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anti-national - Page 816

  • Un procès de Nuremberg pour Poutine ?

    « Les nazis russes exterminent les mutins humanitaires d’Alep ». C’est une émission de la télé française, on est le 20 octobre sur Antenne 2. Courageux, les candidats de la droite primaire expliquent comment on va châtier le tzar. Oubliée la présence sacrée et pacifiante de l’OTAN et de l’Amérique en Irak, Libye, Syrie, Colombie ou ailleurs. Il faut détruire la Russie et accueillir du réfugié à la tonne.

    Vladimir Poutine devrait se méfier : car il va finir pendu au prochain procès de Nuremberg. Il ne semble pas avoir compris à qui il avait affaire.

    Vladimir Poutine sera pendu quand nos preux chars occuperont Moscou mieux qu’Hitler et Napoléon n’avaient su le faire. Il est vrai qu’à l’époque la Russie était vaguement aidée par l’Angleterre ou par le monde anglo-saxon. Mais cette fois-ci « tout le monde » est contre elle et son tzar imprudent !

    Adolf Hitler sert ici de modèle à l’occident, et on n’a pas détruit le lieu de naissance de l’ex-monstre pour rien. Fin du repentir.

    C’est le philosophe libertarien Butler Shaffer qui explique dans son test sur Hitler (voyez en ligne son brillant The Wizards of Ozymandia) que ses étudiants démocrates pensent comme le führer : ils sont végétariens, contre le tabac, contre le harcèlement sexuel, pour les interventions humanitaires, pour la nature relookée, et pour la colonisation de la Russie annoncée dans Mein Kampf. Ils sont aussi contre la possession d’armes, comme Hillary, et comme Adolf. Des fois que les citoyens voudraient se protéger de la folie étatique en démocratie. Mais les citoyens en France sont là pour tweeter ou pour se faire écraser (impôts, lois, camion fou?).

    Hitler aussi était contre les excès de vitesse. Et il s’est allié aux islamistes rebelles du Caucase pour détruire la Russie. Un modèle je vous dis. Il était antisémite ? Mais le seul pays occidental correct avec la Russie est Israël. Benjamin Netanyahou sait mieux que Juppé ou Lemaire qui a libéré Auschwitz. Il l’a dit d’ailleurs. La France socialiste a voté les pleins pouvoirs à Pétain. Ils étaient même 666 à le faire (voyez mon Mitterrand).

    Et les Français sont bien contents, parfaitement d’accord, enthousiastes, dirait Céline en 39. Le nez dans le tweeter.

    C’est que l’occident ne recule jamais quand il s’agit de principes, d’humanité ou de conscience universelle, et il l’a déjà montré bravement au cours des dernières cent années. L’occident a bombardé l’Europe de fond en comble, il a livré la Chine et la moitié de notre continent au communisme, il a encouragé la destruction turque de notre Asie mineure grecque, saccagé ses empires coloniaux pour que se multiplient les dictatures en Algérie et ailleurs en Afrique noire, il a détruit l’Irak, armé les guerres civiles en Yougoslavie, en Libye, en Syrie (souvent au détriment des chrétiens orthodoxes), et maintenant en Ukraine où le gouvernement insurrectionnel local a établi sa tyrannie et veut déclencher la énième guerre mondiale que l’on imputera à la Russie et à son tzar éternel.

    On sera tous aussi vengeurs que l’ex-patron de l’OTAN, ce Rasmussen qui déclencha l’opération des BD sur Mahomet et imposa à son église luthérienne la bénédiction du mariage homosexuel. Il pantoufle chez Goldman Sachs depuis lors, flanqué du Barroso.

    Avant de désosser la Russie au nucléaire avec Hillary, on nous aura bien sûr fait renoncer à son gaz et tripler notre facture énergétique avec l’huile de ricin venue du fracturé Far West.

    Céline avait aussi tout dit :

    « Une telle connerie dépasse l’homme. Une hébétude si fantastique démasque un instinct de mort, une pesanteur au charnier, une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer sinon que les temps sont venus, que le Diable nous appréhende, que le Destin s’accomplit. »

    Cette affaire se terminera par une nouvelle session de pendaisons. On regardera tout ça à la télé. Et ce jour-là nous serons tous pendus aux cordes vocales de BHL. Tout cela fera du bruit pendant quelques heures, comme disait Voltaire.

    http://www.voxnr.com/4995/un-proces-de-nuremberg-pour-poutine

  • Prisons radicalisées : la panique, par Caroline Parmentier

    Chard-Prisons-radicalisés.jpg

    Ils sont complètement paumés. Après nous avoir dit que c’était ce qu’il y avait de mieux, le gouvernement abandonne son dispositif phare de lutte contre la radicalisation en prison avec ses unités spécialisées qui regroupaient les islamistes dangereux. Au contraire maintenant, total revirement, on va les isoler.

    Il faut dire que l’expérimentation menée depuis un an s’est terminée le 4 septembre dernier par la sanglante tentative d’égorgement d’un maton à Osny, l’une des vitrines du programme gouvernemental. Les deux principaux syndicats de surveillants, l’UFAP-UNSA et FO Pénitentiaire, avaient réclamé l’arrêt immédiat des frais à Osny, Fleury-Mérogis, Fresnes et Lille Annœullin où se multiplient les tentatives de mutinerie et de prises d’otages. Le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, vient d’annoncer qu’il fermait ces cinq unités dédiées. Curieusement, l’effet pervers de ces regroupements de bêtes fauves ne leur avait pas sauté aux yeux.

    La réalité c’est que la déradicalisation à grand renfort « de psychologues, de conseillers d’insertion et d’intervenants extérieurs » ne marche absolument pas. Au contraire elle rendait encore plus furieux ces fanatiques qui n’avaient qu’une idée : égorger les kouffars qui voulaient leur faire renier leur folie religieuse.

    Au lieu d’expulser dans leur pays d’origine tous les étrangers détenant un titre de séjour qui se rendent coupables de délits ou de crimes (si cela avait été le cas, l’attentat de Nice n’aurait pas eu lieu), tous ceux qui sont en situation irrégulière et tous les étrangers fichés pour leur proximité avec l’islamisme radical et les interdire de territoire, on va garder à nos frais ces centaines de djihadistes comme autant de bombes à retardement. Ils vont désormais être répartis en France et isolés. Facile à gérer pour l’administration pénitentiaire quand la surpopulation carcérale atteint des records.

    Précision rassurante : c’est l’effet de masse qui a poussé le garde des Sceaux à changer de méthode. La Chancellerie redoute dans les semaines qui viennent « une déferlante des détenus terroristes » dans les prisons françaises : « En ce moment, les services incarcèrent une demi-douzaine de personnes par semaine ».

    Le budget consacré à la sécurisation des prisons est passé de 30 millions en 2016 à 58 millions d’euros en 2017 (contre 17 millions en 2015). Aujourd’hui qu’on les décapite, c’est la tête des surveillants de prison et des policiers qu’il s’agit de sauver.

    Caroline Parmentier : Article et dessin parus dans Présent daté du 27 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Ouverture à gauche : Alain Juppé devrait être exclu de la primaire

    Sur Boulevard Voltaire, Benjamin Leduc rappelle une règle de la primaire LR :

    « Le candidat à la présidence de la République soutenu par le parti « Les Républicains » en vue de l’élection présidentielle de 2017 est désigné à l’occasion d’une primaire ouverte à l’ensemble des citoyens partageant les valeurs républicaines de la droite et du centre et s’engageant pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France. »

    Et constate ensuite :

    "Or, le porte-parole d’Alain Juppé, Benoist Apparu, a ouvert la voie à une majorité d’ouverture en cas de victoire d’Alain Juppé contre le Front national à l’élection présidentielle. Comme dans tous les cas de figure, d’après les sondages, Marine Le Pen sera au deuxième tour, une élection d’Alain Juppé signifiera une majorité d’ouverture « en alliance avec le centre, et puis tous ceux qui veulent [les] rejoindre ». La position d’Alain Juppé n’étant pas celle de l’alternance, mais une ouverture à gauche, il enfreint la charte des primaires.

    [...] En toute logique, la candidature d’Alain Juppé à la primaire devrait être invalidée. On pourrait demander à tous ceux qui souhaiteraient aller voter pour lui à la primaire : n’avez-vous pas l’impression de commettre un faux serment en signant une charte s’engageant pour « l’alternance, afin de réussir le redressement de la France » tout en votant pour un candidat qui ne fera que continuer le travail de sape de la société française initié par la gauche ?

    Michel Janva

  • DÉMANTÈLEMENT DE LA « JUNGLE » DE CALAIS : ENTRE IMPOSTURE ET DÉMAGOGIE CRIMINELLE

    Un communiqué de la Dissidence française :

    4196954521.pngHier a débuté l’évacuation des immigrés clandestins de la « jungle » de Calais. Des dizaines de cars affrétés spécialement pour l’occasion, aux frais du contribuable, ont été dépêchés sur place avec pour mission de disséminer ces immigrés aux quatre coins de la France. La situation a déjà commencé à dégénérer. Incendies dans la jungle, heurts et affrontements entre migrants, grogne des maires, des élus locaux et des riverains de dizaines de communes à qui le gouvernement impose sans concertation l’arrivée de centaines d’immigrés clandestins… Des observateurs ont déjà pu constater que nombre de ces « migrants » ont profité de leur transfert pour s’échapper à la première occasion, parfois aidés par des activistes gauchistes « no-borders ». Malgré les annonces faussement rassurantes des autorités, nul ne sait qui ils sont, ni où ils comptent aller.

    Tandis que l’hiver s’installe et que plusieurs dizaines de Français de la rue crèveront une nouvelle fois dans l’indifférence générale, le gouvernement prend soin de ses « migrants » : allocations, aides de toutes sortes, hébergement et transport gratuit, impunité judiciaire…

    Au-delà des effets d’annonce, une réalité : le gouvernement Hollande-Valls se montre parfaitement incapable de répondre avec fermeté à cette crise et ne fait qu’aggraver la situation en multipliant des « jungles » partout en France. Jamais le taux de reconduites à la frontière des déboutés du droit d’asile n’a été aussi bas, et jamais les autorités françaises n’ont fait preuve d’un tel laxisme judiciaire avec des ressortissants étrangers, parmi lesquels nul ne sait combien ont prêté allégeance à l’État Islamique et commettront dès qu’ils en auront l’occasion des actes terroristes.

    Il y a urgence. Depuis des décennies, les gouvernements successifs dit de « gauche » ou de « droite » n’ont fait qu’accentuer et organiser cette invasion, précipitant notre pays vers une guerre civile aux conséquences inimaginables. Depuis plusieurs années, la Dissidence Française a formulé des propositions fortes, et publié son Plan d’urgence pour Calais qui, s’il était appliqué, réglerait une fois pour toute le problème. D’une manière plus générale, seul un changement radical de politique migratoire, sociale et judiciaire pourra protéger les Français du terrorisme et inverser le processus d’invasion migratoire.

    Aidez-nous à imposer nos solutions et faire entendre la voix du pays réel.

    Le changement, ce sera nous. De gré, ou de force.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les consignes du ministère préserver le désordre public

    Lu dans Minute :

    6a00d83451619c69e201b8d23189f9970c-250wi.png"lundi 17 octobre, pour la première fois en France, une salle de shoot a ouvert ses portes aux drogués, quatre ans après que la décision en avait été prise lors d’une réunion interministérielle à une époque (décembre 2012) où le premier ministre s’appelait Jean-Marc Ayrault. Ce lieu de défonce a été aménagé à l’hôpital Lariboisière, dans le Xe arrondissement de Paris, sur le modèle des dizaines de centres semblables ouverts en Suisse – pays pionnier en la matière –, aux Pays-Bas – où ça pue le shit à tous les coins de rue –, en Allemagne, en Norvège, au Luxembourg et même en Espagne.

    Le mardi précédant l’ouverture, Marisol Touraine, ministre de la Santé à l’origine de la loi autorisant la débauche, et Anne Hidalgo, maire socialiste de la capitale, s’étaient rendues sur place pour se féliciter d’une telle innovation, qui est supposée « favoriser l’entrée des usagers de drogues dans un processus de réduction des risques » et, selon Jean-Jacques Urvoas, le ministre de la Justice, « réduire les nuisances et troubles à l’ordre public » ! Moyennant quoi le garde des Sceaux vient de donner pour consignes, comme on va le voir, de surtout préserver le désordre public que cette salle de shoot va engendrer… [...]

    Datée du 13 juillet 2016, cette circulaire est relative à l’ouverture des « premières salles de consommation à moindre risque, espace de réduction des risques par usage supervisé » (c’est le nom politiquement correct des salles de shoot). En jouant habilement sur les mots, elle invite les procureurs à définir autour des salles de shoot un périmètre où les camés seront intouchables : « Aux abords de la structure réglementée, seules les personnes fréquentant les salles de consommation pourront bénéficier, non d’une extension d’immunité pénale, mais d’une politique pénale adaptée. » Mais encore ? Dans ce même document, au chapitre des « contrôles de police réalisés aux abords des salles », on comprend que cela veut dire… que les policiers devront regarder ailleurs : «Dans ce périmètre défini par les procureurs de la République, la poursuite des personnes se rendant à la structure pourra être considérée comme inopportune »! Et comment détermine-t-on si le gars qui se trimbale avec de l’héroïne dans la poche se rend à la « structure » ou passe juste dans le coin ? Mystère ! D’ailleurs, d’après une indiscrétion du journal « Le Monde », « les policiers ont en outre reçu pour instruction du procureur de la République de Paris de tolérer les usagers de drogue aux abords de la salle » de l’hôpital Lariboisière, ce qui aura au moins pour avantage de leur éviter de perdre du temps en procédure puisque celle-ci ne peut que finir, comme ils en ont déjà l’habitude, dans la poubelle du Palais de justice… Conséquence de cette « tolérance » ? Dans ce périmètre (qu’il appartiendra au procureur de la République de délimiter sur sa carte – est-ce que je mets aussi les numéros impairs ? Et cette ruelle adjacente, je l’intègre ou je l’intègre pas ?), où la police n’interviendra donc pas, les dealers et toxicos des quartiers voisins vont rappliquer, puisqu’ils bénéficieront de l’immunité accordée aux « clients » de la salle de shoot [...]"

    Michel Janva

  • France 24 au Donbass ? Mensonges, trafiquages et mauvaise foi, un reportage passé au crible de la réinformation

    Le reportage d’Elena Volochine récemment diffusé sur France24 présente un trafiquage honteux des images et des personnages, pour leur faire dire l’inverse de ce qu’elles disaient en réalité au moment du tournage, ce qui est assez facile à faire avec les techniques actuelles de traitement des images quand le but poursuivi est la désinformation.

    Le décryptage de ce brûlot de France 24 est l’occasion de faire un état des lieux de la situation sur la ligne de front du Donbass aujourd’hui. Une guerre un peu oubliée en raison des événements de Syrie, mais qui continue de façon larvée, avec des morts, des prionniers, et où les troupes de Kiev continuent de bombarder journellement un secteur ou l’autre des républiques de Nouvelle-Russie, sans que Merkel ou Hollande, signataires des accords de Minsk, n’obligent leur protégé Porochenko à respecter les engagements qu’il a également signés.

    Exemple de manipulation des images:

    « Des camions aux plaques d’ immatriculation de l’armée russe » commente Eléna Volochine de France 24, dans son reportage sur le Donbass. Sur la plaque du camion qu’elle montre, nous lisons, « дк 4980 », дк (=DK) de Donetsk, qui indique, non pas une immatriculation de l’armée russe, mais une immatriculation de la République de Donetsk. Tout le reportage est à l’avenant.

    Dans la vidéo ci-dessous, Christelle Néant, une autre journaliste qui était présente lors des prises de vues du reportage de France24, a passé au crible, à l’appui d’images, ce brûlot signé Eléna Volochine:

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  • Nicolas Bay (FN) : "La solution, ça n'est pas la répartition, c'est l'expulsion"

    Déclaration de Nicolas Bay, secrétaire général du FN sur France 2 :

    "Il fallait surtout les empêcher d'entrer sur l'ensemble du territoire national . Et puis il fallait surtout cesser d'organiser l'accueil de ces immigrés clandestins, massif, sur l'ensemble du territoire national (...) La place des clandestins, c'est pas dans des camps payés par les contribuables, c'est évidemment dans des charters. La solution, ça n'est pas la répartition, c'est l'expulsion." 


    Les 4 vérités - Nicolas Bay by telematin Philippe Carhon

  • Islamalgame, voyoucratie et utopisme

    Toute personne curieuse aura pu constater que les attentats commis depuis 25 ans en Europe (et depuis 1956 par le FLN et le MNA en France) sont majoritairement le fait de musulmans prétendus intégrés dans la société « multiculturelle ».

    Les tueries de Charlie Hebdo en janvier 2015 et du super casher à Paris, du Bataclan et des terrasses le vendredi « noir » 13 novembre 2015 toujours à Paris et des attentats dans le métro et à l’aéroport de Bruxelles, le 22 mars 2016 ne sont donc pas des faits « nouveaux » et « imprévisibles » comme les médias et les politiciens ont essayé de nous le faire gober.

    Il y a eu en 2001 les trois tours du WTC et l’explosion au Pentagone, puis en 2004 les attentats de la gare Atocha à Madrid et ceux commis en juillet 2005 dans les transports publics à Londres. Il ne faut pas venir nous raconter que c’est une « surprise » …d’autant plus qu’au fil des multiples enquêtes, il apparaît que tous ces massacres, tueries et attentats ne sont pas du tout la conséquence d’actes isolés commis par des « radicalisés récents », des « déséquilibrés » ou encore des « êtres fragilisés » en proie aux affres d’une société « stressante ».

    De Khaled Kelkal au duo d’assassins qui ont égorgé le prêtre dans son église de Saint-Etienne du Rouvray, TOUS sont des fidèles d’ALLAH « le plus miséricordieux ».

    dessin-ignace-e1477397658972.jpeg

    TOUS ont été de petits voyous avant de devenir de grosses crapules.

    TOUS ont tué pour répandre la terreur.

    TOUS avaient un casier judiciaire abondamment fourni.

    TOUS avaient pour but de massacrer des infidèles.

    TOUS ont échappé à la vigilance des services de sécurité et au suivi de la Justice.

    Alors pourquoi les gouvernements et le renseignement intérieur ne peuvent-ils pas mettre ces criminels hors d’état de nuire ?

    Pourquoi, depuis 25 ans ces fanatiques ont-ils réussi à déjouer la Loi et l’Ordre ?

    Pourquoi le Régime refuse-t-il de porter le fer dans la plaie, de nettoyer les quartiers « difficiles » et les 64 Zones de Sécurité Prioritaire, comme il le devrait ?

    Par déni des réalités ? NON ! Par faiblesse, par lâcheté et par félonie.

    Vidons ces ordures politiques – réels collabos de la cinquième colonne islamo-terroriste – ceux de la gôche caviar et de la droite cosmopolite, accoquinées aux Ecolos et aux Centristes & Humanistes…  Avant qu’il ne soit trop tard !

    Pieter Kerstens

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/islamalgame-voyoucratie-et-utopisme_171367.html#more-171367

  • Une justice aux ordres, ou la machine à étouffer les scandales : Le verrouillage du parquet

    Thierry Jean-Pierre est le digne héritier de Claude Grellier. Même fougue initiale, même dessaisissement final. Jeune juge d'instruction au Mans, il encaisse de plein fouet l'amnistie de Christian Nucci. En signe de protestation, il prend l'initiative de relâcher une poignée de petits délinquants, aussitôt imité par quelques collègues. Barouf garanti. Marqué à gauche à l'époque, le juge Jean-Pierre va vite devenir la bête noire des socialistes. A partir d'une simple affaire de fausses factures dans le milieu du bâtiment de la Sarthe, il va remonter en effet au coeur du pouvoir, via des travaux effectués dans les villégiatures solognotes de proches de François Mitterrand. Le 7 avril 1991, il met les pieds dans le plat et perquisitionne les locaux parisiens d'Urba, la pompe à finances du Parti socialiste.
         Georges Kejman, prestigieux avocat nommé ministre délégué à la Justice du gouvernement Cresson, monte sur ses grands chevaux, en service commandé : "C'est un cambriolage judiciaire !" Déclaration ahurissante : jamais un responsable politique n'avait osé critiquer à ce point une initiative judiciaire ; son outrance signe aussi la perte de crédibilité des socialistes en matière de respect de la séparation des pouvoirs.
         Ce que l'on reproche surtout au juge Jean-Pierre, c'est d'avoir perquisitionné Urba sans en référer au procureur du Mans. Lequel, aux ordres de la Chancellerie, aurait certainement pu prévenir à l'avance les responsables socialistes. La "gauche morale" est au fond du trou. Elle aura finalement la peau de Thierry Jean-Pierre. Dessaisi de l'affaire, il quitte avec fracas la magistrature et se fait élire député européen en 1994 sur la liste de son ami Philippe de Villiers. Victoire à la Pyrrhus : reprenant le dossier Urba, le juge Renaud Van Ruymbeke va perquisitionner le siège parisien du PS rue de Solferino, sans provoquer d'agitation. Les descentes de police dans les hauts lieux de la République prendront la force de l'habitude. C'est surtout cela, l'effet Jean-Pierre, même si le personnage demeurera controversé au sein de la magistrature. 
         Faute de pouvoir museler les juges et s'auto-amnistier tous les sept ans, le pouvoir politique se recentre sur son pouvoir régalien : le verrouillage du parquet. A la différence des juges d'instruction et des juges du siège (composant les différents tribunaux), les magistrats du parquet sont sous la tutelle directe du garde des Sceaux. Dans chaque tribunal de grande instance, le procureur de la République contrôle ses substituts ; au niveau de la cour d'appel, tout remonte au ministre de la Justice, véritable parquettier en chef, maître suprême des poursuites. En matière de nomination, l'avis du CSM, dont les magistrats ont finalement obtenu le droit d'élire directement leurs propres représentants, n'est que facultatif quand il s'agit de changer l'affectation d'un procureur - en revanche, le CSM peut s'opposer à la nomination d'un juge du siège.
         Dans l'organisation judiciaire, le parquet représente en théorie l'accusation ; les avocats, la défense ; les juges, l'arbitre. L'accusation peut être défaillante, de peur de nuire à des puissances amies, et c'est pourquoi le juge d'instruction troque parfois sa robe d'arbitre pour devenir accusateur, travers récurrent de la justice française. En des temps pas si lointains, le garde des Sceaux, dans sa toute-puissance, n'hésitait pas à donner des instructions écrites aux différents parquets, quitte à s'ingérer dans des affaires particulières. Au milieu des années 1980, dans l'affaire Luchaire (un dossier de vente de munitions à l'Iran en pleine guerre contre l'Irak), un non-lieu fut requis sur ordre du garde des Sceaux, contre l'avis du procureur de la République du TGI de Paris, Pierre Bézard : "Je ne pouvais que m'incliner, à condition toutefois d'avoir un ordre écrit." Comme l'indique fort bien l'adage du parquet, "la plume est serve, la parole est libre."
         La stratégie du parapluie est parfois efficace, le garde des Sceaux pas toujours courageux. En 1995, il est mis fin aux instructions écrites aux parquets. Officiellement, le politique ne s'ingère plus malicieusement dans les procédures judiciaires. Mais, comble de l'hypocrisie, les instructions orales demeurent. A partir de 1997, le gouvernement Jospin prend l'engagement formel de ne plus donner d'instructions au parquet, fussent-elles orales. Rien n'est cependant prévu pour garantir la rupture effective du cordon ombilical. Dans les faits, les dossiers dits "signalés" font l'objet d'une remontée directe du parquet à la Chancellerie, qui peut dès lors suivre les instructions judiciaires en temps réel, surveiller les affaires politico-financières comme le lait sur le feu. Nous sommes en pleine zone d'ombre, les observateurs du monde judiciaire en sont réduits à compter le nombre de fois où la voiture de fonction du procureur de la République se gare dans la cour du ministère de la Justice, place Vendôme. A partir de 2002, la droite revenue au pouvoir ne s'interdit plus d'intervenir, au motif constitutionnel qu'il faut bien piloter la politique pénale de la France. Elle a toujours affiché moins de complexe que la gauche, toujours meurtrie par l'expérience mitterrandienne. 
         Octobre 1995. Alain Juppé est en pleine tourmente judiciaire. On reproche au Premier ministre le vaste appartement de 180 mètres carrés qu'il occupe pour un loyer modique depuis qu'il a été adjoint aux Finances de Jacques Chirac à la mairie de Paris. Son logis a également bénéficié de travaux de rénovation d'un million de francs, payés par le contribuable parisien. La parole est à l'accusation en la personne de Bruno Cotte, procureur de la République de Paris. Il s'élance en fin juriste : "Au terme de l'enquête, et à la lumière de la doctrine de la jurisprudence susceptibles de s'appliquer à ce cas précis, il apparaît que les éléments constitutifs du délit de prise illégale d'intérêts sont suffisamment caractérisés pour que la responsabilité pénale de M. Juppé soit engagée." Le Premier ministre est-il bon pour la correctionnelle ? Pas du tout. Le procureur conclut son réquisitoire en lui demandant simplement de changer d'appartement, histoire de faire cesser le délit. Pour solde de tout compte.
         Bruno Cotte a été promu avocat général à la Cour de cassation en octobre 1995. Dans le microcosme judiciaire, on lui sait gré d'avoir laissé une trace écrite sur la "responsabilité pénale" d'un Premier ministre en exercice, pour l'Histoire. A entendre ses collègues, Bruno Cotte ne pouvait guère aller plus loin et c'était déjà beaucoup.
         Octobre 1996. Xavière Tibéri, épouse du maire de Paris, est bien embarrassée. Trois mois plus tôt, une perquisition à son domicile a déniché un rapport sur la francophonie, facturé 200 000 francs au conseil général de l'Essonne, présidé par le numéro deux du RPR Xavier Dugoin. Un rapport truffé de banalités et de lieux communs, 5 000 francs la page... La femme du successeur de Jacques Chirac à la mairie de Paris risque à tout moment d'être poursuivie pénalement, pour peu que le parquet d'Evry se décide à entamer des poursuites. Le procureur de la République, Laurent Davenas, adepte de la haute montagne, est en vacances dans l'Himalaya depuis le 26 octobre. Il n'est pas un magistrat fanatique de la répression, loin de là. En son absence, c'est son adjoint Hubert Dujardin qui ouvre une information judiciaire, le 6 novembre. Dans l'urgence, le garde des Sceaux Jacques Toubon dépêche alors un hélicoptère depuis Katmandou, la capitalise népalaise, pour rapatrier au plus vite le précieux procureur. Trop tard : Xavière Tibéri et Xavier Dugoin sont mis en examen pour recel de détournement de fonds publics et recel d'abus de confiance. L'épouse de Jean Tiberi échappera finalement aux poursuites pénales grâce à un vice de procédure et, quelques années plus tard, le 5 avril 2001, Laurent Davenas sera promu à la Cour de cassation. Son procureur adjoint, Hubert Dujardin, est quant à lui poursuivi devant le CSM, qui lui inflige une "réprimande" pour indiscipline répétée.
    Renaud Lecadre, Roger Faligot, Histoire secrète de la Ve République
     

  • Nous ne laisserons pas l’âme et l’honneur de la France disparaître

    Nos ancêtres ne sont plus les Gaulois ? Ils l’étaient autrefois, mais les chefs des tribus d’aujourd’hui en décident autrement ! Et pourtant, jusqu’alors, je me sentais bien Gaulois, peut être pas de pure souche, mais au moins par l’esprit gaulois et le goût des gauloiseries… Je l’ai toujours revendiqué et mes ancêtres aussi. Pour le reste, j’étais aussi un peu Barbare, un peu Vandale et à l’occasion, Franc quand je le pouvais ! 

    Grâce à Cloclo (Clovis/Clotilde), je suis devenu catholique, un peu Romain, mais pas de trop quand même ! Sujet royaliste de nos bons rois jusqu’en 1789 ; pas trop ébloui par les Lumières. Moi non plus je ne chantais pas La Marseillaise. (Peut-être plus PSG qu’OM !) Plutôt Textile que Sans-culotte, en restant Chouan, je me suis fait génocider. Le Royaume de France a disparu, d’abord le Royaume et la France ensuite. Il n’est resté que la République ! De Dames et Messieurs, nous sommes devenus Citoyens, Citoyennes et bientôt de genre indéfini ! A cette époque, nos ancêtres étaient encore gaulois. Et puis, tout c’est accéléré, la grande France de Dunkerque à Tamanrasset s’est mis à rétrécir. Le climat change et s’humidifie, la jungle progresse et envahit Calais, transformant notre Jardin à la Française en Brousse, puis en Bled…

    D’accord il ne faut pas être catastrophiste et voir le mal partout, et pourtant « Rien ne va plus », si la France n’est pas morte, elle a déjà la rigidité cadavérique. Pour demain, il ne s’agira plus de guérir mais de ressusciter ! L’on peut garder un peu d’espoir en étant croyant, très croyant même…En espérant en La Divine Providence et en attendant le miracle ! Car nous en sommes bien là ! Il y eut un temps où l’on a pu dire : « Tout est perdu, fors l’honneur » ; aujourd’hui c’est bien pire, l’honneur est en passe de sombrer avec le reste ! Nous ne serons pas nombreux pour livrer le dernier baroud d’honneur. Et c’est bien l’Honneur qui nous sauvera, plus rien d’autre n’est envisageable, que la Fierté et l’Honneur ! Notre drapeau, nos idées, sont sacrés, nous tâcherons de rester debout jusqu’à la fin en affichant crânement notre devise : « S’en fout la Mort » ! [....]

    Guy Adain

    La suite sur la Couronne

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Nous-ne-laisserons-pas-l-ame-et-l