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anti-national - Page 579

  • Et si le Grand Remplacement commençait par le prénom donné ?, par Caroline Parmentier

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    9205-20180927.jpgChasse à l’homme contre Zemmour

    La gauche culturelle et immigrationniste orchestre depuis des jours un cirque pas possible autour de la comédie d’Hapsatou Sy au sujet de son prénom. La droite Figaro est d’une lâcheté totale (voir l’article de Francis Bergeron dans Présent d’hier). Le but étant de faire interdire définitivement Eric Zemmour d’antenne ce que réclament aujourd’hui Hapsatou Sy et de nombreux journalistes et médias français.

    Eric Zemmour, issu d’une famille juive d’Algérie et qui connaît le prix de l’assimilation, estime dans son combat contre le multiculturalisme (qui est le sujet de son dernier livre) que donner un prénom français à ses enfants est une marque d’intégration et d’assimilation. Et qu’à l’inverse, donner un prénom étranger est un signe communautaire : « Prendre un prénom français signifie je veux rentrer dans votre communauté, je veux m’assimiler, je veux adopter votre histoire, préserver l’identité nationale, puisque l’identité d’une nation et de toute communauté de vie commence avec des individus dont le nom les identifie à elle. »

    Comment contester que l’africanisation et la maghrébisation des prénoms en France dans les maternités, dans les écoles, sont un signe avancé de grand remplacement ? On ne peut nier que donner un prénom musulman est aussi le signe d’une pratique religieuse. Peut-on adorer la France et appeler son fils Mohamed ? Ou Seif el-Islam (glaive de l’islam) comme le joueur de foot Ribéry ?

    Dire cela aujourd’hui, c’est interdit. C’est du racisme, du colonialisme, c’est odieux, c’est ignoble. Zemmour a provoqué un tsunami aussi violent que grotesque où tout le monde y est allé de sa larme ou de sa charge haineuse. Toujours très amusant de voir des vieux journalistes bedonnants qui n’ont jamais habité ailleurs que dans les beaux quartiers et des bourgeoises emperlées du Figaro dont les filles s’appellent Blanche et Bérangère, se croire obligés de dire sur les plateaux télé et radio qu’Hapsatou est un ravissant prénom et qu’on n’a pas fait plus joli.

    Le cinéma de François Morel

    Il fallait entendre dans la matinale de France Inter François Morel, ex-Deschiens – ce qui fait que l’on a toujours envie de se marrer quand il dit un truc sérieux – déclamer avec lyrisme la litanie solennelle des prénoms étrangers qui « ont fait la France et qui ne figurent pas dans le calendrier chrétien » : Ibrahim Maalouf, Marek Halter, Omar Sy, Pablo Picasso, Marjane Satrapi, Vassily Kandinsky, Joann Sfar, Zinedine Zidane, etc. Se terminant en apothéose par Hapsatou Sy… (il faudra que l’on nous explique en quoi cette chroniqueuse de quatre sous, candidate malheureuse de « Danse avec les stars », représente l’excellence française). Le tout ponctué de « Vive la France, vive la France » grandiloquents. Il fallait voir les journalistes bouleversés sur le plateau essuyant ostensiblement des larmes pour comprendre à quel point de soumission idéologique on est rendu.

    A l’image de la réponse d’Ibrahim Maalouf : « Très fier d’être le premier nom cité par François Morel lorsqu’il s’agit de faire la guerre à l’obscurantisme idéologique. Je vous invite à appeler vos fils IBRAHIM. C’est juif, musulman et chrétien. Et ça, ça fera bien chier Zemmour. »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 25 septembre 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Contre le racisme anti-français, anti-chrétien, anti-blanc, anti-humain, l’AGRIF a gagné et gagne

    Contre le racisme anti-français, anti-chrétien, anti-blanc, anti-humain, l’AGRIF a gagné et gagne

    Encore un procès de gagné pour l’AGRIF :

    Victoire dans l’affaire du FRAC de Lorraine après 9 ans de procédure !

    Après avoir obtenu gain de cause devant le tribunal de grande instance de Metz, la Cour d’appel de la même ville avait débouté l’AGRIF de ses poursuites contre l’infâme exposition de l’Infamille. La Cour de cassation vient de casser très fermement cet arrêt de débouté en rappelant que les juges devaient juger l’atteinte au principe de la dignité humaine qui leur était ainsi soumis par l’AGRIF ! Dignité humaine, voilà bien tout le sens du combat de l’AGRIF ! La Cour d’appel de Paris est désignée pour rejuger l’affaire.

    Forte de cette victoire, l’AGRIF engage des poursuites contre Nick Conrad, raciste rappeur sanguinaire anti-blanc :

    À la suite de la publication sur Youtube d’un clip de rap de 9mn le 17 septembre appelant à pendre les blancs et dont le visionnage soulève le cœur devant la perversité sans limite des horreurs, l’AGRIF, dans sa longue continuité de lutte contre pareilles abominations, engage immédiatement les poursuites qui s’imposent.

     

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  • Derrière la procédure de sanctions contre la Pologne, l’ombre de George Soros…

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    Bon, je sais, c’est un peu facile d’accuser George Soros pour tout et n’importe quoi, mais c’est difficile d’éviter ce travers alors que son organisation Open Society Foundations arrose vraiment beaucoup de monde. Du coup, quand la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures (LIBE) du Parlement européen se rend en Pologne pour aider son président Claude Moraes à préparer un rapport sur les violations de la démocratie et de l’État de droit en Pologne, c’est un peu l’homme de Soros au Parlement européen qui rend visite aux gens de Soros en Pologne.

    Le président de la Commission LIBE Claude Moraes, un travailliste britannique d’origine yéménite, est en effet mentionné comme « allié fiable » pour quasiment tous les thèmes chers à Soros dans le document de 177 pages Reliable allies in the European Parliament (2014-2019) de l’OSF (Open Society Foundations, réseau de fondations créé par George Soros) divulgué par DCLeaks en 2016. Sa fiche indique qu’il présente un intérêt pour la promotion des libertés civiques, du droit d’asile, de l’immigration, des droits de l’homme, des droits de toutes les minorités, y compris ethniques et LGBTI, et qu’il est facile à gagner à la cause d’OSF et mérite un « engagement intensif » de la part d’OSF.

    Qui donc M. Moraes, rapporteur pour la Pologne dans le cadre de la procédure de sanction contre la Pologne sous le régime de l’article 7, avait-il choisi de rencontrer à Varsovie pour entendre parler de la démocratie et de l’État de droit en Pologne ? Uniquement des organisations de gauche, pro-LGBT et pro-avortement, dont beaucoup sont financées par… l’OSF de George Soros.

    Les députés Marek Jurek et Nicolas Bay ont réussi à imposer l’audition d’une organisation conservatrice, l’association d’avocats et juristes pro-vie et pro-famille Ordo Iuris, mais les députés Moraes, Sargentini (la députée verte néerlandaise qui a préparé le récent rapport à charge contre la Hongrie) et Spinelli (députée communiste italienne) ont efficacement empêché les juristes d’Ordo Iuris de parler de démocratie et d’État de droit en Pologne en les harcelant sur les questions d’avortement, qui n’entrent pourtant pas dans les compétences de l’Union européenne.

    En outre, alors qu’une heure avait été prévue au départ, le président de la Commission Claude Moraes a réduit ce temps à vingt-cinq minutes, contre environ cinq heures consacrées aux auditions des organisations de gauche.

    Par ailleurs, le député polonais de droite Marek Jurek avait été exclu de la délégation par le président Moraes, soutenu par la majorité de sa commission, au prétexte (qui n’est pas invoqué d’habitude pour ce genre de missions) qu’il ne fallait pas de Polonais pour « garantir une pleine objectivité ».

    Sur les organisations de gauche auditionnées, celles qui sont financées au moins en partie par l’OSF de Soros étaient largement majoritaires : Amnesty International Pologne, Fondation Helsinki des droits de l’homme, Fondation Batory (qui a même la particularité d’avoir été créée par George Soros à la fin des années 80 avec l’assentiment du régime communiste), les « marches noires » (Czarny Protest) contre l’avortement et la Fédération pour les femmes et du Planning familial (Federacja na rzecz Kobiet i Planowania Rodziny).

    Pour ce qui est des rencontres avec les journalistes, sur quatre médias représentés (tous quatre très hostiles au PiS), deux (le quotidien Gazeta Wyborcza et la radio Tok FM) appartiennent au groupe Agora, qui compte parmi ses actionnaires une fondation de… George Soros.

    Nicolas Bay est parvenu, en insistant, à faire accepter l’audition du journaliste d’un quotidien catholique, mais le secrétariat de Moraes s’est arrangé pour le faire venir après le départ de quatre députés (dont Moraes) sur sept que comptait la délégation de Varsovie, c’est-à-dire pour le vendredi 21 septembre à 16 h 30. Du coup, pour écouter ce journaliste parler de la liberté des médias en Pologne, il y avait, mis à part Noëlle Bergeron (ex-FN, aujourd’hui non-inscrite affiliée au groupe de Nigel Farage), deux députées d’extrême gauche qui comptent aussi parmi les « alliés fiables » de l’OSF au Parlement européen, à en croire le document divulgué par DCLeaks : Judith Sargentini et Barbara Spinelli, qui ont à nouveau tenté de dévier la conversation vers l’avortement afin d’empêcher le journaliste de parler de liberté des médias.

    Il n’est donc pas exagéré de dire que le rapport Moraes sur la Pologne sera, en fait, avant tout, un rapport Soros sur la Pologne.

    Olivier Bault

    http://www.bvoltaire.fr/derriere-la-procedure-de-sanctions-contre-la-pologne-lombre-de-george-soros/

  • Chemnitz. L’Allemagne face à son destin

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    En Allemagne, la politique ethnomasochiste et cosmopolite d’immigration ne passe plus. La contestation populaire s’étend après chaque nouvel acte violent commis par un migrant. Aujourd’hui, l’Allemagne semble arrivée à un tournant. C’est en tout cas l’avis d’Olivier Tisier.

    Chemnitz : fin ou renaissance du peuple allemand ?

    Voilà plus d’une semaine que l’Allemagne ne parle que de ça. Dans chaque ville, à chaque coin de rue, dans chaque commerce, chaque entreprise, chaque kneipe et Kiosk à Lotto de Bundesrepublik… absolument partout !

    Récapitulons brièvement les faits. Chemnitz, une ville modeste de Saxe. 240 000 habitants, un soir de week end. On fête le 845e anniversaire de la ville dans une ambiance bonne enfant si propre à l’Allemagne. Quand soudain des “réfugiés“ s’en prennent à une jeune allemande dans l’idée de la violer. Un groupe d’Allemands lui vient alors en aide. Parmi eux Daniel Hillig, 35 ans. Il sera poignardé par les agresseurs et perdra la vie. Scénario tragique mais hélas dorénavant classique qui n’est pas sans rappeler la mort du jeune Adrien Perez 26 ans poignardé lui aussi à mort en France à Grenoble cet été à la sortie d’une boîte de nuit dans l’indifférence quasi générale des autorités.

    La suite ? Un coup de tonnerre, une mobilisation sans précédent, des marches et des manifestations en hommage à son acte de courage mais aussi la colère d’un peuple allemand qui est complètement à bout. Un peuple allemand qui a fait sécession avec la politique de Merkel et plus généralement avec ses élites classiques. Tout un peuple ? Hélas non, les traditionnels antifas organisent contre-manifestations, blocages et violences à l’endroit des quidams qui témoignent leur peine et leur légitime colère. Les médias ? Comme d’habitude acquis au politiquement correct et au pas d’amalgame. Ils ont pour mission de prévenir par la doxa toute évolution droitière de l’opinion. Mais aussi de maintenir la police sous pression afin de la rendre zélée sous peine d’être taxée d’empathie voire de collusion avec le peuple qu’elle est chargée de défendre. Et pour finir les traditionnels artistes engagés décidant d’organiser un concert gratuit à Chemnitz pour que l’amour soit plus fort que la haine. Le slogan est breveté internationalement, il faut le croire.
    Déjà la propagande s’enclenche, le nazisme serait de retour en Allemagne

    Oui vous avez bien entendu le nazisme! L’extrême droite menacerait à nouveau la viabilité de l’état allemand et il faudrait à nouveau la combattre pieds à pieds sans attendre. Les contre-manifestations antifas ont d’ailleurs réunis plusieurs milliers de personnes, sentant à juste titre qu’à Chemnitz se jouait une bataille symbolique. Pour l’occasion la société flixbus et blablacar ont même offert des Gutschein, des bons d’achats en cadeau permettant de se rentre à Chemnitz à moindre frais pour y défendre le vivre ensemble aux côtés des bolchos et d’assister aux concerts de rockeurs millionnaires… Mais hélas pour tous ces sinistres représentants d’une Allemagne déconfite, bien plus nombreux étaient les anonymes et les militants nationalistes de toute obédience venus rendre hommage à plusieurs reprises à Daniel. “Nous sommes le peuple” scandaient ils comme d’autres avant eux lorsqu’ils défiaient le pouvoir totalitaire de la RDA.

    Il y aura un avant et un après Chemnitz car cela a été le crime de trop

    Les Allemands de l’Est ne pardonneront ni n’oublieront jamais. Il faut bien comprendre qu’après guerre on a troqué en Allemagne de l’Ouest le sentiment national contre une douce qualité de vie. Beaucoup d’Allemands de l’Ouest se sont alors vautrés dans un matérialisme répugnant fait de grosses berlines impeccables, de costumes Hugo Boss, d’appartenance à des clubs de tennis ou de golf, de voyages sur des îles plus ou moins lointaines en compagnie de créatures exotiques plus ou moins majeures… bref la panoplie intégrale du gros beauf fier de son affiliation à une classe moyenne supérieure tant fantasmée. Mais en Allemagne de l’Est, ce fut bien différent et il existe encore des survivances de traditions anciennes, de solidarités locales, de sociabilités et de comportement non-mercantiles. Les “ossies” , les habitants de l’Est placent leur art de vivre avant toute autre contingence. Ce sont des gens rugueux, peu ouverts au compromis et manquant de souplesse dans les affaires. Mais la préservation de leur modus vivendi est à ce prix. Et c’est de là que provient cette solidarité ethnique. Celle là même qui a fait fuiter le nom de l’assassin et son origine dans la presse ainsi que celles de ses complices. J’imagine qu’un fonctionnaire de justice n’a pas voulu laisser passer. Notons encore que l’importance de l’implication des corps constitués dans un processus révolutionnaire s’avère toujours crucial.

    Pour aborder l’affaire sous le volet politicien, indiquons que l’AfD, parti qualifié d’extrême droite a lui aussi manifesté. C’est le seul parti chez qui on ne peut reprocher une quelconque récupération politique car ils ont fait du refus de l’immigration leur cheval de bataille. En Saxe, ils sont de plus sur leurs terres et le cortège fut suivi par plusieurs milliers de personnes.

    On entend parler en France d’une arrogance allemande, d’une domination allemande. La domination politique et économique de l’Allemagne sur l’Europe est incontestable mais la domination culturelle ou la fierté nationale ?
    Elle n’existe presque plus ailleurs qu’en Allemagne de l’Est. Figurez-vous que les gens ont plus peur de se faire traiter de facho à l’ouest que d’avouer leur tristesse et leur colère face à la mort de cet homme qui est venu en aide à une femme. Je discutais avec une amie à Berlin originaire du land de NRW, elle ne m’a pas un instant parlé de la mort de cet homme qui est pourtant l’événement principal. Elle m’a confié sa crainte de voir l’extrême droite arriver au pouvoir. On a véritablement corrompu le peuple allemand, on l’a acheté avec de l’argent, du papier et ce dès la fin de la guerre et le début du processus de dénazification qui a vu tous les membres de l’enseignement supérieur suspecté de sympathie nazie être mis au rancard. Et dans tous les segments de la société avec notamment l’utilisation du fameux Fragebogen (le Questionnaire) sur lequel a écrit un auteur qui nous est cher, Ernst von Salomon. Questionnaire visant à tirer les vers du nez et à ficher les éventuels éléments réticents au nouvel ordre démocratique et marchand. L’Allemagne a troqué sa vitalité, sa fierté, sa capacité à se penser comme un peuple… bref son identité contre du divertissement et du confort c’est à dire pour devenir en bout de course un pays de vieillards jouisseurs.

    Ce qui s’est passé à Chemnitz, cet horrible drame se reproduira à nouveau, nous le savons tous. Il incombe aux jeunes Allemands d’inverser maintenant le cours de l’histoire. Tout n’est peut être pas perdu. L’Allemagne de l’Est se dresse face au pouvoir de Berlin. Il faut que d’autres foyers révolutionnaires se lèvent ailleurs et en particulier à l’Ouest. Mais le dynamisme allemand agit hélas sur tous ou presque comme du bromure. Paralysant ici et là toute volonté de révolte. C’est triste à dire mais il n’y aurait qu’une crise économique violente, plongeant l’Allemagne dans la misère pour relever ce peuple, peuple qui conserve malgré tout en lui des qualités d’organisation, de sérieux et un stoïcisme dans l’épreuve qui continue de forcer notre admiration.

    Olivier Tisier

    Texte repris du site Polemia

    https://fr.novopress.info/212053/chemnitz-lallemagne-face-a-son-destin/

  • Théo mis en examen pour « escroquerie en bande organisée »

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Théo Luhaka, celui-là même qui avait été érigé en victime innocente de violences policières par les médias et le président François Hollande, est au cœur d’une vaste affaire de détournements d’aides publiques.

    Mis en examen le 31 juillet dernier la justice soupçonne plusieurs membres de la famille Luhaka d’avoir détourné des centaines de milliers d’euros octroyées dans le cadre du dispositif des « emplois avenir » par le biais d’associations ou de sociétés bidons. Au cœur de ce mécanisme bien huilé : Aulnay Events, présidée par le grand-frère Mickaël. Celle-ci a embauché 42 personnes et touché, entre janvier 2014 et juin 2016, 643.000 € de subventions d’Etat, dont 170.000 virés sur les comptes de huit membres de la famille.

    Théo a perçu à lui seul 52 000 €. Réaction de son avocat : « Il ne faut pas perdre de vue pourquoi cette affaire est instruite et pourquoi mon client est mis en examen : cela correspond à une volonté de nuire à son image en le présentant comme un délinquant afin de le décrédibiliser. ».

    La victimisation, encore et toujours. Pourquoi en effet changer une stratégie qui a si bien fait ses preuves lors la première affaire Théo ?!

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  • Il faudra que les journalistes comprennent que leur technique de censure est assez inefficace

    Il faudra que les journalistes comprennent que leur technique de censure est assez inefficace

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités à propos du dernier livre d’Eric Zemmour :

    […] Je n’ai pas encore lu ce nouvel ouvrage, mais le moins que je puisse dire, c’est que les attaques médiatiques m’en donnent envie! Il faudra, d’ailleurs, un jour, que les journalistes comprennent que leur technique de censure est assez inefficace. J’ai peut-être un peu plus l’esprit de contradiction que la moyenne de nos compatriotes, mais je pense que, nous sommes à peu près tous convaincus que, si un auteur horrifie la presse bien-pensante, il y a de fortes chances qu’il soit intéressant! Mais, en attendant de lire et de parler du livre lui-même, disons tout de même un mot de la polémique et des techniques d’intimidation.

    Comme souvent, cela part dans tous les sens. Éric Zemmour serait raciste, pour avoir dit à l’animatrice franco-sénégalaise Hapsatou Sy que ses parents auraient dû lui donner un prénom français. J’avoue ne pas comprendre ce qu’il pourrait y avoir de raciste là-dedans. Car, si je comprends bien, cela signifie qu’Éric Zemmour estime qu’une personne d’origine africaine peut fort bien devenir culturellement française. C’est donc rigoureusement l’antithèse du racisme. Que Zemmour soit l’un des derniers à croire à l’assimilation n’en fait tout de même pas un monstre !

    Zemmour serait aussi pétainiste. Si j’ai bien compris, cette terrible accusation (je rappelle tout de même qu’au moins 95 % des Français étaient pétainistes en 1940, mais sans doute étaient-ils tous d’odieux fascistes pour nos donneurs de leçons !) signifie qu’ il reprend la thèse du partage des tâches entre De Gaulle et Pétain, glaive et bouclier. […]

    Le vrai problème, c’est qu’Éric Zemmour est un triste révélateur de la réduction de notre liberté de parole. Il paraît que le « service public » va désormais refuser de l’inviter. Mais il reste, pour le moment, l’un des seuls à pouvoir dire dans les médias dominants ce que pensent tant de Français. Hélas, tout porte à craindre que les lois liberticides et la«bien-pensance» finissent par avoir raison de l’ intelligence.

    Boulevard Voltaire a lancé une pétition pour défendre le droit d’Eric Zemmour à la liberté d’expression.

    https://www.lesalonbeige.fr/il-faudra-que-les-journalistes-comprennent-que-leur-technique-de-censure-est-assez-inefficace/

  • « Mohamed » en tête des 20 prénoms masculins les plus donnés en Seine-Saint-Denis

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    Grâce aux chiffres de l’INSEE, il est possible de connaître les 20 prénoms masculins qui ont été le plus donnés l’an dernier dans le département et qui seront encore très répandus dans les maternités en 2019.

    En haut du classement des prénoms masculins les plus populaires dans la Seine-Saint-Denis, les Mohamed seront donc de plus en nombreux sur les bancs de l’école “française”…

    Voici le top 20 :

    1 – MOHAMED
    2 – ADAM
    3 – IBRAHIM
    4 – RAYAN
    5 – ISMAËL
    6 – NOAH
    7 – AMIR
    8 – IMRAN
    9 – ALI
    10 – LIAM
    11 – GABRIEL
    12 – ISSA
    13 – YANIS
    14 – AYOUB
    15 – KAÏS
    16 – ENZO
    17 – LUCAS
    18 – MOUSSA
    19 – ISAAC
    20 – HAMZA

    https://fr.novopress.info/

  • Aude Mirkovic : « Contrairement à ce qui est prétendu partout, l’extension de la PMA n’est pas une promesse de campagne d’Emmanuel Macron ! »

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    Mardi matin, le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a rendu public un avis favorable à l’extension de la légalisation de la PMA (procréation médicalement assistée) pour les femmes seules et en couples de femmes. Aude Mirkovic, porte-parole de l’association Juristes pour l’enfance, explique au micro de Boulevard Voltaire que cet avis est contraire à la conviction majoritaire des citoyens qui se sont massivement prononcés contre l’extension de la PMA lors des États généraux de la bioéthique.

    Le CCNE a donné son feu vert concernant la PMA. Quelle est votre réaction, suite à cet avis rendu hier ?

    Le Comité d’éthique n’a pas le pouvoir de donner un feu vert ou un feu rouge. Il rend des avis consultatifs. Il donne un avis, comme son nom l’indique, qui n’a rien d’obligatoire.
    Le comité d’éthique a rendu, ce matin, sa contribution en vue des États généraux. Il aborde un certain nombre de points, qui sont au programme, de la révision de la loi bioéthique, et en particulier la question de la PMA.
    À propos de l’extension de la PMA, c’est-à-dire de l’ouverture de la PMA aux femmes célibataires et aux couples de femmes, le Comité d’éthique reconduit l’avis favorable qu’il avait donné en juin 2017.
    Quand bien même il s’agirait de donner un feu vert, ce feu vert est extrêmement réservé. Le Comité d’éthique rappelle ce qu’il avait déjà dit en juillet 2017, à savoir qu’il existe un nombre important de difficultés qui ne sont pas résolues, comme l’effacement du père pour l’enfant, la marchandisation des gamètes qui s’ensuivrait et la question de la prise en charge.
    Ces points sont à nouveau nommés aujourd’hui par le Comité d’éthique comme des points de butée. Malgré cela, il persiste à donner un avis favorable. Cet avis met en lumière de nombreux inconvénients liés à l’extension de la PMA.

    Pour rappel, le Comité d’éthique avait demandé aux citoyens de donner leur avis. Beaucoup étaient contre la PMA. Le CCNE a-t-il décidé de passer outre les avis qu’il avait lui-même demandés ?

    Le Comité d’éthique n’est pas là pour donner l’avis des citoyens, mais celui de ses membres. Le Comité d’éthique a le culot de présenter la reconduction qu’il fait de son avis favorable comme s’inscrivant dans la lignée des États généraux. Comme si les États généraux avaient donné une impulsion supplémentaire à cet avis favorable, alors qu’au contraire, les citoyens se sont exprimés de façon massive contre l’extension de la PMA.
    Je rappelle qu’il ressort du rapport du Comité d’éthique sur les États généraux que près de 80 % des participants des débats en région se sont montrés hostiles. 89,7 % des contributions écrites sur le site dédié aux États généraux étaient défavorables.
    C’est quand même un peu gonflé de présenter cet avis favorable à la PMA comme s’inscrivant dans la lignée des États généraux. C’est un mensonge.

    Cela veut-il dire que les mobilisations vont recommencer ? Repartons-nous pour des années de Manif pour tous ?

    Ce n’est pas obligatoire. Contrairement à ce qui est prétendu partout, la PMA n’est pas une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. Il s’est déclaré favorable à la PMA à titre personnel. Lors de la campagne électorale, dans une fameuse interview donnée au magazine Têtu, il avait dit qu’il attendrait l’avis du Comité d’éthique, et que si le débat avançait favorablement, il légaliserait la PMA.
    Le débat a eu lieu puisque les États généraux ont eu lieu. Le moins qu’on puisse dire, c’est que le débat n’a pas abouti favorablement. Au contraire, les États généraux ont manifesté une forte opposition des Français à la PMA sans père.
    Nous attendons qu’Emmanuel Macron respecte son engagement. Et s’il ne le fait pas, en effet, nous sommes prêts.
    Il y a, d’ailleurs, beaucoup de gens qui ont voté pour Emmanuel Macron alors qu’ils étaient contre la PMA, alors même que certains avaient manifesté contre le mariage en 2013, en raison de son lien avec la PMA. Ils ont compté sur le fait que la PMA n’était pas une promesse de campagne et qu’elle était suspendue aux résultats des États généraux.
    Si Macron ne respecte pas ses engagements, il n’y a donc aucun doute sur le fait que ces électeurs n’auront aucun problème à redescendre dans la rue également.
    Si le projet de PMA n’est pas retiré, nous allons vers de fortes mobilisations. Et nous sommes ouverts à tous types de mobilisations, car nous n’allons pas laisser passer cela.

    Aude Mirkovic

    http://www.bvoltaire.fr/aude-mirkovic-contrairement-a-ce-qui-est-pretendu-partout-lextension-de-la-pma-nest-pas-une-promesse-de-campagne-demmanuel-macron/

  • Activités gratuites pour les voyous de banlieue

    Activités gratuites pour les voyous de banlieue

    Suite à l’affaire dite “Théo”, le maire LR d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, a organisé l’année dernière une journée « Jeunes / Policiers municipaux » en lien avec l’association Prox’Aventure composée de policiers bénévoles. 1551 jeunes avaient participé.

    La 2ème édition de journée se déroulera ce mercredi 26 septembre de 9h à 17h au Stade du Moulin Neuf à Aulnay-sous-Bois. Activités gratuites :

    https://www.lesalonbeige.fr/activites-gratuites-pour-les-voyous-de-banlieue/

  • La politique continue de faire fi de la volonté du peuple

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    De la diplomatie secrète à la manipulation médiatique

    par Karl Müller

    Ex: http://www.zeit-fragen.ch/fr

    «Les conséquences en sont grotesques et amères. Là, où les guerres économiques, et d’autres choses encore pires sont imminentes, l’existence de millions d’humains est mise en question. Les PR et les médias ne servent pas uniquement à cacher le machiavélisme en politique, la violation continue du droit, l’ignorance politique derrière la dignité humaine et les droits de l’homme. Il s’agit également d’y habituer les gens petit à petit. Et la stratégie implique encore autre chose: les représentants des relations publiques savent que cette ignorance est évidente pour chacun qui sait réfléchir un peu. Mais les gens réfléchissant et empathiques doivent se sentir impuissants. Voilà, homme qui pense, tes idées et sentiments ne nous intéressent pas, tu es insignifiant, nos moyens pour le maintien du pouvoir sont plus forts, nous te rions au nez, le mépris est notre boulot, nous sommes en position de force, les ‹masses› nous suivront! Combien de temps encore?»

    Cinq mois après le crime présumé, le gouvernement des Etats-Unis a décidé d’introduire des sanctions économiques strictes contre la Russie dès le 22 août 2018. La justification de leurs nouvelles sanctions se fonde sur l’accusation d’une transgression de la «ligne rouge» du législateur américain en utilisant la neurotoxine («arme chimique») «novitchok» pour tenter d’assassiner l’ancien double agent Skripal (ayant également travaillé pour le service de renseignement militaire de l’armée soviétique GRU).
    Les nouvelles décisions ont été prises au moment de la publication de deux soi-disant rapports d’investigation du Scotland Yard britannique. Selon ces documents, deux suspects auraient été identifiés, deux agents du service de renseignement militaire russe GRU séjournant en Russie. La Première ministre britannique Theresa May devrait décider, selon ces rapports, d’une demande d’extradition adressée à la Russie. Si la Russie refusait, ceci aggraverait encore davantage les relations britanniques et russes. 
    Concernant les prétendus résultats d’investigation de Scotland Yard on lit: «Selon les rapports non confirmés, les auteurs présumés du crime ont été identifiés après plusieurs mois de recherches. Des centaines de détectives ont comparé le matériel d’innombrables caméras vidéo avec les données de voyageurs étant entrés ou ayant quitté la Grande Bretagne autour de la date de l’attentat du 4 mars.» («Neue Zürcher Zeitung» du 7/8/18).

    Différentes conclusions

    Quelles conclusions sont possibles? Certains diront: maintenant, il est évident que les Russes sont les auteurs de la tentative d’assassinat. Alors, il est juste que le gouvernement des Etats-Unis en tire les conséquences, et que Donald Trump, l’inepte sympathisant de Poutine, soit forcé à faire le nécessaire: introduire des sanctions encore plus strictes contre la Russie.
    D’autres se demanderont de quel droit le gouvernement américain décide de nouvelles sanctions, alors que dans le cas Skripal rien du tout n’est prouvé jusqu’à ce jour et que toutes les anciennes assertions se sont avérées fausses» (p. ex. que le «novitchok» n’existerait qu’en Russie). Si même la «Neue Zürcher Zeitung» parle de «rapports non confirmés» et d’«auteurs du crime présumés», et utilise des termes extrêmement flous comme «le matériel d’innombrables caméras vidéo», «des centaines de détectives», «les données de passagers», on peut s’imaginer tout ce qu’on veut, mais il n’y a rien de concret qui soit convaincant ou qui vaille comme preuve. Les réactions russes officielles ne sont donc pas si déraisonnables, parlant d’une «guerre économique» de l’administration américaine contre la Russie et appelant le procédé du gouvernement contraire au droit international.

    1918: Le président américain Wilson s’opposa à la diplomatie secrète

    Au début novembre 1918, il y a bientôt 100 ans, c’était la fin de la Première Guerre mondiale. Les Etats de l’Europe étaient détruits, les gens étaient las des souffrances de la guerre… et se demandaient à juste titre: comment fut-il possible que l’on ait réussi à nous impliquer dans une telle tuerie de masse?
    Le président américain Woodrow Wilson utilisa ces sentiments des peuples et formula ses 14 thèses, ayant trouvé leur entrée dans les manuels d’histoire. Déjà la première retient que «les accords de paix doivent être conclus de manière transparente et publiquement.» Puis, dans la deuxième phrase de ce premier point: «Des ententes internationales secrètes n’auront plus leur raison d’être, la diplomatie devra toujours se pratiquer honnêtement et aux yeux de tout le monde.» Ceci correspondait au désir et à la volonté de millions de personnes. Jusqu’à ce jour, on recherche les causes de la guerre mondiale, les controverses se maintiennent, les archives sont toujours fermées. Il y eut de nombreuses ententes secrètes entre les gouvernements et les discrets milieux influents impliqués.

    Wilson n’agit pas comme il avait parlé

    Malheureusement, Wilson n’agit pas comme il avait parlé. Au contraire: vu dans la rétrospective, il faut supposer que ses dires n’étaient que de la propagande de guerre, habilement appliquée pour tirer les habitants de l’Europe (et des Etats-Unis) de son côté. Wilson avait engagé un spécialiste de la propagande: Edward Bernays. «Edward Louis James Bernays, né à Vienne le 22 novembre 1891 et mort à Cambridge (Massachusetts) le 9 mars 1995 est un publicitaire austro-américain.» Selon Wikipédia «il est considéré comme le père de la propagande politique institutionnelle et de l’industrie des relations publiques, ainsi que du consumérisme américain.» Puis on lit: «En 1917, durant la Première Guerre mondiale, Bernays fait partie du ‹Committee on Public Information› crée par le président Wilson pour retourner l’opinion publique américaine et la préparer à l’entrée en guerre.» Sa campagne fut conduite sous le slogan «Make the world safe for democracy» – Amère dérision!

    L’apparence doit être démocratique, mais tout doit être sous notre contrôle

    Wilson et Bernays savaient que les méthodes du XIXe siècle étaient obsolètes. Il n’était plus possible de dire aux peuples que la politique n’était pas leur affaire et ne concernait que les gouvernements. La politique avait besoin de nouvelles formes de «légitimation». Depuis la fin de l’absolutisme, la référence au droit divin du souverain n’était plus opportune. L’argumentation de Hegel, selon laquelle l’Etat (prussien) ne devait être pas moins que l’apogée de l’«incarnation» de l’esprit du monde (Weltgeist hégélien) convainquait, elle aussi, de moins en moins les gens. «L’apparence doit être démocratique, mais tout doit être sous notre contrôle», devint le nouveau principe, attribué bien plus tard à Walter Ulbricht de la RDA. Les moyens appropriés pour le réaliser étaient les relations publiques (public relations, PR) et les médias qui reprirent les contenus des PR et les divulguèrent sans vergogne. Il en est ainsi jusqu’à l’heure actuelle.

    En position de force, combien de temps encore?

    Les conséquences en sont grotesques et amères. Là, où les guerres économiques, et d’autres choses encore pires sont imminentes, l’existence de millions d’humains est mise en question. Les PR et les médias ne servent pas uniquement à cacher le machiavélisme en politique, la violation continue du droit, l’ignorance politique derrière la dignité humaine et les droits de l’homme. Il s’agit également d’y habituer les gens petit à petit. Et la stratégie implique encore autre chose: les représentants des relations publiques savent que cette ignorance est évidente pour chacun qui sait réfléchir un peu. Mais les gens réfléchissant et empathiques doivent se sentir impuissants. Voilà, homme qui pense, tes idées et sentiments ne nous intéressent pas, tu es insignifiant, nos moyens pour le maintien du pouvoir sont plus forts, nous te rions au nez, le mépris est notre boulot, nous sommes en position de force, les «masses» nous suivront!
    Combien de temps encore?  

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