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anti-national - Page 702

  • Censure de l’information : Macron applique à la lettre le programme du Forum de Davos

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    Par Michel Geoffroy, essayiste, contributeur de Polémia 

    Tout le monde sait désormais que lors de ses vœux à la presse, le 3 janvier dernier, le président Macron a annoncé son intention de légiférer (1) pour combattre les « fausse nouvelles » qui seraient selon lui diffusées sur Internet, afin de « protéger la démocratie … en période électorale » car « toutes les paroles ne se valent pas ». Par contre, on a sans doute oublié qu’en prenant cette initiative Emmanuel Macron n’innove nullement : il se borne à appliquer le programme de censure élaboré lors du Forum de Davos de janvier 2017. Retour sur image.


    Qu’est-ce que le Forum de Davos, d’abord ?

    Le « Forum économique mondial » (World Economic Forum) est une fondation à but non lucratif dont le siège se situe à Genève. Elle fut lancée en 1971, par Klaus Schwab, un professeur d’économie à l’Université de Genève, sous le patronage de la Commission européenne et de différentes associations industrielles européennes ; Klaus Schwab entendait diffuser en Europe les pratiques de management en vigueur aux États-Unis.

    Le financement du Forum serait assuré par les quelque 1.000 entreprises membres : principalement des entreprises transnationales réalisant un chiffre d’affaires supérieur à cinq milliards de dollars.

    Davos réunit les représentants du pouvoir économique transnational, des institutions financières internationales, du pouvoir intellectuel et médiatique, des ONG et des représentants autoproclamés de la « société civile ». Fait significatif : les hommes politiques sont en minorité lors des réunions de Davos, car Davos préconise que la « gouvernance » se substitue à la souveraineté des États.

    Ce Forum se place donc sous le signe du mondialisme, de l’argent et du pouvoir.

    La participation à la Réunion annuelle de Davos se fait uniquement sur invitation, mais ses travaux sont largement médiatisés.

    Pour Davos la démocratie est un « risque » qu’il faut « endiguer » !

    Le Forum de Davos de janvier 2017 a, entre autres sujets, justement examiné le rapport Global Risk 2017. Or que lit-on dans ce rapport ?

    Que le Brexit, l’élection de Donald Trump et l’échec du référendum de Matteo Renzi en Italie constituaient des « risques » qu’il fallait « endiguer ». Car, en janvier 2017, les participants avaient évidemment en tête les futures élections, présidentielle en France et législatives en Allemagne et le souci d’éviter tout risque de contagion politique.

    Le rapport affirmait surtout que les campagnes électorales avaient « mis en évidence le phénomène de désinformation rapide » des opinions publiques.

    Les participants au Forum soulignaient alors « le besoin de mieux protéger nos systèmes decontrôle qualité de l’information » et Global Risks 2017 concluait que « les principaux facteurs de risque peuvent être endigués en créant des sociétés plus inclusives basées sur la coopération internationale et une vision à long terme (2) ».

    Dommage pour les complotistes : les mondialistes de Davos, on le voit, ne cachent nullement leurs intentions ! Ils reconnaissent, en effet, que, pour empêcher les électeurs de « mal voter », il faut renforcer leurs systèmes de contrôle de l’information…

    Une justification de la censure

    Le rapport Global Risk 2017 reprenait donc à son compte les accusations formulées par Hillary Clinton justifiant sa défaite par… des opérations de désinformation (fausses nouvelles = fake news) conduites en particulier par la Russie.

    Il s’agissait donc d’un classique processus d’inversion accusatoire puisque ce sont bien les médias mainstream – propriété des puissances d’argent – qui en Occident trompent en permanence la population en imposant le politiquement correct et les mensonges d’Etat – et qui, aux Etats-Unis, ont massivement soutenu Hillary Clinton, la candidate du Système, contre Donald Trump. Lequel s’est au contraire appuyé sur les médias alternatifs pour mobiliser ses soutiens malgré le blocus des médias officiels.

    L’idée selon laquelle la population aurait mal voté parce qu’elle aurait été « désinformée » par les fake news russes est bien commode en effet : elle permet de cacher le désamour croissant entre les peuples et l’oligarchie et de dénier toute légitimité aux scrutins où ses candidats se font battre, en affirmant que les eurosceptiques (3) ou que les partisans de Donald Trump, par exemple, sont des manipulateurs qui diffusent des fausses nouvelles, donc des délinquants en puissance.

    Le concept de fake news sert ainsi à mettre en accusation tout ce qui va à l’encontre de l’idéologie dominante ou des candidats sponsorisés par le Système en accusant ceux qui diffusent une information alternative d’être tout simplement des agents stipendiés de Vladimir Poutine ou d’affreux « complotistes ».

    On voit par exemple cette logique à l’œuvre aujourd’hui dans le dernier sondage IFOP commandité par la Fondation Jean Jaurés et Conspiracy Watch (qui ne sont pas à proprement parler des organisations dissidentes) qui tente manifestement de mettre sur le même plan le conspirationnisme, le révisionnisme et… le refus de l’immigration de peuplement (4) !

    Les fake news servent de prétexte au coup d’Etat post-démocratique permanent

    Davos a donc justifié avec la lutte contre la « désinformation rapide » et les « fake news » le coup d’Etat post-démocratique permanent contre la liberté et la souveraineté des peuples.

    Ce coup d’Etat permanent repose en effet sur l’action conjointe de deux pouvoirs véritablement inconstitutionnels, car placés au-dessus de la légitimité électorale : le pouvoir médiatique et le pouvoir judiciaire (ou gouvernement des juges (5), appelé « Etat de eroit » en novlangue).

    Le pouvoir médiatique sert à enfermer la population dans une information et une réalité virtuelle, la réalité à laquelle les oligarques de Davos veulent que l’on croie.

    En 2015, le Forum de Davos avait d’ailleurs abordé la question de « l’utilisation des neurosciences comportementales pour améliorer les politiques publiques » et aussi pour « mieux diagnostiquer la pathologie mentale (6)». Sans doute une démarche désintéressée, lorsque l’on se rappelle que l’oligarchie affirme, par exemple, que les dissidents politiques souffriraient de « phobies » maladives ou que les terroristes islamistes seraient des « déséquilibrés » ! Il s’agit en clair de mobiliser les neurosciences de mener une guerre cognitive contre les peuples.

    Le pouvoir judiciaire sert de son côté à interdire de décrire le monde tel qu’il est, donc de sortir de la bulle médiatique dans laquelle on veut nous enfermer. Il sert aussi à criminaliser la critique du Système et de la politique qu’il conduit. Il sert enfin à mettre en tutelle les législateurs pour qu’ils ne dévient pas de la doxa libérale libertaire et cosmopolite.

    Macron, le petit télégraphiste (7) de Davos

    Manifestement Emmanuel Macron, le président élu grâce aux médias mainstream et à l’intrusion des juges dans l’élection présidentielle pour déstabiliser ses concurrents, a bien assimilé la leçon : il met en œuvre avec zèle le programme défini à Davos.

    Car les projets présidentiels auront justement pour effet de confier au juge le pouvoir de se prononcer sur la véracité des informations diffusées dans les médias alternatifs, qui sont la véritable cible de cette initiative.

    Avec les lois mémorielles les magistrats définissaient déjà la vérité historique dans notre pays. Mais avec la future « loi Pravda » de Macron, ils auront en outre le pouvoir de définir quelles informations les Français auront le droit de connaître !

    Mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

    Son mentor, Jacques Attali, dans une tribune de l’hebdomadaire l’Express, n’a-t-il pas proposé une réforme constitutionnelle afin de déterminer quels « sujets qu’un seul vote majoritaire du peuple ne pourrait suffire à trancher » et qui « seraient sanctuarisés en les inscrivant dans la Constitution » (8) ? Sa tribune s’intitulait d’ailleurs « Sanctuariser le progrès » : ce qui signifie, en novlangue, « museler le peuple ».

    Au nom de la « démocratie », bien sûr…

    Michel Geoffroy 08/01/2018

    Notes :

    1. « Les plateformes se verront imposer des obligations de transparence accrue sur tous les contenus sponsorisés afin de rendre publique l’identité des annonceurs et de ceux qui les contrôlent mais aussi de limiter les montants consacrés à ces contenus. »
    2. Présent du 20 janvier 2017.
    3. Terme de novlangue pour désigner ceux qui ne se reconnaissent pas dans la politique de l’Europe de Bruxelles.
    4. Enquête réalisée les 19 et 20 décembre 2017.
    5. Alors que normalement la justice n’est pas un pouvoir mais une simple autorité.
    6. Les Echos du 2 février 2015.
    7. En 1980 François Mitterrand avait accusé le président Giscard d’Estaing d’être le « petit télégraphiste » du gouvernement russe à propos de la présence des troupes soviétiques en Afghanistan.
    8. L’Express du 20 juin 2016.

    https://www.polemia.com/censure-de-linformation-macron-applique-a-la-lettre-le-programme-du-forum-de-davos/

  • Dimanche 21 janvier à Paris : la Dissidence française participera à la 12e Marche pour la Vie

    2884624822.jpgDimanche 21 janvier à Paris : la Dissidence française participera à la 12e Marche pour la Vie

    Un communiqué de la Dissidence française :

    Le 21 Janvier prochain à 14h30 s’élancera la 12ème édition de la Marche pour la vie.

    Contre la banalisation de l’IVG, la marchandisation de l’humain, et contre la PMA/GPA, la Dissidence Française appelle ses militants et sympathisants à se joindre à cette grande manifestation.

    À l’heure où la famille, pilier fondamental de la société et espace naturel de solidarités, est sans cesse attaquée par les tenants d’une idéologie libertaire mortifère, nous devons nous mobiliser en nombre pour faire entendre une autre voix.

    RDV LE 21 JANVIER 2018 À 14H30

    PLACE DAUPHINE À PARIS

    La Dissidence française cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/01/16/dimanche-21-janvier-a-paris-la-dissidence-francaise-particip-6017731.html

  • Yvan Rioufol : " Macron, ce faux dur en matière d'immigration"

    Extrait de l'excellente tribune d'Yvan Rioufol :

    "La gauche angélique et irresponsable fait faussement passer Emmanuel Macron pour un opposant déterminé à l’immigration de peuplement (...) Cet étalement de bons sentiments en dit long sur l’aveuglement face au raidissement de l’opinion. Partout en Europe, et singulièrement en France, les gens rejettent majoritairement une immigration qui ne s’assimile plus et qui porte en elle un nouvel antisémitisme.

    Reste que Macron n’est pas l’homme à poigne que croient voir les inconditionnels de l’accueil pour tous. Son soutien à la politique d’Angela Merkel, qui a fait entrer en Allemagne plus d’un million de "migrants" musulmans en 2015, ajouté à son mépris des "populistes" qui réclament le retour aux frontières, ne font pas du président un obstacle sérieux à l’idéologie immigrationniste.

    Tandis que les pays d’Europe de l’Est, qui ont déjà sauvé l’Europe de l’envahisseur ottoman en 1683, sonnent une nouvelle fois l’alarme sur une histoire qui se répète, Macron joint sa voix à celle de l’Union européenne pour accabler la Pologne ou la Hongrie. Le député Guy Verhofstadt a récemment sermonné ces deux nations : "Il n’y a pas de place pour des pays qui rejettent nos valeurs. Toute référence à l’identité nationale est potentiellement fanatique". Pour sa part, le commissaire européen aux migrations, Dimitris Avramopoulos, a admis (Le Figaro, vendredi), parlant d’"impératif moral" mais aussi d’impératif "économique et social" : "Il est temps de regarder en face la vérité. Nous ne pourrons pas arrêter la migration". Macron l’européen demeure, jusqu'à présent, dans cette logique de l'ouverture et du remplacement."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le Paris d’Hidalgo livré aux bandes africaines, par Caroline Parmentier

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    9030-20180117.jpg« En quelques minutes, ils ont descendu la rue en courant, des grands, casqués et armés. Les gamins et les gamines devant eux s’enfuyaient en hurlant de peur, l’un d’eux a été poignardé dans le dos. On se serait cru dans une scène de guerre d’un autre pays » (témoignage d’un habitant de la rue de la Roquette, Paris XIe).

    Samedi soir, lors d’une rixe entre deux bandes africaines, Ismaël D, un adolescent de 15 ans d’origine africaine, a été tué en pleine rue d’un coup de couteau. Un de ses cousins a été blessé à la tête d’un coup de bouteille.

    Une vingtaine de Blacks de la bande de Riquet (du XIXe arrondissement) armés de battes de base-ball et de couteaux, sont venus narguer une dizaine de Blacks du XIe, en train de tourner un clip de rap. Au cours d’un bref affrontement extrêmement violent, l’adolescent a été poignardé à mort avec une lame de 30 cm. Hospitalisé en urgence à la Salpêtrière, il est mort à son arrivée. Les témoignages recueillis sur place ont rapidement permis d’interpeller deux mineurs d’origine africaine, âgés de 14 et 15 ans.

    Des bandes racistes au point de s’entretuer

    « Il y a un rajeunissement important des protagonistes » explique le commissaire du XXe, Jacques Rigon. « Sur les XVIIIe et XIXe arrondissement il y a des “fights” [combats, NDLR] avec des 12-13 ans, avant c’était 16-17 ans ».

    On ne cesse de nous criminaliser, Anne Hidalgo en tête, avec le racisme, la discrimination, de nous seriner avec l’accueil des migrants, toujours plus, avec les joies de l’immigration et du multiculturalisme, sans rappeler que Paris intra-muros compte une quarantaine de bandes africaines actives et dangereuses. Racistes au point de s’entretuer. Impliquées également dans des agressions, des vols, du racket, des trafics etc. Selon la police, les arrondissements parisiens les plus concernés sont le XVIIIe, le XIXe, le XXe, le XIIe mais aussi le XIIIe, le XIVe et le XVIIe …

    En 2016, dans la France Orange mécanique, en région parisienne, les bandes se sont illustrées chaque mois dans une trentaine d’affaires – une par jour en moyenne – les affrontements entre bandes représentant environ un tiers des faits. Bande de la Grange-aux-Belles (Xe) contre groupe de Chauffourniers-Cité Rouge (XXe), Max-Dormoy-la-Chapelle (XVIIIe) contre Stalingrad-Orgues-de-Flandre (XIXe), bande de la Porte d’Asnières (XVIIe) contre groupe du quartier des 1 300 de Levallois-Perret, Montholon (IXe) contre leurs rivaux de Rozanof (XIIe)… Même le distingué XVIe arrondissement de Paris est écumé par sa bande, installée Porte de Saint-Cloud.

    La veille de la rixe de la rue de la Roquette, un autre Black a été assassiné dans un couloir de la station RER de Châtelet-Les Halles. C’est aussi en intervenant dans une soirée « Face black » à Champigny-sur-Marne le soir du réveillon, que la jeune policière a été lynchée au sol à coups de pied.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 16 janvier 2018

  • L’avortement ne peut pas être un droit fondamental car il est une dérogation grave à l’article 16 du code civil

    6a00d83451619c69e201b8d2cfb2f9970c-320wi.pngNicolas Sévilla, délégué général de la marche pour la Vie, qui aura lieu le 21 janvier 2018, répond à Valeurs actuelles :

    Vous organisez prochainement une « marche pour la Vie », comme chaque année… pour une actualité particulière ?

    La Marche pour la Vie qui aura lieu le 21 janvier prochain n’est pas une manifestation au sens strict du terme. Elle ne défend pas d’intérêts catégoriels, ne porte pas de revendications économiques, ne combat aucune idéologie. Elle est une protestation populaire, pacifique, des milliers de drames qui se déroulent chaque année sous nos yeux et que les responsables politiques depuis 40 ans n’ont pas eu le courage de dénoncer. Tant et tant de caricatures ont été dressées pendant des décennies contre les marcheurs de la Vie qualifiés d’obscurantistes et d’entraveurs du progrès.

    Or nous constatons dans chacune de nos familles que la banalisation de l’Interruption Volontaire de Grossesse nous a conduits dans une impasse. 220.000 avortements par an depuis 40 ans placent la France dans une situation d’échec collectif et ce malgré les terribles conséquences de cet acte dont témoignent de plus en plus ouvertement les femmes. Cette actualité est plus brulante que toutes les autres, car elle consume le corps social et broie nos consciences. Les grands de ce monde s’inquiètent à cause du réchauffement climatique mais ils n’ont pas vu ou compris que les menaces n’avaient jamais été aussi grandes au début et à la fin de la Vie de l’homme.

    Ces manifestations concernent des sujets qui ne semblent pas intéresser le plus grand nombre. Qu’espérez-vous ?

    Faut-il attendre que l’opinion publique toute entière se révolte contre une injustice pour la dénoncer ?  Lorsque le Conseil d’Etat valide l’arrêt des soins d’une jeune fille de 14 ans que les médecins souhaitent laisser mourir contre l’avis désespéré de ses parents, n’y a-t-il pas un motif valable de profonde indignation ? Quand 97% des enfants porteurs de trisomie 21 sont éliminés avant leur naissance, avons-nous le droit de dénoncer l’eugénisme insupportable d’une population éradiquée sur le critère de son génome ? Nous n’attendons rien, nous espérons tout puisque tout est à reconstruire. Et pour commencer simplement rappeler l’extraordinaire potentialité et singularité de chaque vie humaine quels que soient son état ou sa fragilité.

    Vous voulez marcher « pour la vie », mais tout le monde est « pour la vie » non ?

    De quelle vie parlons-nous ? De la vie des embryons manipulés, triés, congelés et détruits dans le froid des laboratoires ? De la vie des enfants qui naîtront demain sans père et sans mère ? De la vie des personnes en état de conscience minimale comme Vincent Lambert à qui l’on accorde plus le droit de vivre ?

    Le monde est pour la vie mais il doit apprendre ou réapprendre à la respecter comme elle est, avec ses fragilités et la part de mystère qui ne nous appartient pas.

    A l’heure de l’ouverture des états généraux de la bioéthique, les Français doivent opposer à la logique inéluctable du progrès technique dirigé par le marché une exigence morale plus grande. La Marche pour la Vie défend l’embryon car il est un Homme petit et elle conteste l’évolution de la loi qui a transformé le petit de l’homme en produit de l’homme, l’embryon en objet, et l’enfant en projet.

    L’avortement est devenu un droit fondamental pour l’immense majorité de la population et pour l’ensemble de la classe politique. La Marche pour la Vie peut-elle y changer quelque chose ?

    Alexandre Soljenitsyne affirmait que « la violence trouve son seul refuge dans le mensonge, et le mensonge son seul soutien dans la violence ». L’avortement ne peut pas être un droit fondamental car il est une dérogation grave à l’article 16 du code civil qui garantit « le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie ».

    Reconnaître que la fécondation est le commencement d’une nouvelle vie n’est pas une question de goût ou d’opinion, c’est une réalité biologique. Le dimanche 21 janvier, au départ de la Porte Dauphine à 14h30, nous rappellerons cette réalité. Nous opposerons à l’obscurité du doute et de la solitude qui accompagne un acte d’avortement la lumière de la vie et de la maternité. La Vie n’est pas un problème à résoudre, elle est un mystère à vivre.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • PHILIPPE BILGER : « PARFOIS, DANS CERTAINES PRISONS, LES DÉTENUS FONT LA LOI »

    Suite à l’agression, la semaine dernière, de trois gardiens par un terroriste islamiste incarcéré, le mouvement de blocage des prisons prend de l’ampleur. Pour l’ancien magistrat Philippe Bilger, cette colère du personnel pénitentiaire est compréhensible et était prévisible. C’est une crise pénitentiaire chronique à laquelle le ministre de la Justice et garde des Sceaux Mme Belloubet doit faire face.

    http://www.bvoltaire.fr/parfois-certaines-prisons-detenus-loi/

  • "L’opinion publique est soumise à un véritable matraquage sur le problème de l’immigration, (...) il y a une volonté de formater les esprits"

    Dans un entretien accordé à Atlantico, Jean-Paul Gourévitch met en garde contre une sous-information des Français au sujet de l'immigration :

    "(...) L’opinion publique est soumise à un véritable matraquage sur le problème de l’immigration. Dans la mise en scène des témoignages, dans le choix des invités, dans les images sensationnelles et compassionnelles présentées, il y a une volonté de formater les esprits. Un exemple : certes l’accueil des migrants doit être « digne », mais avons-nous aujourd’hui, même en comptant sur la générosité des associations, les capacités d’accueil pour héberger « dignement » les quelques 100.000 demandeurs d’asile de l’année 2017 sans compter les migrants irréguliers qui ne sont pas passés par la case demandeurs d’asile ?  Sauf à admettre qu’on donne la priorité aux migrants et non pas aux SDF,  et aux Français qui vivent sans toit ou dans des logements précaires. Ce que personne n’ose dire. 

    Dans les medias, on occulte la distinction entre les réfugiés politiques et les migrants économiques pour ne pas « faire de tri ». On valorise leur « formation » mais on oublie les études sur l’insertion professionnelle de ces migrants qui est très limitée. Si un pays n’a pas la capacité de donner du travail à ceux qu'il accepte, il  renforce le nombre de chômeurs, leur précarisation et le coût d'une opération supportée par l'Etat et les contribuables. 

    La désinformation est également permanente sur les statistiques des migrations, sur leurs coûts et leurs bénéfices, sur la lenteur des procédures d’asile,  sur l’inefficacité des reconduites reconnue par le Président Macron lui-même, sur l’Aide Médicale d’Etat, sur l’action des associations, sur les liens entre immigration et économie informelle…La plupart des journalistes ne lisent plus les ouvrages. Ils classent les auteurs dans une posture en faisant un copier-coller des textes récoltés sur Internet

    Je crois qu’on peut donner aux Français une connaissance de la réalité de l’immigration dans leur pays qui est plurielle, complexe, et très éloignée des slogans, des amalgames et des schématisations qu’on leur impose.

    Nous en sommes loin. Les chercheurs, et je ne suis pas le seul,  qui tentent de présenter loyalement les enjeux et les données sont accusés d’apporter de l’eau aux moulins de l’extrême droite comme je l’ai été en 2014 dans la campagne de diffamation qui a suivi la parution des Migrations pour les Nuls. Le résultat dans les medias mainstream  est immédiat. Ceux qui vous avaient donné la parole ou cité en référence  comme FR3, M6, BFM-TV, LCP, I-télé, Le Figaro, Le Monde, Libération…vous ignorent ou vous anathématisent. C’est pour cela que j’ai proposé de rétablir un Observatoire National des Migrations, indépendant et pluraliste, croisant les données locales, nationales et internationales, qui traiterait à la fois de l’immigration et de l’expatriation,  et qui remplacerait le défunt Observatoire National des Statistiques de l’Immigration et de l’intégration installé en 2004 par le Haut Conseil à l’Intégration et qui n’a jamais fonctionné (...)"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LE NON-LIEU TARDIF DE LA RUE COPERNIC

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    La Justice vient donc de prononcer un non-lieu dans l'affaire de l'attentat contre la synagogue de la rue Copernic survenu en octobre 1980.

    Cette affaire est emblématique du climat qui régnait alors à Paris. Sans le moindre début de preuve, s'appuyant sur une supposée revendication aux aspects pour le moins fantaisistes, toutes les polices, tous les chiens de garde du Système, journalistes, magistrats de gauche et politicards confondus, se sont rués, tels des hyènes, sur les mouvements nationalistes pour dénoncer le retour du "mal absolu"... Rappelons qu'à cette époque, l'extrême droite, toutes tendances additionnées, atteignait péniblement 1,5% lors des élections.

    Des dizaines de militants ont été arrêtés, perquisitionnés, livrés à la vindicte démocratique, des mouvements ont été dissous, des locaux saccagés, des carrières professionnelles brisées.... Plusieurs camarades ont été blessés, l'un a même été vitriolé sans que cela n'offusque les bonnes consciences de la bien-pensance institutionnalisée. Et, 37 ans après, les dernières pistes, pourtant bien éloignées des forces patriotiques, s'estompent... C'est un lamentable échec pour la Police et pour la Justice. 

    Libération, dans son édition d'aujourd'hui (voir l'article ci-dessous), peut-être pour légitimer les vils mensonges médiatiques, rappelle que cet attentat faisait suite à une série d'autres qui, eux aussi, furent précipitamment attribués aux nationalistes. Rappelons à notre tour qu'aucun d'entre eux, mise à part une exception, ne fut vraiment élucidé... L'exception ? Un fripier du Sentier qui avait incendié sa propre boutique rue d'Aboukir (après avoir peint lui-même des graffitis antisémites sur la porte), pour toucher l'assurance...

    La seule vraie question que les enquêteurs et les inquisiteurs auraient dû se poser était la suivante : MAIS À QUI DONC PROFITAIT CE CRIME ?

    Roland Hélie

    Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Un an après le démantèlement de la jungle de Calais, les migrants sont toujours là

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    Plus d’un an après le démantèlement de la jungle, la ville de Calais fait toujours face à une crise migratoire, alors qu’Emmanuel Macron viendra en visite ce mardi.

    Le gouvernement a désormais annoncé qu’il ne voulait pas de point de fixation aux alentours de la ville, entraînant le démantèlement de tout camp par les force de l’ordre alors que plus de 1 000 migrants seraient toujours à la rue.

  • La loi Macron sur l’immigration sert la propagande pour un monde sans frontières

    Loi Macron Immigration Propagande Monde Frontières
    Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, le lobby de l’immigration, des LGBT spécialisés à Médecins sans frontières, construit une intense propagande en faveur d’un monde sans frontières. La polémique sur la circulaire Collomb et sur la future loi migrants en sont des éléments.
    A droite comme à gauche, on est formel : sur l’immigration, Emmanuel Macron tient « un double langage ». Le républicain Bruno Retailleau, ancien second de Philippe de Villiers, déplore que « Les faits, les actes ne suivent pas les images et les mots ». Pourquoi ? Parce que derrière la sévérité affichée contre les clandestins, les crédits prévus pour les reconduire à la frontière ne suivent pas. A l’inverse, pour Benoît Hamon, malheureux candidat du PS à la présidentielle, si Macron tient un double langage, c’est au contraire qu’il parle d’accueillir l’immigration, et qu’en fait il se « vallsise », pire : « Ce que fait Macron, Sarkozy n’a même pas osé le faire ».

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