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anti-national - Page 578

  • La grande braderie: au nom de la concurrence libre et non faussée…

    barrage-300x225.jpgAprès la grande braderie que fut la  privatisation des autoroutes sur le dos des Français, en avant pour celle  des barrages hydroélectriques!  Arnaud Raffard de Brienne le déplorait  dans Présent début septembre,  Emmanuel Macron va céder « aux  pressions répétées de la Commission européenne  »  exigeant  « l’ouverture à la concurrence de la gestion des (400)  barrages hydrauliques (dont l’Etat est propriétaire). »  Il s’agit, et  de  loin,   « de  la première des énergies renouvelables en France » (20 % de la production nationale), de la seconde source de production électrique du pays, soit  20 % de la puissance installée du mix électrique, 12 % de l’électricité utilisée par les Français, 66 % de la capacité de production de  pointe.  Un secteur dans lequel EDF se taille la part du lion,  à la tête de 85% des concessions de barrages, accordées en moyenne   pour une durée de 75 ans. Le journaliste le rappelle,  les  pressions de Bruxelles  s’exercent   « depuis une dizaine d’années et elles auront donc eu raison  des velléités de résistance passive de la France », passive étant le mot juste…   

    Le journal de l’environnement l’évoquait alors,  c’est en effet  le 3 novembre 2015 que la Commission européenne avait  dans ce dossier  «  adressé une mise en demeure au gouvernement français »,   au  nom du dogme selon lequel « les Etats membres sont tenus de veiller, en ce qui concerne les entreprises publiques ou celles disposant de droits spéciaux ou exclusifs, à ne maintenir aucune mesure contraire aux traités, notamment en matière de concurrence. »

    Faute de pouvoir donner l’assaut dans le cadre du marché  de l’électricité  contre le monopole de l’Etat sur nos centrales nucléaires,  (encore) protégées des velléités prédatrices des bruxellois   car  incluses par la France  au nombre des « activités d’importance vitale », nos ressources hydroélectriques sont dans le collimateur.  En l’espèce celui  de la Danoise  Margrethe Vestager, commissaire européenne à la concurrence  et accessoirement membre du  très immigrationniste parti social libéral danois rattaché au parlement à l’Alliance des libéraux et des démocrates pour l’Europe (ALDE) et à  l’Internationale libérale.

    Mme Vesdtager s’est émue de la « position dominante » en France d’EDF,  d’« une inégalité de chances »  sur notre sol  entre   opérateurs pour l’accès à la production hydroélectrique.  Le duo Hollande-Valls avait  commencé à céder aux  exigences de mise en concurrence de Bruxelles en avril 2016,  avec la publication d’un décret ouvrant notamment à des sociétés d’économie mixte (SEM) la concession des barrages. Et pour mieux  complaire à l’idéologie européiste,  l’Etat  interdit désormais à EDF de postuler  à la reprise d’une de ses concessions… quand bien même l’offre proposée par celle-ci serait la meilleure!

    Bref, une ouverture imposée au  nom du principe de  la concurrence libre et non faussée,   auquel nous devrions nous plier au mépris de notre intérêt national, et qui attise sans surprise l’intérêt  des groupes étrangers. Le contraire serait en effet  étonnant au vu de la  rentabilité  des barrages hydroélectriques  - ouvrages  d’art  construits  et entretenus,  faut-il le préciser, avec l’argent des contribuables Français -, les chiffres publiés évoquant environ 2,5 milliards d’excédent brut annuel pour les concessions. 

    En juin 2018, une dépêche de l’Afp  reprise sur le site euractiv notait que le gouvernement d’Edouard Philippe   « aurait proposé à Bruxelles la mise en concurrence de certaines concessions dès cette année, en plafonnant les lots que peut remporter une entreprise, selon la CGT et des députés qui suivent ce dossier. » « La crainte d’EDF comme des salariés est que les concessions les plus rentables partent à la concurrence et qu’EDF se retrouve avec les petits barrages, faisant dérailler l’équilibre économique de l’ensemble. » Une péeoccupation  parfaitement justifiée, d’autant qu’ en dépouillant ici  EDF , dont le capital social est détenu à 83,7% par l’Etat, il est loisible de  craindre une  augmentation pour les Français du prix de l’électricité.  A titre indicatif, soulignons le faible coût de celle-ci quand elle est   produite par les barrages, entre 20 et 30 euros le mégawattheure, prix sensiblement plus bas que celui de  l’électricité nucléaire notamment

    En mars  dernier,  l’élue national   Christelle Lechevalier (groupe ENL) rappelait à Strasbourg  que «la privatisation des barrages hydroélectriques dépouillerait la France d’une ressource d’énergie, régulatrice de l’écosystème, décarbonnée et rentable. » La collègue de Bruno Gollnisch soulignait également  que les syndicats (qui) protestent aujourd’hui  contre la mise en concurrence des concessions hydrauliques s’étaient  tous ralliés derrière l’européiste Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle.  « Syndicats (qui) ne remettent jamais en cause les traités européens et la mondialisation-destruction (…) complices, par leur silence, de la disparition de nos services publics et de la perte de l’autonomie de notre nation en matière énergétique.»

    A la soumission des gouvernements successifs aux oukases de la technocratie européiste répond l’inféodation globale des syndicats à ce système par essence antinational. Mais peut-on demander à des syndicats dirigés, formatés, contrôlés par  des socialo-trotskystes, des communistes de sortir de l’ambiguïté ? Comment pourraient-ils avouer que le Grand Satan national contre lequel ils appellent systématiquement à voter,  défend avec une grande  cohérence politique une  préférence nationale  plébiscitée par les travailleurs Français  mais combattue par l’oligarchie bruxelloise?

    https://gollnisch.com/2018/10/05/la-grande-braderie-au-nom-de-la-concurrence-libre-et-non-faussee/

  • Une Allemagne à l'avenir incertain ...

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    Stuttgart, le château neuf 

    2651112146.2.jpgJacques Bainville avait visité l'Allemagne pour écrire à vingt ans son Louis II de Bavière (1900).

    Il en retira que tout en Allemagne - celle de Guillaume II - avait l'aspect d'une honnête maison de famille propre et bien ordonnée. L'Allemagne présente aujourd'hui encore cette allure générale qu'un siècle d’extraordinaires tribulations et de tragédies inouïes n'a pas vraiment modifiée. 

    Au temps de Louis II, l'industrialisation du pays était déjà largement en route et les technologies du XXe siècle s'installaient à grands pas.  Elles intéressaient Louis II comme tous les princes européens de son temps. Il les voulut à Neuschwanstein, son château des légendes germaniques. (que Maurras eût dites barbares) ...  Ces technologies, l'Allemagne allait savoir les exploiter à grande échelle au cours des décennies suivantes, et les développer jusqu'à l'excellence. Bainville a dit aussi, dans un contexte historique qui justifiait sa remarque, que l'Allemagne faisait l'industrie pour la guerre et la guerre pour l'industrie. N’agitons pas des peurs anachroniques : aujourd'hui, jusqu'à nouvel ordre, elle fait surtout l'industrie pour l'exportation. Elle y réussit jusqu'à l'exagération, sa marque de fabrique,  et en tout cas mieux que quiconque dans le monde. Chine exceptée. 

    Visitez donc, si vous ne l'avez déjà fait, le musée Mercedes de Stuttgart. Tout un symbole. Vous y verrez d'abord un bâtiment ultra-moderne d'une esthétique acceptable, pure, dessiné par des architectes et des ingénieurs d'évidente compétence et de bon goût. Tout l'inverse du musée Guggenheim de Bilbao à qui l'on pourrait le comparer, laideur en moins, pour sa taille et ses volumes. L'intérieur retrace l'épopée de l'industrie automobile européenne à travers les réalisations Daimler-Benz et Mercedes, depuis les temps héroïques des premiers véhicules à moteur jusqu'aux plus récents modèles qui aujourd'hui inondent le monde, y compris les USA de Donald Trump lequel les menace des pires sanctions ... Le musée Mercedes de Stuttgart n'est pris ici que comme symbole de la puissance et de l'excellence de l'industrie allemande d'aujourd'hui. Esthétique comprise. 

    Côté ville, à Stuttgart, vous longerez les châteaux des ducs de Wurtemberg, l'un ancien, l'autre dit nouveau inspiré de Versailles, détruit pendant la dernière guerre, reconstruit après à l'identique, et vous croiserez une population nombreuse qui sait festoyer après l'effort, souvent vêtue de costumes ou même d'uniformes traditionnels, et qui vit selon ses racines, entre bière et vin, Danube et Neckar. Mais une population qui décroit en nombre et croît en âge ce qui est le véritable drame de l'Allemagne d'aujourd'hui et sans-doute bien plus encore de demain. 

    Cette évolution funeste s'apprécie si l'on peut dire d'un simple coup d'œil. Les beaux hôtels des bords du lac de Constance ou de La Forêt Noire ne sont plus habités de jeunes et fringants voyageurs mais principalement de vieillards plus ou moins valides qui viennent y user leurs forces déclinantes, y briller de leurs derniers feux ... Les plus « jeunes » y arrivent, à travers les routes boisées de Bavière ou du Bade, dans leurs voitures de collection de toute beauté qui ramènent aux temps anciens d'avant ou d'après-guerre. Celles-là même que l'on a admirées au musée Mercedes de Stuttgart... Nostalgie de la jeunesse, quand tu nous tiens ...! 

    Une partie non-négligeable de la réalité allemande d'aujourd'hui nous semble tenir dans cette dialectique : une puissance industrielle encore intacte face à un effondrement démographique sans analogue. Des entreprises encore dynamiques et insolemment prospères et une population vieillissante de retraités accrochés à leur épargne, veillant à sa préservation et à sa rentabilité. 

    L'Allemagne d'Angela Merkel, c'est à dire le grand patronat allemand, a longtemps cru pouvoir compenser ce déclin démographique par l'immigration. Derrière l'appel de la Chancelière à l'accueil d'un million et demi de migrants, il n'y avait pas que de bons sentiments. Il y avait aussi de gros intérêts. Réels ou supposés car les Allemands ont dû éprouver que tous les arrivants n'étaient pas des Turcs laborieux et qu'il ne serait pas si facile de les mettre au travail, à supposer qu'ils aient un métier. L'expérience - négative et amère à bien des égards - ne pourra pas, de toute évidence, être poursuivie ni renouvelée. Elle a déstabilisé la chancelière Merkel et fragilisé sa grande coalition ; elle a réveillé le sentiment national et identitaire allemand, à droite comme à gauche, car la gauche allemande a peu à voir avec la gauche française. Et pas seulement aux extrêmes : un homme comme Thilo Sarrazin, issu de l'établissement, n'en procède nullement. 

    L'Allemagne est donc - comme la France - à la croisée des chemins. Comme le nôtre, malgré de flatteuses apparences, son avenir est incertain. Elle entre dans une zone de risques et de turbulences encore difficilement identifiables mais réels. Et qui, bien-sûr, comme toujours, intéressent la France. C'est ce que nous avons essayé de montrer et de décrire simplement et bien partiellement à travers quelques choses vues Outre-Rhin.   

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • DES NOUVELLES DES PRISONNIERS POLITIQUES

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    Esteban et Samuel ont été condamnés il y a quinze jours à des peines énormes (11 et 7 ans de prison) alors que les charges qui pesaient contre eux se sont, tout au long du procès, effondrées les unes après les autres... J'ai exprimé, juste après le verdict inique, mon sentiment sur celui-ci cliquez ici. Face à une telle injustice, ceux-ci se sont pourvus en appel.

    Pour les aider, une cagnotte a été alors créée par les proches d'Esteban. Nous avons invité nos lecteurs à y participer cliquez là et nous savons qu'ils ont été nombreux à répondre à cet appel et nous les en remercions pour ce bel élan de solidarité patriotique. Mais l'inquisition fanatique menée par les idiots utiles du Système que sont les antifas a obligé nos amis à fermer cette cagnotte. Soyez cependant rassurés, les fonds récoltés en quelques jours, soit plus de 10 000 euros, ont été reversés à la famille d'Esteban.

    Depuis, vous êtes nombreux à nous demander comment aider nos camarades. Nous vous donnons donc les informations suivantes :

    - Aujourd'hui, une nouvelle cagnotte vient d'être ouverte par Madame Colette Morillo, la mère d'Esteban - cliquez ici N'hésitez-pas, dans la mesure du possible, à y contribuer.

    - Pour écrire à Esteban ou à Samuel, vous pouvez adresser vos lettres à Synthèse nationale (9, rue Parrot, CS 72809, 75012 Paris) en mentionnant au dos de l'enveloppe STB ou SM. Les courriers seront réexpédiés aux familles. Pour soutenir Esteban, si vous désirez joindre un chèque, établissez-le à l'ordre de Esteban Morillo.

    - dimanche 14 octobre, lors de la 12e Journée de Synthèse nationale cliquez ici, avec Aristide Leucate, journaliste à Présent qui a couvert le procès, et Serge Ayoub, ancien dirigeant de Troisième voie, nous reviendrons sur cette odieuse provocation dont furent victimes les jeunes patriotes en juin 2013 et sur les conséquences dramatiques de celle-ci.

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

  • UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    Face aux difficultés du Royaume-Uni à négocier sa sortie de l’UE, le ministre des Affaires étrangères britannique, Jeremy Hunt, a comparé l’Union européenne à l’Union soviétique :

    «La leçon de l’histoire est claire : si vous transformez le club européen en une prison, le désir d’en sortir ne diminuera pas, il grossira et nous ne serons pas le seul prisonnier à vouloir s’échapper». «L’Union européenne a été conçue pour préserver les libertés, c’est l’Union soviétique qui empêchait les gens de partir».

    La prochaine échéance pour les négociations sur le Brexit est fixée au sommet européen du 18 octobre.

    https://www.lesalonbeige.fr/ue-urss-est-il-permis-de-sortir-de-lunion-europeenne/

  • Tabou diplomatique

    Georges Feltin-Tracol

    Cet été, les lignes ont semblé bouger dans les Balkans, en particulier entre la Serbie et le Kossovo. Le président de la République de Serbie, Aleksandar Vučić, entama une discussion avec Hashim Thaçi, le chef de l’État kossovar. Depuis 2008, année où le Kossovo a acquis une soi-disant indépendance, la Serbie n’a jamais accepté cette sécession. Avec l’augmentation des flux migratoires extra-européens dans la région, l’intransigeance de la Serbie pose maintenant de graves problèmes puisque Belgrade refuse de fermer une frontière qui n’existe pas à ses yeux. Par ailleurs, le Kossovo, digne valet de l’atlantisme, se transforme progressivement en un narco-État plus ou moins en cours d’islamisation.

    Avant de rompre les négociations d’un commun accord dès le 7 septembre dernier, Aleksandar Vučić et Hashim Thaçi ont espéré que leurs États respectifs adhéreraient le plus tôt possible à l’Union pseudo-européenne. Ils étaient mêmeprêts à s’affranchir du tabou diplomatique suprême : l’intangibilité des frontières. Le Nord du Kossovo peuplé de Serbes autour de Mitrovica rejoindrait la Serbie qui en échange céderait au Kossovo des territoires du Sud-Ouest à majorité kossovare (la vallée de Presevo et les villes de Medveda et de Bujanovac). À peine envisagée, cette solution de bon sens fondée sur le critère ethno-linguistique souleva bien desmécontentements. L’Église orthodoxe serbe s’interrogea sur le devenir de ses lieux saints, de ses monastères et des enclaves serbes non contigues à la Serbie. La Russie souhaiterait maintenir le conflit gelé, utile abcès de fixation régionale. Le Premier ministre kossovar, Ramush Haradinaj, s’indigna déjà de rendre la moindreparcelle de terre albanaise aux Serbes. Quant à la gauche populiste souverainiste de Vetëvendosje ! (« Autodétermination ! »), deuxième force politique du pays, elle s’éleva contre cet éventuel échange au nom de la Grande Albanie ethnique qui n’exista que de 1941 à 1944...

    Alors que Washington et Paris penchaient vers ce règlement territorial, Bruxelles et Merkel ainsi que les « machins » internationaux s’inquiétaient de ce précédent susceptible d’avoir de fortes répercussions en Bosnie-Herzégovine voisine. Milorad Dodik, le président de la République serbe de Bosnie, réclame en effet depuis longtemps le rattachement des contrées serbes bosniennes à la patrie serbe. Les diplomates occidentaux n’apprécient guère les rectifications territoriales significatives. Ainsi maintes entités étatiques africaines ne sont-elles pas viables du fait de cette règle absurde qui ignore les réalités ethniques et tribales.

    Pourtant, la République française ne rechigne jamais à annexer un espace frontalier si s’en présente l’occasion. En 1918, elle s’empara de l’Alsace-Lorraine et orchestra une incroyable épuration ethnique en expulsant massivement de nombreuses familles germanophones. En 1947, le traité de Paris contraignit l’Italie à céder Tende, la Brigue et les crêtes de Tinée et de Vésubie à l’Hexagone. Neuf ans auparavant, le gouvernement français agressa l’Allemagne en lui déclarant la guerre parce que Berlin contestait l’intangibilité des frontières au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes…

    La cession réciproque de territoires entre la Serbie et le Kossovo marquerait un arrêt formidable du multiculturalisme post-moderniste au profit d’une perception géopolitique plus concrète. D’une aire balkanique aux entités composites, instables et artificielles, on passerait enfin aux Balkans de communautés de peuples enracinées.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°92, diffusée sur Radio-Libertés, le 28 septembre 2018.

    Europe Maxima cliquez ici

    Très attendue, la sortie prochaine du nouveau livre de Georges Feltin-Tracol :

    2018 09 GFT TV.jpg

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  • Laurent Obertone : « Immigration, on criminalise les inquiétudes de la population pour éviter tout débat »

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    Dans La France interdite, Laurent Obertone étudie la population issue de l’immigration en s’appuyant sur des études chiffrées, et dresse le constat d’une France dans 30 ans, en proie au communautarisme.

    Pour Boulevard Voltaire , il dénonce « le mythe du vivre ensemble » et les menaces qui pèsent sur le débat autour de l’immigration.

  • Un acharnement idéologique à nier que l’embryon est un être humain

    Un acharnement idéologique à nier que l’embryon est un être humain

    Communiqué de Choisir la vie :

    En 2015, alors qu’elle était encore Ministre de la Santé, Marisol Touraine instaurait, le 28 septembre, une Journée mondiale du droit à l’avortement et créait un numéro vert national destiné à informer les femmes sur l’avortement et à en promouvoir toujours davantage l’accès.
    En 2018, si Madame Touraine a quitté ses fonctions, la nouvelle ministre de la santé, Agnès Buzyn, entend bien poursuivre dans cet acharnement idéologique à défendre ce droit à l’IVG et à s’opposer à toute entrave à celui-ci.
    Ainsi, alors même qu’il y a seulement quelques jours, le Docteur Bertrand de Rochambeau, président d’un syndicat de médecins gynécologues, avait le courage affirmer que l’avortement constituait la suppression d’une vie et donc un homicide et rappelait le droit de chaque médecin d’user de la clause de conscience pour refuser de pratiquer cet acte, plus que jamais, Madame Buzyn et Madame Schiappa, secrétaire d’état à l’égalité femmes-hommes, entendent défendre ce droit à l’avortement et rappeler la liberté des femmes à choisir de disposer de leur corps.
    La campagne étatique d’affichage à l’occasion de la journée du droit à l’avortement le 28 septembre, comme chaque année, a passé sous silence les conséquences physiques et psychologiques de l’IVG et a continué de nier que l’embryon est un être humain.
    C’est pourquoi, Choisir la Vie, qui quotidiennement, à travers son antenne d’écoute se place du côté des femmes enceintes en difficulté et des enfants, entend, par sa nouvelle campagne d’affichage, riposter à la campagne étatique en démontrant que l’enfant in utéro n’est “ni une déception, ni une punition, ni une erreur, ni un obstacle mais un être humain”.
  • Saint-Martin : l’image de l’échec et l’échec de l’image – Journal du lundi 1er octobre 2018

    Politique / Saint-Martin : l’image de l’échec et l’échec de l’image
    Il l’avait promis, un an après l’ouragan Irma, Emmanuel Macron est revenu à Saint-Martin. L’occasion de se donner en spectacle alors que la reconstruction du territoire au point mort.

    Société / Mondial de l’Auto à la croisée des chemins

    International / Trump et Trudeau trouvent un terrain d’entente
    Donald Trump obtient un nouvel accord pour l’Amérique du nord. Après d’âpres négociations, le président s’est mis d’accord avec ses homologues mexicains et canadiens… clouant un peu plus le bec à ses détracteurs.

    International / Le Brésil sous très haute tension
    A une semaine du premier tour des élections générales, le Brésil est à feu et à sang. Scandales de corruption, tentative d’assassinat du favori et crise sociale, le pays et son futur président auront de nombreux défis à relever.

    Lien serveur TVL

    Lien DailyMotion

    https://www.tvlibertes.com/2018/10/01/26026/saint-martin-limage-de-lechec-lechec-de-limage-journal-lundi-1er-octobre-2018

  • Valérie Pécresse découvre que l’insécurité règne dans les lycées d’Île-de-France

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    Le plus sécuritaire des Français aurait applaudi des deux mains aux propos tenus sur le thème de la sécurité par Valérie Pécresse, lors de son passage au « Grand Jury » de RTL, dimanche dernier. En effet, tout y était. Minorité pénale à 16 ans, construction de 15.000 places de prison, développement de la vidéo-sécurité, effectivité des peines de prison prononcées par la justice, armement obligatoire des polices municipales dans les grandes villes.

    Bref, toute une série de mesures de bon sens, et aujourd’hui indispensables pour notre sécurité, que les amis LR de la présidente de la région Île-de-France, se sont pourtant bien gardés de mettre en place lorsqu’ils étaient au pouvoir. Et pour compléter ces dispositions, l’élue francilienne y est allée de quelques propositions destinées à crédibiliser sa démarche. Ainsi, a t-elle a formulé l’idée de la création d’une brigade de sécurité mobile, destinée à intervenir dans les lycées de son ressort. Il est vrai que la violence et l’insécurité sont depuis de nombreuses années présentes dans nos établissements d’enseignement. Du primaire au supérieur, il n’est pas de jour sans que soient rapportées par la presse les multiples exactions commises par des individus de plus en plus jeunes, et de plus en plus violents. Il y a quelques jours à peine, à Garges-lès-Gonesse, un jeune de 17 ans était violemment agressé et sérieusement blessé par une dizaine d’individus, dont certains étaient armés de bâtons et de barres de fer. Quelques jours auparavant, dans le Val d’Oise, c’était un policier municipal qui était roué de coups en pleine rue, par un groupe de personnes. Et la liste pourrait être longue de ces événements qui empoisonnent la vie quotidienne des Français, et qui attestent bien de ce que le niveau de violence est devenu insupportable dans notre pays.

    Car aujourd’hui, plus une catégorie de citoyens n’est épargnée. Les sapeurs-pompiers, depuis plusieurs mois tirent le signal d’alarme. Les agents des transports, confrontés à une violence qui ne cesse de monter – 15 % d’augmentation en ce qui concerne les agents de la RATP -, les services d’urgence dans les hôpitaux, où la violence se déchaîne de façon récurrente, les policiers nationaux et municipaux, les gendarmes…, tous sont confrontés à un phénomène auquel le gouvernement se trouve dans l’incapacité, souvent par pure idéologie, d’apporter une solution.

    Face à cette plaie purulente que constitue la violence pour notre société, Valérie Pécresse annonce donc une nouvelle initiative, la mise en place d’une unité de sécurité qui aura pour mission de sécuriser les lycées dont elle a la charge. Malheureusement, cette nouvelle formation, composée d’une quinzaine d’agents recrutés, notamment, parmi les anciens policiers et gendarmes, risque fort de se trouver bien démunie face à des bandes de délinquants déterminés et souvent armés. Par ailleurs, si c’est au rectorat qu’il appartiendra de gérer cette entité, rien n’est dit sur ses compétences réelles. Quelles seront ses prérogatives judiciaires. En aura t-elle seulement ? À quelles autorités publiques de police, de gendarmerie, de justice, devra t-elle rendre compte ? Quels seront ses moyens, sachant qu’a priori, ses membres ne seront pas armés ? Autant de questions actuellement sans réponses, mais qui laissent augurer d’une nouvelle et énième initiative, davantage destinée à répondre aux journalistes en vue de prochaines échéances électorales, qu’à traiter véritablement du cœur de la question fondamentale que constitue l’ancrage de la violence et de la criminalité au cœur de notre société.

    Olivier Damien

    http://www.bvoltaire.fr/valerie-pecresse-decouvre-que-linsecurite-regne-dans-les-lycees-dile-de-france/

  • Zemmour réagit à la polémique Nick Conrad : « Les Blancs ne sont qu’une expression pour dire les Français »

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    Le clip « Pendez les Blancs » du rappeur Nick Conrad a suscité un tollé et a engendré de nombreuses réactions. Sur LCI, Eric Zemmour a dénoncé la « culture du rap francophobe (...) qui appelle au meurtre des Français » et qui se répand dans les banlieues. Ecoutez ! 

    La vidéo du rappeur Nick Conrad n'en finit plus de faire réagir. Invité de la matinale de LCI vendredi 28 septembre au matin, Eric Zemmour s'est lui aussi exprimé sur la chanson et le clip tournés à Noisy-le-Grand, accusés de racisme anti-blanc. « Ce n’est pas un acte isolé, c’est une culture. Ça fait longtemps : 10 ans, 15 ans que les rappeurs appellent à tuer les flics, appellent à tuer les Français, appellent à détruire la France. Je peux vous sortir des listes de chansons longues comme le bras. Ce n’est que le dernier » , a-t-il expliqué. 

    « Il y a une culture du rap francophobe qui déteste la France, qui déteste les Français, qui appelle au meurtre des Français. Les blancs ne sont qu’une expression pour dire les Français (...). Il y a une culture de la haine de la France qui s’est répandue dans d’innombrables banlieues. Alors heureusement, tous les banlieusards, même ceux qui sont de culture musulmane ne sont pas touchés, grâce à Dieu »  a ajouté celui qui a été sous le feux des critiques pour avoir critiqué le prénom d'Hapsatou Sy, la chroniqueuse de Thierry Ardison.

    Toujours sur les banlieues, assurant que la France se dirigeait vers une nouvelle guerre civile, Eric Zemmour a conclu ainsi ses propos : « Il y a aujourd’hui dans toutes nos banlieues une contre-société qui a créé un contre-peuple, avec une contre-civilisation qui repose sur l’islam. C’est ça la vérité de nos banlieues que l’on ne veut pas dire et que l’on ne veut pas croire. » 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/