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anti-national - Page 595

  • Le député LREM Aurélien Taché pose la première pierre d’une mosquée

    Le député LREM Aurélien Taché pose la première pierre d’une mosquée

    Le député du Val d’Oise Aurélien Taché a participé à la cérémonie de pose de la première pierre de Jour-le-Moutier dans le Val-d’Oise. Et il en est visiblement très fier :

    Voir l'image sur Twitter
    Aurélien Taché
    @Aurelientache

    Très heureux d’avoir posé la première pierre de la mosquée de Jouy le Moutier ce matin. Bientôt un nouveau lieu de culte pour accueillir dignement les musulmans et pour faire découvrir la culture de l’Islam. @LaRepEnMarche95 @LaREM_AN @enmarchefr

    Le terrain, situé au croisement de la rue d’Ecancourt et de la rue Claude-Debussy, à côté du lycée de l’Hautil, a été cédé à la commune par l’agglomération pour un euro symbolique. L’association culturelle a conclu un bail emphytéotique de soixante ans, avant une éventuelle acquisition. Evidemment, les laïcards sont muets.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-depute-lrem-aurelien-tache-pose-la-premiere-pierre-dune-mosquee/

  • Chemnitz : « L’OPA hostile » de l'Islam qui occupe et mobilise les peuples d’Europe

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    Les manifestations de Chemnitz, ville saxonne de 240 000 habitants, nous renvoient l'image d'une Allemagne « nouvelle », nous voulons dire en rupture avec celle que nous connaissions depuis 1945 ; celle dont la capitale était à Bonn au bord du Rhin et non à Berlin en Prusse,  celle d'Adenauer, Helmut Schmidt, Schroeder ou Angela Merkel, la « petite »  que Kohl avait couvée pour qu'elle lui succède ; une Allemagne vaincue, unie dans les affres de la défaite, culpabilisée et repentie ; mais une Allemagne unie pour renaître après l'apocalypse de 1945, reconstruire sa prospérité, se réunifier dès qu'elle le pourrait ; une Allemagne paisible,  pacifiste, atlantiste, sous le parapluie américain alors indispensable. se satisfaisant d'être un géant économique et de n'être qu'un nain politique, sagement européen. Une Allemagne du consensus sur ces bases sans grande gloire mais assise sur des montagnes de deutsche marks,  ou d'euros,  bourrée d'excédents commerciaux et budgétaires.  

    On pouvait croire son nationalisme éteint. Il n'était qu'endormi. Ou plutôt, il avait changé de champ d'application, optant pour la puissance économique. Il se révéla unitaire et puissant lorsque vint l'heure de la réunification et qu'il fallut reconstruire l'Est ruiné par 45 ans de communisme. Effort titanesque accompli en trente ans. Ce furent les formes du nationalisme allemand des années 1945-2010 sans-doute aujourd'hui dépassées. 

    Comme il se passe partout en Europe et ailleurs, l'intrusion massive de l'Islam sur notre continent, l'afflux de migrants, d'abord turcs en Allemagne, ensuite orientaux et africains, quasiment tous musulmans, semblent avoir progressivement réveillé outre-Rhin un nationalisme allemand politique et identitaire cette fois.  

    Nationalisme défensif et non offensif. Ceci pour d'assez simples raisons : 1. L'Allemagne, malgré ses traditions guerrières et militaires n'a pas ou presque pas d'armée. C'est un fait. 2. Son peuple se compose de beaucoup de vieillards. Ils ne sont guère taillés pour les aventures extérieures. Exception faite de l'exportation... 3. Le souci aujourd'hui dominant en Allemagne est la préservation de l'identité du peuple allemand. Souci d’ordre intérieur. Qu'en sera-t-il à des horizons plus lointains ? Nous l'ignorons. Tout est possible. Nous évoquons ici la réalité présente de l'Allemagne qui n'est, sans-doute pour un temps assez long, un danger militaire pour aucun de ses voisins. 

    3470218525.jpgEn 2010, déjà, Thilo Sarrazin, avait publié « L'Allemagne disparaît » - ou suivant une plus juste traduction « L'Allemagne se suicide » - un livre pour dénoncer l'invasion islamique dans une Allemagne qui démographiquement s'effondre sur elle-même et risque d'en être doublement dénaturée. Thilo Sarrazin n'est pas n'importe qui. Il n'a rien d'un militant d'extrême-droite. Membre ancien et éminent du SPD, économiste et banquier, siégeant au directoire de la Deutsche Bundesbank, il appartient plutôt à l'établissement politique et économique. Son livre eut un retentissement considérable et devint emblématique du courant anti-immigration en train de prendre corps en Allemagne à droite et à gauche de l'échiquier politique.  

    Cinq ans plus tard, ignorant ce courant grandissant, on sait comment, à4137313480.jpg l'automne 2015, Angela Merkel se crut bien imprudemment autorisée à appeler l'Allemagne et l'Europe à accueillir un million et demi de migrants et ces derniers à s'y précipiter. Ce qu'ils firent spectaculairement. Cette décision fut l'une de celles dont les conséquences n'en finissent pas de retentir à court mais aussi à très long terme. Angela Merkel l'a payée très cher. Mais aussi son parti la CDU, dont l'unité a été brisée par la fronde de la CSU sa traditionnelle alliée bavaroise antimigrants ; et le vieil équilibre consensuel du Bundestag rompu par l'arrivée de 93 députés de l'AfD. La population allemande a sérieusement souffert des migrants, de diverses manières et en divers lieux, comme à Cologne, comme lors des attentats de Munich, Berlin et autres lieux. Sa colère a grandi comme elle grandit dans toute l'Europe.  

    Huit ans après son premier livre, son premier cri d'alarme, Thilo Sarrazin publie en cette rentrée un nouvel ouvrage dont, dans le contexte actuel, il y a gros à parier qu'il aura un écho considérable. Son titre ? « OPA hostile de l'Islam » . OPA lancée, bien entendu, contre l'Europe, c'est à dire contre les peuples et contre les nations d'Europe, unis, au moins provisoirement, comme en d'autres temps, pour leur commune défense, leur commune survie face à l'islam. 

    Regardons les cartes, comme il se doit : Chemnitz se situe à l’est de l’Allemagne, dans ce qui fut la DDR, non loin de Leipzig et de Dresde, où les horreurs de la dernière guerre atteignirent leur paroxysme, non loin de Prague, l’une des capitales des pays de Visegrad où l’on se refuse à l’accueil des migrants. Tel est tout simplement aujourd’hui l’enjeu vital qui occupe et mobilise les peuples d’Europe.  

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/09/05/c-6077484.html

  • Le samedi politique : La fracture européenne avec Pierre-Yves Rougeyron

    Progressistes contre nationalistes, pro ou anti-immigration, souverainistes contre mondialisme, les qualificatifs ne manquent pas pour illustrer les lignes de fracture au sein de l’Union Européenne. Depuis les élections italiennes et l’arrivée au pouvoir de la coalition gouvernementale avec Matteo Salvini en figure de proue, la révolte contre le diktat bruxellois est montée d’un cran.

    A huit mois des élections européennes, les tensions progressent de jour en jour. Jusqu’où ces affrontements peuvent-ils aller ? Quelles conséquences peut-on envisager ?

    Pierre-Yves Rougeyron. président du Cercle Aristote et directeur de la revue Perspectives Libres décrypte ces institutions européennes trop mal comprises, alors qu’elles nous gouvernent. 

  • Contradictions républicaines

    6a00d8341c715453ef022ad3b08675200b-320wi.jpgCe 12 septembre L'Opinion donnait la parole à deux représentants du parti qui s'intitule fièrement Les Républicains. L'un, le plus fougueux, le plus vigoureux et, pour certains lecteurs, sans doute le plus convaincant s'appelle Sébastien Pilard. Il est conseiller régional LR des Pays de la Loire et membre du bureau politique desdits Républicains. Il opine que l'on ne doit pas mettre la Hongrie au ban de l'Union européenne.[1]

    Le second, plus célèbre pour avoir fait voter une loi bioéthique dont il porte le nom Jean Leonetti, lui aussi membre du parti Les Républicains répondait au contraire, aux questions de Nicolas Beytout : Orban, dit-il, "s’est détaché des règles européennes et du PPE"[2] et, sans se démentir, il précise qu’il n’existe pas de porosités avec l’extrême droite, estimant en revanche qu’il n’y a pas de divergences entre le projet européen du parti et celui d’Alain Juppé.

    Nous nous trouvons donc en présence d'un débat. Le débat est toujours sain lorsqu'il est loyal, lorsque le juge est impartial et lorsqu'on laisse sa chance au fauve lâché dans l'arène. Toute la différence entre république et démocratie tourne autour de la conception du débat. Essence de la démocratie véritable, le débat ne saurait être attribué en propre au régime que l'on appelle république, sorte de projection de l'État jacobin avant-goût du totalitarisme. Il n'appartient guère en général aux gens qui se disent républicains. S'il caractérise plutôt la démocratie, au moins formellement, s'il devrait la caractériser, cela suppose toujours que les opinions s'expriment dans une libre confrontation.

    Toutes les opinions même religieuses, proclame la Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 laquelle, il est vrai, assortit ce principe de liberté d'une inquiétante réserve, d'ordre réglementaire.[3]

    La Cinquième république, depuis la saison 5 ou 6, transgresse allègrement les règles fondamentales de ce savoir-vivre ensemble en l'interprétant comme : aucune opinion ne doit dépasser dans les rangs, surtout pas une conviction religieuse, en particulier chrétienne.

    Pour en revenir au débat actuel, il convient de se souvenir que Juppé mérite bien d'être cité en référence des gens qui voudraient bouter Budapest hors du continent. Après, viendra le tour de Varsovie, puis celui de Vienne, puis peut-être celui de la Hollande ou du Danemark, et certainement l'Italie. Ils seront exclus d'une Europe restreinte au grand-duché de Luxembourg. Et ceci se ferait donc au nom de principes adoptés précisément comme déclaration unanime des États à Nice en 2000, sous la présidence Chirac, texte rédigé par deux grandes figures de la pensée, nommées Toubon et Juppé, énoncé que l'on ne peut corriger qu'à l'unanimité.

    La contradiction entre membres de ce parti, qui s'appelle de façon tellement significative mais à vrai dire également si cocasse, si choquante pour l'oreille, Les Républicains, ne se pose pas en pour Orban ou contre Orban. Elle oppose le principe même du politiquement correct, d'une part, et la libre expression des opinions ainsi que le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, d'autre part.

    Dans ce débat, car cela reste encore un débat sans se poser la question du rapport de l'intéressé aux canons de la beauté antique, on éprouve furieusement la tentation de défendre, contre les admirateurs et les disciples de Juppé, les méchants du film.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    [1] cf. Sébastien Pilard (LR): "Le procès d’Orban devant le Parlement Européen, c’est l’Europe dont nous ne voulons plus"

    [2] cf. Jean Leonetti (LR): "Orban «s’est détaché des règles européennes et du PPE"

    [3] Article 10. "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi."

    http://www.insolent.fr/page/2/

  • Châteaudouble : où est le « scandale » ?

    Il aura fallu que la présidente du Rassemblement national se rende le 12 septembre, accompagnée de David Rachline, maire de Fréjus et ancien sénateur du Var, à Châteaudouble (haut Var) pour que radios et télévisions s’intéressent enfin au sort de ce village médiéval de 450 âmes obligé d’accueillir 77 migrants africains deux ans durant dans une ancienne maison […]

  • Affaire Audin : Emmanuel Macron encourage le terrorisme

    Affaire Audin : Emmanuel Macron encourage le terrorisme

    La presse écrite, radiophonique et télévisuelle présente Maurice Audin comme un mathématicien, partisan de l’indépendance de l’Algérie et – pas toujours – membre du parti communiste algérien.

    C’est exact mais c’est partiel. Un point de première importance n’est pas mentionné : il a été complice d’auteurs d’attentats aveugles commis, en particulier, contre la population d’Alger à l’époque ville française.

    En toute logique, on peut le qualifier de traître à son pays. Après son arrestation, il a été exécuté sommairement par un militaire français. C’était une conséquence de son action qu’il ne pouvait écarter.

    1957_06_08_1-300x300.jpgPrincipaux attentats perpétrés à Alger par des membres du FLN et du parti communiste algérien en 1956 et 1957 :

    • 30 septembre 1956 (dimanche) Bombes au Milkbar et à la Cafeteria : 5 morts et 60 blessés
    • 17 novembre 1956 Grenade au café Le Progrès : 3 morts, 6 blessés
    • 3 janvier 1957  Bombe dans un trolleybus : 2 morts
    • 26 janvier 1957 Bombes à l’Otomatic, à la Cafeteria et au Coq hardi : 4 morts, toutes des femmes, et 37 blessés dont 21 femmes, la plupart amputés
    • 10 février 1957  Bombes aux stades d’Alger et d’El Biar : 12 morts et 45 blessés
    • 3 juin 1957 Bombes dans les lampadaires de rue : 8 morts et 90 blessés
    • 9 juin 1957 Bombe au Casino de la Corniche : 9 morts et 85 blessés
    • Sur la période courant du 30 septembre 1956 au 8 octobre 1957, à Alger, 751 attentats ont été perpétrés faisant 314 morts et plus de 900 blessés

    Quant aux harkis, qui avaient choisis la France, ils n’ont droit qu’au mépris :

    https://www.lesalonbeige.fr/affaire-audin-emmanuel-macron-encourage-le-terrorisme/

  • Nouvelles révélations du fils de Kadhafi contre Sarkozy

    fils-kadhafi-768x391.jpg

    Le fils de Kadhafi, Saïf Al-Islam, vient de transmettre un courrier à la justice française dans lequel il reparle du financement occulte par la Libye de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.

    L’homme – qui est toujours recherché par la Cour pénale internationale (CPI) pour « crimes contre l’humanité » –, livre sa version des faits dans une lettre de huit pages dactylographiées en arabe, datée du 11 juillet dernier et transmise cet été aux juges français par l’intermédiaire de son cabinet d’avocats britannique.

    Le fils du guide libyen relance la guerre contre l’ancien président de la République française. Dans sa confession confiée aux juges français, Saïf Al-Islam affirme que son père aurait versé 2,5 millions à Sarkosy pour sa campagne électorale, l’argent ayant été remis par Bechir Salah, un des fidèles de Kadhafi, à un collaborateur de l’ex-président.

    Avant la campagne victorieuse de 2007, « Sarkozy avait pour rival Dominique de Villepin, également candidat », écrit Saïf al-Islam Kadhafi. « Or, les chances de réussite de ce dernier étaient maigres, ce qui avait été confirmé par des rapports spécialement commandés à cet effet. Cela avait encouragé l’Etat libyen à s’intéresser à la question du soutien à Sarkozy, qu’il avait effectivement reçu sous la forme d’une somme de 2,5 millions d’euros », ajoute-t-il. 

    « M.Sarkozy a dépêché un représentant, Claude Guéant, afin de recevoir l’argent ; et j’ai appris de Bechir Saleh [le directeur de cabinet de Mouammar Kadhafi, ndlr] qu’il avait reçu l’argent en espèces à son bureau. Bechir Saleh m’en a informé, me rapportant une anecdote selon laquelle la valise n’ayant pu contenir les sommes facilement, Claude Guéant serait monté dessus, appuyant avec ses pieds pour la fermer. Claude Guéant serait ensuite reparti en France avec ce montant », accuse encore le deuxième fils de Mouammar Kadhafi.

    Interrogé par Le Monde qui publie les extraits de cette lettre de Saïf al-Islam Kadhafi, Claude Guéant, secrétaire général de l’Élysée devenu ministre de l’Intérieur en février 2011, nie avoir transporté le moindre argent libyen. Pour lui, Saïf al-Islam Kadhafi est seulement animé « d’une soif de vengeance ». 

    Nicolas Sarkozy, lui, conteste vigoureusement avoir reçu de l’argent du régime de Kadhafi. Après sa mise en examen le 21 mars 2018 pour « corruption passive », « financement illégal de campagne électorale » et « recel de détournement de fonds publics libyens », il s’en était pris au « clan Kadhafi », une « bande d’assassins » qui « veut se venger d’avoir été délogé d’un pouvoir qu’il tenait par la force depuis trente ans ». 

    Une attaque contre le régime libyen décidée à l’époque par le président Sarkozy qui avait peut-être comme objectif de faire disparaître des preuves compromettantes pour le clan au pouvoir en France…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/nouvelles-revelations-du-fils-de-kadhafi-contre-sarkozy/97808/

  • Mensonges d’État sur la faillite grecque et les dépenses publiques

    Les contribuables européens ont versé 289 milliards d’euros de prêts à la Grèce lors de trois plans de sauvetage, la part française s’élevant à 40 milliards d’euros.

    La dette publique grecque s’élève à 180 % de son PIB et le système bancaire est en faillite puisque 98 milliards d’euros, soit 44,9 % des créances bancaires, sont douteuses.

    Le PIB grec a chuté de 23 % entre 2008 et 2017, tandis que le salaire minimum est passé de 794 à 684 euros, que les prix de l’immobilier ont brutalement chuté de 50 %, que les systèmes d’éducation et de santé se sont effrités, que les jeunes ne pensent qu’à quitter le pays, d’où une amélioration apparente d’un taux de chômage de seulement 20 %.

    Les créanciers de la Grèce (UE, BCE et FMI) ont usé d’un subterfuge honteux pour retarder, une fois encore, la faillite inéluctable de la Grèce. Ils ont repoussé de dix ans, à 2032 au lieu de 2022, la date à partir de laquelle la Grèce devra commencer à rembourser sa dette.

    Et que feront les mêmes larrons, de nouveau en 2031, les taux d’intérêt ayant monté entre-temps ? Ils repousseront encore, de nouveau, de dix ans la date de remboursement en affirmant que la Grèce n’est pas en faillite puisqu’elle n’a toujours pas de dette à rembourser ! Les informations sur la Grèce sont un mensonge d’État que l’infosphère, les blogs et les réseaux Internet doivent dénoncer avec force.

    L’Italie, c’est dix fois la Grèce, une situation économique, bancaire et financière catastrophique tandis que, depuis mars 2009, le Dow Jones et l’indice NASDAQ ont progressé respectivement de 300 et de 500 %, soit à un niveau plus élevé, respectivement, de 88 % et 55 % que celui d’avant la crise des « subprimes ». Mais pas un mot dans Le Monde ou Le Figaro pour mettre en garde les lecteurs sur un krach éventuel à venir.

    Nous croulons sous les mensonges d’un système décadent en faillite ! Le déficit public français est de l’ordre de 3 % alors qu’il est, en moyenne, de 0,7 % dans la zone euro. La France, avec 56,4 % des dépenses publiques par rapport à son PIB, est devenue le pays le plus dépensier du monde, alors que le joueur de flûte Macron, pendant sa campagne, s’était engagé à réduire les dépenses publiques d’au minimum 4 points de PIB, soit 100 milliards d’euros.

    La situation est dramatique puisque l’application complète du rapport CAP 22 nous ferait économiser à peine 30 milliards d’euros. La France, face à un déficit public de 59,7 milliards d’euros et de 67 milliards d’euros de sa balance commerciale, a besoin de réformes structurelles pour réduire la dépense publique, retrouver la compétitivité internationale et reprendre des parts de marché qui s’écroulent. Notre niveau de dépenses publiques est de 9 % supérieur à la moyenne dans la zone euro (où il est de 47 %). Le défi des dépenses publiques à réduire est donc, en réalité, de 200 milliards d’euros.

    La Cour des comptes sonne le tocsin pour les dépenses publiques, notre système fiscal est basé sur le foyer et non sur les ressources d’un individu, mais Macron, comme disait Pompidou, ne songe qu’à « emmerder » les Français avec le prélèvement inutile à la source. Le technocrate Macron n’a pas pensé à mensualiser le paiement de l’impôt, ce qui aurait été autrement plus simple et efficace.

    Selon l’Agence France Trésor, chaque augmentation à venir de 1 % des taux d’intérêt augmentera nos remboursements de 2,1 milliards d’euros la première année et de 6,9 milliards d’euros au bout de trois ans.

    Mentez, mentez comme un arracheur de dents jusqu’au jour où tout le monde sait que, comme dans la Pravda de l’URSS, le Système ment ! À la première perte subite de confiance, tout explose !   

    Économiste Ancien haut dirigeant d'entreprise

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-4.html

  • Le plan pauvreté d’Emmanuel Macron s’adresse d’abord aux « quartiers prioritaires »

    Le plan pauvreté d’Emmanuel Macron s’adresse d’abord aux « quartiers prioritaires »

    De Caroline Parmentier dans Présent :

    Le « bonus territoire » comme son nom ne l’indique pas, n’est pas réservé aux Français. Il est réservé aux « territoires ». C’est-à-dire aux « quartiers prioritaires » dans lesquels certaines catégories de population sont fortement représentées : hommes ou femmes ayant deux parents immigrés, descendants d’immigrés d’Afrique, etc.

    Le plan pauvreté de Macron sera doté de « huit milliards d’euros, répartis sur quatre ans » avec un système de financement « bonus » : un « bonus territoire » de 1 000 euros par place et par an pour les nouvelles places en crèche créées dans les quartiers prioritaires, un « bonus mixité » allant jusqu’à 2 100 euros par an pour les structures qui font davantage de place à la mixité sociale, et un « bonus handicap » de 1 300 euros pour l’accueil des enfants en situation de handicap. « Aujourd’hui seuls 5 % des enfants de quartiers défavorisés sont accueillis en crèche, contre 20 % ailleurs », souligne le président.

    Et vous, aurez-vous votre cadeau Bonus ?

    Le plan veut également mettre en place un meilleur accès à la cantine « en développant les repas à un euro » ainsi que la distribution de petits déjeuners aux élèves d’écoles maternelles et primaires situées en zone prioritaire, comme le préconisait un rapport de la Délégation à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes remis en mars. Lesquels petits déjeuners avaient été supprimés de toutes les maternelles de France dans les années 2005 parce qu’ils favorisaient prétendument l’obésité. Autre mesure phare : la mise en place d’une formation continue à destination des 600 000 professionnels de la petite enfance pour qu’ils puissent « favoriser l’apprentissage du langage avant l’entrée à l’école maternelle » et ainsi « réduire les inégalités liées à l’origine sociale ».

    « Dommage de ne cibler que les écoles d’éducation prioritaire, alors qu’il y a des situations de grande pauvreté partout », pointe Marie-Aleth Grard, d’ATD Quart Monde. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/le-plan-pauvrete-demmanuel-macron-sadresse-dabord-aux-quartiers-prioritaires/

  • Blocage des universités : l’UNEF veut remettre ça !

    P1D2952437G.jpg

    C’était au printemps dernier. Des « zétudiants-diants-diants » en lutte, expression consacrée, là encore, contre la réforme Parcoursup, rêvaient de rejouer 68. Entre « cours alternatifs » et leçons de choses dispensées par les cheminots en grève alternative, ils votaient « la bordélisation des examens » et saccageaient les universités occupées. Particulièrement touchées celles de Toulouse, Nanterre, Tolbiac et Montpellier.

    Il est évidemment faux de dire LES étudiants, car ces casseurs-là n’étaient qu’une poignée, comparés à la population qui fréquente en France l’enseignement supérieur, mais leur pouvoir de nuisance, ou plutôt de destruction, s’est révélé inversement proportionnel à leur représentation.

    En juin, on estimait le montant des dégradations à cinq millions d’euros. Les travaux chiffrés et entrepris, le coût a été revu à la hausse : fin août, madame Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, a annoncé une facture de sept millions d’euros. « J’aurais préféré que cet argent permette de mettre en place de nouvelles pratiques pédagogiques ou permette des recrutements », disait-elle au micro de RTL, ajoutant : « On a connu des occupations de bâtiments, on a connu des assemblées générales, on n’avait jamais vu des gens venir casser dans les universités. »

    Casser, et sans doute aussi piller, puisqu’on apprend qu’en plus des réparations de maçonnerie, peinture, etc., il faut remplacer non seulement « des milliers de chaises » mais parfois, aussi, « tout le parc informatique ».

    Dans sa grande mansuétude, l’État annonce, par la voix de son ministre, que « le coût des réparations sera pris en charge par le ministère ». Et c’est qui, l’État ? Vous et moi, les taillables et corvéables à merci, les vaches à lait qui n’en ont plus à force d’être traites.

    Que les casseurs cassent, le contribuable paiera… c’est ça, la politique ! Alors, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? C’est, à l’évidence, la position de l’UNEF qui, le jour de la rentrée, appelle à Nanterre – l’une des universités les plus touchées avec un million d’euros de dégâts – à renouveler les blocages du printemps dernier. « Pour nous, cette bataille n’est pas finie », annonce Victor Mendes au micro de France Info« le printemps n’était qu’un avant-goût de la mobilisation et des luttes qu’on va mener contre ce gouvernement. On exige l’inscription de toutes les personnes recalées sur Parcoursup. On pense que ce qu’on a connu, les mouvements de grève dans les universités, c’est exactement ce qu’il faut refaire cette année pour que le gouvernement recule sur toute la ligne. » Ben tiens.

    Mendes est un pseudo-étudiant de 21 ans que Les Inrocks eux-mêmes qualifient d’« enragé », c’est dire. Un activiste du NPA, un « permanent de la révolution » (sic), chevelu touffu et jean crasseux, le mégaphone vissé au creux de la main, l’écume à la bouche. C’est la figure montante de l’UNEF, où il espère sans doute se forger la carrière que des études poursuivies mais jamais rattrapées ne lui offriront pas. L’extrême gauche est encore et toujours la pouponnière des cadres du PS, quand bien même cette gauche-là est moribonde.

    Jean-François Balaudé, le président de l’université, est inquiet : « La communauté universitaire a été très éprouvée par les événements du printemps, leur durée, avec les dégradations. On ne comprendrait pas que la mobilisation prenne la forme qu’elle a prise entre avril et juillet. Je pense qu’il y a moyen de s’entendre sur ces sujets-là. »

    Personnellement, je vois bien un moyen, en effet : virer Mendes et ses épigones. Car on ne me fera pas croire que ce type-là est réellement étudiant. Encore moins, s’il y est inscrit, qu’il suit les cours et passe avec succès ses examens.

    Il faut avoir le courage de faire du ménage. C’est, d’ailleurs, ce que réclament la grande majorité des étudiants qui, eux, demandent seulement à travailler.

    Marie Delarue

    http://www.bvoltaire.fr/blocage-des-universites-lunef-veut-remettre-ca/