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anti-national - Page 812

  • Islamalgame, voyoucratie et utopisme

    Toute personne curieuse aura pu constater que les attentats commis depuis 25 ans en Europe (et depuis 1956 par le FLN et le MNA en France) sont majoritairement le fait de musulmans prétendus intégrés dans la société « multiculturelle ».

    Les tueries de Charlie Hebdo en janvier 2015 et du super casher à Paris, du Bataclan et des terrasses le vendredi « noir » 13 novembre 2015 toujours à Paris et des attentats dans le métro et à l’aéroport de Bruxelles, le 22 mars 2016 ne sont donc pas des faits « nouveaux » et « imprévisibles » comme les médias et les politiciens ont essayé de nous le faire gober.

    Il y a eu en 2001 les trois tours du WTC et l’explosion au Pentagone, puis en 2004 les attentats de la gare Atocha à Madrid et ceux commis en juillet 2005 dans les transports publics à Londres. Il ne faut pas venir nous raconter que c’est une « surprise » …d’autant plus qu’au fil des multiples enquêtes, il apparaît que tous ces massacres, tueries et attentats ne sont pas du tout la conséquence d’actes isolés commis par des « radicalisés récents », des « déséquilibrés » ou encore des « êtres fragilisés » en proie aux affres d’une société « stressante ».

    De Khaled Kelkal au duo d’assassins qui ont égorgé le prêtre dans son église de Saint-Etienne du Rouvray, TOUS sont des fidèles d’ALLAH « le plus miséricordieux ».

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    TOUS ont été de petits voyous avant de devenir de grosses crapules.

    TOUS ont tué pour répandre la terreur.

    TOUS avaient un casier judiciaire abondamment fourni.

    TOUS avaient pour but de massacrer des infidèles.

    TOUS ont échappé à la vigilance des services de sécurité et au suivi de la Justice.

    Alors pourquoi les gouvernements et le renseignement intérieur ne peuvent-ils pas mettre ces criminels hors d’état de nuire ?

    Pourquoi, depuis 25 ans ces fanatiques ont-ils réussi à déjouer la Loi et l’Ordre ?

    Pourquoi le Régime refuse-t-il de porter le fer dans la plaie, de nettoyer les quartiers « difficiles » et les 64 Zones de Sécurité Prioritaire, comme il le devrait ?

    Par déni des réalités ? NON ! Par faiblesse, par lâcheté et par félonie.

    Vidons ces ordures politiques – réels collabos de la cinquième colonne islamo-terroriste – ceux de la gôche caviar et de la droite cosmopolite, accoquinées aux Ecolos et aux Centristes & Humanistes…  Avant qu’il ne soit trop tard !

    Pieter Kerstens

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/islamalgame-voyoucratie-et-utopisme_171367.html#more-171367

  • Une justice aux ordres, ou la machine à étouffer les scandales : Le verrouillage du parquet

    Thierry Jean-Pierre est le digne héritier de Claude Grellier. Même fougue initiale, même dessaisissement final. Jeune juge d'instruction au Mans, il encaisse de plein fouet l'amnistie de Christian Nucci. En signe de protestation, il prend l'initiative de relâcher une poignée de petits délinquants, aussitôt imité par quelques collègues. Barouf garanti. Marqué à gauche à l'époque, le juge Jean-Pierre va vite devenir la bête noire des socialistes. A partir d'une simple affaire de fausses factures dans le milieu du bâtiment de la Sarthe, il va remonter en effet au coeur du pouvoir, via des travaux effectués dans les villégiatures solognotes de proches de François Mitterrand. Le 7 avril 1991, il met les pieds dans le plat et perquisitionne les locaux parisiens d'Urba, la pompe à finances du Parti socialiste.
         Georges Kejman, prestigieux avocat nommé ministre délégué à la Justice du gouvernement Cresson, monte sur ses grands chevaux, en service commandé : "C'est un cambriolage judiciaire !" Déclaration ahurissante : jamais un responsable politique n'avait osé critiquer à ce point une initiative judiciaire ; son outrance signe aussi la perte de crédibilité des socialistes en matière de respect de la séparation des pouvoirs.
         Ce que l'on reproche surtout au juge Jean-Pierre, c'est d'avoir perquisitionné Urba sans en référer au procureur du Mans. Lequel, aux ordres de la Chancellerie, aurait certainement pu prévenir à l'avance les responsables socialistes. La "gauche morale" est au fond du trou. Elle aura finalement la peau de Thierry Jean-Pierre. Dessaisi de l'affaire, il quitte avec fracas la magistrature et se fait élire député européen en 1994 sur la liste de son ami Philippe de Villiers. Victoire à la Pyrrhus : reprenant le dossier Urba, le juge Renaud Van Ruymbeke va perquisitionner le siège parisien du PS rue de Solferino, sans provoquer d'agitation. Les descentes de police dans les hauts lieux de la République prendront la force de l'habitude. C'est surtout cela, l'effet Jean-Pierre, même si le personnage demeurera controversé au sein de la magistrature. 
         Faute de pouvoir museler les juges et s'auto-amnistier tous les sept ans, le pouvoir politique se recentre sur son pouvoir régalien : le verrouillage du parquet. A la différence des juges d'instruction et des juges du siège (composant les différents tribunaux), les magistrats du parquet sont sous la tutelle directe du garde des Sceaux. Dans chaque tribunal de grande instance, le procureur de la République contrôle ses substituts ; au niveau de la cour d'appel, tout remonte au ministre de la Justice, véritable parquettier en chef, maître suprême des poursuites. En matière de nomination, l'avis du CSM, dont les magistrats ont finalement obtenu le droit d'élire directement leurs propres représentants, n'est que facultatif quand il s'agit de changer l'affectation d'un procureur - en revanche, le CSM peut s'opposer à la nomination d'un juge du siège.
         Dans l'organisation judiciaire, le parquet représente en théorie l'accusation ; les avocats, la défense ; les juges, l'arbitre. L'accusation peut être défaillante, de peur de nuire à des puissances amies, et c'est pourquoi le juge d'instruction troque parfois sa robe d'arbitre pour devenir accusateur, travers récurrent de la justice française. En des temps pas si lointains, le garde des Sceaux, dans sa toute-puissance, n'hésitait pas à donner des instructions écrites aux différents parquets, quitte à s'ingérer dans des affaires particulières. Au milieu des années 1980, dans l'affaire Luchaire (un dossier de vente de munitions à l'Iran en pleine guerre contre l'Irak), un non-lieu fut requis sur ordre du garde des Sceaux, contre l'avis du procureur de la République du TGI de Paris, Pierre Bézard : "Je ne pouvais que m'incliner, à condition toutefois d'avoir un ordre écrit." Comme l'indique fort bien l'adage du parquet, "la plume est serve, la parole est libre."
         La stratégie du parapluie est parfois efficace, le garde des Sceaux pas toujours courageux. En 1995, il est mis fin aux instructions écrites aux parquets. Officiellement, le politique ne s'ingère plus malicieusement dans les procédures judiciaires. Mais, comble de l'hypocrisie, les instructions orales demeurent. A partir de 1997, le gouvernement Jospin prend l'engagement formel de ne plus donner d'instructions au parquet, fussent-elles orales. Rien n'est cependant prévu pour garantir la rupture effective du cordon ombilical. Dans les faits, les dossiers dits "signalés" font l'objet d'une remontée directe du parquet à la Chancellerie, qui peut dès lors suivre les instructions judiciaires en temps réel, surveiller les affaires politico-financières comme le lait sur le feu. Nous sommes en pleine zone d'ombre, les observateurs du monde judiciaire en sont réduits à compter le nombre de fois où la voiture de fonction du procureur de la République se gare dans la cour du ministère de la Justice, place Vendôme. A partir de 2002, la droite revenue au pouvoir ne s'interdit plus d'intervenir, au motif constitutionnel qu'il faut bien piloter la politique pénale de la France. Elle a toujours affiché moins de complexe que la gauche, toujours meurtrie par l'expérience mitterrandienne. 
         Octobre 1995. Alain Juppé est en pleine tourmente judiciaire. On reproche au Premier ministre le vaste appartement de 180 mètres carrés qu'il occupe pour un loyer modique depuis qu'il a été adjoint aux Finances de Jacques Chirac à la mairie de Paris. Son logis a également bénéficié de travaux de rénovation d'un million de francs, payés par le contribuable parisien. La parole est à l'accusation en la personne de Bruno Cotte, procureur de la République de Paris. Il s'élance en fin juriste : "Au terme de l'enquête, et à la lumière de la doctrine de la jurisprudence susceptibles de s'appliquer à ce cas précis, il apparaît que les éléments constitutifs du délit de prise illégale d'intérêts sont suffisamment caractérisés pour que la responsabilité pénale de M. Juppé soit engagée." Le Premier ministre est-il bon pour la correctionnelle ? Pas du tout. Le procureur conclut son réquisitoire en lui demandant simplement de changer d'appartement, histoire de faire cesser le délit. Pour solde de tout compte.
         Bruno Cotte a été promu avocat général à la Cour de cassation en octobre 1995. Dans le microcosme judiciaire, on lui sait gré d'avoir laissé une trace écrite sur la "responsabilité pénale" d'un Premier ministre en exercice, pour l'Histoire. A entendre ses collègues, Bruno Cotte ne pouvait guère aller plus loin et c'était déjà beaucoup.
         Octobre 1996. Xavière Tibéri, épouse du maire de Paris, est bien embarrassée. Trois mois plus tôt, une perquisition à son domicile a déniché un rapport sur la francophonie, facturé 200 000 francs au conseil général de l'Essonne, présidé par le numéro deux du RPR Xavier Dugoin. Un rapport truffé de banalités et de lieux communs, 5 000 francs la page... La femme du successeur de Jacques Chirac à la mairie de Paris risque à tout moment d'être poursuivie pénalement, pour peu que le parquet d'Evry se décide à entamer des poursuites. Le procureur de la République, Laurent Davenas, adepte de la haute montagne, est en vacances dans l'Himalaya depuis le 26 octobre. Il n'est pas un magistrat fanatique de la répression, loin de là. En son absence, c'est son adjoint Hubert Dujardin qui ouvre une information judiciaire, le 6 novembre. Dans l'urgence, le garde des Sceaux Jacques Toubon dépêche alors un hélicoptère depuis Katmandou, la capitalise népalaise, pour rapatrier au plus vite le précieux procureur. Trop tard : Xavière Tibéri et Xavier Dugoin sont mis en examen pour recel de détournement de fonds publics et recel d'abus de confiance. L'épouse de Jean Tiberi échappera finalement aux poursuites pénales grâce à un vice de procédure et, quelques années plus tard, le 5 avril 2001, Laurent Davenas sera promu à la Cour de cassation. Son procureur adjoint, Hubert Dujardin, est quant à lui poursuivi devant le CSM, qui lui inflige une "réprimande" pour indiscipline répétée.
    Renaud Lecadre, Roger Faligot, Histoire secrète de la Ve République
     

  • Nous ne laisserons pas l’âme et l’honneur de la France disparaître

    Nos ancêtres ne sont plus les Gaulois ? Ils l’étaient autrefois, mais les chefs des tribus d’aujourd’hui en décident autrement ! Et pourtant, jusqu’alors, je me sentais bien Gaulois, peut être pas de pure souche, mais au moins par l’esprit gaulois et le goût des gauloiseries… Je l’ai toujours revendiqué et mes ancêtres aussi. Pour le reste, j’étais aussi un peu Barbare, un peu Vandale et à l’occasion, Franc quand je le pouvais ! 

    Grâce à Cloclo (Clovis/Clotilde), je suis devenu catholique, un peu Romain, mais pas de trop quand même ! Sujet royaliste de nos bons rois jusqu’en 1789 ; pas trop ébloui par les Lumières. Moi non plus je ne chantais pas La Marseillaise. (Peut-être plus PSG qu’OM !) Plutôt Textile que Sans-culotte, en restant Chouan, je me suis fait génocider. Le Royaume de France a disparu, d’abord le Royaume et la France ensuite. Il n’est resté que la République ! De Dames et Messieurs, nous sommes devenus Citoyens, Citoyennes et bientôt de genre indéfini ! A cette époque, nos ancêtres étaient encore gaulois. Et puis, tout c’est accéléré, la grande France de Dunkerque à Tamanrasset s’est mis à rétrécir. Le climat change et s’humidifie, la jungle progresse et envahit Calais, transformant notre Jardin à la Française en Brousse, puis en Bled…

    D’accord il ne faut pas être catastrophiste et voir le mal partout, et pourtant « Rien ne va plus », si la France n’est pas morte, elle a déjà la rigidité cadavérique. Pour demain, il ne s’agira plus de guérir mais de ressusciter ! L’on peut garder un peu d’espoir en étant croyant, très croyant même…En espérant en La Divine Providence et en attendant le miracle ! Car nous en sommes bien là ! Il y eut un temps où l’on a pu dire : « Tout est perdu, fors l’honneur » ; aujourd’hui c’est bien pire, l’honneur est en passe de sombrer avec le reste ! Nous ne serons pas nombreux pour livrer le dernier baroud d’honneur. Et c’est bien l’Honneur qui nous sauvera, plus rien d’autre n’est envisageable, que la Fierté et l’Honneur ! Notre drapeau, nos idées, sont sacrés, nous tâcherons de rester debout jusqu’à la fin en affichant crânement notre devise : « S’en fout la Mort » ! [....]

    Guy Adain

    La suite sur la Couronne

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Nous-ne-laisserons-pas-l-ame-et-l

  • Marion Maréchal-Le Pen : « Le droit d’asile est devenu une nouvelle filière d’immigration clandestine »

    VIDÉO. Marion Maréchal-Le Pen : "Le droit d'asile est devenu une nouvelle filière d'immigration clandestine" >> http://bit.ly/2dRDQyk 

    http://fr.novopress.info/

  • Journal du Mardi 25 Octobre 2016 - Démantèlement de la “jungle” : il y en aura pour tout le monde !

  • Saint-Bauzille (34) : démission de tout le conseil municipal et action mercredi !

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    Richard Roudier Porte-parole de la Ligue du Midi

    « La seule liberté qui reste à un élu pour ne pas accepter une décision qu’il considère prise sans concertation, injuste et inéquitable, c’est de démissionner », c’est ainsi que la première adjointe de la mairie de Saint-Bauzille-de-Putois, Elisabeth Thérond, justifie sa décision dans un communiqué de presse dénonçant les oukases du Préfet de l’Hérault. Suite à la démission du maire Michel Issert annoncée en fin de matinée le vendredi 21 octobre, l’élue a réuni l’équipe municipale, vendredi à 18 heures, avant de rendre publique cette décision le lendemain, le samedi 22.

    En moins de 24 heures, l’intégralité du Conseil municipal de Saint-Bauzille-de-Putois a décidé de démissionner par solidarité avec l’ancien édile. Ce qui fait que ce sont les dix-huit élus du Conseil municipal qui ont dénoncé l’absence de concertation du Préfet Pouëssel, qui a refusé d’entendre les soucis et les souhaits de la population. Dans la journée de dimanche on apprenait qu’un autre maire de la Communauté de commune de Ganges-Sumène aurait annoncé son intention de démissionner, laissant peut-être présager une réaction en chaine qui pourrait ne pas s’arrêter aux limites du canton.

    Cette “affaire dans l’affaire” ne va pas renforcer le prestige du dit préfet car elle impliquerait, à la brève échéance de 2 mois, la tenue d’une nouvelle élection avec pour conséquence un vote protestataire inévitable. Dans le cas où la population souhaiterait sanctionner ce déni de démocratie en boudant le scrutin (en ne présentant pas de liste), la gestion de la commune passerait alors sous la tutelle du préfet en gestion directe, rappelant les pratiques du “Second Empire”. Rappelons que le vote populiste dans cette région des Basses Cévennes se situe selon les communes entre 25 et 45 % et que selon les experts, on serait encore loin du “plafond de verre”.

    saintbauzillesansmigrantsFace à la morgue du préfet qui n’a apporté aucune réponse concrète aux exigences de la population énoncées lors de la réunion du jeudi 20 octobre, le collectif des mamans de Saint-Bauzille appelle à une manifestation pacifique le mercredi 26 octobre à 17 heures. Rendez-vous devant le “snack” avec des poussettes, des casseroles, des cuillères en bois et des sifflets.

    Se mobiliser pour vaincre. Demain il sera trop tard!

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Rééduquer les masses contre la superstition égalitariste et son rejeton antiraciste

    L’Occident, c’est-à-dire le monde européen et anglo-américain, s’est délibérément enivré du poison de l’égalitarisme au nom d’un utopisme qui confine, désormais, au nihilisme. On ne peut nier que c’est là le produit d’une sécularisation malheureuse et hérétique du christianisme, sur plus de quatre siècles, qui a fait le lit du virus socialiste.

    Quiconque s’intéresse au cas français peut contempler les ravages de la superstition égalitariste, car c’est bien d’une superstition rageuse qu’il s’agit. Ce principe, faux de bout en bout, a ouvert la voie aux pires démagogues bourgeois qui ont progressivement remplacé l’ancienne aristocratie tout en singeant son penchant pour la fossilisation sociale. Peu importe la créolisation complète de la France –  et de l’Europe – pour peu que ces escrocs en retirent leurs dividendes annuels. Pire : c’est devenu un article de foi.

    Quand une classe politique subordonne l’avenir de son peuple au point de le mener à l’anéantissement complet, la voie révolutionnaire devient incontournable. Et généralement celle empruntée.

    L’homme ouest-européen est aujourd’hui un parfait crétin qui s’aveugle volontairement sur les réalités humaines les plus élémentaires et les plus irréductibles. Le fanatisme religieux qui aiguillonne toujours la bourgeoisie croulante qui préside aux destinées de la France arrime chaque jour davantage ce pays aux profondeurs de l’Afrique.

    Cette destruction du bon sens est observable partout. Il y a deux générations, un paysan gaulois dépourvu de certificat d’études comprenait d’instinct l’immensité qui le séparait d’un nègre. Aujourd’hui, une croûte de vieux bavards surnageant sur 71 ans de paix, opérant à tous les niveaux de la vie intellectuelle, répandent leurs insanités sur l’heureux développement que constituerait à leurs yeux le mélange du sang européen avec celui de toutes les peuplades puantes du tiers-monde. De l’Afghanistan au Congo, de la Colombie aux marges de l’Irak.

    La plus grande tâche qui se place devant nous est celle du réapprentissage des réalités raciales. Je suis à ce titre un athée militant de la superstition égalitariste. Ce mythe s’articule sur des pulsions particulièrement tenaces parce que primitives et émotionnelles. Mais plus tenaces sont les réalités que ce mythe prétend abolir.

    Parallèlement, je suis donc un optimiste résolu en ce sens que l’arrogance des demi-marxistes occidentaux adeptes de l’islamo-négrification de l’Europe doit nous rappeler qu’ils ont les yeux plus gros que le ventre. La vieille race européenne qui s’étend sur tout l’hémisphère nord – en plus de l’Océanie et de parts de l’Amérique du Sud – disposent d’atouts colossaux, malgré une politique migratoire – donc raciale – parfaitement destructrice.

    Mais si les dommages sont significatifs, ils ne le sont pas au point changer les lois de la nature voulues par le Créateur.

    Nous devons travailler inlassablement au réveil de nos populations pour qu’elles redécouvrent la boussole sans laquelle il n’est pas de navigation possible en ce monde. Cette boussole, c’est celle de l’inégalité de potentiel et de réalisation des individus comme des groupes humains. Il a fallu bien des combats intellectuels et politiques – et de morts – pour que chacun finisse par admettre que la terre est ronde. Il n’en va pas différemment des réalités raciales et culturelles.

    Cette réalité doit servir d’étoile polaire à un ensemble politique qui reste à édifier. Le point faible de cet édifice est l’Europe péninsulaire tandis que l’imbécilité nord-américaine pousse la Russie dans les bras des Chinois. Nos querelles d’arrière-boutique, en Europe, nous ont ramené au rang de nains géopolitiques, offrant à des pays économiquement sous développés comme la Turquie orientalo-asiate des leviers exorbitants.

    La fumisterie qu’est la superstition des droits-de-l’homme, qui codifie toute l’escroquerie, parvient à convaincre jusqu’à des docteurs ou des ingénieurs de ce qu’un aborigène est leur égal, malgré ses 60 points de QI !

    A la différence de nombre de tenants de cette superstition destructrice, j’ai eu le privilège de fréquenter cette humanité archaïque sortie des déserts d’Australie et de devoir assurer l’entretien de leurs chambres d’hôtel gracieusement offertes par le prolétariat anglo-saxon de ce pays, sous l’égide éclairée des puritains convertis à l’antiracisme. Il suffit de voir une de ces tribus déféquer dans ses lits et manger à même le sol pour comprendre, en moins de 10 minutes, qu’on ne comble pas 60 000 ans avec des chèques et des bons sentiments.

    La raison et la sagesse ne gouvernent plus l’Europe, seulement une litanie sans fin d’émotions de communiantes. Cette pâtisserie sentimentale a aboli le sens commun et met en confiance le barbare afro-musulman qui croit soudainement pouvoir revendiquer des droits sur nous.

    Quand ce simulacre prendra fin, Mohammed et Mamadou tomberont soudainement du haut de leurs illusions. Ces masses, gouvernées par leur psychologie infantile, ont déjà perdu la tête à l’idée alléchante et naïve de ce qu’ils seraient sur le point de nous dominer. De la complainte poussive de la victime les voilà hurlant leurs récriminations, préalables à l’émeute meurtrière.

    Il ne faudra pas grand chose pour que la déconvenue soit au rendez-vous et que les espoirs de fainéantise éternelle ne fondent comme neige au soleil. Le pullulement de cette basse humanité au cœur de l’Europe n’est du qu’aux subsides colossaux que leur accorde l’oligarchie dégénérée qui gouverne les démocraties occidentales.

    L’anarchie continuant de se répandre, les efforts du fanatisme antiraciste finiront par épuiser tous leurs effets au sein des masses. Nos efforts pour en finir avec la terreur antiraciste seront progressivement couronnés de succès à mesure que la réalité et le bon sens conforteront nos avertissements.

    Paradoxalement, nous devons avoir la patience de ceux qui voient plus loin que les hystériques de notre époque. L’effondrement du système actuel comme de ses valeurs préfigure de la victoire de nos conceptions.

    http://borislelay.com/index.php/2016/09/08/reeduquer-les-masses-contre-la-superstition-egalitariste-et-son-rejeton-antiraciste/

  • La peur doit changer de camp : soutenons les policiers !

    Le paysage effarant dessiné par nos dirigeants politiques montre des policiers qui ont peur plus que jamais
    Les policiers aujourd’hui, comme les militaires de tout temps, risquent leur vie. On vient les assassiner chez eux. On les achève lorsqu’ils sont blessés. On leur lance des cocktails Molotov quand on ne leur tire pas dessus. Des manifestants violents les prennent directement pour cibles. Des slogans meurtriers sont lancés à leur encontre. Des magistrats semblent plus enclins à les poursuivre et à les condamner qu’à donner suite rapidement et efficacement aux procédures qui leur ont demandé beaucoup de travail.

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  • Policiers en colère : « Viry, c’était prévisible »

    Après une semaine de manifestation nocturnes suite à la violente agression au coktail molotov dont ont étés victimes leurs collègues à Viry-Châtillon il y a quinze jours, une centaine de policiers se sont rassemblés devant la mairie d’Evry, accompagnés pour certains de leur familles afin de montrer qu’il y a « des hommes derrière l’uniforme ».

    http://fr.novopress.info/

  • Terrorisme, islamisme, immigration ? (Elie Hatem)