Pour infowars.com, Paul Joseph Watson revient sur la polémique actuelle sur les violences policières aux Etats-Unis, et notamment le retour au devant de la scène du mouvement Black Lives Matter, financé par le milliardaire cosmopolite George Soros…
anti-national - Page 808
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La vérité sur le mouvement Black Lives Matter financé par Georges Soros
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En Allemagne, Merkel accusée d’exposer l’UE à un chantage turc
La politique étrangère de la chancelière est critiquée à la fois par ses adversaires mais aussi par certains de ses alliés.
La chancelière allemande Angela Merkel écoutant le président turc Recep Tayyip Erdogan, lors d’une conférence de presse à Berlin, le 4 février 2016. Crédits photo : Axel Schmidt/AP
Plusieurs responsables allemands ont accusé ce week-end Angela Merkel de trop mettre l’Europe dans les mains de la Turquie. Et d’exposer l’Union européenne à un chantage du président Recep Tayyip Erdogan. « Je ne suis pas contre des discussions avec la Turquie, mais je crois qu’il est dangereux de devenir aussi dépendant d’Ankara », a ainsi déclaré Horst Seehofer, chef de file de la CSU, le parti conservateur bavarois allié de la CDU d’Angela Merkel.
Des membres du SPD (Parti social-démocrate, partenaire de coalition de la CDU), de la gauche radicale ou des Verts, ont aussi exprimé leur préoccupation. Cem Özdemir, codirigeant des Verts, le parti écologiste allemand, et fils d’immigrés turcs, a ainsi déclaré à Welt am Sonntag que l’accord avec Ankara exposait l’Europe au risque d’un chantage, en jugeant qu’Angela Merkel était en grande partie responsable de la situation. Sahra Wagenknecht, membre du parti de gauche radicale Die Linke (La Gauche) a aussi évoqué le risque de « chantage », estimant qu’Erdogan « se sent nettement renforcé pour piétiner les droits de l’homme ». [....]
La suite sur Le Figaro
http://www.actionfrancaise.net/craf/?En-Allemagne-Merkel-accusee-d
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La bave jubilatoire des journalistes
Le monde ne fonctionne pas et ça fait baver de plaisir les journalistes. Ils se voient déjà dénoncer les défauts de ce fonctionnement et s’ils bavent, c’est parce que cette dénonciation n’a pas de terme. Ils vont avoir du travail pour les siècles des siècles. Il fallait voir la journaliste Arianne Dayer à l’émission de la RTS Infrarouge mercredi soir. Il est vrai qu’elle ne bavait pas. Elle est une jolie femme et devait savoir que baver est inconvenant. Mais ses yeux brillaient d’excitation lorsqu’elle parlait des Panama Papers qui révèlent de tels dysfonctionnements dans le système financier international qu’ils blanchissent des monstres vendant des petites filles comme esclaves sexuelles. Arianne Dayer ne fait pas dans la dentelle. C’est aussi pour ça qu’elle ne bave pas.
Comme chacun sait, il n’y a pas que le système financier international qui ne fonctionne pas. Il y a aussi l’Église pleine de pédophiles, l’éducation nationale pleine elle aussi de pédophiles, la FIFA pleine de margoulins, sans compter les ripoux, les arnaqueurs au quotidien, et puis, ne l’oublions pas, les abominables braconniers africains qui tuent et mutilent des éléphants. Bref les méchants sont partout. La tâche est immense et pour lutter contre les méchants, il faudra des moyens, immenses eux aussi. Ainsi se mettent en place des plateformes de dénonciation des actes de corruption comme en Suisse (et en ligne s’il vous plaît), une nouvelle législation destinée à protéger les lanceurs d’alerte, des séminaires de recherche avec d’assidus chercheurs (comme il se doit), des séminaires interdisciplinaires avec experts évidemment renommés et internationaux. Un coup d’œil sur les conférences du Global Studies Institute à Genève en dit long sur les efforts accomplis dans le monde académique pour rejoindre les journalistes qui auront ainsi de puissants alliés. Un immense contrôle de tout et de tous risque de se mettre en place sur la planète entière. Le député libéral Christian Lüscher l’a bien relevé lors de l’émission Infrarouge dont je parlais plus haut. Avec ironie, il a lancé à Carlo Sommaruga, croisé de la pureté, qu’il se réjouissait de le voir en gendarme du monde.
Certains estiment que la croisade mondiale pour la pureté ou la transparence est menée par les Américains. Si au moins ! Car alors on pourrait couper la tête du monstre ! Or ce monstre est cette hydre de Lerne qu’Hercule voulait tuer. Mais à chaque fois qu’il coupait une tête, une autre repoussait.
Cette dynamique de la dénonciation a sa source dans une religion, celle du bien, la pire de toutes. On dénonce volontiers le prosélytisme des chrétiens, mais que dire de cette religion du bien ? Son développement est tentaculaire et global. Elle fait efficacement concurrence à l’Église catholique. Les nouveaux croisés de la pureté, dignes héritiers des gnostiques d’autrefois, dénoncent tout ce qui va mal dans le monde. Il s’agit, pour eux, de procéder à de multiples épurations. Mais elles pourraient bien, un jour, ces épurations, paraître relativement bénignes en regard d’une purification mondialisée au nom de la transparence. En ce domaine, nous avons d’ailleurs un maître, Robespierre, l’incorruptible, ancêtre des épurateurs. Il n’y allait pas par quatre chemins. Au moindre soupçon, hop, la guillotine !
Nous n’en sommes pas encore là, c’est vrai, mais ne nous réjouissons pas trop vite. Le vingtième siècle a abondé en purifications et épurations. Qui les a vues venir ? Celui qui, à la belle époque, aurait parlé de la Shoah et du Goulag aurait été envoyé en asile psychiatrique. Aujourd’hui, tout est prêt, dans le langage employé, pour exterminer les méchants comme de la vermine. Il ne s’agit pas, en effet, de s’adresser à eux comme à des êtres humains, mais de les éliminer par des mesures appropriées.
On prend presque les journalistes en pitié tant ils auront du pain sur la planche. Parce qu’après la dénonciation du mal, il faudra mettre en place des contrôleurs qui repéreront les méchants comme nos radars repèrent les mauvais conducteurs. Et ces contrôleurs, il faudra les contrôler. Eux aussi vont faillir et il faudra les poursuivre médiatiquement et pénalement. Les budgets vont enfler et les contribuables vont devoir sortir leur portemonnaie. A chasser le mal (Satan comme on disait autrefois), on se lance dans une poursuite qui ne s’achève jamais. Les journalistes se sont engagés dans une chasse qui va les faire s’enfoncer dans une jungle si épaisse que nous les perdrons de vue. Qui les pleurera ?
Jan Marejko, 15 avril 2016
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Loi Pleven : Vers la répression universelle
Dans un article mis en ligne le 2 avril par Polémia contre la « Répression universelle… » (1), j’exposais la défense d’Alain-Jean Mairet, responsable du site suisse de Riposte laïque, que le Parquet de Paris poursuivait devant la XVIIe chambre du Tribunal correctionnel de Paris, sur dénonciation de la LICRA.
Malheureusement cette défense n’a pas été entendue, mais le prévenu a interjeté appel du jugement de condamnation prononcé le 6 avril.
Un jugement illogique, car fruit de la démesure
La condamnation de M. Mairet du chef de provocation publique à la haine, à la violence ou à la discrimination envers les musulmans (loi Pleven) suppose que la justice française puisse prétendre à une compétence universelle à l’instar des Etats-Unis, de la Chine populaire et, pourquoi pas, de l’Arabie (orfèvre en matière d’islam)…
Pour mémoire, en France un délit n’existe pas si l’acte est commis par un étranger agissant hors du territoire de la République (voyez art. 113-2 du Code pénal). Selon le tribunal, il y a bien eu « diffusion [publique] en France » (jugement, page 2), au sens de la loi sur la presse à laquelle a été insérée, en 2004, l’expression « par voie électronique ». Cette précision est essentielle, car précédemment la lettre de la loi visait ce qui étaité mis par l’auteur, mais non pas l’intrusion individuelle, intime et volontaire qu’est une consultation en ligne.
Or, pour entrer en voie de condamnation, les juges parisiens ont perdu de vue le raisonnement juridique, ce qui arrive quand on s’abandonne à la passion de l’ordre moral. Certes, il n’est pas contesté que des internautes français aient pu consulter en ligne le document litigieux sur le site de Riposte laïque. En revanche, c’est à tort que les juges ont prétendu que dès lors « les propos ont été publiés en France » (jugement, page 4).
Qui commet le délit et où ?
En fait aucun acte constitutif du délit n’a été commis « en France », contrairement à l’affirmation du tribunal (jugement, page 2) même si on n’a pu lire le texte litigieux de France : juge ou pas, sans syntaxe, il n’y a plus d’intelligibilité. En effet, le site sur lequel les internautes se trouvant en France pouvaient se connecter est installé hors du territoire de la République et sous juridiction étrangère. Ça s’appelle à bon droit, hé oui, … un site ! Et, dans le cas d’espèce ce lieu se trouve en Suisse et sous la responsabilité d’un citoyen helvétique résidant dans son pays. Aucun fait constitutif du délit d’opinion en cause n’a été commis en France par son auteur. Le paradoxe, insurmontable ici, c’est que les seuls actes avérés « commis en France » sont… les connexions volontaires de la LICRA et de la police judiciaire aux ordres du parquet !
Au fond, qu’attend-on pour contester l’exception de divinité ?
Mais, au fond, qu’attend Riposte laïque pour invoquer le caractère illégitime du délit d’opinion religieuse, ce que j’appelle l’exception de divinité ? Voilà qui serait laïc !
En deux mots, pour les non-juristes, comment un Etat soi-disant laïc peut-il interdire que l’on dise que l’islam peut rendre pervers, alors que l’on peut le dire de toute mouvance profane ? Aussi peut-on dire impunément que le communisme peut rendre pervers et doit-on dire, à peine de poursuites, que le « nazisme » rend pervers. La critique n’est libre que lorsque Dieu n’est pas en vue…
Dieu est avec nous – Gott mit uns (2) – n’est-il pas une devise de la soumission républicaine prophétisée par Michel Houellebecq ?
Eric Delcroix, 11/04/2016
Notes :
(1) Répression universelle ou Le syndrome saoudien
(2) Devise inscrite sur la boucle de ceinturon des soldats allemands avant l’avènement du IIIe Reich.http://www.polemia.com/loi-pleven-vers-la-repression-universelle/
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Trois ans après la loi Taubira, pour une extension du domaine de la lutte
Trois ans après le vote de la funeste loi Taubira, les masques sont tombés tombent : La PMA et la GPA sont ouvertement évoqués et défendus alors qu’ils étaient pudiquement évités lors des débats. Certaines officines pharmaceutiques proposent ici ou là des catalogues avec des têtes de bébé que l’on pourra programmer et vendre comme de la marchandise en les faisant porter par des pauvres femmes acculées à la misère.
Je n’ai jamais cru un seul instant que ce gouvernement de bobos de philosophie libérale-libertaire céderait sur le sociétal. A défaut de s’attaquer au diktat de la finance, au chômage et à la précarité qui touche des millions de compatriotes, ils n’ont que ce nonos à ronger. Ils ne le lâcheront pas. Avec le droit de vote aux immigrés, il ne reste que cela à la gauche Terra Nova. La gauche, aujourd’hui, n’a plus rien à voir avec Jaurès qui proclamait qu’ « à ceux qui n’ont plus rien la patrie est le seul bien ».
C’est la gauche façon Pierre Bergé qui déclarait en janvier 2013 : « Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? C’est faire un distinguo qui est choquant. »
Ou encore Jacques Attali dans L’Avenir de la vie (1981) : « Dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est actuellement un marché, mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part en tant que socialiste contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures. » [....]
Frédéric Pichon
La suite sur Nouvelles de France
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Trois-ans-apres-la-loi-Taubira
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Encore une belle page du syndicalisme à la française
Parfois, en quelques jours, on fait plus « progresser » la cause du syndicalisme en France qu’en plusieurs années d’acharnement à s’époumoner sur l’absolue nécessité d’avoir des syndicats forts, très forts, pour s’opposer au méchant (très méchant) patronat et « protéger », vaille que vaille mais surtout coûte que coûte le salarié contre les abominations capitalistes modernes.
Et la semaine passée, ce sont deux actualités qui sont entrées dans une collision moelleuse pour nous fournir deux magnifiques exemples de l’énorme contribution de nos syndicats français au bonheur intérieur brut. Très brut.
La première actualité fut celle de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de Bayonne. L’affaire a éclaté, de façon d’abord discrète dans les feuilles de choux locales puis, alors que la polémique enflait, dans les médias nationaux, au point d’entraîner un rappel à l’ordre de la ministre de la Fonction publique (ce qui est l’équivalent, en terme de sanctions disciplinaires, des « gros yeux » de votre maman lorsque vous étiez pris la main dans le paquet de biscuits alors que ce n’était pas encore l’heure de goûter).
Et que reprochait la ministre à cette CPAM ? D’avoir, mardi après-midi, fermé quatre de ses cinq agences de l’agglomération bayonnaise à 14H00 au lieu de 16H30 habituellement, et ce afin d’assister au pot de départ à la retraite de son directeur.
Eh oui : les petits plats sont généreusement mis dans les grands lorsqu’il s’agit de fêter le départ du directeur, au point de fermer la porte des agences au museau des administrés qui auront cependant le plaisir d’apprendre que les frais de ce pot sont entièrement couverts par leurs aimables cotisations dont tout refus de prélèvement entraîne vexations, huissiers, condamnation, prison ou parfois suicide.
Après avoir fait ses gros yeux, la ministre s’est peu exprimée sur le sujet, en se contentant d’un petit (je cite) :
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La faillite inéluctable de l’État français
Extraits d'un article de H16 :
"La distribution d’aides sociales tous azimuts, qui a jusqu’alors permis d’acheter une paix sociale vérolée mais relativement efficace, sera probablement un des deux éléments clés qui précipitera la faillite complète de tout l’Etat français. Dans ces aides sociales, le Revenu de solidarité active (RSA) joue sans mal le premier rôle.
Bien sûr, ce RSA n’a pas grand-chose à voir avec la candide proposition de revenu générique et cosmique que j’évoquais dans un récent article ; force est cependant de constater que le petit pécule social est distribué à un nombre grandissant de citoyens français, au point d’attendre les 2,5 millions de foyers bénéficiaires. En poussant un peu, à ce rythme, tout le monde va bientôt y avoir droit…
Ce n’est pas anodin. Outre l’explosion du nombre de bénéficiaires (qui représente 71% de plus qu’à sa création en 2009), plus structurelle puisque liée à l’augmentation de la population concernée, d’abord métropolitaine puis finalement française tout court, on note aussi une augmentation conjoncturelle directement en phase avec la massification du chômage dont la France n’arrive toujours pas à s’extraire, en dépit des petits coups de mollets flasques du capitaine de pédalo.
Ce n’est pas bon signe. Cette augmentation du RSA, intrinsèquement, montre clairement la paupérisation grandissante de pans entiers de la population du pays. Ceci implique directement qu’une part croissante des Français se retrouve avec d’énormes difficultés pour terminer le mois, ce qui plonge toute une partie de la population dans la précarité, entraînant des impacts en termes de croissance ou de PIB, certes, mais aussi de façon moins triviale en termes de moral des ménages, de santé publique, bref, de cohésion globale du fameux « tissus social » que le socialisme hexagonal s’est employé à tisser à sa façon, avec du scotch, de la colle, du fil de chanvre et beaucoup de rapiéçages.
Ce n’est pas sans conséquences, car, de façon moins directe, cela signifie aussi une augmentation pernicieuse des difficultés de trésorerie des départements français. Eh oui, on l’oublie un peu vite lorsqu’on prend connaissance de ces chiffres nationaux désastreux, mais le RSA est une affaire locale, départementale même. Et comme ce sont les départements qui se chargent de cette distribution, chaque augmentation du RSA (en quantité et en qualité) entraîne de nouvelles tensions dans leurs budgets.
En juin dernier, je notais les couinements de plus en plus forts de quelques uns de ces départements, acculés à la quasi-faillite devant l’explosion de leurs dépenses sociales. En janvier, je revenais à la charge en remarquant qu’une dizaine d’entre eux poussaient des râles d’agonie, dès le début d’année, sentant déjà leur trésorerie épuisée par le stress du RSA. Il faut dire que, dans tous les cas, ces départements slalomaient avec brio autour de leurs dépenses pour en formuler de trop microscopiques réductions.
Or, indépendamment de l’état déplorable des finances de quelques départements, la situation actuelle est catastrophique. Malgré des contorsions aussi comiques que grotesques de la stagiaire actuellement Ministre du Chômage, personne n’est dupe de la tendance prise durablement par les chiffres du chômage : cela continue d’augmenter furieusement. Et cette augmentation se traduit mécaniquement par un accroissement du nombre de bénéficiaires du RSA. Autrement dit, les ennuis actuels des départements vont s’aggraver.
Il y a pire." [suite sur le blog de l'auteur]
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Les français continuent à s’abreuver de désinformation
Ce n’est pas par hasard que la situation est difficile.
Je me fonde ici sur le sondage réalisé pour médiamétrie au début de l’année sur un peu plus de 3000 personnes, en ligne et par téléphone, et diffusée il y a peu.On notera qu’il y a certainement un biais : les personnes susceptibles de répondre à un sondage ont certainement une attitude à l’information un peu différente que les personnes refusant de répondre à un sondage.
Mais pour les ordres de grandeur, c’est certainement pertinent.
Les principaux éléments :
- 90% des sondés disent « s’informer » quotidiennement, dont 63% plusieurs fois par jour.
- 80% se désinforment via les journaux télévisés, 52% via les chaînes d’actualité en continu, 49% via la radio, et 49% via la presse.
- 38% des personnes interrogées (contre 34% en 2013) déclarent s’informer via internet. Ce qui ne précise cependant pas ce qui est consulté : la page d’accueil d’orange, yahoonews, ou bien les grands sites de la presse officielle ; cela ne vaut pas mieux que de regarder la télé. Les applications pour téléphone portable ne valent pas mieux.
- 17% des personnes interrogées disent employer les réseaux sociaux. Dans l’écrasante majorité des cas, le contenu consulté a été préalablement relayé par une de leur connaissance. Ce qui donne une importance toute particulière aux personnes déclenchant initialement la diffusion.
Médiamétrie s’est ensuite amusé à classer les gens en 4 catégories, selon leur utilisation ou non d’internet pour l’information ; et selon leur fréquence de consultation.
Si cette division est sans doute un peu simpliste, le profil qui en ressort, lui est intéressant.
On sait que les personnes qui restent accrochées à la télévision ne risquent pas de trop se secouer. On sait bien que le rejet de cette source de désinformation est l’une des premières étapes pour pouvoir se sortir de la prison mentale qui nous est imposée.
Et deux catégories surreprésentées parmi les personnes consultant fréquemment l’information sur internet sont les « moins de 25 ans » et les « hommes », or il s’agit nous le savons aussi, des catégories les plus ouvertes aux idées nationalistes. Les jeunes hommes blancs à qui le système ne promet qu’un sombre avenir, s’ils ne sont pas les seuls éléments de notre mouvance, qui compte aussi nombre de femmes ou de personnes d’âge plus mûr, restent la constituante la plus nombreuse et vive.
Les médias officiels défendent des positions tellement caricaturales que leur crédit n’a de cesse de s’éroder. Car il ne faut pas oublier aussi que beaucoup de gens peuvent consulter l’information auprès des sources accréditées tout en s’en méfiant – c’est certainement le cas de certains de mes lecteurs, et c’est le mien aussi pour pouvoir couvrir l’actualité.
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850 000 euros pour se droguer à Paris
Le Conseil de Paris a voté aujourd'huil'attribution d'une subvention de 850 000 euros qui permettra d'ouvrir à l'automne à l'hôpital Lariboisière (Xe arrondissement) la première salle de consommation à moindre risque (SCMR), ou "salle de shoot", de la capitale. Cette salle comprenant un accueil, une salle d'attente et de consommation, sera aménagée sur 450 m2 dans l'enceinte même de l'hôpital. Elle pourra accueillir 200 personnes par jour.
La subvention d'investissement a été votée par la majorité PS avec l'UDI-MoDem. Le groupe Les Républicains a voté contre.
Sera-t-il indiqué devant l'entrée, "Se droguer tue" en gros avec une photo d'un toxico victime d'une overdose, sur le modèle des paquets de cigarettes ?
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Les conséquences migratoires (Jean-Marie Le Pen)