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anti-national - Page 707

  • Jawad relaxé, Pierre Cassen condamné à 3 mois de prison... soutenez Pierre Cassen

    3872059093.jpgPierre Cassen

    Riposte laïque

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    Comment mieux résumer la France de Macron ? Dans notre pays, un djihadiste dealer qui héberge des terroristes se retrouve en liberté, mais…

    On me condamne, dans les circonstances ahurissantes que je décris dans cette vidéo, que j’ai réalisée rapidement chez des amis, à cause de problèmes techniques, à 3 mois de prison avec sursis.

    - Dans ce pays, on condamne 5 jeunes Identitaires à 1 an de prison avec sursis, et à des amendes exorbitantes.

    - Dans ce pays, on harcèle judiciairement Christine Tasin.

    - Dans ce pays, on multiplie les plaintes contre Robert Ménard.- Dans ce pays, on oblige Mohamed Louizi à faire une grève de la faim, après six plaintes déposées contre lui par des islamistes, quand celles qu’il dépose ne sont pas instruites.

    - Dans ce pays, on condamne l’apostat Pascal Hilout, né Mohamed, mais on fout une paix royale au CCIF ou aux Indigènes de la République, qui ne cachent pas leur volonté d’islamiser notre pays, ni leur haine des Français blancs.

    - Dans ce pays, on condamne une oeuvre du cinéaste Gérard Boyadjian, coupable de délit d’audace.

    - Dans ce pays, on condamne le blogueur Boris Le Lay à des peines de prison supérieures à celles d’islamistes qui ne cachent pas leur inféodation à Daesch.

    - Dans ce pays, on traîne le talentueux Eric Zemmour devant les tribunaux.

    - Dans ce pays, enfin, nombre de Français, coupables de trop aimer leur pays, sont harcelés par une véritable police politique, au service du régime, et par trop de magistrats, qui ne rendent plus la justice au nom du peuple français, mais au nom de leur idéologie mondialiste et multiculturelle.

    Je m’adresserai, suite à cette condamnation inique, que je vais essayer de contester, aux lecteurs de Riposte Laïque ce jeudi, à 13 heures, pour expliquer quelques dessous croustillants de cette condamnation, et mettre en place la meilleure riposte possible.

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • «Face à l’islam conquérant, la France recule»

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    Par Ivan Rioufol

    CHRONIQUE – Si rien ne vient briser l’hégémonie prise dans les cités par les Frères musulmans et le salafisme, la France deviendra vite méconnaissable et invivable.
    La France recule sous les assauts de l’islam conquérant. Il crée le désordre dans la laïcité, la mixité, l’indivisibilité nationale. Il sème la discorde jusque dans l’école. Il fracture la nation. Partout, cette idéologie minoritaire exige sa visibilité, pose ses exigences, bouscule la République bonne fille. Emmanuel Macron promet d’aborder la question de l’islam avant la fin du premier semestre. Dimanche, il a dit vouloir «poser les jalons de toute l’organisation de l’islam de France». Bien. Mais sa prudence est un renoncement à affronter l’esprit totalitaire. Or il est à la source de l’épreuve de force. Un conseiller sur ce dossier, Hakim el-Karoui, constate (L’Opinion, lundi) que «les islamistes ont gagné la bataille de la norme, qu’il s’agisse du port du voile ou de la consommation de la viande hallal». Faudrait-il s’en satisfaire? Quand el-Karoui affirme dans la foulée qu’il faut «lutter contre l’islamophobie», en avalisant ce mot brandi par les islamistes et leurs caniches, il rend les armes.
    Les alertes des musulmans qui se sont libérés des interdits coraniques ne sont pas entendues du pouvoir
    La démocratie française est en train de perdre la guerre que l’islam radical lui a déclarée. Les alertes des musulmans qui se sont libérés des interdits coraniques ne sont pas entendues du pouvoir. Les musulmanes qui dénoncent l’oppression sexiste symbolisée par le voile protestent dans le vide. L’État «humaniste» ne s’émeut que de ceux qui surjouent les plaintes, dans un permanent chantage. L’apaisement promu par les autorités banalise l’infiltration islamiste. La candidate enturbannée de The Voice, la jolie et talentueuse Mennel Ibitssem, a eu ses défenseurs subjugués, en dépit des révélations sur sa proximité avec les Frères musulmans. Elle a eu ses avocats pour plaider son jeune âge (22 ans) et son droit à l’erreur. Mais bien peu se sont interrogés sur l’instrumentalisation prosélyte de sa présence sur TF1. L’indignation des réseaux sociaux a contraint la chanteuse à se retirer du télé-crochet. Cependant, nombreux sont ceux qui s’inquiètent de la réaction colérique de la jeunesse musulmane.
    Faudrait-il se résoudre à vivre dans la crainte des humeurs d’une contre-société gangrenée par la dictature islamique et sa haine de l’Occident? Près de la moitié des jeunes musulmans sont attirés par les valeurs de la charia. Si rien ne vient briser l’hégémonie prise dans les cités par les Frères musulmans et le salafisme, la France deviendra vite méconnaissable et invivable. Réformer l’organisation de cette religion ne sera jamais suffisant. Réciter, avec Macron, des mantras sur «l’islam compatible avec la démocratie» demeurera mensonger tant que ne sera pas nommé et combattu le totalitarisme qui enfièvre l’islam. Cet islam-là ne réclame pas de croire en son Dieu, ce qui serait respectable. Il prétend imposer à tous ses lois et sa Constitution. Comme l’explique Mohamed Louizi *, «l’islamisme (ou islam politique) est l’instrumentalisation de la foi musulmane, depuis la nuit de la mort du Prophète, à des fins de conquête du pouvoir politique». Louizi réclame un islam «dépolitisé, désarmé et non violent». Bel objectif.
    Les droits de l’homme sont mis au service de la pensée totalitaire
    En attendant, les droits de l’homme sont mis au service de la pensée totalitaire. C’est en leur nom, en effet, que les islamistes combattent la démocratie. Leur statut de minorité, reconnu par l’idéologie «antiraciste», leur offre la posture victimaire qui permet les abus de droit et les outrances. Dernièrement, la sénatrice PS des Bouches-du-Rhône Samia Ghali a insinué que Tariq Ramadan pourrait être suspecté non pour ses viols mais parce qu’il est musulman. Dans cette pensée complotiste, tout est fait pour persuader de la violence de la France, au point d’avoir convaincu le pouvoir de sa propre culpabilité. Plus l’islam radical humilie l’État, plus celui-ci se couche. Le préalable à toute réaction de la République est donc de s’extraire de ce piège dialectique qui empêche de mettre un coup d’arrêt à cette subversion sectaire. C’est elle que le gouvernement doit combattre, plutôt que d’envisager des accommodements avec la loi de 1905.
    Les délateurs et leurs soutiens
    Pour Macron, qui menace d’aller faire la guerre en Syrie, la tentation est grande d’acheter la paix intérieure en cédant à l’ennemi. Or rien ne peut justifier de transiger avec ceux qui veulent détruire la nation. Il a déjà été rappelé ici les similitudes qui unissent l’islamisme au communiste et au nazisme: le même culte de la force, la même détestation du monde libre, le même goût pour la table rase au profit d’un peuple supérieur. L’antisémitisme, le sexisme, la violence terroriste, commencent certes à ébranler l’opinion. Mais si le chef de l’État a pu se désoler dernièrement: «On est en train de perdre la bataille», il ne parlait que du climat. Or c’est un affrontement permanent qui se consolide, attisé par la passivité de nombreux organismes publics. L’Observatoire de la laïcité, par exemple, ne voit toujours rien de l’entrisme des Frères musulmans. Quant au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), il est ouvertement utilisé par ceux qui voudraient imposer le délit de blasphème. Se réveillera-t-il?
    La guerre civile est dans les têtes de ces fanatiques
    L’expérience vécue par votre serviteur ces jours-ci illustre la prétention hégémonique du courant islamiste. Pour avoir qualifié, vendredi dernier sur CNews, le voile de la chanteuse Mennel de «signe politique» et avoir redit que l’islam n’était pas seulement «une religion» mais un «corpus politique, une idéologie totalitaire», j’ai observé l’islamosphère se déchaîner sur Twitter pour obtenir du CSA qu’il sanctionne mes propos. La délation, lancée par une «journaliste», Feïza Ben Mohamed, a été relayée par le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), Dômes et Minarets et autres censeurs du même creuset. Le journaliste Jean-Michel Aphatie a soutenu la dénonciation, tandis que le réalisateur Dominique Farrugia m’insultait sur C8. Pour sa part, la militante anti-islamiste Henda Ayari, épuisée par la violence ordurière des attaques, s’est retirée un temps du combat. La guerre civile est dans les têtes de ces fanatiques et de leurs «collabos» à front de taureau.
    La fronde des musulmanes
    L’islamisme, vaincu par les femmes? Cette fois, c’est de La Mecque (Arabie saoudite) que vient la fronde, qui a déjà atteint l’Iran. Sous le hashtag MosqueMeToo (mosquée moi aussi), des musulmanes dénoncent la violence et les viols qu’elles ont subis lors de leur pèlerinage, alors qu’elles étaient voilées. Voilà ce que dit la sourate 5, verset 6, dans un douteux amalgame: «Si l’un de vous revient du lieu où il a fait ses besoins, ou si vous avez touché aux femmes et que vous ne trouvez pas d’eau, alors recourez à la terre pure, passez-en sur vos visages et sur vos mains»…

    * «Libérer l’islam de l’islamisme», Fondapol, janvier 2018.

  • Pensez printemps braves gens!

    Ah! la gauche donneuse de leçons! A quelques jours du prochain congrès du syndicat socialo-trotskyste UNEF, Libération dézinguait mardi les comportements de prédateurs sexuels de (nombreux) petits chefs de cette structure étudiante, traditionnellement grande pourvoyeuse de cadres pour le PS. Le quotidien du macroniste Patrick Drahi a recueilli «les témoignages de seize femmes victimes déclarées de harcèlement, d’agressions sexuelles et de viols de la part de dirigeants de l’organisation étudiante entre 2007 et 2015. Longtemps inaudibles, ou silencieuses, ces anciennes militantes racontent des années de sexisme du syndicat et son apparent laisser-faire face aux violences sexuelles.» «On était une mini-autocratie, raconte abonde Marion Oderda, ancienne du bureau national. Il y avait, dans l’ordre, Marx, Lénine, Engels et le nom du président de l’Unef.»  «C’est une orga lamberto ( trotskisme lambertiste, NDLR) de chez lamberto où on ne jure que par les croix et les colonnes, confirme Caroline De Haas, secrétaire générale de 2006 à 2009. Registre marxiste oblige, les forts sont surnommés les bolch (pour bolcheviks) quand les faibles sont appelés des mench (mencheviks). Aujourd’hui, au grand dam de certains, beaucoup d’anciens parlent d’emprise sectaire et de gourouïsation des chefs.» La secte du Mandarom  en  encore plus  folklorique en quelque sorte… 

    Bolchos ou mencheviks, tous communient cependant dans les mêmes attaques médiatiques contre le mâle blanc, le patriarcat archaïque, au nom de l’antiracisme et de la lutte contre les discriminations..n’est-ce  pas Caroline De Haas?  Hypocrites qui feignent aussi de crier au scandale après les récentes révélations (?)  sur l’ONG britannique Oxfam (dont les études théoriques ne sont pas toutes sans qualités)  selon lesquelles  certains représentants  à Haïti se payaient  du bon temps avec des prostituées, aux frais de la princesse… et des braves occidentaux qui dégainent leur chéquier  en espérant soulager la misère…et parfois leur bonne  conscience.  «Oxfam a présenté ses excuses au peuple haïtien lundi pour les dérives sexuelles de certains de ses employés, exprimant sa  honte  en remettant aux autorités à Port-au-Prince son rapport d’enquête interne. » Comme le notait Bernard Lugan il y a déjà  quelques années,  dénonçant les ravages du  charity business, il serait bon d’expliquer aux ONG et à leurs bailleurs de fonds  « qu’il y a suffisamment de malheureux en Europe pour occuper le temps de leurs membres, même si la misère est plus agréable à soulager au soleil des tropiques que durant les frimas de l’hiver septentrional…»

    Hypocrisie encore et toujours qui imprégnait les excuses spécieuses de la mairie de Paris pour empêcher que le grand écrivain et académicien  français Michel Déon  repose dans la capitale. Certes, l’ancien secrétaire de Charles  Maurras à l‘Action française  n’était pas un modèle de politiquement correct. Ami de Jean-Marie Le Pen (Horresco referens) homme aux  convictions nationales inchangées, il accumulait les tares rédhibitoires justifiant l’ostracisme  aux yeux  d‘Anne Hidalgo et de son entourage,mais la mairie de Paris  a finalement cédé sous  la pression.  Saluons ici, la pétition d’écrivains  lancée à l’initiative  du Figaro dans laquelle se côtoyait aussi bien le nom de BHL que celui de Jean Raspail ce qui n’est pas si fréquent !

    « En démocratie, ce n’est pas le peuple qui est souverain,  c’est le langage » notait Michel Déon et celui de Laurent Wauquiez , auquel  Bruno Gollnisch a réagi (ici et ici),   continue  à faire couler beaucoup d’encre, le président de LR s’assurant à  peu de frais après sa conférence donnée à Lyon une grosse couverture médiatique. Dézinguer M. Juppé  et Mme  Pécresse ne devrait pas heurter cette France d’en bas et périphérique dont la girouette Wauquiez, parangon d’insincérité,  guigne les suffrages. Mais le mépris de classe n’est jamais loin comme l’illustre la boulette de  Gilles Platret, un porte-parole de LR qui prenant la défense de son patron,  tente de nous faire  croire  à la fable du piège médiatique et  dénonce un journalisme «niveau CAP d’ajusteur-monteur» … quand son propre camp promeut en surface l’excellence des  filières courtes et les bienfaits de l’apprentissage pour  que nos jeunes accèdent à l’emploi. Comme le souligne Pont d’Arcole sur son compte Twitter,  « le mépris affiché du porte-parole LR pour les ouvriers est pathétique, du même niveau que lorsque M. Macron insulte les Français d’alcooliques ou de fainéants»

    Français bafoués, insultés, méprisés aussi au travers du projet de loi immigration et asile   qui était discuté hier  au conseil des ministres. Cela  commence très fort avec le bruit fait autour du rapport sur l’intégration du socialiste Aurélien Taché rallié à LREM  dont il est député du Val d’Oise, et transmis lundi  au Premier ministre et au ministre de l’Intérieur. Il vise entre autres joyeusetés  à autoriser les immigrés clandestins demandeurs d’asile à obtenir  un emploi au bout de six mois, avant qu’ils aient obtenu le statut de réfugié..Tout cela est d’une logique imparable et d’une nécessité absolue : nos compatriotes sont  matraqués,  taxés, épongés, rabotés, imposés comme jamais,  la France croulent sous  les déficits,  comptent cinq millions de chômeurs et huit millions de pauvres mais  pourquoi se gêner?  Faites de la place braves gens  et penser printemps !  

    Bien sûr, nous subissons de nouveau dans ce cadre le jeu de rôle des coteries du Système : ce projet est une infamie,  le retour de Vichy, voire de de Pasqua dénoncent les  uns; un  bel exemple de fermeté équilibrée par un  humanisme pragmatique de bon aloi selon les autres. En vérité des mesurettes qui ne sont pas à la hauteur des enjeux. Bruno Gollnisch l’a dit sur le plateau de France info vendredi dernier, si   « notre pays est aujourd’hui un pôle d’attraction pour toutes sortes de malheureux», «cette  nouvelle loi, une de plus,  traite le symptôme et ne s’attaque pas aux causes. Les flux migratoires totalement incontrôlés continuent d’arriver. On va modifier un peu dans le sens de l’accélération, les procédures d’examen de l’asile. Mais le problème, c’est que les déboutés du droit d’asile, ne retournent jamais pratiquement dans leur pays » Prendre à bras  le corps ce problème,  consisterait  déjà à  engager un dialogue franc et ferme avec des pays qui, comme l’Algérie ou le Pakistan,  refusent  le retour sur leur sol de leurs ressortissants  clandestins. M. Macron serait bien inspiré de réfléchir à cette question,  afin de mettre en oeuvre ses autoproclamés talents de diplomate et de persuasion…

    Il est pourtant plus que temps  d’agir!  André Posokhow, indique au terme de son étude mise en ligne sur  Polemia , statistiques à l’appui, qu’«il  arrive actuellement (sur notre sol) près de 300 000 immigrés par an et la population spécifiquement française diminue d’environ 120 000 personnes. C’est le grand remplacement dénoncé par Renaud Camus…» Si «mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde» selon la célèbre formule d’Albert Camus, que dire de dirigeants politiques qui nient la réalité de phénomènes qui menacent d’un péril mortel la nation dont ils ont la charge? 

    https://gollnisch.com/2018/02/22/pensez-printemps-braves-gens/

  • Immigration : « La loi Collomb est la plus grande machine à régulariser de l’histoire de France »

    Antonin a tout du personnage de roman noir, de l’anti-héros des chansons de François Hadji-Lazaro pour Pigalle. Grande-gueule, ce travailleur social a le visage buriné par la vie, par les coups durs. Apparemment confiant, il cache une sensibilité à fleur de peau que sa vocation à aider les plus démunis d’entre nous ne démentit pas. C’est parce que le problème des sans domiciles fixes le révolte qu’il a bien voulu répondre à nos questions anonymement. Ses positions surprenantes dérangeront probablement ceux qui ont des idées préconçues sur le sujet. Qu’importe, le mérite principal d’Antonin est bien de ne pas verser dans le misérabilisme compassionnel qui fait le bonheur des fictions télévisuels et des chanteurs engagés. Lui, connaît la réalité de la rue pour l’avoir vécue dans sa chair d’homme et de travailleur.

    (…)  » 95% des migrants arrivant en France sont considérés comme des SDF alors qu’ils ont un logement (souvent une maison) au pays. D’ailleurs, ils y retournent en vacances « au bled », dès que l’Etat les régularise. Imaginez qu’il y a presque 100 millions de touristes qui viennent en France tous les ans. Sont-ils considérés comme des SDF ? »

    (…) « Ces associations d’insertion engagent des salariés via des contrats aidés. Les fameux contrats dont Hollande avait fait une priorité. Emmanuel Macron a, de son côté, décidé de les limiter à ces associations. Les salariés, plus de 90% d’immigrés, ont donc des fiches de paie avec contrat de travail, deux éléments cruciaux pour accéder aux logements sociaux. Ils deviennent prioritaires pour quitter les centres d’hébergement aux yeux de la mairie et de la préfecture (70% du contingent de la préfecture leur est dédié en plus des 1.500 logements de la mairie de Paris via les accords collectifs). »

    (…) « Le projet de loi asile et immigration de Gérard Collomb va-t-il changer les pratiques en matière d’hébergement d’urgence ?
    Ce projet est la plus grande machine à régulariser de toute l’histoire de France. L’Etat sait très bien qui est hébergé dans chaque centre puisqu’il finance 18.000 euros la place à l’année via la DRIHL (service de la préfecture). Les associations mentent donc en refusant de communiquer les noms des personnes s’y trouvant. Cette opération va permettre de faciliter les régularisations grâce à la circulaire Valls. Au surplus, les fonctionnaires devront être bienveillants et moins pointilleux que par le passé. »

    (…) « Il faut savoir qu’il y a 700 demandes par jour pour deux places en centre d’hébergement et de réinsertion sociale. Et là intervient la deuxième étape jouant contre les SDF Français : la loi DALO/Sarkozy impose qu’il n’y ait pas de rupture d’hébergement quand une personne est prise en charge par l’état. Donc tous les demandeurs d’asiles ayant obtenu le statut de réfugié sont prioritaires pour vider les CADA (centres d’accueil pour demandeurs d’asile) puisqu’ils basculent dans le droit commun. »

    (…) « Quand j’entends un certain mouvement politique reprendre le chiffre officiel de 143.000 SDF, je ne peux qu’être dégouté par cette volonté de surfer sur la vague des SDF, comme les associations, pour faire du buzz. Défendre un toit pour les 143.000 « SDF » revient à donner un toit à plus de 140.000 étrangers : même les associations les plus à gauche ne pourraient rêver mieux.  »

    http://www.fdesouche.com/958605-revelations-a-peine-400-sdf-francais-dans-paris-un-travailleur-social-dit-tout

  • 10 ans d’« indépendance » du Kosovo : bienvenue dans le pandémonium de l’Europe – par Nikola Mirkovic

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    Le Kosovo demeure une zone très instable qui peut de nouveau embraser la région.

    Avant toute chose, il faut clarifier la situation du Kosovo, qui n’est pas « indépendant », comme certains veulent nous le faire croire. Des Albanais du Kosovo ont déclaré leur indépendance le 17 février 2008, mais cela n’en fait pas un pays indépendant pour autant. La résolution 1244 de l’ONU souligne que le Kosovo fait partie de la Serbie et l’ONU elle-même ne reconnaît pas le Kosovo indépendant. C’est, d’ailleurs, la position officielle du Vatican, de la Russie, de l’Espagne, de l’Inde… et de nombreux pays qui refusent de reconnaître l’indépendance de cet « État » artificiel, haut lieu du crime organisé et calvaire des orthodoxes serbes.

    La situation du Kosovo, aujourd’hui, est catastrophique. Plus de 1.000 Serbes ont été assassinés et 250.000 Serbes chrétiens ont dû fuir la région depuis l’arrivée de l’OTAN. 150 églises chrétiennes ont été détruites pendant qu’en même temps, 800 mosquées se sont construites et que le Kosovo devenait le premier fournisseur, par tête d’habitant, de djihadistes en Europe. Les Serbes, devenus minoritaires sur leur propre terre, continuent de subir une purification ethnique qui n’émeut guère les grandes consciences européennes.

    Le Kosovo est une des régions les plus jeunes et également les plus pauvres d’Europe, avec 60 % des jeunes au chômage, 30 % de la population vivant sous le seuil de pauvreté et 10 % de la population survivant en extrême pauvreté avec moins d’un euro par jour. C’est un paradoxe incroyable pour une région qui a reçu plus d’argent, par tête d’habitant, que l’Europe avec le plan Marshall. La situation est tellement catastrophique que des milliers d’Albanais eux-mêmes fuient maintenant la région par dizaines de milliers.

    Et c’est normal que le Kosovo ne s’en sorte pas. Les pays de l’OTAN, qui ont fomenté la guerre en ex-Yougoslavie en formant et en finançant l’armée terroriste de l’UÇK, ont choisi ces mêmes terroristes, majoritairement issus du crime organisé, pour diriger le « pays » une fois la guerre terminée. À quoi fallait-il s’attendre d’autre ? Pensait-on, sérieusement, que Hashim Thaçi, l’actuel « président » du Kosovo, chouchou des chancelleries occidentales et ex-chef de l’UÇK, dont un rapport du Conseil de l’Europe dit qu’il est « le plus dangereux parrain de la pègre de l’UÇK », devienne du jour au lendemain un philanthrope humaniste doté d’un sens aigu de l’économie et de la gestion d’un pays ? Évidemment que non. Thaçi a été mis en place parce qu’il ferme les yeux sur les prédateurs économiques, issus des pays de l’OTAN, qui rachètent la région pour une bouchée de pain, abusant de la main-d’œuvre à bas prix et rapatriant les dividendes dans leurs pays d’origine.

    Le Kosovo demeure une zone très instable qui peut de nouveau embraser la région. Maintenant, plus que jamais, il faut mettre fin à cette ingérence funeste de l’Union européenne et des États-Unis en Serbie et laisser l’État de droit serbe régler lui-même ses problèmes internes.

    Nikola Mirkovic

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Immigration : “Vous serez bienvenus chez nous” - Journal du Mardi 20 Février 2018

  • 400 000 immigrés clandestins en France ?

    C'est l'estimation du député Guillaume Larrivé :

    DWZAMeXXcAAIMpW

    Cette estimation est basée sur un rapport parlementaire rédigé par le même député au 15 février, qui précise qu'il y a 311 310 bénéficiaires de l'Aide Médicale d'Etat (soins gratuits pour les étrangers en situation irrégulière) en 2016. Mais il est douteux que les 3/4 de la jeune population immigrée clandestine ait chaque année besoin de soins médicaux...

    Capture d’écran 2018-02-20 à 07.32.54Cette estimation se base également sur le nombre d'expulsions prononcées : du 1er janvier 2012 au 30 septembre 2017, 539 832 mesures d’éloignement avaient été prononcées à l’égard d’étrangers en situation irrégulière, parmi lesquelles 120 555 éloignements avaient été exécutés. Sur cette période, 419 277 personnes sont donc restées sur le territoire sans titre de séjour.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Délit d'entrave à l'IVG : Laurence Rossignol reconnait avoir voulu "déstabiliser” les associations pro-vie

    Un an après l'adoption de cette loi, aucune plainte n'a été déposée, preuve que ce délit n'existe pas et que le but recherché était de faire pression sur les association pro-vie qui aident les femmes en difficulté :

    La loi, promulguée fin mars, punit de deux ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende les auteurs de sites internet poursuivis par une femme estimant avoir reçu “des pressions morales et psychologiques, des menaces ou tout acte d’intimidation” pour l’empêcher d’avorter. Douze mois plus tard, aucune plainte n’a été déposée, selon les informations recueillies par l’AFP. Ivg.net, avortement.net, SOSbébés, afterbaiz, testpositif… Ces plateformes accusées par les institutions de délivrer de “fausses informations”, parfois “sous une apparence officielle” ou via des numéros d’écoute gratuits, figurent en bonne place sur les moteurs de recherche.

    Pour Alba Horvat, juriste bénévole à la Fondation des femmes, la loi n’a pas eu d’effet car elle est “trop complexe”. “Le délit est écrit de telle manière qu’il est difficile à démontrer”, explique-t-elle à l’AFP. "Pour prouver l’entrave, on doit être en présence d’une femme qui cherche à s’informer sur l’IVG, qui subisse des menaces ou pressions assez graves pour qu’elle s’en rende compte, qu’elle en soit suffisamment affectée pour aller porter plainte, et qu’elle garde des preuves de ce qu’elle a subi".

    Cette fondation féministe voudrait porter une première action en justice. Un processus “long” qui se heurte à des difficultés pour trouver des victimes et collecter des preuves (factures de téléphone, échanges de messages, etc.), reconnaît Mme Horvat. “Le texte est difficile car il est contraint par les principes généraux sur la liberté d’expression”, défend la sénatrice socialiste Laurence Rossignol, à l’époque ministre des Droits des femmes (...)

    De fait, pour éviter qu’elle soit invalidée par le Conseil constitutionnel, saisi par des parlementaires au nom de la liberté d’expression, elle avait été réécrite “deux ou trois fois”, se souvient Catherine Coutelle, ancienne présidente de la Délégation aux droits des femmes de l’Assemblée nationale. "On ne ferme pas les sites des pro-vie, on dit que les personnes qui ont été abusées ont le droit de porter plainte" poursuit la rapporteure de la loi (...)

    Chez ivg.net, site créé en 2008 qui était encore l’an passé mieux référencé que le site gouvernemental (...), on réfute “toute accusation d’entrave”, défendant “la liberté des femmes” de s’informer. "Je ne vois pas comment on pourrait avoir une plainte dans la mesure où on répond à une démarche personnelle" dit à l’AFP Marie Philippe, directrice de cette publication d’une trentaine d’écoutantes et modérateurs, discrète sur ses positions sur l’avortement. “C’est une loi d’idée, pas applicable”, estime Emile Duport, porte-parole du mouvement anti-IVG Les Survivants qui possède plusieurs sites, affirmant en avoir été “peu inquiété”. “Au contraire, ça nous a médiatisés”, poursuit-il.

    Reste que depuis un an, ces plateformes disent recevoir davantage de faux témoignages ou d’appels de femmes cherchant, selon eux, à les “piéger”. “Le but était aussi de déstabiliser”, poursuit Laurence Rossignol," Si aujourd’hui ces sites se sentent épiés, sous surveillance, et qu’ils font plus attention à ce qu’ils disent, c’est qu’on a un peu réussi".

    Cela s’appelle le harcèlement démocratique.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Clandestins à Ouistreham, jusqu'où les autorités laisseront-elles pourrir la situation ?

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    Source PdF Calvados cliquez ici

    Clients du Casino importunés par les Soudanais qui déambulent et qui squattent aux alentours, riverains qui voient les clandestins casser les fenêtres des résidences secondaires pour essayer de s'y installer, touristes qui annoncent qu'ils ne reviendront plus à Ouistreham malgré "l'accueil et la gentillesse des habitants", présence quasi-hebdomadaire d'agitateurs d'extrême gauche qui se servent des pseudo-migrants pour fantasmer sur une révolution, etc., Ouistreham a-t-elle  définitivement vocation à devenir un repoussoir invivable ?

    Lorsque nous avons manifesté contre l'implantation des clandestins en 2016, les autorités et les médias nous accusaient de dénoncer un problème imaginaire, sous-entendant largement que nous exagérions, voire que nous mentions.

    Deux ans plus tard, quand nous avons de nouveau manifesté le 03 février dernier, les médias ne pouvant plus nier la problématique migratoire, nous avons été accusés de ne voir que le mauvais côté des choses.

    Pourtant, la vérité c'est qu'il n'y a aucun bon côté, et les exemples que nous avons cités en début d'article, ne sont que quelques-unes des problématiques que les Ouistrehamais et les amoureux de Ouistreham nous remontent quasi-quotidiennement.

    Si, à l'appel de l'Association pour le Retour au Pays des Expatriés (ARPE), nous avons manifesté pour demander l'expulsion de tous les clandestins, c'est notamment pour que cette charmante station balnéaire ne perde pas sa belle réputation qui attire tant de touristes vitaux pour le commerce local.

    Le Parti de la France s'associe une fois de plus à l'ARPE et à tous les Ouistrehamais mobilisés contre la colonisation migratoire, pour demander la libération totale et immédiate de la ville !

    Rejoignez nos équipes militantes en écrivant à calvadospdf@gmail.com et n'hésitez pas à contacter l'ARPE à cette adresse : arpecourriel@gmail.com

    Sur la manif de Ouistreham cliquez ici

  • SNCF : l'héritage étatiste et l'ombre communiste

    On a diffusé le 14 février auprès de la presse et du grand public le rapport Spinetta et ses quelque 43 propositions. Il se fixe pour but de sauver la SNCF. Il vient après de nombreux avis, circonstanciés et documentés, mais sans suite, de la cour des Comptes. Et cela pose une fois de plus la question du rapport de l'opinion, des médias et de notre chère classe politico-technocratique à la dépense d'État.

    Dès 2011, en effet, aux Assises du ferroviaire un groupe de travail avait conclu à l'insoutenabilité financière du système. Et quand, en 2014, fut votée la plus récente réforme ferroviaire, on promettait une fois encore un nouveau modèle économique.

    Il n'a toujours pas vu le jour. Et la ministre actuelle Élisabeth Borne qui connaît bien le dossier, juge impossible le statu quo.

    L'une des ritournelles de ces derniers temps consiste donc à demander à l'État de résoudre le problème ferroviaire. Les gros moyens de désinformation semblent même avoir récemment découvert le gouffre de l'endettement de la SNCF.

    Il s'agit pourtant d'un secret de Polichinelle. Il y a quelque 20 ans de cela, en effet, le gouvernement Juppé, n'avait entrepris d'en camoufler le montant que pour pouvoir faire semblant de satisfaire aux critères théoriques de l'euro. Et, dans ce but, avait été créée en 1997 une société gestionnaire de l'infrastructure. Faussement séparée du transporteur monopoliste, fut ainsi fondée Réseau Ferré de France. Cette entreprise était dotée, dès la fondation, de plus de 20 milliards d'euros de dettes. Artificiellement soustraite des comptes publics, elle atteint désormais un montant de 45 milliards.

    Or, comme la logique d'une gestion de RFF ne pouvait conduire qu'à une tarification plus réaliste de l'utilisation des voies et des gares. Ceci aurait coïncidé avec la remise en cause du monopole ferroviaire. On a donc décidé en 2013 de rebaptiser le gestionnaire d'infrastructures SNCF-Réseau afin qu'il soit bien clair qu'elle serait repassée sous le contrôle de Guillaume Pépy patron demeuré indéboulonnable, malgré ses échecs, de SNCF-Mobilité.

    Pour complaire à cette technostructure, l'organisme prétendument indépendant Arafer chargé, au sein de l'État, de réguler les transports, a, discrètement, toujours empêché que soient calculés les péages à hauteur des besoins de l'entretien des voies.

    Toutes ces feintes et galanteries ne peuvent plus dissimuler, cependant, que l'héritage étatiste produit chaque année un passif de plus de 3 milliards de dettes supplémentaires, qui, sans mesures drastiques, ne sauraient être remboursées en dépit des subventions auxquelles les régions sont contraintes, sans pouvoir les contrôler.

    Parmi les causes de ce déficit, on ne peut pas omettre les très coûteux avantages sociaux concédés aux cheminots.

    On n'oubliera pas, dans cette affaire, la place quasi séculaire de l'idéologie marxiste et de l'appareil communiste.

    À presque un siècle de distance en effet, loin d'être crédités de l'image de privilégiés qui les entachent aujourd'hui, les salariés des compagnies de chemin de fer passaient pour l'incarnation même de l'exploitation capitaliste.

    C'est en 1920 que des grèves très dures sont brisées par le gouvernement, et que la ville emblématique de Saint-Pierre-des-Corps et son maire Robespierre Hénault hébergent le congrès dit de Tours, où se fonde le parti communiste. La SNCF ne sera cependant fondée qu'en 1937, par le gouvernement Chautemps, étatisant et fusionnant les compagnies privées alors concessionnaires dans une société anonyme d'économie mixte dont l'État possédait la majorité du capital.

    Le cheminot passe dès lors à l'avant-garde de ce qu'on dénomme désormais modèle social français : retraites, heures ouvrées, emploi à vie, etc. Le statut d'ensemble, sans équivalent dans aucun pays du monde, sera plusieurs fois transformé et toujours aggravé. En 1983, notamment, il reviendra à Fitermann, ministre communiste des Transports du gouvernement Mauroy, de lui donner un caractère toujours plus étatiste et d'y imposer un Comité central d'entreprise contrôlé aujourd'hui encore par la CGT.

    Contre les projets gouvernementaux de réformes du secteur public les appareils syndicaux ont annoncé une mobilisation à compter du 22 mars. La direction de la CGT, par la voix de son secrétaire général Martinez, fait actuellement campagne pour intégrer aux manifestations une grève du chemin de fer.

    Chacun sent, chacun sait, le rôle structurant du chemin de fer. Il remonte à des temps très anciens. Il a certes été réactivé avec le développement du TGV depuis 1981, qui bouleverse l'espace hexagonal, toujours dans le sens de l'hypercentralisation parisienne. Dès la loi fondatrice de 1842 a été dessiné et pensé un découpage de la France en 7 grandes lignes convergeant à Paris. Surnommé l'étoile de Legrand, du nom du directeur général des Ponts et chaussées de l'époque, ce schéma corseté empêche aujourd'hui encore le décloisonnement des régions de notre pays.

    On ne s'en sortira donc que par une réforme radicale à laquelle l'idéologie étatiste et centraliste répugne.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/