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anti-national - Page 808

  • Avortement : il faut commencer par prendre des mesures en faveur des familles et des femmes

    Wojciech Murdzek est député du parti Droit et Justice (PiS) au pouvoir en Pologne, ancien maire de la ville de Swidnice, catholique et résolument pro-vie. Il répond à Olivier Bault dans Présent pour parler du projet de loi citoyen contre l’avortement, rejeté par la Diète avec les voix du PiS début octobre :

    "Comment avez-vous voté vous-même et comment expliquez-vous ce vote du PiS, qui a beaucoup déçu les milieux pro-vie en Pologne ?

    J’ai voté comme la majorité. C’était un des votes les plus difficiles pour notre conscience. Il aurait été plus facile pour moi, vu mes convictions personnelles, de voter en faveur de cette loi « Stop à l’avortement ». Cependant, nous avons une responsabilité globale pour ce qui se passe dans notre pays. Or, dans l’ambiance complètement hystérique qui régnait et avec le problème toujours non réglé de notre conflit avec le tribunal constitutionnel – qui aurait eu à se pencher sur cette loi et l’aurait très certainement rejetée – il était difficile de prendre une autre décision. Beaucoup d’entre nous avaient aussi un problème avec la clause du projet de loi qui prévoyait des sanctions pour les femmes qui se feraient avorter. Notre décision a beaucoup surpris et nous a coûté, puisqu’elle nous a attiré la critique de gens qui nous sont normalement favorables. Mais on a bien vu, après, que le ballon s’est dégonflé. Il semble qu’il vaut mieux, comme nous le faisons, commencer par prendre des mesures en faveur des familles et des femmes en situation difficile.

    J’espère bien que nous reviendrons sur ce sujet, car la loi actuelle qui régule l’avortement nécessite d’être améliorée, mais que nous le ferons de manière mieux préparée, en en discutant plus calmement. Il y a déjà de nouvelles initiatives citoyennes, mais qui renoncent à vouloir sanctionner les femmes elles-mêmes.Nous parlons ici de situations très difficiles et ajouter des sanctions pénales au drame de ces femmes n’est pas la bonne solution. Le but ultime est de protéger la vie, et il ne s’agit pas d’adopter des règles qui permettront aux politiciens d’avoir la conscience tranquille alors que les avortements continueront d’avoir lieu, mais à l’étranger ou de manière illégale en Pologne. Nous devons donc chercher à réduire le nombre d’avortements de manière réelle, et non pas conduire un jeu politique. [...]"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Agriculture intensive : 10.000 fermes laitières sur 60.000 devraient disparaître en 2017

    Les gouvernements successifs ne cherchent pas à repenser le modèle agricole français. Depuis Maastricht, les politiques français posent des boîtes de pansements sur une jambe de bois à coup de millions d’euros d’aide aux différents secteurs agricoles.
    Les manifestations d’éleveurs se font rares. Pourtant les difficultés graves persistent, au point que la FNPL (Fédération nationale des producteurs de lait) prévoit la disparition de 10.000 éleveurs de vaches laitières en 2017 sur un total de 60.000. C’est énorme.
    Le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, a d’ailleurs annoncé vendredi la signature d’un accord avec le fonds d’assurance Vivéa et Pôle emploi pour « accompagner les chefs d’exploitation dans leur reconversion et transition professionnelles ». Autant dire que de tous côtés on s’attend à une vaste opération de restructuration dans l’élevage. Le numéro un mondial du fromage Lactalis estime que « les volumes de lait ne disparaîtront pas. On va assister à une concentration des élevages. Pas à une chute de production ».

  • Ils font leur cinéma

    « Les théoriciens du déclin français qui prophétisent des choses sombres en sont pour leurs frais. Le génie français se porte bien ! » affirme  Michel Denisot, directeur de la rédaction de l’intellectuellement très indigente adaptation française du magazine américain Vanity Fair.  Un étalage de platitudes conformistes  truffé de pages de pub.  M. Denisot  réagissait  au classement  des  50 Français les plus influents dans le monde publié dans ce même magazine, tous domaines confondus, dans lequel on retrouve le lot habituel de sportifs, stylistes et capitaines d’industrie dont tous ne sont pas dépourvus de talents, voire de génie. Certes, cette année, la première marche du podium  (!) est attribuée à  la chanteuse Christine And The Queens, 28 ans, «au charisme de démon en passe de devenir une icône mondiale»;  Emmanuel Macron, seule personnalité politique de ce classement avec Anne Hidalgo, pointe à la sixième  place, tous deux environnés parfois d’artistes et écrivains dont les mérites exceptionnels ne sautent pas non plus aux yeux des Français… et même de ceux qui les connaissent.

    Ce qui est certain en tout cas, c’est qu‘il ne faut avoir rien compris à l’air du temps, au ras-le-bol de nos compatriotes, pour susciter encore des listes de soutien à tel ou tel candidat, composées de membres du showbiz hors sol, de donneurs de leçons et autre privilégiés,  tous ces modèles emblématiques de cette Caste coupée du réel, vivant dans l’entre soi, les mêmes qui aux Etats-Unis hurl(ai)ent avec souvent une rare vulgarité leur haine de Donald Trump et leur  soutien à Hillary Clinton

    Le JDD a ainsi publié dans son dernier numéro une tribune d‘artistes, d’intellectuels, appelant à arrêter le Hollande Bashing, à soutenir l’actuel chef de l’Etat… aujourd’hui visé par une enquête pour violation du Secret défense. En l’espèce pour avoir révélé un dossier classé Confidentiel défense (la renonciation à d’éventuelles frappes sur la Syrie), dans le cadre de son livre d’entretien avec Gérard Davet et Patrick Lhomme, le très bien intitulé  Un président ne devrait pas dire ça.  Mais nos vedettes le disent dans le JDD, «ce dénigrement permanent met à mal toutes les institutions de la République et la fonction présidentielle. Il perdure encore aujourd’hui malgré la stature d’homme d’État que François Hollande a parfaitement incarnée, tant dans les crises internationales que lors des épouvantables tragédies que notre pays a traversées».

    Au nombre des premiers signataires de ce texte vantant les réalisations merveilleuses du quinquennat Hollande, on retrouve notamment  sans trop de surprise, Laure Adler, Benjamin Biolay, Jean-Michel Ribes, Mazarine Pingeot, Patrick Pelloux et le petit monde du cinéma: Catherine Deneuve, Juliette Binoche, Denis Podalydès, Irène Jacob, Sylvie Testud, Patrick Chesnais, Gérard Darmon ou encore Christian Zerbib. 

    Un microcosme où la consanguinité est de mise, où le politiquement correct socialo-progresssiste règne en maître. Et ce n’est pas l’actuelle présidente du Centre national de la cinématographie (CNC), la Young Leader membre de l’American French Foundation , Frédérique Bredin,  ancienne député et ministre socialiste, ex du  Cabinet Jack Lang, qui nous dira le contraire. Un CNC  au budget conséquent (plus de 665 millions d’euros, assuré par la quote-part de 10%  prélevée sur les places de cinéma, mais aussi par des taxes sur les éditeurs et  distributeurs  de la télévision),  que le producteur Thomas Langmann critiqua vertement  il y a quelques années.

    M. Langmann, pourtant membre du sérail, soutien  et ami de Nicolas Sarkozy, dénonça l’opacité  du  mode d’attribution de  l’aide sélective, autrement appelé  avance sur recettes, parlant degestion « honteuse ». «Le système d’avance sur recette du CNC, symbole de l’exception culturelle française, (est)  devenu un comité de copinage. Formé de trois collèges, les choix de l’avance sur recettes restent entièrement à la discrétion de ces commissions »  indiquait-il au  Figaro en  janvier 2013.

    En mai 2015 un article du magazine Capital s’interrogeait pareillement: «magie du cinéma ou copinage avec les producteurs ? En tout cas, quand il s’agit de biberonner l’industrie du film tricolore, les pouvoirs publics ont souvent tendance à oublier la rigueur (…). En décembre (2014), l’Assemblée nationale a encore renforcé l’une des nombreuses niches fiscales dédiées au grand écran. A partir de 2016, donc, le taux du crédit d’impôt accordé aux investisseurs passera de 20 à 30% pour tous les films de moins de 7 millions d’euros de budget. Et pour les œuvres d’animation, il sera porté à 25%. Bah, ça ne fera jamais qu’un coup de pouce de plus aux salles obscures ! Il y en a tellement que certains producteurs passent aujourd’hui plus de temps à ratisser les aides qu’à peaufiner les scénarios ». Mais «le plus gênant, c’est que ces fonds servent pour une bonne part à payer les cachets plantureux de certaines stars», parfois jusquà  «près de la moitié des subventions perçues !».  Mais soyez rassurés  bonnes gens, « le CNC vient de décider de limiter les cachets à 900.000 euros »…

    Quant au site de contribuables associés qui s’étonnait en septembre 2012  que même des films étrangers, comme celui du cinéaste algérien Merzak Allouache (Le temps de la concorde ) puissent être financées par le CNC, il relevait aussi  cette grande vérité, à savoir que  le  Centre national de la cinématographie « a oublié la grande règle de Molière, qui est de plaire. Il veut encourager la production du plus grand nombre possible de films, quelle que soit leur qualité. Pour cela il distingue arbitrairement les films d’ auteur, considérés comme supérieurs aux films  commerciaux . En réalité, il facilite la production de films médiocres».

    Guillaume Faye voyait assez juste quand il notait dans L’archéofuturisme que «les Français et les Européens ont perdu le sens de l’épopée et de l’imagination» et que le recouvrer dans le septième art (et en littérature)  n’est pas affaire stricto sensu  d’argent et de financement. «C’est trahir Molière que de penser implicitement  qu’une création populaire  est de qualité inférieure» «à des œuvres snobs,  ennuyeuses, aux préoccupations microscopiques». La solution, financièrement rentable,  si nous voulons contrer le rouleau compresseur cinématographique hollywoodien  existe:«réaliser des œuvres à forte dramaturgie populaire et pourvues de scénarios culturellement haut de gamme. Nos romanciers du XIXème siècle savaient le faire».

    Autant dire affirme Bruno Gollnisch, qu’un gouvernement, un Etat dirigé par des patriotes dignes de ce nom  (pas plus le calamiteux radical mou Chirac que le petit faiseu bling bling Sarkozy ne s’y sont risqués) s’attaquerait à la remise à plat de ce qu’il est convenu d’appeler l’industrie cinématographique. La chasse gardée d’une  gauche pseudo artistique souvent décadente, francophobe, avachie, névrosée et vulgaire;  le terrain de jeu des courtisans, des fils et des filles de, des fratries engraissées avec l’argent d’un populo qu’ils méprisent la plus souvent. Un gouvernement digne de ce nom  mettrait fin à cette gabegie indigne, au nom de son souci de défendre à la fois le contribuable et le rayonnement d’une culture française qui, n’en déplaisent à M. Denisot et à ses amis pétitionnaires ou non, ne brille plus au firmament. Dans ce domaine là aussi, il faudra  faire souffler un grand  vent de liberté, d’audace, débrider les énergies et les talents.

    http://gollnisch.com/2016/11/22/ils-font-leur-cinema/

  • La machine à formater le monde de Georges Soros

    Revue brève et documentée de l'empire de la désinformation de Soros, proposée par Breizh-Info. Entrée en matière.

    Georges Soros se considérant lui-même comme un « chef d’État sans État », son intérêt pour les médias comme outil métapolitique n’est pas nouveau, il remonte même à sa prime jeunesse. Selon l’un de ses biographes, le journaliste du New York Times Michael T. Kaufman, auteur de « Soros: The Life and Times of a Messianic Billionaire », Georges Soros a toujours été fasciné par le journalisme et les médias. Jeune homme, ses centres d’intérêts principaux étaient principalement « l’histoire, le journalisme et certaines formes d’écriture ». Encore étudiant, il a ainsi été le rédacteur en chef, l’éditeur et le vendeur de son propre journal le « Lupa News » dans sa Hongrie natale.

    Jamais il ne se départira de cet intérêt pour le journalisme et sa capacité d’influence sur les sociétés. Dans les années 80, il appuiera ainsi les libéraux d’Europe de l’Est en faisant parvenir des photocopieuses aux cercles d’étudiants dissidents grâce à son « Open Society Foundations » (à l’époque « Open Society Institute »). Matériel leur permettant la publication de journaux clandestins et de samizdats grâce auxquels ils purent influer sur l’opinion publique des régimes communistes finissants. Il financera ainsi des fondations et des associations dans toute l’Europe centrale dans le but de former des étudiants et de leur permettre de faire de l’agitation idéologique dans les universités comme dans la société civile afin de diffuser une autre information que celle de l’État et du parti communiste. En leur distribuant des bourses pour leur formation il s’assurera une influence majeure auprès des élites libérales une fois ces étudiants en poste après la chute du communisme.

    À l’heure du numérique et de l’information en temps réel, sa méthodologie est restée la même mais adaptée aux outils de communication contemporains. Cela à une échelle bien plus vaste qu’au temps des régimes communistes. Régimes qui étaient devenus après 1945 des régimes nationaux-communistes et donc des adversaires de l’idéal politique de George Soros : une société planétaire intégrée, régie par la finance et par une société civile mondiale sans États.

    Pour appréhender l’influence que Georges Soros exerce sur le paysage médiatique américain, il faut sonder autant le champ des médias de masse que celui d’internet et des médias réticulaires qui foisonnent sur la toile mondiale. L’un des objectifs de la stratégie média de l’Open Society étant justement la formation et le soutien d’une myriade de journalistes présentés comme indépendants et aptes à créer un réseau d’influence médiatique informel partout où cela est nécessaire politiquement. À un niveau local certains journalistes de ces groupes étant même inconscients de leur rôle réel en tant que maillon d’une vaste chaîne transnational de relais d’influence.

    LES MILLIONS DE SOROS : MANNE INFINIE DES MÉDIAS GLOBALISTES

    Non content d’avoir appuyé le parti démocrate puis la candidate Hillary Clinton pour au moins 25 millions de dollars au cours des dernières années, George Soros a surtout injecté plus de 100 millions de dollars entre 2000 et 2014 dans des groupes médiatiques proches du parti démocrate, de son agenda et de ses objectifs politiques. Ces sommes sont à mettre en perspective avec la fortune personnelle de Soros estimée à 24 milliards de dollars selon le classement Forbes.

    Le seul budget officiel de l’Open Society Foundation pour l’année 2016 est de plus de 930 millions de dollars. Ses dépenses totales depuis sa création sont estimées à plus de 13 milliards de dollars pour ses 33 années d’activité. George Soros a aussi directement aidé des centaines de médias, d’associations, d’écoles de journalisme aux États-Unis et à l’étranger avec des dons allant de 5000 $ à 32 millions de dollars. Comme nous le verrons plus bas, certains de ces groupes comme « New America Media » ou le « Media Development Investment Fund » sont ainsi eux-mêmes constitués de centaines d’autres médias plus petits qui n’existeraient pas sans Soros.

    Sur ces 103 millions investis dans les médias libéraux-libertaires, 61 millions financent neuf groupes médiatiques qui ont soutenu directement la candidate Hillary Clinton. Voyons de plus près certains médias du camp démocrate que finance George Soros

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le « droit à l’avortement » ? Marion Sigaut analyse ce droit de tuer figurant parmi les « droits sexuels » définis par l’ONU

    Continuant son étude des « droits sexuels » édictés par l’ONU, Marion Sigaut observe comment le « droit à l’avortement », c’est-à-dire le droit de tuer un enfant, est devenu un dogme prioritaire imposé par les mondialistes et appliqué avec zèle par la république maçonnique française.

  • Organisez un départ en car pour la Marche pour la vie du 22 janvier

    Voici la carte des premiers bus en provenance de province

    Pour organiser un départ en car, c'est par ici.

    Michel Janva

  • Un ancien médecin-avorteur : "Votre génération peut réellement inverser l'avortement"

    Très beau témoignage de conversion :

    "Le Dr. Vansen Wong, médecin athée pratiquant les avortements, avait l’habitude de penser que l’avortement aide les femmes et leur donne la possibilité de choisir la vie qu’elles désirent pour elles-mêmes. Il avait d’ailleurs choisi cette pratique de la médecine pour apporter un regard bienveillant et dépourvu de jugement aux femmes faisant le choix d’avorter.

    Docteur Wong était convaincu d’aider les femmes, en particulier les victimes de viols et celles dont la vie est menacée par leur grossesse. Il commença toutefois à revoir ses positions lorsqu’il comprit que de plus en plus de femmes avaient recours à des « avortements de confort ». Il raconte par exemple le cas d’une dame, qui avait avorté pour ne pas avoir à reporter son voyage en Europe.

    Fatigué de pratiquer des avortements, Vansen Wong commence à requestionner ses pratiques. Evoquant le tube transparent utilisé pour aspirer le foetus lors d’un avortement, il déclare aujourd’hui :

    « Il ressemble à un dispositif assez inoffensif… Il est flexible et de la taille d’une grande paille, mais il est responsable de la mort de millions d’enfants à naître. »

    Après avoir eu recours à cette technique durant 7 ans, le médecin a finalement été pris d’un violent sentiment de culpabilité et de misère, qui l’a conduit dans une église. Dans cette église, il a découvert le message de l’Evangile et reçu l’amour et le pardon de Dieu.

    « Chaque personne est créée à l’image de Dieu. »

    Vansen Wong a finalement abandonné son poste. Il est désormais directeur médical du Centre de grossesses Alternatives à Sacramento. Chaque fois qu’il le peut, Wong dit aux personnes qu’il rencontre que l’avortement est «barbare» et «intolérable» et qu’il «n’a pas sa place dans une société civilisée. » Il espère que les générations futures aideront à freiner la pratique de l’avortement.

    L'histoire un peu plus détaillée de sa conversion est ici.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • EXCLU – Les droits des taulards immigrés ou musulmans, ça c’est important !

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    Hier 14 novembre, le Défenseur des droits a mis en ligne une plaquette qui explique aux taulards immigrés ou musulmans qu’ils peuvent faire appel à lui pour défendre leurs droits durant leur détention !Au lendemain du premier anniversaire des attentats islamistes du 13 novembre, voilà une démarche tout à fait opportune !

    Dans cette plaquette, que nous publions ci-dessous en intégralité, il est en effet stipulé que tout un chacun, parmi les prisonniers, peut faire appel au Défenseur des droits s’il estime, par exemple, être « victime de discrimination » en raison de son « origine » comme de sa « religion » ou, tout simplement, s’il n’a pas de nouvelles de sa demande… « de renouvellement de sa carte de séjour » !

    Un formulaire est même fourni, sur lequel le détenu n’a qu’à inscrire le motif de sa demande et son adresse… carcérale, afin de pouvoir recevoir la visite d’un délégué du Défenseur des Droits

    Pas étonnant, après tout, quand on sait que le Défenseur des droits, nommé par François Hollande, n’est autre que Jacques Toubon, qui présidait avant cela la Cité nationale d’histoire de l’immigration, après avoir été ministre de la Culture et garde des Sceaux… de Jacques Chirac.

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    http://fr.novopress.info/

  • Bébés veaux ou bébés humains : même combat ?

    Tribune de Cécile Edel, présidente de Choisir la vie :

    "Le timing est pour le moins déroutant !

    Alors que le scandale des vaches en gestation abattues et éventrées près de Limoges battait son plein et semblait indigner la France entière, qui découvrait alors des " images d'une rare violence " de fœtus "jetés à la poubelle" (fœtus de veau) - 57 000 apparemment signatures obtenues en quelques heures pour faire interdire cette pratique - notre gouvernement engageait dans le même temps la procédure accélérée sur la proposition de loi du 13 octobre étendant le délit d'entrave à l'avortement aux sites pro-vie, qui délivrent une information sur les conséquences de cet acte.

    Vous l'aurez compris, notre gouvernement est un adepte du "deux poids, deux mesures" et semble visiblement bien plus ému par la vie des animaux que par celle des humains !

    Quant à ceux qui défendent la vie, leur sort dépend aujourd'hui du choix de l'espèce pour laquelle ils se battent

    - Si vous défendez la vie de l'enfant à naître, surtout n'ayez jamais l'audace de montrer des images et encore moins des vidéos de fœtus avortés ! Vous serez au mieux taxés de violents, d’égoïstes, d'intégristes, au pire vous risquez d'être poursuivis... Le Dr Dor n'a-t-il pas été condamné pour avoir usé d'une "violence extrême" en osant montrer de petits chaussons pour nouveaux-nés à une femme ?

    Non seulement, votre liberté d'expression sera bafouée, car il vous sera interdit de dire que vous êtes contre l'IVG,mais, en plus, vous serez condamnés si vous tentez de dire tout simplement la vérité sur les conséquences de l'avortement ; vous tomberez sous le coup du fameux délit d'entrave à l’avortement.

    - En revanche, si vous défendez les veaux dans le ventre de leur mère, le tapis rouge médiatique et politique vous sera déplié... Et peu importe si les visuels que vous diffuserez peuvent choquer ou tomber entre les mains des plus petits, parce que là, étrangement, il sera admis que ces visuels représentent la réalité de la pratique barbare et seront diffusés pour la bonne cause, pour interpeller l'opinion publique.
    Vous me direz, je suis rassurée : nous n'avons pas encore sombré dans une telle barbarie que nous soyons devenues insensibles à de telles images !

    Alors, amis défenseurs de la vie animale ou humaine, vous en conviendrez, autant être décomplexés sur la diffusion d'images et vidéos de fœtus abattus ou avortés puisqu'apparemment- et nous remercions pour cela l'association L 214-, cette méthode semble être une voie royale pour émouvoir nos concitoyens ! À moins que nous ne soyons devenus assez tordus et déshumanisés pour nous émouvoir devant des fœtus de vaches et rester en revanche insensibles à des petits êtres humains qui, pourtant, rappelons-le,  subissent le même sort : extraction du ventre de la mère (jusqu'au 9ème mois pour certains), mise à la poubelle au milieu des déchets hospitaliers et pour les plus résistants qui survivent à l'avortement,  laissés agonisants, seuls, sur une paillasse d’hôpital... 

    La vérité sur la barbarie de l'extraction d'un fœtus du ventre de sa mère, quelle que soit son espèce, est pourtant simple et visiblement "audible", n'en déplaise à certains, en tous cas lorsqu'il s'agit de bébés animaux.

    Espérons que la politique totalement idéologique, du "deux poids, deux mesures" de notre gouvernement ne sera pas contagieuse au point d'endormir nos consciences et de nous faire croire que finalement, la vie d'un "veau à naître" serait plus digne que celle d'un enfant à naître et que le combat pour le respect de la vie d'un animal serait plus honorable que celui du respect de la vie d'un être humain."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ZOOM - Eloïse Benhammou :"Le régime bancaire gouverne la France !"