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anti-national - Page 811

  • L'avortement pour tous c'est la politique étrangère de la France

    Lu dans l'Action Française 2000 :

    "L’action extérieure de la France « sur les enjeux de population, de droits et santé sexuels et reproductifs » fait l’objet d’une « stratégie » pour 2016-2020 qui vient d’être présentée le 4 octobre. « Aujourd’hui encore », déplorent Jean-Marc Ayrault, ministre des Affaires étrangères et du Développement international, et André Vallini, secrétaire d’État chargé du Développement et de la Francophonie, « plus de trois cent mille femmes dans le monde meurent chaque année de complications liées à la grossesse ou à l’accouchement » ; ce serait même la première cause de mortalité des adolescentes en Afrique. « Il ne s’agit pas seulement de donner accès à des services de planification familiale ou à des produits contraceptifs », expliquent-ils, « mais de soutenir des politiques de développement fondées sur les droits individuels, à travers l’amélioration de la législation et des politiques familiales et l’évolution des normes sociales ».

    Priorité donnée à l’Afrique

    Huit pays focalisent plus particulièrement l’attention du Quai d’Orsay : Bénin, Côte d’Ivoire, Guinée, Mali, Niger, Séné- gal, Tchad et Togo. En 2014, dans un cadre bilatéral, 55 millions d’ euros ont été consacrés à la « santé sexuelle et reproductive ».Les sommes transitant via des canaux multilatéraux sont plus importantes : 330 millions d’ euros cette année-là. Le ministère des Affaires étrangères (MAE) rapporte, par exemple, que « la France finance des projets au Cameroun, au Sénégal et au Togo qui visent à lutter contre les violences liées au genre en milieu scolaire » ; « ces projets contribuent au déploiement d’environnements scolaires sûrs, inclusifs et propices à l’égalité entre les filles et les garçons », se félicite-t-il, sans autre précision. Long d’une trentaine de pages, son « rapport de stratégie » s’avère tout aussi indigent quant à l’exposé des motifs susceptibles de légitimer pareille politique. S’ agit-il de promouvoir des valeurs ? Le Gouvernement hésite à l’ assumer, récusant toute volonté d’« ingérence » ; « garantir des droits sexuels et reproductifs [...] c’est sauver des vies », se justifie-t-il. S’ agit-il plutôt de contribuer au développement de l’Afrique ? «La pression démographique qui pèse sur les secteurs sociaux (éducation, emploi, santé) et sur la gestion du foncier (géographie et dynamique du marché agricole) est un facteur d’ instabilité (conflits sociaux, migrations internes, insécurité alimentaire) et fragilise la gouvernance des États », souligne effectivement le MAE.

    Enjeux démographiques

    « La croissance démographique [...] est bien sûr une promesse pour l’avenir, mais aussi un facteur de risque pour la stabilité du continent où la prévalence des grossesses adolescentes est la plus importante du monde », expliquent encore Jean-Marc Ayrault et André Vallini. [...]"

    Michel Janva

  • Centres pour migrants : le scandaleux éditorial du Monde !

    Le journal bien-pensant Le Mondevient de se surpasser. Dans son éditorial du mardi 25 octobre, il enjoint aux Français et à leurs élus d’ouvrir les yeux et de construire nombre de centres en dur pour accueillir et intégrer les migrants. Pour lui, il faut éviter à tout prix de nouvelles « jungles de Calais ».

    Le Monde a un argument prétendument imparable : les réfugiés vont continuer à déferler au même rythme. On ne peut rien faire contre « cette loi naturelle » aussi immuable que la gravitation. Il assène, en outre, que l’immigration génère de la croissance, et est indispensable (au vu de la baisse démographique).

    Mais tout ce bel édifice repose sur des mensonges éhontés.

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  • Un procès de Nuremberg pour Poutine ?

    « Les nazis russes exterminent les mutins humanitaires d’Alep ». C’est une émission de la télé française, on est le 20 octobre sur Antenne 2. Courageux, les candidats de la droite primaire expliquent comment on va châtier le tzar. Oubliée la présence sacrée et pacifiante de l’OTAN et de l’Amérique en Irak, Libye, Syrie, Colombie ou ailleurs. Il faut détruire la Russie et accueillir du réfugié à la tonne.

    Vladimir Poutine devrait se méfier : car il va finir pendu au prochain procès de Nuremberg. Il ne semble pas avoir compris à qui il avait affaire.

    Vladimir Poutine sera pendu quand nos preux chars occuperont Moscou mieux qu’Hitler et Napoléon n’avaient su le faire. Il est vrai qu’à l’époque la Russie était vaguement aidée par l’Angleterre ou par le monde anglo-saxon. Mais cette fois-ci « tout le monde » est contre elle et son tzar imprudent !

    Adolf Hitler sert ici de modèle à l’occident, et on n’a pas détruit le lieu de naissance de l’ex-monstre pour rien. Fin du repentir.

    C’est le philosophe libertarien Butler Shaffer qui explique dans son test sur Hitler (voyez en ligne son brillant The Wizards of Ozymandia) que ses étudiants démocrates pensent comme le führer : ils sont végétariens, contre le tabac, contre le harcèlement sexuel, pour les interventions humanitaires, pour la nature relookée, et pour la colonisation de la Russie annoncée dans Mein Kampf. Ils sont aussi contre la possession d’armes, comme Hillary, et comme Adolf. Des fois que les citoyens voudraient se protéger de la folie étatique en démocratie. Mais les citoyens en France sont là pour tweeter ou pour se faire écraser (impôts, lois, camion fou?).

    Hitler aussi était contre les excès de vitesse. Et il s’est allié aux islamistes rebelles du Caucase pour détruire la Russie. Un modèle je vous dis. Il était antisémite ? Mais le seul pays occidental correct avec la Russie est Israël. Benjamin Netanyahou sait mieux que Juppé ou Lemaire qui a libéré Auschwitz. Il l’a dit d’ailleurs. La France socialiste a voté les pleins pouvoirs à Pétain. Ils étaient même 666 à le faire (voyez mon Mitterrand).

    Et les Français sont bien contents, parfaitement d’accord, enthousiastes, dirait Céline en 39. Le nez dans le tweeter.

    C’est que l’occident ne recule jamais quand il s’agit de principes, d’humanité ou de conscience universelle, et il l’a déjà montré bravement au cours des dernières cent années. L’occident a bombardé l’Europe de fond en comble, il a livré la Chine et la moitié de notre continent au communisme, il a encouragé la destruction turque de notre Asie mineure grecque, saccagé ses empires coloniaux pour que se multiplient les dictatures en Algérie et ailleurs en Afrique noire, il a détruit l’Irak, armé les guerres civiles en Yougoslavie, en Libye, en Syrie (souvent au détriment des chrétiens orthodoxes), et maintenant en Ukraine où le gouvernement insurrectionnel local a établi sa tyrannie et veut déclencher la énième guerre mondiale que l’on imputera à la Russie et à son tzar éternel.

    On sera tous aussi vengeurs que l’ex-patron de l’OTAN, ce Rasmussen qui déclencha l’opération des BD sur Mahomet et imposa à son église luthérienne la bénédiction du mariage homosexuel. Il pantoufle chez Goldman Sachs depuis lors, flanqué du Barroso.

    Avant de désosser la Russie au nucléaire avec Hillary, on nous aura bien sûr fait renoncer à son gaz et tripler notre facture énergétique avec l’huile de ricin venue du fracturé Far West.

    Céline avait aussi tout dit :

    « Une telle connerie dépasse l’homme. Une hébétude si fantastique démasque un instinct de mort, une pesanteur au charnier, une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer sinon que les temps sont venus, que le Diable nous appréhende, que le Destin s’accomplit. »

    Cette affaire se terminera par une nouvelle session de pendaisons. On regardera tout ça à la télé. Et ce jour-là nous serons tous pendus aux cordes vocales de BHL. Tout cela fera du bruit pendant quelques heures, comme disait Voltaire.

    http://www.voxnr.com/4995/un-proces-de-nuremberg-pour-poutine

  • Prisons radicalisées : la panique, par Caroline Parmentier

    Chard-Prisons-radicalisés.jpg

    Ils sont complètement paumés. Après nous avoir dit que c’était ce qu’il y avait de mieux, le gouvernement abandonne son dispositif phare de lutte contre la radicalisation en prison avec ses unités spécialisées qui regroupaient les islamistes dangereux. Au contraire maintenant, total revirement, on va les isoler.

    Il faut dire que l’expérimentation menée depuis un an s’est terminée le 4 septembre dernier par la sanglante tentative d’égorgement d’un maton à Osny, l’une des vitrines du programme gouvernemental. Les deux principaux syndicats de surveillants, l’UFAP-UNSA et FO Pénitentiaire, avaient réclamé l’arrêt immédiat des frais à Osny, Fleury-Mérogis, Fresnes et Lille Annœullin où se multiplient les tentatives de mutinerie et de prises d’otages. Le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, vient d’annoncer qu’il fermait ces cinq unités dédiées. Curieusement, l’effet pervers de ces regroupements de bêtes fauves ne leur avait pas sauté aux yeux.

    La réalité c’est que la déradicalisation à grand renfort « de psychologues, de conseillers d’insertion et d’intervenants extérieurs » ne marche absolument pas. Au contraire elle rendait encore plus furieux ces fanatiques qui n’avaient qu’une idée : égorger les kouffars qui voulaient leur faire renier leur folie religieuse.

    Au lieu d’expulser dans leur pays d’origine tous les étrangers détenant un titre de séjour qui se rendent coupables de délits ou de crimes (si cela avait été le cas, l’attentat de Nice n’aurait pas eu lieu), tous ceux qui sont en situation irrégulière et tous les étrangers fichés pour leur proximité avec l’islamisme radical et les interdire de territoire, on va garder à nos frais ces centaines de djihadistes comme autant de bombes à retardement. Ils vont désormais être répartis en France et isolés. Facile à gérer pour l’administration pénitentiaire quand la surpopulation carcérale atteint des records.

    Précision rassurante : c’est l’effet de masse qui a poussé le garde des Sceaux à changer de méthode. La Chancellerie redoute dans les semaines qui viennent « une déferlante des détenus terroristes » dans les prisons françaises : « En ce moment, les services incarcèrent une demi-douzaine de personnes par semaine ».

    Le budget consacré à la sécurisation des prisons est passé de 30 millions en 2016 à 58 millions d’euros en 2017 (contre 17 millions en 2015). Aujourd’hui qu’on les décapite, c’est la tête des surveillants de prison et des policiers qu’il s’agit de sauver.

    Caroline Parmentier : Article et dessin parus dans Présent daté du 27 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Ouverture à gauche : Alain Juppé devrait être exclu de la primaire

    Sur Boulevard Voltaire, Benjamin Leduc rappelle une règle de la primaire LR :

    « Le candidat à la présidence de la République soutenu par le parti « Les Républicains » en vue de l’élection présidentielle de 2017 est désigné à l’occasion d’une primaire ouverte à l’ensemble des citoyens partageant les valeurs républicaines de la droite et du centre et s’engageant pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France. »

    Et constate ensuite :

    "Or, le porte-parole d’Alain Juppé, Benoist Apparu, a ouvert la voie à une majorité d’ouverture en cas de victoire d’Alain Juppé contre le Front national à l’élection présidentielle. Comme dans tous les cas de figure, d’après les sondages, Marine Le Pen sera au deuxième tour, une élection d’Alain Juppé signifiera une majorité d’ouverture « en alliance avec le centre, et puis tous ceux qui veulent [les] rejoindre ». La position d’Alain Juppé n’étant pas celle de l’alternance, mais une ouverture à gauche, il enfreint la charte des primaires.

    [...] En toute logique, la candidature d’Alain Juppé à la primaire devrait être invalidée. On pourrait demander à tous ceux qui souhaiteraient aller voter pour lui à la primaire : n’avez-vous pas l’impression de commettre un faux serment en signant une charte s’engageant pour « l’alternance, afin de réussir le redressement de la France » tout en votant pour un candidat qui ne fera que continuer le travail de sape de la société française initié par la gauche ?

    Michel Janva

  • DÉMANTÈLEMENT DE LA « JUNGLE » DE CALAIS : ENTRE IMPOSTURE ET DÉMAGOGIE CRIMINELLE

    Un communiqué de la Dissidence française :

    4196954521.pngHier a débuté l’évacuation des immigrés clandestins de la « jungle » de Calais. Des dizaines de cars affrétés spécialement pour l’occasion, aux frais du contribuable, ont été dépêchés sur place avec pour mission de disséminer ces immigrés aux quatre coins de la France. La situation a déjà commencé à dégénérer. Incendies dans la jungle, heurts et affrontements entre migrants, grogne des maires, des élus locaux et des riverains de dizaines de communes à qui le gouvernement impose sans concertation l’arrivée de centaines d’immigrés clandestins… Des observateurs ont déjà pu constater que nombre de ces « migrants » ont profité de leur transfert pour s’échapper à la première occasion, parfois aidés par des activistes gauchistes « no-borders ». Malgré les annonces faussement rassurantes des autorités, nul ne sait qui ils sont, ni où ils comptent aller.

    Tandis que l’hiver s’installe et que plusieurs dizaines de Français de la rue crèveront une nouvelle fois dans l’indifférence générale, le gouvernement prend soin de ses « migrants » : allocations, aides de toutes sortes, hébergement et transport gratuit, impunité judiciaire…

    Au-delà des effets d’annonce, une réalité : le gouvernement Hollande-Valls se montre parfaitement incapable de répondre avec fermeté à cette crise et ne fait qu’aggraver la situation en multipliant des « jungles » partout en France. Jamais le taux de reconduites à la frontière des déboutés du droit d’asile n’a été aussi bas, et jamais les autorités françaises n’ont fait preuve d’un tel laxisme judiciaire avec des ressortissants étrangers, parmi lesquels nul ne sait combien ont prêté allégeance à l’État Islamique et commettront dès qu’ils en auront l’occasion des actes terroristes.

    Il y a urgence. Depuis des décennies, les gouvernements successifs dit de « gauche » ou de « droite » n’ont fait qu’accentuer et organiser cette invasion, précipitant notre pays vers une guerre civile aux conséquences inimaginables. Depuis plusieurs années, la Dissidence Française a formulé des propositions fortes, et publié son Plan d’urgence pour Calais qui, s’il était appliqué, réglerait une fois pour toute le problème. D’une manière plus générale, seul un changement radical de politique migratoire, sociale et judiciaire pourra protéger les Français du terrorisme et inverser le processus d’invasion migratoire.

    Aidez-nous à imposer nos solutions et faire entendre la voix du pays réel.

    Le changement, ce sera nous. De gré, ou de force.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les consignes du ministère préserver le désordre public

    Lu dans Minute :

    6a00d83451619c69e201b8d23189f9970c-250wi.png"lundi 17 octobre, pour la première fois en France, une salle de shoot a ouvert ses portes aux drogués, quatre ans après que la décision en avait été prise lors d’une réunion interministérielle à une époque (décembre 2012) où le premier ministre s’appelait Jean-Marc Ayrault. Ce lieu de défonce a été aménagé à l’hôpital Lariboisière, dans le Xe arrondissement de Paris, sur le modèle des dizaines de centres semblables ouverts en Suisse – pays pionnier en la matière –, aux Pays-Bas – où ça pue le shit à tous les coins de rue –, en Allemagne, en Norvège, au Luxembourg et même en Espagne.

    Le mardi précédant l’ouverture, Marisol Touraine, ministre de la Santé à l’origine de la loi autorisant la débauche, et Anne Hidalgo, maire socialiste de la capitale, s’étaient rendues sur place pour se féliciter d’une telle innovation, qui est supposée « favoriser l’entrée des usagers de drogues dans un processus de réduction des risques » et, selon Jean-Jacques Urvoas, le ministre de la Justice, « réduire les nuisances et troubles à l’ordre public » ! Moyennant quoi le garde des Sceaux vient de donner pour consignes, comme on va le voir, de surtout préserver le désordre public que cette salle de shoot va engendrer… [...]

    Datée du 13 juillet 2016, cette circulaire est relative à l’ouverture des « premières salles de consommation à moindre risque, espace de réduction des risques par usage supervisé » (c’est le nom politiquement correct des salles de shoot). En jouant habilement sur les mots, elle invite les procureurs à définir autour des salles de shoot un périmètre où les camés seront intouchables : « Aux abords de la structure réglementée, seules les personnes fréquentant les salles de consommation pourront bénéficier, non d’une extension d’immunité pénale, mais d’une politique pénale adaptée. » Mais encore ? Dans ce même document, au chapitre des « contrôles de police réalisés aux abords des salles », on comprend que cela veut dire… que les policiers devront regarder ailleurs : «Dans ce périmètre défini par les procureurs de la République, la poursuite des personnes se rendant à la structure pourra être considérée comme inopportune »! Et comment détermine-t-on si le gars qui se trimbale avec de l’héroïne dans la poche se rend à la « structure » ou passe juste dans le coin ? Mystère ! D’ailleurs, d’après une indiscrétion du journal « Le Monde », « les policiers ont en outre reçu pour instruction du procureur de la République de Paris de tolérer les usagers de drogue aux abords de la salle » de l’hôpital Lariboisière, ce qui aura au moins pour avantage de leur éviter de perdre du temps en procédure puisque celle-ci ne peut que finir, comme ils en ont déjà l’habitude, dans la poubelle du Palais de justice… Conséquence de cette « tolérance » ? Dans ce périmètre (qu’il appartiendra au procureur de la République de délimiter sur sa carte – est-ce que je mets aussi les numéros impairs ? Et cette ruelle adjacente, je l’intègre ou je l’intègre pas ?), où la police n’interviendra donc pas, les dealers et toxicos des quartiers voisins vont rappliquer, puisqu’ils bénéficieront de l’immunité accordée aux « clients » de la salle de shoot [...]"

    Michel Janva

  • France 24 au Donbass ? Mensonges, trafiquages et mauvaise foi, un reportage passé au crible de la réinformation

    Le reportage d’Elena Volochine récemment diffusé sur France24 présente un trafiquage honteux des images et des personnages, pour leur faire dire l’inverse de ce qu’elles disaient en réalité au moment du tournage, ce qui est assez facile à faire avec les techniques actuelles de traitement des images quand le but poursuivi est la désinformation.

    Le décryptage de ce brûlot de France 24 est l’occasion de faire un état des lieux de la situation sur la ligne de front du Donbass aujourd’hui. Une guerre un peu oubliée en raison des événements de Syrie, mais qui continue de façon larvée, avec des morts, des prionniers, et où les troupes de Kiev continuent de bombarder journellement un secteur ou l’autre des républiques de Nouvelle-Russie, sans que Merkel ou Hollande, signataires des accords de Minsk, n’obligent leur protégé Porochenko à respecter les engagements qu’il a également signés.

    Exemple de manipulation des images:

    « Des camions aux plaques d’ immatriculation de l’armée russe » commente Eléna Volochine de France 24, dans son reportage sur le Donbass. Sur la plaque du camion qu’elle montre, nous lisons, « дк 4980 », дк (=DK) de Donetsk, qui indique, non pas une immatriculation de l’armée russe, mais une immatriculation de la République de Donetsk. Tout le reportage est à l’avenant.

    Dans la vidéo ci-dessous, Christelle Néant, une autre journaliste qui était présente lors des prises de vues du reportage de France24, a passé au crible, à l’appui d’images, ce brûlot signé Eléna Volochine:

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  • Nicolas Bay (FN) : "La solution, ça n'est pas la répartition, c'est l'expulsion"

    Déclaration de Nicolas Bay, secrétaire général du FN sur France 2 :

    "Il fallait surtout les empêcher d'entrer sur l'ensemble du territoire national . Et puis il fallait surtout cesser d'organiser l'accueil de ces immigrés clandestins, massif, sur l'ensemble du territoire national (...) La place des clandestins, c'est pas dans des camps payés par les contribuables, c'est évidemment dans des charters. La solution, ça n'est pas la répartition, c'est l'expulsion." 


    Les 4 vérités - Nicolas Bay by telematin Philippe Carhon