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Stoppons Macron ! #33 avec Christian Combaz
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Macron est dans la droite ligne des gouvernements successifs de François Hollande depuis la loi Taubira
Témoignage d'un haut-fonctionnaire à propos des positions de macron sur les questions éthiques et de société (GPA, PMA, euthanasie...) :
"La position de M. Macron est dans la droite ligne de celle affichée par les gouvernements successifs de M. Hollande depuis la loi Taubira. C'est du progressisme mou qui avance masqué. Cette position consiste à proclamer plus ou moins clairement, suivant les interlocuteurs que l'on veut séduire ou rassurer, que la GPA restera interdite, tout en feignant de ne pas voir qu'elle se met en place dans les faits. C'est exactement ce qui était annoncé dans la tribune du groupe Cambacérès publiée en 2013 par Atlantico : comme tout le droit de la filiation est lié au mariage, la loi Taubira ouvre la porte au droit à l'enfant, et donc au trafic d'enfants, bien sûr sans le dire et sous le noble couvert de l'égalité entre les personnes quelle que soit leur orientation sexuelle (...)
Sur le sujet de la PMA pour les couples de femmes et de la GPA pour les couples d'hommes, M. Bergé a parfaitement raison. Si rien n'est fait, si on évite tout débat, si on laisse faire l'ultralibéralisme sociétal au nom duquel tout est permis, on dira dans 5 ans que le droit doit s'adapter aux faits (ce qui est la négation même du droit...) , et la GPA s'imposera d'elle même. Accessoirement, si M. Bergé n'était pas un milliardaire étiqueté à gauche, ses déclarations sur la location d'un utérus comparable à la location des bras d'un ouvrier auraient été unanimement condamnées, en tout premier lieu par quiconque se prétend un tant soit peu féministe, ou un tant soit peu humaniste.
La position, ou plutôt l'absence de position de M. Macron consiste à éviter tout débat sur ces questions parce que le débat serait clivant, et donc, à n'avoir aucun programme qui pourrait être susceptible de fâcher un électeur. Mais n'est-ce pas le propre d'un débat démocratique que d'opposer des points de vue divergents, et de chercher un compromis acceptable? dans une dictature il n'y a pas de débats. Cette position traduit en première analyse un mépris de la capacité du corps social et de ses représentants à parvenir à des solutions sages sur des questions essentielles.
Il y a plus grave. Emmanuel Macron estime, dans une interview à La Croix du lundi 13 mars, que les questions éthiques de société "ne sont pas prioritaires sur le plan de l'action politique" (...)
En réalité, cette position s'explique aisément. Pour M. Macron et plus généralement pour les tenants du progressisme sociétal, il n'y a pas de débat sur ces questions éthiques car le sens de l'Histoire est clair: toujours plus de libéralisme, toujours moins d'encadrement, laissons faire et la société évoluera d'elle même vers un avenir radieux débarrassé des encombrants garde-fous hérités d'un passé révolu. Dans ces conditions, il n'y a pas de position à clarifier, il n'y a qu'une proposition de chèque en blanc (...)"
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Sondages entre bidouille et manipulation, LCI retire une émission de son site
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
Alors qu’on ne cesse de répéter qu’il faut voter “utile”, les sondages redoublent pour mettre la pression sur les électeursLe site Média Press Info retransmet une émission de la célèbre chaîne LCI, traitant de la grande arnaque des sondages. Cette émission a été supprimée des « rediffusions » tant elle faisait des vagues.
Les sondages sont en effet loin d’être des mathématiques neutres et froides
Il suffit de voir les commanditaires de sondages pour comprendre. Même Philippe de Villiers n’hésite plus à expliquer, comment il a acheté des sondages pour ses précédentes campagnes.
Comme ne cesse de le mettre en exergue l’Ojim, la grande presse est aux mains d’une poignée d’hommes. Patrick Drahi, actionnaire de Libération, L’Express, BFMTV ou RMC est réputé pour être un soutien d’Emmanuel Macron. De même pour Denis Olivenne qui gère Europe 1, Virgin Radio, RFM, Public, Paris Match, France Dimanche ou encore télé 7 jours.Cela n’empêche pas la grande presse de continuer à publier des sondages
Du même acabit, on peut en effet citer Ouest France qui publiait hier un sondage de BVA et Salesforce pour les intentions de vote au 2e tour. Ils se contentent de 480 et 795 réponses effectives…
Ce sondage défie donc toutes les règles de prudence concernant les statistiques de probabilité.
Mais à deux jours du premier tour de l’élection présidentielle, la propagande médiatique bat son plein pour tenter d’influencer les derniers indécisL’Obs, propriété du trio Niel, Pigasse et Bergé, a apporté publiquement son soutien à Emmanuel Macron via son éditorialiste Matthieu Croissandeau.
La Dépêche du Midi, propriété de Jean Michel Baylet, actuel ministre de l’aménagement du territoire et qui reçoit 1,6 million d’euros d’argent public a même titré en première page hier, « Pourquoi le projet du FN est nocif ».
Une preuve supplémentaire de l’instrumentalisation de la presse par le politique. -
Cazeneuve : l’assassin était en liberté à cause de SON gouvernement
C’est à cause de l’incompétence du gouvernement contre le terrorisme islamiste que cet homme était en liberté sur les Champs, une arme dans les mains !
Bernard Cazeneuve, Premier ministre, n’a pas fait preuve d’intelligence vendredi, dernier jour de campagne électorale, en s’en prenant aux candidats de droite François Fillon et Marine Le Pen. En les attaquant, il leur a « apporté » de nombreuses voix d’indécis. Surtout en leur reprochant ce que la gauche appelle une « récupération » du dramatique attentat sur les Champs-Élysées… Car seuls les candidats de droite, bien sûr, « récupèrent » les infos qui peuvent leur faire gagner des voix, jamais les candidats de gauche.
Sauf que M. Cazeneuve — que pourtant j’appréciais lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, pour ses compétences — se garde bien de rappeler que l’assassin du policier avait déjà été condamné à 15 ans de réclusion criminelle en 2005 (donc, sans remise de peine, il n’aurait dû sortir qu’en… 2020 !) et qu’en février dernier, il avait été interpellé, de nouveau, pour menaces contre des policiers mais aussitôt remis en liberté par la justice si « indépendante ».
C’est à cause de l’incompétence du gouvernement Cazeneuve en matière de lutte contre le terrorisme islamiste que cet homme était, jeudi soir, en liberté sur les Champs, une arme dans les mains ! La gauche privilégie la défense (avec forces de l’ordre en protection de la population) au détriment de l’offensive, comprenant, entre autres, les contrôles aléatoires par l’armée ou par la police. Des contrôles permettant de relever les identités et de fouiller les véhicules, comme du temps du terrorisme FLN ou contre… l’OAS ! Dispositif qui aurait — peut-être — dissuadé ou permis d’arrêter cet assassin avant qu’il ne passe à l’acte. Tout comme les tireurs du Bataclan circulant en voiture avec un arsenal impressionnant en toute impunité.
Et notre sacro-sainte liberté, rétorqueront les bien-pensants ? Comme l’a expliqué un commentateur, au lendemain de l’assassinat du policier : « Le risque de mourir lors d’un attentat est faible, plus faible que lors d’un accident de voiture… » Donc, pourquoi vouloir lutter contre le terrorisme, surtout islamiste ? Pour certains — à gauche —, la mort d’un policier est statistiquement négligeable…
Si la droite (que ce soit avec François Fillon ou avec Marine Le Pen) avait été au pouvoir, il est à peu près certain que cet assassin (pardon « présumé » assassin, puisqu’il n’a pas eu « la chance » d’être jugé) aurait été toujours sous les verrous en ce tragique soir du 20 avril 2017 ! Et ce policier aurait retrouvé sa famille sain et sauf… La droite n’aurait alors rien eu à « récupérer »… Et cela aurait été « tant mieux », et bienheureux pour ce policier.
En outre, et accessoirement, cela aurait évité à M. Hollande de terminer son quinquennat si « hautement sécuritaire » par des funérailles nationales.
http://www.bvoltaire.fr/cazeneuve-lassassin-etait-liberte-a-cause-de-gouvernement/
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« Au fil du temps... » | Par Francis Cousin
Billet de Francis Cousin du 26 Août 2014 suite au remaniement du gouvernement Valls...
Côté pile…
« …La moindre réforme financière échouait devant l'influence des banquiers, telle, par exemple, la réforme postale. Rothschild protesta, l'État avait-il le droit d'amoindrir des sources de revenu qui lui servaient à payer les intérêts de sa dette sans cesse croissante ? Pendant que l'aristocratie financière dictait les lois, dirigeait la gestion de l'État, disposait de tous les pouvoirs publics constitués, dominait l'opinion publique par la force des faits et par la presse, dans toutes les sphères, depuis la cour jusqu'au café borgne se reproduisait la même prostitution, la même tromperie éhontée, la même soif de s'enrichir, non point par la production, mais par l'escamotage de la richesse d'autrui déjà existante. C'est notamment aux sommets de la société bourgeoise que l'assouvissement des convoitises les plus malsaines et les plus déréglées se déchaînait, et entrait à chaque instant en conflit avec les lois bourgeoises elles-mêmes, car c'est là où la jouissance devient crapuleuse, là où l'or, la boue et le sang s'entremêlent que tout naturellement la richesse provenant du jeu cherche sa satisfaction. L'aristocratie financière, dans son mode de gain comme dans ses jouissances, n'est pas autre chose que la résurrection du lumpenprolétariat dans les sommets de la société bourgeoise. »
- Karl Marx. Les luttes de classes en France (1850)Côté face…
Emmanuel Macron, né le 21 décembre 1977 à Amiens, est un banquier, haut fonctionnaire et homme politique français du crétinisme absolu de la marchandise triomphante.
Banquier d'affaires du spectacle d’insignifiance des signes du chimérique totalitaire chez Rothschild de 2008 à 2012, il occupe de mai 2012 à juin 2014 les fonctions de secrétaire général adjoint de la présidence de la République de la soumission à l’ordre américain cosmopolite.
Depuis le 26 août 2014, il est le ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique dans le gouvernement Manuel Valls II de la décomposition accélérée vers la grande explosion finale…https://www.leretourauxsources.com/blog/au-fil-du-temps-par-francis-cousin-n1352
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Invasion migratoire : l’Italie sous le choc « d’une action logistique hors du commun »
« Une action logistique hors du commun, quasiment de nature militaire. » C’est ainsi que, d’après le quotidien italien de centre-droit La Stampa, l’on considère au sein du gouvernement italien le « sauvetage » en mer d’environ 8 500 migrants pendant le week-end de Pâques et leur débarquement en Italie.
Pour les autorités, ce n’est plus un soupçon, c’est désormais une certitude, affirme le journal transalpin. Elles ont analysé les routes empruntées par les canots pneumatiques des immigrants clandestins, leurs points de départ, les horaires et les points de rencontre avec les bateaux des ONG, et elles constatent qu’il s’agissait de toute évidence d’une gigantesque opération planifiée pour les fêtes.
Derrière cette opération, il y a la criminalité organisée libyenne et aussi sans doute des forces politiques qui veulent miner la position du Premier ministre libyen, Fayez el-Sarraj, après les accords signés entre Rome et son gouvernement d’entente nationale pour stopper l’immigration clandestine. Mais il y a aussi des ONG européennes qui sont accusées de collaborer directement avec les réseaux de passeurs, sous couvert d’action humanitaire, en engageant de gros moyens financés par on ne sait quelles sources.
Laura Ravetto, du parti de centre-droit Forza Italia (le parti de Silvio Berlusconi), soutient que seuls 50 % des signalements reçus par les ONG proviennent des garde-côtes italiens.
« Nous sommes en train de créer des corridors humanitaires privés en mer », affirme la député qui est aussi présidente de la Commission Schengen au parlement italien.
L’adoption définitive par la Chambre des députés, il y a deux semaines, du projet de loi du ministre de l’Intérieur Marco Minniti visant à accélérer l’examen des demandes d’asile et à faciliter les expulsions n’a donc pas l’air de dissuader les candidats à l’immigration illégale. Matteo Salvini, le leader de la Ligue du Nord, demande l’arrestation immédiate de ces passeurs européens déguisés en humanitaires et l’intervention de la marine italienne pour mettre fin à ce service de navette entre la Libye et les côtes italiennes.
Le ministre de l’Intérieur autrichien, Wolfgang Sobotka, a lui aussi réagi cette semaine, en exigeant que l’UE ferme enfin cette route de la Méditerranée centrale. Malheureusement, si les dénonciations contre ces ONG immigrationnistes se succèdent depuis novembre dernier, y compris de la part de l’agence européenne Frontex, rien n’est fait pour stopper leur trafic.
Olivier Bault
Article paru dans Présent daté du 22 avril 2017
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Attaque terroriste des Champs-Elysées : déclaration à la presse de Marine Le Pen (21/04/2017)
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Aux urnes, au nom du peuple!
C’est une confirmation des craintes exprimées par le FN, de l’évidence des mesures prônées par Marine Le Pen dont nous nous serions bien passées. La candidate national rappelait hier soir dans l’émission 15 minutes pour convaincre diffusée sur France 2 et France Inter, la nécessité impérieuse d’« expulser les imams étrangers qui prêchent la haine », « tous les étrangers vivant sur notre territoire et qui ont un lien avec le fondamentalisme islamiste » et « l’intégralité des fichés S étrangers. Pourquoi garder sur notre territoire des bombes potentielles ? ». Elle pointait la mollesse de la réponse des partis au gouvernement dans la lutte « contre l’insécurité et le terrorisme », sujets « absents » du débat et pour lesquels « rien n’a été fait». Au même moment vers 21h, sur les Champs-Élysées à Paris, un policier était abattu et deux autres grièvement blessés à l’arme lourde par un islamiste qui a été mortellement touché par des tirs de riposte, agissant au nom de l’Etat Islamique (EI) qui a revendiqué cet attentat.
La personnalité de l’assaillant, Karim Cheurfi, un français de papier né en 1977 à Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), est emblématique de la dérive islamo-racaille d’une certaine immigration, encouragée de facto par le laxisme criminel d’une justice gauchisante. Il avait été condamné à 20 ans de réclusion criminelle en 2003 devant une cour d’assises, pour trois tentatives d’homicide volontaire dont deux visant des policiers en 2001, à l’issue d’une course-poursuite et deux jours plus tard contre un policier qui le sortait de sa cellule et dont il avait saisi l’arme. Une peine ramenée à 15 ans en février 2005, ce criminel étant décrit par ses soutiens comme une pauvre victime de la société, de l’exclusion et du racisme. Cheurfi avait été brièvement interpellé et interrogé il y a quelques semaines suite aux menaces de mort contre des policiers dont il s’était rendu coupable… avant d’être libéré rapidement par le parquet selon certaines sources proches de l’enquête…
« Je laisserai à mon successeur un pays en bien meilleur état que celui que j’ai trouvé » déclarait sans rire François Hollande hier , se vantant de manière ahurissante d’un bilan en tout point désastreux dont Emmanuel Macron porte toute sa part. Ce dernier affirmait ce matin sur RTL que « Marine Le Pen n’est pas celle qui pourra protéger nos concitoyens ». Le programme du gourou d’En marche !, qui a avoué de manière bien pathétique dans cette même émission qu’il n’avait pas de plan pour lutter contre le terrorisme ( !) est pourtant aussi anémique que celui de M Fillon. Ils partagent ainsi le même refus de retrouver nos frontières, de limiter l’immigration, de restaurer le droit du sol, de doter nos forces de l’ordre et nos armées des moyens et des effectifs nécessaires pour parer aux menaces grandissantes.
D’autant que M. Macron, dans la logique purement anglo-saxonne et mondialiste qui est la sienne, défend plus ou moins implicitement le développement d’un communautarisme lourd de conséquence pour notre unité nationale, dans une France en voie de babélisation-tiers-mondisation accélérée. Une drague communautaire qui explique certainement qu’il est refusé d’exclure d’En marche ! Mohamed Saou, « un type bien » a-t-il dit, son référent dans le Val d’Oise, un proche de Marwan Muhammad. Ce monsieur rappelons-le, est le président du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) qui prône le communautarisme et pourfend le « racisme » des Gaulois, comme Macron insulte la France et les Français en les accusant d’avoir commis un crime contre l’humanité en Algérie.
Un CCIF qui a toute sa place dans le projet d’un candidat « qui est allé en Allemagne récemment pour dire toute l’admiration qu’il avait pour l’accueil de 1,5 million de migrants Outre-Rhin », « pour justifier l’autoroute migratoire qu’il veut instaurer entre Alger et Paris», comme l’a noté Marine. Un CCIF qui a touché des subsides de l’Open Society Institute de l’idéologue immigrationniste et bruxellois George Soros. Lequel a été mis en accusation par les autorités italiennes, sur la foi d’un rapport de Frontex, au moment ou l’Italie est confrontée à une invasion migratoire sans précédent. Medias-presse.info rapportait ainsi que « les bateaux des ONG qui viennent en aide aux migrants devraient les ramener au port d’escale le plus proche, le long de la côte nord-africaine, mais au lieu de cela, ils les emmènent en Italie. » Les bateaux en question sont « notamment ceux de Migrants offshore aid station (MOAS). Or, l’une des principales sources de financement de MOAS est Avaaz.org, à hauteur de 500.000 dollars pour ses opérations en Méditerranée. Et Avaaz.org est une émanation de MoveOn.org qui (…) organise des manifestations en faveur de l’accueil des immigrés illégaux. Or MoveOn.org appartient à George Soros. »
Face à la montée des périls, aux défis migratoires, démographiques, sociaux, économiques gigantesques auxquels sont confrontés la France , les pays européens affirme Bruno Gollnisch, les Français ont besoin d’une main ferme à l’Elysée pour naviguer dans la tempête, (re)prendre le bon cap, éviter les écueils. Nous nous rendrons aux urnes le 23 avril, fête de Saint-Georges. Cet officier romain mis à mort au IVème siècle pour avoir refusé de rendre un culte aux Dieux de l’Empire, torturé plusieurs fois jusqu’au trépas mais qui chaque fois ressuscita et multiplia les miracles. Saint-Georges, symbole lumineux du courage du soldat, des vertus martiales, dont la geste puise sa source dans notre plus longue mémoire. Saint-Georges qui dans « La légende dorée » de Jacques de Voragine, terrassa le dragon qui exigeait son tribut quotidien de chair fraîche et empoisonnait de son souffle tous ceux qui se trouvaient à sa portée… Cette élection présidentielle est en effet « un enjeu de civilisation ». Pas une voix patriote, souverainiste, national ne doit manquer à Marine. Tous aux urnes, au nom du peuple !
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Stoppons Macron ! #30
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Terrorisme : lourdes menaces sur Marine Le Pen, inconséquence mégalo de Mélenchon
Chez Mélenchon, la solidarité a des limites. Apprenant de la bouche du ministre de l’Intérieur que les têtes d’affiche à l’élection présidentielle étaient particulièrement visées par la menace terroriste, le patron de La France insoumise a, nous dit-on de télé en radio, « affirmé sa solidarité avec ses adversaires ».
Une solidarité très sélective, toutefois.
À François Fillon, ce message : « Totale solidarité face à la menace. Que notre campagne en complète opposition soit le meilleur des démentis au programme totalitaire des terroristes. »
À Emmanuel Macron, celui-ci : « Émotion et complète solidarité personnelle. Que notre campagne et notre opposition républicaine soit (sic) la démonstration de l’échec du projet des violents. »
Oubliée, Marine Le Pen, pourtant particulièrement visée… avant de rectifier en meeting ! On apprend, en effet, en lisant Le Figaro qu’à la découverte d’une menace imminente, « le ministre de l’Intérieur en personne, Matthias Fekl, prévient François Fillon. L’Unité de coordination et de lutte antiterroriste (Uclat) prend également attache avec le candidat pour lui annoncer qu’il passe en procédure “Uclat 2”, un degré intermédiaire dans l’échelle de la menace antiterroriste définie par ces policiers spécialisés (1 étant le niveau le plus élevé ; 4 le moins).
Marine Le Pen est au niveau “Uclat 3”, Macron et Mélenchon, “Uclat 4”. »
Mais cette menace terroriste qui se précise met en lumière une autre facette du personnage Mélenchon, dont les nouveaux airs de « bon papa » et la veste de garde-chasse ont fait oublier un peu vite sa mégalomanie naturelle.
En effet, pour des raisons évidentes de coût et d’image – louer une salle coûte plus cher que d’occuper l’espace public, et 10.000 personnes sur le Vieux-Port de Marseille sont plus spectaculaires que 10.000 personnes au Zénith –, le candidat Mélenchon a choisi majoritairement les réunions de plein air. Jusqu’à s’offrir, le lundi de Pâques, une descente des canaux et la traversée de Paris en « péniche insoumise ».
Certes, cela fait de belles images ; ça en met même plein la vue des badauds qui digèrent l’agneau pascal et les chocolats en attendant le « leader charismatique » devant l’Hôtel du Nord. Mais, surtout, cela coûte infiniment plus cher aux contribuables en forces de sécurité mobilisées !
Comme l’expliquait notamment Alain Bauer dans l’émission « C dans l’air » ce 18 avril, sécuriser des meetings en extérieur, c’est beaucoup plus compliqué et infiniment plus coûteux que des meetings en salle, et « malgré les demandes dissuasives du gouvernement », certains candidats s’en sont donné à cœur joie : essentiellement Mélenchon, qui a privilégié l’extérieur durant toute sa campagne, Hamon dans une moindre mesure, et Fillon au Trocadéro.
Multiplication des personnels déjà exténués, tireurs d’élite sur les toits… « Je ne suis pas sûr qu’ils se rendent compte de ce que cela représente en termes d’investissement pour ceux qui assurent leur protection, dit Alain Bauer. Que ce soit les policiers ou leur propre service de sécurité, la pression qu’ils leur mettent en faisant un meeting en extérieur plutôt que dans une salle les amène de temps en temps à prendre des décisions de com’ qui prennent assez peu en compte les dures réalités de la sécurisation. »
Reste, enfin, la question du coût, exorbitant, que semblent totalement ignorer « ceux qui mobilisent des moyens aussi considérables sans vraiment en prendre en compte la portée, comme si le service public était à leur disposition ». Mais peut-être s’en moquent-ils, tout simplement ?
Après tout, Mélenchon nous a promis une réforme fiscale particulièrement sanglante, alors un peu plus un peu moins… tant que c’est pour sa promotion, pas besoin de compter, on est là pour banquer !
http://www.bvoltaire.fr/terrorisme-lourdes-menaces-marine-pen-inconsequence-megalo-de-melenchon/