, et va être obligée de chercher une alliance inconfortable. Autre mauvaise nouvelle pour AngelaMerkel, l’autre membre de sa coalition gouvernementale, les sociaux-démocrates du SPD, subissent une gifle avec 9-10% des voix. Les gagnants du scrutin sont les Verts, 2e avec 18-19%, et l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), le parti anti-immigration qui prend 11% des voix, au coude-à-coude avec les Freie Wähler, des conservateurs indépendants (11,5%). Les Libéraux du FDP (5%) ferment la marche.

    Et ce n’est pas terminé : la CDU devra faire face à un scrutin tout aussi ardu le 28 octobre en Hesse, Land que les conservateurs dirigent en coalition avec les écologistes. Ces deux scrutins “affecteront la politique nationale et en conséquence la réputation de la chancelière”, a prévenu vendredi le président de la chambre des députés et vétéran respecté de la CDU, Wolfgang Schäuble. Angela Merkel doit affronter en décembre un vote de militants pour être reconduite à la tête de son parti.

    https://www.lesalonbeige.fr/limmigration-cause-de-la-chute-dangela-merkel/

  • Témoignage : camarade Olivier Dubuis et sa compagne, violentés par 2 maghrébins - Conversano

  • Chronique de la France Orange mécanique

    Chronique de la France Orange mécanique

    Un adolescent de 12 ans est décédé après avoir été tabassé à coups de barre de fer dans la commune des Lilas, en Seine-Saint-Denis, hier soir.

    Une bagarre, près du centre-ville, aurait opposé une bande des Lilas à une bande la ville voisine de Bagnolet, dont était originaire la victime. Les voyous étaient munis de barres de fer et de bâtons.

    Le 28 septembre, à Garges-les-Gonesses, un garçon de 17 ans avait été roué de coups par des voyous munis de crosses de hockey ou de barres de fer. Il a reçu 67 points de suture au niveau de la tête.

    Le 13 septembre à Toulouse, un individu d’origine syrienne a frappé un homme à la tête avec une barre de fer et un pied de parasol. Agée de 40 ans, la victime souffre d’une fracture du crâne, d’une fracture du fémur et de multiples fractures au visage.

    https://www.lesalonbeige.fr/chronique-de-la-france-orange-mecanique-2/

  • Un air de “révolution de couleur” au Québec

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    Ex: https://echelledejacob.blogspot.com 

    Curieusement, une semaine après avoir été élu, il semblerait que François Legault doive faire face à un coup de force qui rappelle étrangement la tentative d’assassinat qui avait été ourdie contre Pauline Marois le soir même de son élection en 2012. 
    Un coup de force contre le Québec 
    Le nouvel « homme fort du Québec » vient de déclencher un ouragan au Canada anglais en prenant le taureau des accommodements religieux par les cornes ! En effet, la volonté du gouvernement désigné de la Coalition Avenir Québec (CAQ) d’utiliser la clause nonobstant afin de légiférer sur l’interdiction du port des signes religieux par les fonctionnaires en position d’autorité aura, manifestement, fait déborder la coupe des lobbies libéraux.

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    Une manifestation organisée par l’extrême gauche 
    Dimanche, en journée, quelques milliers de manifestants se sont rassemblés dans les environs du campus de l’Université du Québec à Montréal, aux abords de la Place Émilie-Gamelin, un haut lieu de convergence pour toutes les manifestations organisées par les forces de l’extrême gauche. 
    L’objectif de la manifestation, si l’on se fie aux pancartes et au discours des organisateurs, semblait avoir deux volets : pointer du doigt le « gouvernement raciste de François Legault » et condamner un racisme systémique québécois qui expliquerait ce résultat électoral. D’ailleurs, on pouvait lire sur une des pancartes que « le racisme est toujours présent parmi nous. Mais c’est à nous de mettre en garde nos enfants ! » 
    Les médias dominants ont monté en épingle cette manifestation en mettant en exergue des témoignages qui donnent à penser qu’une révolte spontanée vient d’exploser face à un État québécois coupable de restreindre les droits et libertés de ses minorités visibles.
    Des manifestants qui prônent la rectitude politique 
    C’est ainsi qu’un des organisateurs de la manifestation, interviewés par CTV News, Al Harrington, affirme que « nous devrions avoir la possibilité d’être libres. Vous devriez être libre de porter ce que vous voulez dans ce pays ». Cet organisateur, qui dira plus loin que Montréal représente toujours un territoire autochtone non cédé, faisait manifestement référence au multiculturalisme canadien. 
    Une autre manifestante, arborant un hidjab, a lancé avec beaucoup d’aplomb ce qui semble être une sorte de fatwa contre le Québec : « le Québec est en train de devenir une mauvaise blague parmi tant de choses, et c’est juste une partie de la blague ».
    Une manifestation organisée de l’extérieur 
    Finalement, le chat est sorti de son sac lorsqu'Al Harrington, qui fait partie de la patrouille de rue montréalaise Wolf Pack Street, a révélé à CTV News que « la majorité d’entre nous a traversé le Canada afin de manifester contre le racisme et les groupes prônant la haine ». On se rappellera le LOVE IN organisé par des lobbies ayant fait venir des bus entiers pleins de Canadiens anglais venus nous enjoindre de ne pas quitter « le plusse beau pays du monde » lors du 2e référendum de 1995. Comme quoi l’histoire aime à se répéter ! 
    Note 
    Voici la ou les sources de cet article : CTV News #1#2TVA NouvellesLa PresseLe Journal de MontréalRadio-CanadaThe Montreal Gazette, Global News #1#2 et Facebook