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anti-national - Page 580

  • Immigration illégale et « fermeté » : les grosses ficelles de Merkel et Macron – Jean-David Cattin (Les Identitaires)

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    À l’approche des élections européennes sur fond de forts progrès des partis populistes et identitaires, Macron et Merkel, inquiets voire paniqués, se sont mis d’accord sur la stratégie à adopter : faire croire qu’ils vont faire preuve de « fermeté » en matière d’immigration illégale.

    Depuis leur rencontre le 7 septembre à Marseille les deux chefs d’État rivalisent de propos « fermes » sur l’immigration. Angela Merkel vient même de conclure avec le gouvernement algérien un accord de retour portant sur 3 à 5 000 de ses ressortissants. Une goutte d’eau dans l’océan des migrants, clandestins ou pas, installés en Allemagne depuis 2014.

    De son côté, Emmanuel Macron a lui promis des reconduites « pour celles et ceux interceptés en situation irrégulière et qui n’ont pas vocation à obtenir l’asile ». « Tout en respectant nos valeurs ». En réalité, la première année du mandat du président Macron a vu un nombre d’expulsions de clandestins exactement au même niveau que les « bonnes années ». L’immense majorité des clandestins n’est jamais inquiétée.

    Au regard de ces déclarations, de cette théâtralisation de mesures insuffisantes, l’axe de campagne des dirigeants de la France et de l’Allemagne pour les élections européennes de 2019 est cousu de fil blanc.

    Du reste, la recette commence à être connue. Dans cet article du Figaro daté du 17 octobre 2010, on pouvait déjà lire : « Angela Merkel durcit un peu plus son discours pour faire entendre sa voix dans le débat sur l’immigration qui agite son pays. Ce week-end, la chancelière a simplement et radicalement enterré le modèle d’une Allemagne multiculturelle, où pourraient cohabiter harmonieusement différentes cultures. Cette approche « Multikulti » – « nous vivons côte à côte et nous nous en réjouissons » – a « échoué, totalement échoué », a-t-elle lancé devant le congrès des Jeunesses de sa formation conservatrice. »

    Hasard ? Six scrutins régionaux se profilaient alors à l’horizon.

    Cinq ans plus tard, emporté par son sentimentalisme et son messianisme de fille de pasteur protestant, elle ouvrait grand les portes de l’Allemagne à plus d’un million de « migrants ». Voilà ce que valent les promesses de campagne d’Angela Merkel et de tous ses semblables qui n’ont la « fermeté » en bandoulière que lors des périodes électorales.

    Dorénavant, Merkel a changé de braquet et c’est d’un jour à l’autre qu’elle souffle le chaud et le froid sur la question migratoire. Quelques jours avant l’accord de retour des clandestins algériens, elle inventait des « chasses aux étrangers » suite aux meurtres de jeunes Allemands. Elle a même démis de ses fonctions le chef du renseignement intérieur qui l’avait alors contredit sur l’existence de ces prétendues chasses.

    En matière d’ « en même temps », Macron a là une concurrente de choix tout en restant le maître incontesté du genre. Le 29 août, il « endossait le rôle d’opposant principal à Salvini et Orbán ». Le 17 septembre, il plastronnait aux côtés du Chancelier conservateur autrichien promettant de la « fermeté » et des expulsions. Un Chancelier dont d’importants membres de son gouvernement sont justement des proches alliés ou admirateurs de Salvini et Orbán.

    Ce grand écart permanent saute de plus en plus aux yeux des Allemands comme des Français et de tous les Européens. La réalité rattrape à grands enjambées ceux qui voudraient se servir de la question migratoire pendant les élections pour l’oublier ensuite durant leur mandat. Elle devient le sujet central car elle est le sujet vital. Leur « en même temps » craque de tous côtés. Ces imposteurs ne peuvent plus que perdre du terrain.

    Jean-David Cattin

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/212033/immigration-illegale-et-fermete-les-grosses-ficelles-de-merkel-et-macron-jean-david-cattin-les-identitaires/

  • L’invasion n’avance pas au hasard. Le général Gomart patron du renseignement militaire, l’explique.

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    Général Gomart

    Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire. Le général 4 étoiles a expliqué,  en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français. 

    La DRM, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de renseignement géospatial interarmées). Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.). C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter aux dirigeants français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des passeurs de migrants. Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en MéditerranéeEunavfor Med, lancée en mai dernier.

    Le général Gomart a ainsi pu confier lors du colloque que les militaires français ont repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte). Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. (SourceLe Point 13/09/2015)

    Avant tout départ en mer les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, explique-t-il, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses immigratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…

    le Geoint est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géolocalisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques », précise le général. (Source)

    L’invasion est donc une affaire qui n’avance pas au hasard. 

    Voilà, il n’y a aucun mystère. Lorsque les passeurs vont acheter un zodiac au siège du Consulat honoraire de Bodrum, chez Madame le consul Françoise Olcay, les renseignements français le savent… Sans le reportage de France 2, le consul serait toujours en poste. Il est à noter que Madame Olcay a perdu son poste de consul,  mais qu’elle continue d’alimenter le trafic vers la France en poursuivant son commerce illégal et que les autorités françaises le savent, de même qu’elles savent que la Turquie délivre de faux passeports, que les capitaineries ferment les yeux etc. etc.

    Et si le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, comment ne pourrait-il pas le voir en Europe et plus encore en France ? Mais qui sait sur qui la surveillance s’exerce en France ? Sur les opposants à l’immigration ?

    Cette invasion est voulue.

    articles de référence:

    emiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/linvasion-navance-pas-au-hasard-le-general-gomart-patron-du-renseignement-militaire-lexplique/38823/

  • L’inquiétude de ce qu'on appelle les territoires

    6a00d8341c715453ef022ad36d9684200c-320wi.jpgDepuis le 21 juin 2017, Jacqueline Gourault exerce d'assez imprécises fonctions de "ministre auprès du ministre de l'Intérieur". Cette sénatrice du Loir-et-Cher avait été nommée deux jours après que, le 19 juin, ses trois camarades du Modem, Marielle de Sarnez, Français Bayrou et Sylvie Goulard furent partis du gouvernement. Il s'agissait pour elle de représenter la sensibilité centriste, mais aussi, au sein du ministère en charge des collectivités locales, l'espoir de ce fameux pacte girondin qui allait être promis solennellement quelques jours plus tard, devant le Sénat en juillet, par le président nouvellement élu.

    Tout la disposait donc, dans notre système qui reste d'essence jacobine à piloter une opération de compensation pseudo-régionaliste. Aussi délicate que psychologiquement nécessaire, sa mission actuelle tend à rendre une personnalité administrative à l'Alsace laquelle s'est trouvée engloutie dans l'artificiel ensemble appelé Grand Est, par la faute de l'aberrante contre-réforme territoriale imposée par François Hollande en 2015.[1]

    La manœuvre en cours donne l'apparence d'une vague reprise du référendum alsacien saboté en 2013 par une partie de la classe politique locale. Or, si depuis 5 ans les œillères centralistes des dirigeants parisiens n'ont pas changé, le contexte financier des collectivités territoriales, lui, s'est totalement modifié sous l'effet des contraintes budgétaires.

    Ces dernières années une nouvelle pratique de l'État central consiste à reporter sur les structures locales l'effort de diminution des dépenses. Ceci pourrait, vu de loin, paraître de bon sens. Mais le mécanisme tend en fait vers l'absurde dans la mesure où l'on demande aux communes, aux circonscriptions intermédiaires, aux départements, aux régions, de rogner sur des dépenses, qui dépendent hélas de décisions centralisées, alors qu'elles ne disposent elles-mêmes d'aucune liberté quant à leurs ressources.

    Mme Gourault ose quand même déclarer qu'elle "ne sent pas la défiance des territoires"[2] (…) "Il peut y avoir, concède-t-elle, des interrogations, voire des inquiétudes, mais sur le terrain nous nous employons à répondre à toutes les préoccupations concrètes des élus locaux."

    Voilà sans doute un effet de la mode, hélas probablement passagère, des bonnes nouvelles auxquelles personne ne peut plus croire.

    Vieille entreprise de ménagement très parisienne, Le Figaro, annonçait pourtant deux jours plus tard ce 23 septembre[3] que [le président] Macron atteint son niveau le plus bas de popularité. Dans le baromètre mensuel de l'Ifop publié par Le Journal du dimanche, 70 % des personnes interrogées se disent mécontentes de son action. Passant de 34 % de citoyens et contribuables satisfaits en août à 29 % en septembre, son score apparaît comme le plus bas depuis le début du quinquennat.

    Remarquons que cette nouvelle chute de 5 points intervient alors même que l'on commence à se lasser de l'affaire Benalla et que l'on mesure encore mal en France, aussi bien l'effet des interventions de la diplomatie présidentielle dans le dossier du Brexit que la portée, difficile à évaluer, du scandale apparu autour de la vente de 36 avions Rafale en Inde et auquel personne ne comprend rien.

    Est-il donc interdit de penser que l’inquiétude de ce qu'on appelle les territoires, c'est-à-dire celle de la France profonde, entre pour beaucoup dans cette nouvelle baisse de popularité.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] cf. loi du 7 août portant sur la Nouvelle Organisation Territoriale de la République.

    [2] cf. Entretien avec Emmanuel Galiero pour le Figaro le 20 septembre.

    [3] cf. "Popularité : Emmanuel Macron atteint son niveau le plus bas" en ligne le 23, publié dans l'édition papier datée du 24.

    http://www.insolent.fr/

  • La France, 6e plus gros fardeau fiscal du monde

    L’index 2018 sur la liberté économique publiée par Héritage n’est toujours pas flatteur pour la France. Avec un taux de fardeau fiscal (tax burden en VO) de 47.3, la France est uniquement dépassée par le Tchad, la Belgique, la Suède, le Danemark et bien sûr hors-concours, la Corée du Nord avec un indice 0. A l’autre extrémité, plusieurs pays dépassent les 99 en indice : Bahreïn (99.9), l’Arabie Saoudite (99.7) et le Qatar (99.6), les Emirats Arabes Unis étant à 90.4, la Russie à 85.8, le Nigeria à 84.4, l’Indonésie à 83.7, l’Inde à 79.4, le Canada à 76.7, le Mexique à 75.7, la Turquie à 74.7, le Brésil à 70.6, la Chine à 70.4, le Japon à 67.4, le Royaume-Uni à 65.2, les Etats-Unis à 65.1, l’Australie à 63, l’Allemagne à 61.3 et l’Italie à 55.2.

    Sur le plan de la liberté économique, la France est 71e mondial, pays considéré comme « modérément libre ». 6 pays sont considérés comme « libres » (indice total supérieur à 80) : Hong-Kong, Singapour, Nouvelle-Zélande, Suisse, Australie, Irlande.

    En « pratiquement libres » (supérieur à 70), 28 pays : Estonie, Royaume-Uni, Canada, Emirats Arabes Unis, Islande, Danemark, Taïwan, Luxembourg, Suède, Géorgie, Pays-Bas, Etats-Unis, Lituanie, Chili, Ile Maurice, Malaisie, Norvège, Tchéquie, Allemagne, Finlande, Corée du Sud, Lettonie, Qatar, Japon, Israël, Autriche, Macédoine, Macao.

    En « modérément libres » (supérieur à 60), 58 pays : Botswana, Vanuatu, Roumanie, Uruguay, Rwanda, Jamaïque, Kazakhstan, Colombie, Pérou, Arménie, Pologne, Malte, Bulgarie, Chypre, Saint-Vincent-et-Grenadines, Bahreïn, Sainte-Lucie, Belgique, Thaïlande, Panama, Hongrie, Kosovo,  Costa Rica Turquie, Slovaquie, Espagne, Philippines, Jordanie, Mexique, Slovénie, Albanie, Dominique, Azerbaïdjan, Monténégro, Indonésie, Brunei, France, Portugal, Guatemala, Bahamas, Salvador, Tonga, Afrique du Sud, Kirghizistan, Italie, Serbie, Koweït, Paraguay, Ouganda, Fidji, Côte d’Ivoire, Maroc, Bhoutan, Seychelles, République Dominicaine, Samoa, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Oman, Honduras, Burkina Faso, Cap Vert.

    En « pratiquement non libre » (supérieur à 50), 63 pays : Tanzanie, Arabie Saoudite, Tunisie, Nicaragua, Cambodge, Guyana, Namibie, Nigeria, Moldavie ; Tadjikistan, Russie, Belarus, Gabon, Chine, Sri Lanka, Trinité & Tobago, Mali, Iles Salomon, Grèce, Bélize, Barbade, Guinée-Bissau, Madagascar, Bénin, Comores, Ghana, Swaziland, Haïti, Mongolie, Sénégal, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Bangladesh, Kenya, Inde, Pakistan, Zambie, Népal, Mauritanie, Myanmar, Lesotho, Sao-Tomé et Principe, Laos, Egypte, Liban, Vietnam, Ethiopie, Micronésie, Argentine, Gambie, Guinée, République Démocratique du Congo, Malawi, Cameroun, Ukraine, Sierra Leone, Ouzbékistan, Brésil, Afghanistan, Maldives, Iran, Burundi, Libéria, Kiribati.

    En « répressif » (inférieur à 50), 31 pays : Niger, Soudan, Tchad, Centrafrique, Angola, Equateur, Surinam, Timor oriental, Togo, Turkménistan, Mozambique, Djibouti, Algérie, Bolivie, Zimbabwe, guinée Equatoriale, Erythrée, Congo, Cuba, Venezuela, Corée du Nord (notons que cette dernière a un indice de … 5,8 ! )

    Non classés : Iraq, Libye, Liechtenstein, Somalie, Syrie, Yémen.

    Les atouts de la France sont le respect des droits de propriétés, la liberté des affaires, la liberté monétaire et celle du commerce. Ses points faibles : le fardeau fiscal, les dépenses gouvernementales, et la liberté du travail.

    Hriso XIEP

    http://www.medias-presse.info/la-france-6e-plus-gros-fardeau-fiscal-du-monde/98415/

  • L’immigration massive est un mythe…puisqu’ils obtiennent tous la nationalité française

    L’immigration massive est un mythe…puisqu’ils obtiennent tous la nationalité française

    Voici une tribune intéressante suite à la mise en cause par Clément Viktorovitch de Charlotte d’Ornellas, qui avait osé évoqué l’immigration massive “qui n’existe pas” (voir la vidéo dans l’article en lien ici https://www.breizh-info.com/2018/09/24/102727/sy-diallo-benalla-dembele-limmigration-massive-est-un-mythe-tribune-libre) :

    “Le « Docteur en sciences politiques », Clément Viktorovitch l’affirme haut et fort, comme bon nombre de ses collègues « de gôche » et « chercheurs à l’université en lutte » : l’immigration massive est un mythe. Les chiffres le prouveraient même, renvoie-t-il à la journaliste Charlotte d’Ornellas dans un débat de la semaine dernière sur Cnews. Mais puisqu’on vous le dit ! Sur les 200 000 immigrés qui rentrent en France chaque année, ce sont des étudiants Erasmus majoritairement, et Européens avec cela, ou des familles de Français qui rentrent en France… ouf, nous voilà soulagés.

    L’immigration massive est un mythe, une légende, une fake news ! C’est d’ailleurs ce que chacun peut constater, sans être chercheur rat de laboratoire, lorsqu’il s’offre une escapade dans les quartiers nord de Paris, ou bien en Seine Saint-Denis. Non non, on vous le dit, la France n’a pas changé de visage ! Tous ces Africains que vous voyez de plus en plus nombreux dans les grandes villes, et même maintenant dans les villes moyennes ou à la campagne, ils n’existent pas. Vous vous trompez. Vous frisez le fake news ! (…)

    L’immigration massive est un mythe. D’ailleurs, en 1984 dans l’équipe de France de football avait exactement la même composition ethnique que l’équipe championne du monde de 2018. Dembele, Pogba, Kanté, Sissoko, Platini, Giresse, Lacombe, même combat !

    L’immigration massive est un mythe. Un mensonge. D’ailleurs, cette semaine, les médias évoquaient un certain Monsieur Benallabras droit du Président de la République française, mais aussi une dénommée Hapsatou Sy, guerrière de la diversité des prénoms, défendue sur les réseaux sociaux notamment par une certaine Rokhaya Diallo, pourfendeuse de la blanchitude. L’immigration massive est un mythe. Un si gros mensonge qu’on vous explique à longueur d’année sur le service public qu’il n’y a pas assez de diversité à la télévision, aux postes dits à hautes responsabilités. Qu’à poste égal, il faut embaucher des gens dont les noms ne sentent pas « la vieille France rance ».  Le pire, c’est qu’à force de le répéter, certains commencent à y croire, à s’y habituer (…)

    Non, il n’y a pas d’immigration massive, puisque depuis 40 ans, ceux qui arrivent ici — sans que l’on ait réellement pu les recenser faute de statistiques ethniques autorisées — obtiennent rapidement la Carte nationale d’Identité.

    Une carte plastifiée et siglée RF qui fait de vous un homme nouveau, c’est la magie appliquée à la République française. Et voici que trente ans plus tard, Hapsatou et Omar Sy, Rokhaya Diallo, N’Golo Kante, Ousmane Dembele, Zinedine Zidane, Alexandre « Maroine » Benalla, Mamoudou Gassama, et des millions d’autres individus initialement originaires d’Afrique, sont eux aussi Français. Il n’y a donc pas d’immigration massive, puisqu’ils sont Français, et leurs enfants le seront aussi, vous comprenez ?

    Et pour ceux qui arrivent aujourd’hui, nouveau processus. Bateau, passeurs, ONG, intervention présidentielle, vagabondage, pauvreté, misère, campements de fortune, manipulations associatives, bonne conscience de gauche, gymnase, demande d’asile, papier, asile rejeté, papier quand même après mobilisation, travail, ou pas, et carte d’identité, et tout le monde il est Français !

    Finalement là-dedans, le fautif, ce n’est pas celui qui, par aveuglement (15 ans de scolarité obligatoire dans l’Éducation nationale, ça crève les yeux), militantisme, ou par haine de soi, explique qu’il n’y a pas plus d’immigrés en France qu’il y a cent ans (tout en disant ensuite que l’immigration est une chance pour la France). Pas celui qui nous explique que tout est merveilleux, hormis le racisme et la montée du populisme en Europe qui l’inquiète.

    Non, les fautifs là dedans, ce sont tous ceux qui, trouille mortelle oblige, se refusent à dire que la France, appartient à un continent, à une civilisation, majoritairement de race (tient, on a supprimé ce mot de la constitution puisque l’immigration est un mythe…) blanche. Et que ce pays majoritairement blanc pourrait ne plus l’être dans 50 ou 100 ans, comme au Royaume-Uni, en raison des vagues successives d’immigration (qui n’existent pas bien entendu) et de carte plastifiée attribuées massivement. Et que ce n’est pas raciste de le dire, comme il n’est pas plus raciste ou malsain de préférer vivre majoritairement (le mot est important) avec ses semblables.

    D’ailleurs si le droitard était courageux et se rebellait un petit peu, sans s’excuser sans cesse, son interlocuteur « de gôche » aurait sans doute du mal à argumenter face à la question de savoir pourquoi elle ne respecte pas la carte scolaire et met ses enfants dans le privé… par exemple ! Les « droatards trouillards » se sentent néanmoins plus courageux quand ils évoquent « les racines chrétiennes » de l’Europe. Mais sa blancheur majoritaire, ça leur fait peur. Alors que pour le moment, dans ce pays, on ne va pas en prison (pas encore) ni en centre de rééducation, pour avoir énoncé ces vérités (…)

    Sans changement urgent de logiciel de la part de ceux qui croient niaisement que la France et l’Europe seraient encore la France et l’Europe avec des populations blanches minoritaires, la partie est pliée.

    En attendant, vous êtes des horribles populistes d’extrême droite et il n’y a pas d’immigration massive ! C’est bien compris ?”

    https://www.lesalonbeige.fr/limmigration-massive-est-un-mythe-puisquils-obtiennent-tous-la-nationalite-francaise/

  • Paris et Alger à couteaux tirés

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    Par M. M'Hamed Hamrouch du journal en ligne marocain le 360

    On lira cette analyse [21.09] avec le plus grand intérêt. Elle est naturellement menée selon le point de vue marocain. Mais l'inquiétude extrême qu'elle reflète pour la région, la situation algérienne qu'elle décrit et les menaces que contient cette situation qu'elle signale avec vigueur, concernent aussi la France, pour toutes sortes de raisons très évidentes. Elle aussi est menacée ! LFAR   

    2790593621.jpgL’ancien ambassadeur de France à Alger, Bernard Bajolet, également ex-patron du renseignement extérieur français (DGSE), sonne la charge contre un régime algérien moribond. Décryptage.

    « Le président Bouteflika, avec tout le respect que j’éprouve pour lui, est maintenu en vie artificiellement. Et rien ne changera dans cette période de transition ». Le constat est sans appel et, tenez-vous bien !, il a été dressé par l'ex-patron de la DGSE (de 2013 à 2017). 

    Dans une interview au quotidienLe Figaro, Bernard Bajolet, (photo)également ancien ambassadeur de France en Algérie (2006-2008), insinue que le pronostic vital du régime algérien moribond est engagé. Lisez bien que c’est le régime algérien qui « est maintenu « en vie artificielle », Abdelaziz Bouteflika et ce régime ne faisant qu’un seul corps et la maladie de ce dernier implique forcément celle de la nomenclature qui ne doit sa survie qu’à la force de la poigne qu’elle continue de resserrer autour du peuple algérien frère, au nom d’une certaine « légitimité historique » !  « La nomenclature algérienne, issue ou héritière de la guerre d’Algérie, a toujours besoin de se légitimer en exploitant les sentiments à l’égard de l’ancienne puissance coloniale », charge l’ancien patron du renseignement français. 

    Une charge (officieuse) d’une crudité inédite et qui démontre à quel point Paris est agacée par ce régime-voyou, que ses apparatchiks octogénaires tentent, bon an mal an, de maintenir sous perfusion, tout comme Bouteflika qu’ils veulent introniser à vie à la tête de l’Etat algérien, ou ce qu’il en reste, dans le seul but de préserver leurs intérêts, au détriment d'un peuple livré en pâture à l'incurie et en proie à la voracité des hommes en uniforme. 

    La charge de l'ancien patron de la DGSE intervient quelques jours après une vive passe d’armes entre Paris et Alger, qui a ordonné, mercredi dernier, la levée du service de sécurité en faction devant les édifices diplomatiques français en Algérie, dont l'ambassade, les consulats, à l'exception des écoles. Une mesure de rétorsion qui fait suite au refus des autorités françaises de mettre en place une garde statique au niveau de la résidence de « son excellence monsieur l'ambassadeur d'Algérie à Paris, Abdelkader Mesdoua » ! 

    Pour préserver l’intérêt de ce diplomate, le régime algérien est prêt à sacrifier ceux, bien plus importants, de tout un peuple !  Il suffit que l’un des hommes liges de « Fakhamatohou » le Raïs soit inquiété, pour que tout l’appareil de l’Etat, en déliquescence avancée, sonne l’hallali et rue dans les brancards ! 

    L’expérience a démontré que rien ne vaut « Fakhamatohou Monsieur Bouteflika », qui veut battre des records de longévité au pouvoir, pas même l’avenir de son peuple, à plus forte raison celui, commun, des peuples de la région, que ce régime veut séparer, notamment les peuples marocain et algérien frères, en verrouillant systématiquement les frontières, entretenant à coups de milliards de dollars piqués dans « la gamelle du pauvre » citoyen algérien, une entité séparatiste nommée « RASD » et qui n’a d’existence que le nom ! 

    N’est-il pas temps pour ce tant attendu sursaut de conscience collectif du danger que représente ce régime despotique, qui ne peut continuer d’hypothéquer impunément le droit d’une région à la paix, à la stabilité, à un avenir meilleur ? Jusqu’où peut-on laisser ce régime-voyou jouer avec la sécurité d’une région qui a déjà fort à faire avec le péril terroriste, les mafias de la drogue et de la traite des êtres humains ?

    Les rapports de ce régime biberonné à la haine ne sont pas tendus qu’avec la France, ils le sont aussi avec le Maroc, la Tunisie, la Libye, le Mali, le Niger… Alger entretient des relations exécrables avec tout le monde ! A-t-elle raison contre tous ? Qu’attend donc le monde pour sauver l’Algérie et la région de ce régime assassin ?   

    M'Hamed Hamrouch

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Migrants : l’Union européenne frappe les États membres au portefeuille !

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    « Dans de nombreux pays, le Fonds européen de développement régional (FEDER) et le Fonds de cohésion représentent au moins 50 % des investissements publics ; sans cet appui, les États membres concernés n’auraient pas la capacité financière de [les] réaliser », notait avec jubilation la Commission européenne dans sa proposition de règlement relative au FEDER et au Fonds de cohésion pour 2021-2027.

    Constater que les fonds européens pèsent lourdement dans les budgets des États membres d’Europe orientale relève de l’évidence, puisque selon un rapport de KPMG (2016), ils en avaient retiré 175,89 milliards d’euros entre 2007 et 2013, correspondant à 14,8 % du PIB annuel de la région. La rénovation d’infrastructures locales, de la gare de Wrocław en Pologne au complexe de ski Planica Nordic Center en Slovénie, en témoigne amplement. Un coup de pouce bienvenu, qui suffit à expliquer la course à l’adhésion parmi les États des Balkans qui profitent déjà, en vertu de leur statut d’États candidats ou « potentiellement candidats », d’un certain nombre de largesses.

    De là à transformer ces instruments en moyens de pression, il n’y avait qu’un pas, allègrement franchi par une Commission rarement étouffée par des scrupules démocratiques.

    Le tour de passe-passe relève du jeu d’enfant : il suffira de considérer l’accueil des migrants comme un critère d’allocation des financements de la politique de cohésion. D’ailleurs, les propositions de règlements sur le FEDER et le Fonds de cohésion (article 2.1) ainsi que sur le Fonds social européen (articles 4.1 et 7.3) couchent noir sur blanc des objectifs spécifiques en la matière. Pour ce dernier, qui consacre déjà une part importante de ses missions aux « groupes vulnérables », est fixé un pourcentage minimal de 25 % des ressources en gestion partagée allouées au volet « inclusion sociale », qui concerne notamment les migrants.

    Le tout sera désormais couronné par le semestre européen, dispositif de surveillance au travers duquel l’Union européenne tance régulièrement les États sur un éventail toujours plus vaste de politiques. Dans ses recommandations à la France du 23 mai 2018, elle semblait préconiser ainsi, à mots couverts, le recours à la discrimination positive à l’emploi en faveur des populations « issues de l’immigration ».

    Après la menace de mort politique infligée à la Hongrie, la Commission agite donc le chiffon rouge des rétorsions financières : avec cette nouvelle mouture, la Pologne verrait son allocation de la politique de cohésion fondre de 23 % et la Hongrie de 24 %.

    Or, en dépit des dénégations appuyées de la Commission, qui arguait de la « bonne santé économique » des pays de l’Est, il ne s’agit ni plus ni moins que de punir le groupe de Visegrád pour son opposition sur la question migratoire. Et si, pour ces pays, le carrosse européen risque donc de se transformer définitivement en citrouille, c’est l’ensemble des États membres qui doit s’émouvoir de cette dérive antidémocratique qui bafoue la volonté des peuples.

    Dominique Bilde

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • AFFAIRE MERIC: UNE AFFAIRE D'ETAT? ANALYSE

  • Le réchauffement climatique : un prétexte de plus pour nous préparer aux immigrations futures et nous asservir

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    Franck Timmermans Parti de la France
    Il est quand même surprenant de constater l’émiettement politique et électoral des écologistes alors que toute l’actualité portant sur l’état de la planète devrait au contraire les inciter à l’union et les propulser dans le peloton de tête des sondages. Mais ne payent-ils pas plutôt leur embrigadement idéologique au détriment des valeurs qu’ils sont censés défendre ?
    Car le terreau politique prometteur qui était le leur est bien pollué aujourd’hui par des engagements gauchistes que des Rugy et Pompili se hâtent un peu tardivement de dénoncer aujourd’hui. Ne sont-ils pas maintenant dans le même sac de la Macronie que le sinistre Cohn-Bendit jadis leader des gauchistes de mai 1968 et qui a su se reconvertir depuis dans le combat européiste comme dans tous ceux visant à la désagrégation de notre Nation ?
    Les écolos d’antan étaient des gens d’apparence inoffensive, quelques intellectuels et savants autour de René Dumont et Hubert Reeves animateurs du lobby anti-nucléaire d’un côté, quelques rebelles campagnards du Larzac ancêtres des Zadistes de l’autre, tout cela disputant un premier round électoral décevant lors de l’élection présidentielle de 1974. L’aventure écologiste commençait, en parallèle curieusement de celle du retour de notre camp politique avec JMLP, qui se targuait également de défendre sa vision de l’écologie en publiant dans les années 1975 une brochure intitulée « Problèmes énergétiques et solutions écologiques » afin de bien montrer que la défense de la cause naturelle n’était pas le monopole d’une fraction de l’extrême-gauche. Celle-ci réussit pourtant à confisquer la cause écologique grâce évidemment aux projecteurs médiatiques. Ce fut l’occasion rêvée pour marxistes, trotskistes et maos de se recycler politiquement en adaptant leur discours à cette nouvelle fenêtre de tir. Mais l’écologie a beau être un thème noble et populaire aux oreilles des Français, les résultats électoraux ne dégagèrent jamais une force politique de gouvernement à cause précisément des gauchistes recyclés qui idéologisèrent à l’envi leurs positions, devinrent des remorques électorales du PS et finirent immanquablement par se diviser. 
    Aujourd’hui les écologistes sont éclatés en partisans de Macron, destinés à la marginalité, en altermondialistes au sein de lobbies et Think tanks, en groupuscules résiduels (EELV) encore arrimés aux partis de gauche ou en zadistes, autonomes, groupes violents, ONG etc. Au-delà de cet affaiblissement apparent, le message politique lui s’amplifie de façon inversement exponentielle, permettant à toutes ces composantes de progresser de façon métastasique avec pour terreau le fameux réchauffement climatique. Ceux des spécialistes qui mettraient en doute les seules responsabilités humaines sont écartés, licenciés et discrédités ; les autres ayant immédiatement voix de presse. Ceux qui ont le malheur de douter de l’efficacité des éoliennes sont aussi muselés comme si n’importe quelle lubie d’énergie de substitution était par définition une panacée et leurs promoteurs détenaient la parole d’Évangile.
    Le réchauffement climatique exploité de façon quasi hystérique va surtout avoir deux conséquences dévastatrices pour la France : l’affaiblissement ou la mise sous tutelle à moyen terme de notre système de Défense et de toutes les industries connexes ; et surtout un nouveau passeport pour justifier l’arrivée prochaine en Europe de millions de migrants supplémentaires qui invoqueront la désertification et la chaleur accablante pour venir chez nous. Notre générosité légendaire nous poussera à ouvrir grandes nos portes, comme dans un film catastrophe, pour venir en aide aux populations en danger et celles-ci prendront possession des lieux car la nature, encore elle, a horreur du vide et donne son dû à la raison du plus fort.
    Ainsi, le fameux thème prophétique du sulfureux et honni chancelier du IIIe Reich se révèle-t-il paradoxalement devenir la bannière des écologistes de tous poils : la théorie de l’espace vital devient la solution ultime des peuples africains en traversant la Méditerranée !
    Je ne crois pas noircir le tableau car il l’est déjà à la lecture des mesures liberticides que les soi-disant défenseurs des droits de l’Homme et de la Nature ont mises en place. Nous, nous persistons à défendre les Nations dans leurs intégrités identitaires comme des citadelles, et à proclamer que si l’Homme est certes devenu un danger pour l’environnement, ce n’est pas en le réduisant en esclavage que la nature s’en portera mieux. Le but des écolos-gauchistes reste toujours la même vieille lune, à savoir instaurer un gouvernement mondial, un victorieux internationalisme aux couleurs de la pastèque sur les décombres du vieux monde. Le discours du PDF doit consister à démasquer sans relâche les utopies et vrais visages du gauchisme, et à défendre l’ordre naturel car la nature sait reprendre ses droits quand l’imposture cherche à la dompter, et c’est généralement une terrible riposte.
  • Les pro-immigrants affrontent les gendarmes

    Les collaborateurs de l’invasion montrent leur vrai visage :

    Des échauffourées entre gendarmes et une centaine d’activistes de l’ultragauche ont éclaté samedi après-midi sans faire de blessé à la frontière franco-italienne, au col de Montgenèvre (Hautes-Alpes), où des militants antifascistes avaient permis en avril le passage en France d’une vingtaine de migrants.

    Ces affrontements se sont déroulés durant « deux heures », au-dessus du terrain de golf de la commune, en marge d’un rassemblement pro-migrants de cinq jours en Italie. Baptisé «Passamontagna » (passe-montagne), l’événement a regroupé près de 500 personnes parmi lesquelles une majorité d’Italiens, mais aussi des Français, des Espagnols, des Allemands, des Hollandais et des Autrichiens, selon une source proche des autorités.

    Environ 100 à 150 manifestants, « visage masqué pour la plupart d’entre eux », se sont alors livrés à « des violences inacceptables » contre les forces de l’ordre, avec des jets de « pierre tendus avec des frondes », « des fioles d’acide » et l’utilisation d’« explosifs agricoles et artisanaux », a précisé la préfète des Hautes-Alpes dans un communiqué, en condamnant les faits « avec la plus grande fermeté ». […]

    https://www.lesalonbeige.fr/les-pro-immigrants-affrontent-les-gendarmes/