anti-national - Page 706
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Le mandat de Macron n'est pas celui de ses promesses électorales…
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ET PENDANT CE TEMPS, ILS CONTINUENT D’ARRIVER…

Parmi les spectacles politiques mis en scène actuellement, le « renvoi des migrants économiques » figure en bonne place. Circulaire Collomb, projet de loi Collomb, déclarations présidentielles en France et à l’étranger, sondages pour « révéler » le point de vue des Français, engagements sur l’hébergement des SDF, déclaration du Premier ministre sur la tradition d’accueil de notre pays…
Voilà bientôt dix mois que M. Macron a été élu et surfe sur ce thème. Provoquant l’émoi, voire la colère, des associations humanitaires, associations riches de toute l’humanité de nos impôts et de nos déficits. Émoi et colère visant essentiellement à crédibiliser les propos présidentiels et ministériels.
Pourtant, comment leur accorder le moindre crédit ? Pendant ces dix mois, qui peut dire combien de migrants, jeunes et seuls, donc certainement migrants économiques, sont entrés dans notre pays ? Qui peut avancer une estimation « sérieuse » quant au nombre de ces étrangers qu’il faudrait ramener chez eux pour se conformer aux propos « officiels » ? 100.000 ? 200.000 ? 500.000 ? Davantage ? Qui peut donner la moindre estimation des moyens humains, matériels et financiers ainsi que des délais nécessaires ?
À en croire le propos présidentiel, la promesse de zéro SDF dans les rues n’a pu être tenue pour le 31 décembre 2017, à cause de l’arrivée « inattendue » de migrants. Arrivée tellement inattendue qu’elle est constante depuis au moins 2015, tolérée sinon organisée, au mépris des lois en vigueur.
En attendant, ils continuent d’arriver, les budgets déficitaires de la France continuent de financer des centres d’accueil toujours plus nombreux et les journalistes continuent de maquiller la vérité pour entretenir le mythe de Jupiter.
Faut-il rappeler les programmes antérieurs où, pour favoriser le retour chez eux de nos hôtes, il leur était offert une prime de retour, sans jamais vérifier si les bénéficiaires n’étaient pas de nouveau en France au terme d’un bref séjour dans leur pays. « Ça ne coûte rien, c’est l’État qui paye », disait-on déjà.
Pour que le propos soit crédible, il faudrait rétablir le contrôle de nos frontières, pour vérifier qui entre, et à quel titre, refuser tout prétendant ne respectant pas les lois en vigueur et vérifier que les expulsés ne reviennent pas, comme si de rien n’était. Le reste n’est que littérature.
Il y a peu d’immigrés en France depuis que la nationalité française leur est offerte sans conditions. Cela a permis à notre pays de connaître une augmentation « naturelle » de plus de dix-sept millions d’habitants en moins de quarante ans.
Il y a fort à parier qu’il n’y aura bientôt plus de migrants économiques à renvoyer chez eux, dès lors que notre généreuse administration aura pour instruction de les considérer comme éligibles au droit d’asile, sans conditions.
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Propagande immigrationniste : destiné aux écoliers, un fascicule éducatif entend corriger les «idées reçues» sur les migrants…
À l’initiative des associations FCPE et Solidarité Laïque et du syndicat SNUipp-FSU, un livret éducatif, destiné aux enseignants et aux enfants, veut “déconstruire les clichés” qui seraient accolés aux migrants…Les #collabos des associations FCPE et Solidarité Laïque et du syndicat SNUipp-FSU, créez un livret éducatif, destiné aux enseignants et aux enfants, pour déconstruire les clichés qui seraient accolés aux #migrants !
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, immigration, lobby, magouille et compagnie 0 commentaireJean-Luc Mélenchon rattrapé par des soupçons de surfacturation dans sa campagne en 2017
Jean-Luc Mélenchon a eu recours massivement à la sous-traitance pendant sa campagne présidentielle en 2017. Une enquête réalisée par France Info révèle que le candidat a choisi de faire salarier une grande partie de son équipe de campagne dans des structures extérieures. Ces structures, dirigées par des proches de Jean-Luc Mélenchon sont soupçonnées d’avoir surfacturé leurs services pendant la campagne.
Une association baptisée l’Ere du peuple, créée par trois proches du candidat en 2015, est devenue par la suite un prestataire onéreux de la campagne de Jean-Luc Mélenchon. L’association a facturé 45 000 euros de prestations « matérielles et intellectuelles » au candidat. Des services qui ont sûrement été surfacturés.
Une agence de communication, Mediascop est elle aussi au cœur de cette enquête. Jean-Luc Mélenchon est son unique client, et elle a capté à elle seule 11 % des dépenses de campagne du candidat. Soit 1,6 million d’euros.
La Commission nationale des comptes de campagne et du financement politique a constaté que Jean-Luc Mélenchon n’avait pas dépassé le plafond autorisé pour les dépenses de campagne, mais a rejeté plus de 400 000 euros de factures.
Immigration – Poussez-vous de chez vous que je m’y mette !, par Philippe Bilger

Pourquoi se croit-on tout permis ?
J’entends sur France Info la députée LREM Elise Fajgeles qui est le rapporteur du projet de loi : Pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif (Libération). Elle explique lumineusement la distinction nécessaire à opérer entre l’immigration légale et la clandestine. Celle qui a un titre à demeurer en France et celle qui n’en a pas. Elle a droit au questionnement du journaliste qui ne manque pas d’insinuer qu’il y a donc des “bons” et des “mauvais” migrants.
Evidemment, aurait-elle dû répliquer vertement. La loi consacre les bons et cible les mauvais. Ce n’est pas vouloir l’effacement des seconds mais seulement rappeler qu’un Etat est dans son rôle quand il corsète et adapte l’humanité et la générosité abstraites au regard de ce qui est possible pour un pays.
Pourquoi se croit-on tout permis ?
Parce qu’à force de moquer les propriétaires campés sur leurs biens et accusés d’y tenir, on a peu à peu légitimé toutes les atteintes, même les plus intolérables, au droit d’être tranquillement chez soi et de s’y croire en sûreté.
Faut-il rappeler l’augmentation des occupations illégales de logements et des loyers impayés qui pour le meilleur occasionne “un long contentieux devant les tribunaux” et, pour le pire, des situations scandaleuses, offensant le bon sens, favorisées par une législation ubuesque qui n’a pas pour vocation le triomphe rapide du droit et de la justice mais le culte d’une absurdité où l’état de droit non seulement ne protège pas mais nourrit la transgression.
Par exemple, quand les occupants légitimes aspirent à rentrer dans leur appartement ou leur maison passés sous la mainmise de squatteurs, ceux-ci pourraient les poursuivre pour violation de domicile au cas où ils n’auraient pas eu la précaution de faire appel à la police. Ainsi le mal non seulement ne serait pas sanctionné mais se verrait octroyé des pouvoirs pour combattre ses victimes! Il me semble qu’une telle dérive pourrait faire rire tant elle est un défi à l’équité si elle n’entraînait pas des épreuves considérables pour ces honnêtes gens qui s’obstinent à user de leurs droits et à faire confiance à la Justice. Pour eux, c’est trop souvent l’enfer judiciaire et social.
Cela va plus vite quand ces propriétaires ou locataires font appel à des jeunes du quartier pour déloger les Roms.
L’épopée burlesque et tragicomique d’un ancien chirurgien propriétaire d’une villa envahie après effraction par une famille “ayant pris ses aises, redécoré et installé une piscine” est à retenir (Le Figaro). Ces péripéties ont duré dix-sept mois et apparemment le film avec Christian Clavier “A bras ouverts” n’était rien à côté d’elles.
Il est facile de se gausser de ces mésaventures, de les tourner en dérision. On est toujours miséricordieux et débordant d’altruisme avec le coeur des autres. Ailleurs que chez nous nous sommes prêts à accueillir une multitude de migrants et d’occupants sans titre.
Pourquoi, dans notre société, se croit-on tout permis ?
Parce que l’Etat feint de ne pas voir ce qu’il ne sait plus interdire et que le citoyen est abandonné trop souvent à lui-même.
Parce que la justice est lente, longue et hésitante et qu’on sait parfaitement qu’entre la transgression et l’illicéité que l’urgence favorise et l’enlisement dans une interminable temporalité qui épuise le plaignant plus qu’elle ne l’assure de recouvrer ses droits et l’état de ses biens, la lutte est inégale. L’honnêteté perd à tout coup. Encore heureux que la victime ne soit pas stigmatisée parce qu’elle a la faiblesse d’attendre de l’autorité publique, quand cette dernière est violée, un secours, un recours, une restauration.
Pourquoi se croit-on tout permis ?
Parce que les frontières ont disparu à peu près partout et que celui qui invoque son droit doit aujourd’hui se justifier, son apparente présomption de force étant battue en brèche par l’affichage et l’exploitation de la faiblesse et de son infinie puissance émotionnelle. Qui ne fait plus pleurer a perdu.
Parce qu’il est plus facile de laisser tout aller, de faire un salmigondis de bien et de mal et de s’épargner les dures contraintes de la rigueur et de l’ordre que de muscler la démocratie et d’assurer à chacun la sécurité.
Et d’aider ceux à qui avec impudence on criera “poussez-vous de chez vous que je m’y mette” à répondre doucement mais fermement : “Je suis chez moi, dans mon appartement, dans ma vie, dans mon pays”.
Philippe Bilger
Texte repris du site Philippebilger.com
Libérer les agriculteurs du joug administratif
L'IREF (Institut de Recherches Economiques et Fiscales) a publié une étude sur la crise agricole. Présentation :"Troisième exportateur mondial il y a encore 15 ans, la France est passée en sixième position, derrière les Pays-Bas et l’Allemagne. Cette chute de compétitivité s’accompagne d’une baisse drastique des revenus de très nombreux agriculteurs : un tiers d’entre eux a gagné moins de 350 € par mois en 2015.
• Une véritable technostructure administrative est pourtant au chevet de l’agriculture avec près de 1 fonctionnaire pour 20 exploitations. Le contribuable finance le secteur à hauteur de 33 milliards d’euros, soit environ 100 € par ménage par mois. Il serait plus rentable pour de nombreux exploitants de toucher directement leur subvention sans travailler plutôt que de continuer leur activité.
• En plus d’une gestion particulièrement dispendieuse, les organismes publics et parapublics tels que les SAFER, les chambres d’agriculture ou les interprofessions constituent de véritables corporations au service d’intérêts politiques ou syndicaux et au détriment de la concurrence, de l’innovation et de la liberté d’entreprendre des producteurs minoritaires.
• Face aux dérives politiques et corporatistes de la technostructure administrative limitant la compétitivité des agriculteurs français, l’IREF propose de privatiser et mettre en concurrence la plupart des organismes la composant, d’abandonner progressivement les subventions et de limiter la réglementation pour permettre aux agriculteurs français de répondre aux enjeux de notre époque de manière durable et autonome."
En conclusion, l’IREF fait les propositions suivantes :
- Le périmètre d’intervention de l’État doit être drastiquement restreint. Les missions du ministère de l’Agriculture doivent se limiter aux services administratifs propres à toute activité économique. Cela implique une réduction significative de sa taille, voire sa suppression, tout comme ses administrations déconcentrées.
- Comme tout entrepreneur, un exploitant doit avoir le droit de produire ce qu’il désire, en qualité et quantité souhaitées. Toute forme de contrôle monopolistique de l’offre doit être éliminée.
- Il est indispensable de repenser la création de normes en responsabilisant l’agriculteur tout en réduisant la réglementation. Il serait pertinent d’adopter la politique consistant à supprimer préalablement deux ou trois réglementations existantes pour toute nouvelle réglementation décidée par l’UE ou l’État. Le droit coutumier, la responsabilité civile et pénale et la concurrence normative ne devraient pas être négligés pour allier compétitivité et gestion des nuisances environnementales associées à l’agriculture.
- Face aux effets pervers des subventions, il est urgent de rétablir les signaux de marché, libérer le pouvoir d’achat du contribuable, laisser les exploitations les plus compétitives innover et concurrencer celles qui sont sous perfusion d’argent public. Il faudrait envisager les négociations sur la PAC post 2020 avec une stratégie de sortie progressive et définitive du financement forcé de l’agriculture européenne par le contribuable, comme cela a été fait dans plusieurs pays du monde. FranceAgriMer et l’ASP pourront alors être supprimés.
- Un agriculteur doit pouvoir disposer de sa propriété et des fruits de son travail comme il l’entend avec ceux qui sont disposés à échanger avec lui. En ce sens, le contrôle des structures et les SAFER peuvent être supprimés sans délai. Toute forme de soutien public à l’installation des jeunes agriculteurs doit être abandonnée.
- Il faut privatiser et mettre en concurrence les chambres d’agriculture tout en mettant fin à la TATFNB et aux subventions publiques qui leur sont allouées afin de ne plus faire financer la défense des intérêts particuliers d’une corporation par le contribuable. Les agriculteurs pourront ainsi retrouver leur liberté syndicale (et par conséquent celle de ne pas se syndiquer) et ne plus être soumis à un système représentatif majoritaire, contraire à la liberté d’association. Les missions administratives réalisées jusqu‘à présent par les chambres d’agriculture pourront alors être transférées aux services déconcentrés de l’État. De manière générale, toutes les activités de conseil aux agriculteurs devraient être libérées, privatisées et mises en concurrence.
- En violation avec la libre concurrence et la libre association, les interprofessions doivent perdre toutes leurs prérogatives légales et leur caractère contraignant. Leur financement doit rester strictement volontaire et limité à leurs membres, sans aucun lien légal ou financier avec les institutions publiques. En ce sens, les CVO et les subventions qui leur sont allouées peuvent être supprimées sans délai.
- La MSA, symbole de l’échec du système de retraite par répartition, doit servir d’exemple pour une réforme plus globale vers un système par capitalisation en permettant la création de fonds de pension afin d’assurer une véritable retraite aux agriculteurs. La MSA doit être privatisée et mise en concurrence pour en faire une véritable mutuelle. Les retraités actuels de ce régime peuvent être transférés au régime général. Les problèmes sociaux des exploitants les moins compétitifs ne peuvent plus faire l’objet d’une perfusion d’argent public illimitée. Les politiques protectionnistes vis-à-vis de ces exploitations doivent cesser pour que ces agriculteurs puissent envisager sereinement une restructuration ou une reconversion professionnelle.
- Les syndicats d’agriculteurs ne devraient recevoir aucun financement public et ne reposer que sur les cotisations volontaires de leurs membres.
- Enfin, pour les mêmes raisons que celles invoquées ci-dessus, les organismes publics et parapublics suivants peuvent être privatisés et mis en concurrence tandis que toute forme de soutien public ou de financement obligatoire peut être aboli pour :
• le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER),
• l’institut national de l’origine et de la qualité (INAO),
• l’Office de développement de l’économie agricole d’outre-mer,
• l’Institut français du cheval et de l’équitation,
• le Pari mutuel urbain (PMU),
• l’Agence française pour le développement et la promotion de l’agriculture biologique.
Dans son étude sur les suicides des agriculteurs, Santé publique France liste une série de facteurs aggravants pour les agriculteurs déprimés tels que les « problèmes de modernisation, de normes écologiques à respecter, de procédures administratives lourdes ou encore […] de transmission de l’exploitation ». Il est urgent de redonner le droit aux paysans d’être de véritables entrepreneurs sur leurs terres et d’éliminer la technostructure d’État dont le rôle consiste ni plus ni moins à leur casser les genoux au nom de considérations arbitraires pour leur offrir a posteriori des béquilles avec l’argent du contribuable. Une telle réforme affectera probablement lourdement les structures agricoles actuelles et accélérera la reconversion d’un certain nombre d’exploitations. Mais elle est nécessaire et plus elle sera retardée, plus l’adaptation sera violente. Les agriculteurs français disposent des terres, du climat et des talents nécessaires pour répondre aux attentes des consommateurs et pour relever les défis de notre époque. Laissons-les révolutionner l’agriculture de demain."
LES CLANDESTINS PEUVENT PRENDRE LE TRAIN TRANQUILLEMENT ET GRATIS : LA DIRECTION DE LA SNCF SE COUCHE DEVANT LA CGT

La section locale de la CGT des cheminots de Bordeaux représente-t-elle l’opinion de l’ensemble des contrôleurs de la SNCF ? On peut en douter. Jugez-en vous-mêmes.
Une note interne du 16 février a suscité son émoi : « “Lors de vos missions”, précise-t-elle, “si vous remarquez la présence d’un groupe constitué de population migrante, il est rappelé l’absolue nécessité de ne pas vous exposer” et d’“aviser l’escale et le SA Rennes” ». Il est indiqué, notamment, « si la situation le permet, de recueillir le maximum d’informations (nombre de personnes, présence d’enfants, gare de destination, raisons de cette mobilité…) » et « si le dialogue est possible, [de] rappeler la possibilité de voyager en règle ».Voilà qui est dit avec précaution, dans un vocabulaire qui relève de l’euphémisme. Cette note a pourtant provoqué l’indignation de la section locale de la CGT, qui estime que ce n’est pas le travail des contrôleurs, et refuse de « faire du délit de faciès » ou de se comporter « comme une milice de la préfecture ». Elle dénonce « une incitation à des pratiques de discrimination et de délation vis-à-vis d’une population d’usagers de par leurs origines ou leur apparence physique ». Pire : « Les préconisations sous-entendent que des usagers d’origine étrangère qui voyageraient en groupes seraient soit disant (sic) dangereux et en situation de fraude. »
Gênée aux entournures d’être accusée de discrimination, la direction a joué aux Ponce-Pilate : cette note serait « le fruit d’une initiative personnelle » et « la direction régionale n’en avait pas connaissance et ne l’a donc pas validée ». Et d’ajouter qu’« [elle] ne reflète en aucun cas la politique nationale de la SNCF qui se doit de communiquer les coordonnées des services pouvant aider les populations concernées par la crise migratoire ».
Certes, ce n’est pas la mission première des contrôleurs de signaler des groupes de migrants illégaux. Ce serait plutôt le rôle de la police. Encore faudrait-il disposer des effectifs nécessaires. Mais n’est-ce pas un devoir civique de donner des informations aux autorités de tutelle, quand ils en remarquent sur les quais ou à bord des trains ? Que dirait-on d’un professeur qui, constatant que des élèves se droguent ou sont manifestement perturbés, n’en parlerait pas à sa direction ou au conseiller principal d’éducation, en arguant que ce n’est pas son travail ?
Dans ces instructions contestées, on apprend aussi que des migrants voyageraient sans billet, puisque la note rappelle pudiquement qu’il est possible de « voyager en règle ». Faut-il que la CGT s’en indigne et y voie une forme de « discrimination » ? Voudrait-elle exprimer sa solidarité avec ces nouveaux prolétaires ? À coup sûr, les contrôleurs qui ne sont pas offusqués par cette note sont des collaborationnistes et des fachos !
La direction de la SNCF, avec le courage de ceux qui baissent leur culotte, a retiré cette note et fait acte de contrition : elle rappelle que « la politique nationale de SNCF […] se doit de communiquer les coordonnées des services pouvant aider les populations concernées ». Si l’on comprend bien, les contrôleurs ne peuvent pas signaler les groupes de migrants illégaux, mais doivent faire le travail de l’administration ou des associations qui leur viennent en aide.
Il ne s’agit pas, bien sûr, de traiter les migrants qui se déplacent en train comme des parias. Mais la moindre des choses serait de ne pas pratiquer à leur égard quelque « discrimination positive », surtout quand ils sont dans l’illégalité. On verbaliserait sans état d’âme une personne âgée qui a oublié sa carte senior, mais on refuserait de signaler un groupe de migrants dans l’illégalité ? Voilà qui n’est pas très sérieux et tient d’un choix plus partisan qu’humaniste !
Saint-Malo (35) : Le maire Claude Renoult annonce « l’objectif de repeupler » la cité historique avec des migrants musulmans clandestins
Source Breiz Atao cliquez ici
La cité historique de Saint-Malo va bientôt recevoir des dizaines de migrants clandestins à l’initiative du maire, Claude Renoult. L’objectif décrété par ce dernier : « repeupler » la ville historique avec des allogènes, notamment en accordant des logements sociaux aux clandestins afro-musulmans.Saint-Malo participera à « l’élan de solidarité nationale », comme le souhaitait le maire, en ouvrant un centre d’accueil pour migrants. Plus précisément un centre d’accueil et d’examen des situations (CAES). Le préfet de Bretagne Christophe Mirmand et le maire de Saint-Malo Claude Renoult l’ont confirmé mercredi 21 février 2018.
Une première colonie de 50 éléments extra-européens seront installés dans la commune, « pas de famille, uniquement des hommes majeurs isolés et résidant actuellement en région parisienne », précise le Préfet seront logés dans cette partie d’immeuble composée de plusieurs appartements.
Cependant, le maire a un autre objectif : « repeupler » le centre historique de la cité corsaire. Pour cela, il va offrir des logements sociaux flambants neufs.
Quant à l’ancien bâtiment de la DDTM, situé rue de la Crosse Intra-Muros, et longtemps pressenti pour accueillir ce centre, la mairie est actuellement en pourparlers pour le racheter à l’État et y aménager des logements sociaux et intermédiaires, toujours dans l’objectif de « continuer à repeupler Saint-Malo », insiste le maire.
Des logements sociaux qui bénéficieront, naturellement, aux « nouvelles populations » devenues prioritaires en la matière. La colonisation rampante de la ville au profit des migrants afro-musulmans a donc commencé. Ce que l’édile qualifie de « repeuplement », c’est-à-dire l’exacte application de ce qu’avait annoncé Manuel Valls lorsqu’il était chef du gouvernement français (lire ici).
Le niveau de xénophilie du maire et de la clique qui l’entoure est tel que l’africanisation et l’islamisation sont perçues comme devant être recherchées à tout prix pour « repeupler » cette cité historique emblématique.
La tiers-mondisation qu’elle induira fatalement, spécialement en termes d’effondrement culturel et de crime, condamne la ville à disparaître dans l’abîme du déclin et de la déchéance.
La dégénérescence du personnel politique actuel annonce l’inévitable catastrophe pour des populations qui auront accepté de se subordonner à des chefs qui organisent l'invasion et le chaos ethnique.
Ecoles hors contrat : oser la liberté !, par Francis Bergeron

Jean-Michel Blanquer fait partie de ces ministres bénéficiant d’un préjugé favorable, parce qu’il veut mettre en place ou soutenir des règles de bon sens dans l’école publique. Quelle mouche l’a donc piqué pour appuyer aujourd’hui un projet de loi, issu de la période Vallaud-Belkacem, restreignant la liberté d’ouvrir des écoles privées hors contrat ? Le projet actuellement examiné par le Sénat définit en effet un encadrement strict de ces écoles.Une soixantaine de sénateurs du centre et de la droite poussent à la roue. Ils ont sans doute dans leur viseur les écoles coraniques qui se développent à grande vitesse, et qui sont loin d’être à l’abri du salafisme et de l’islamisme sous diverses formes. Il y a eu le cas de l’école Al-Badr de Toulouse, à présent fermée, ou de l’école musulmane Mine de savoirs, à Raismes, dans le Nord. Mais si Al-Badr a pu être fermée, cela prouve bien qu’une loi nouvelle n’est pas nécessaire pour empêcher l’endoctrinement islamiste d’enfants et d’adolescents.
En durcissant les conditions d’ouverture de ces écoles, en donnant des délais beaucoup plus longs au maire de la commune d’implantation, et à l’administration, pour contester un projet d’ouverture, c’est presque une déclaration de guerre qui est faite à l’enseignement vraiment libre, et en particulier aux écoles catholiques traditionnalistes.
En principe le contrôle de l’administration est censé se limiter à l’hygiène et aux bonnes mœurs. Mais la sénatrice centriste qui porte le projet de loi a des formules inquiétantes. Elle explique par exemple que cette loi permettra de s’en prendre à des écoles privées assurant « des enseignements tendancieux » en histoire et en sciences.
Sur le plan de l’enseignement tendancieux, notamment en histoire, ne faudrait-il pas alors faire d’abord un grand nettoyage dans les écoles publiques ? D’ailleurs, d’une façon générale, le fort développement des écoles privées a surtout pour origine l’effondrement de notre enseignement public, le souhait des parents de mettre leur progéniture dans des écoles de qualité. M. Blanquer en est conscient, et il est alors d’autant plus incompréhensible qu’il puisse soutenir un tel projet de loi.
Restriction des libertés
Demain, en histoire, sera peut-être considéré comme « tendancieux » de soutenir que la Révolution française n’a pas eu que du bon, ou que la Vendée a été victime d’un génocide. Et en sciences qui nous dit que ne sera pas considéré comme « tendancieux », et justifiant la fermeture d’une école privée, le fait d’enseigner que l’avortement tue ?
A un vrai problème (la montée des fanatismes islamiques), répondre par une restriction de liberté de cette nature est la plus mauvaise des solutions.
Philippe de Villiers est monté au créneau pour exprimer son inquiétude : une telle loi pourrait menacer son école du Puy du Fou. Anne Coffinier, la spécialiste française des écoles privées, avec sa Fondation pour l’école, ne décolère pas. Elle voit elle aussi dans le projet de loi un retour par la bande du vieux rêve socialiste du « tout Etat ».
Francis Bergeron
Article repris du quotidien Présent
UN CRÉDIT D’IMPÔT POUR CEUX QUI ACCUEILLENT LES MIGRANTS, C’EST LA BRILLANTE IDÉE DU DÉPUTÉ AURÉLIEN TACHÉ !

Le dernier sondage paru en janvier 2018 démontre le ras-le-bol des Français face à l’immigration : le rythme d’immigration est trop élevé ? Oui, à 64 % (et jusqu’à 79 % chez les Français les moins diplômés).
Faut-il permettre le vote des étrangers aux élections locales ? Non, à 60 %.
Supprimer le regroupement familial ? Oui, à 57 %.
Mettre fin aux accords de Schengen ? Encore oui, à 66 %.Tous les gouvernements qui se sont succédé pendant quarante ans ont connu des sondages comparables. Ils savent qu’une majorité de Français n’en peut plus, que les quatre cinquièmes des plus pauvres refusent d’être confrontés à ces flux continuels de pseudo-réfugiés. Pourtant, inlassablement, l’État continue à les accueillir. Et notre Président envisage d’aller plus loin. Il suffit de lire le rapport, validé par le Premier ministre, du député LREM Aurélien Taché.
Mais voyons d’abord qui est ce « macroniste » ?
Président de l’UNEF Limoges dans sa jeunesse, il fut ensuite socialiste et conseiller auprès des ministres du Logement Sylvia Pinel et Emmanuelle Cosse. Élu député du Val-d’Oise après les législatives 2017, il vient de pondre 72 mesures pour intégrer les migrants. Par exemple il propose :
– de doubler le volume des cours de français (400 heures, voire plus pour les réfractaires),
– d’autoriser les demandeurs d’asile « à travailler six mois après le dépôt » de leur dossier, voire plus tôt (cela, alors que la France compte plus de 9 % de chômeurs),
– d’offrir à ces « nouveaux venus » un accès au logement et à l’emploi, d’une durée moyenne d’un an (les 3.000 sans-abri parisiens apprécieront.) Tout cela grâce à des contrats avec les branches professionnelles, des « partenariats avec les grandes entreprises », mais aussi des reconnaissances partielles de qualifications et un accès plus facile à certaines professions.
Notre député souhaiterait aussi voir supprimer la condition de nationalité pour les fonctions non régaliennes de la fonction publique. (Bien évidemment, la CGT, FO et les autres syndicats s’inclineront et accepteront ce diktat au nom de l’antiracisme.)
Mais le top du top est la création d’un « crédit d’impôt solidarité »pour les personnes hébergeant gratuitement un « étranger ». Crédit qui pourrait s’élever à 1.800 € par an. Ahurissant, effarant, intolérable, les mots me manquent pour décrire la colère qui s’empare de moi devant ces décisions.
Ainsi, Macron ponctionne les retraités avec la CSG mais favoriserait financièrement les logeurs de migrants jeunes et bien portants. Pendant ce temps, nos anciens, ayant contribué à la richesse du pays, vivotent avec une maigre pension.
Il est honteux d’abandonner des gens dans la rue ou d’ignorer des familles couchant dans des taudis alors que l’on s’inquiète pour des hommes robustes portés par des associations négligeant le prochain pour favoriser le lointain. Honteux, alors qu’il y a deux semaines, une vieille dame dans ma région se suicidait : elle n’avait plus de chauffage, plus de famille et plus de sous. Où étiez-vous, M. Taché ? Où étaient ces associations financées par Soros ? Sûr que, dans quelques années, comme peu de gens veulent des migrants chez eux, l’accueil deviendra obligatoire. Et que dire de la promiscuité de ces quidams pleins de vigueur vivant au milieu d’une famille ?
Enfin, cette opération a un coût : plus de 600 millions d’euros. Après cela, Édouard Philippe, l’escogriffe du gouvernement, peut toujours proclamer : « La France a une longue et belle tradition d’accueil. » Alors, à quand un migrant à Matignon, M. le Premier ministre ?
