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anti-national - Page 836

  • Les milices antifas s'en prennent à une librairie parisienne

    67886_588698804542859_1187992041_nCe dimanche 9 février, une manifestation des antifas était autorisée par la préfecture de police de Paris. La librairie a été attaquée vers 16h, les deux grandes vitres sont brisées en dépit d'une grille et d'un rideau de fer. Coût : environ 4 000 euros. La nouvelle porte blindée a résisté. 

    Cette librairie, tenue par Emmanuel Ratier, avait déjà été attaquée (bris de glace, peinture rouge avec compresseur, 900 livres détruits) dans la nuit du 8 au 9 décembre 2013.

    Pas un mot sur cette attaque dans les gros médias alors que les journalistes étaient présents.  

    Michel Janva

  • Historique des études sur le coût de l’immigration

    Dans ce domaine, comme dans beaucoup d’autres, attention à « l’économiquement correct ! »
    À la suite d’un entretien donné par François de Closets au « Figaro Magazine » du 27 décembre 2013 à propos du coût annuel de l’immigration, André Posokhow, qui s’est déjà exprimé à ce sujet sur le site de Polémia à plusieurs reprises, nous a remis un Historique, actualisé, des études sur le coût de l’immigration que nous articulons pour nos lecteurs en trois volets : Présentation de l’Historique – Historique des études – Tableau récapitulatif des études sur le coût de l’immigration.
    Polémia
    I Présentation de l’Historique des études sur le coût de l’immigration
    Une critique hautaine mais mal inspirée
    Dans le Figaro Magazine du 27 décembre 2013, François de Closets, interrogé sur le programme du Front national, s’en est pris au chiffre du coût annuel de l’immigration cité par la présidente de ce parti : 70 Mds€, qui est à peu près celui auquel est arrivé Yves-Marie Laulan lors du colloque de l’Institut de géopolitique des populations en février 2012. Selon le journaliste « le chiffre avancé est purement fantasmatique, les études sérieuses, donc certaines, avancent des chiffres très inférieurs : aux alentours de 10Mds€, gagnés pour certains auteurs, perdus pour certains autres ». Quelle assurance et quel mépris ! Et quel ralliement à l’économiquement correct !
    Des auteurs qualifiés
    Si Monsieur de Closets s’était informé il saurait que depuis 1990, année au cours de laquelle Pierre Milloz, docteur en droit, ancien élève de l’ENA et inspecteur général du ministère de l’Industrie, fit paraître un rapport sur le coût de l’immigration réitéré en 1997, plusieurs auteurs se sont penchés sur cette question. Ces auteurs ont pour la plupart des références qui mériteraient une écoute plus attentive.
    Rappelons que notre unique prix Nobel d’économie, Maurice Allais, avait pris une position très critique sur ce sujet (*).
    D’autres économistes de haute stature : Jacques Bichot, professeur des universités et membre honoraire du Conseil économique et social, et Gérard  Lafay, professeur émérite à Paris II, ont, au début des années 2000, dans le cadre de l’Institut de géopolitique des populations, affiché des montants de coûts annuels supérieurs à 30Mds€.
    Le spécialiste en migrations, Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines, a fait paraître depuis 2008 plusieurs monographies pour Contribuables associés dont la dernière, monographie n° 27, a été consacrée à ce thème en novembre 2012.
    Jean-Yves Le Gallou, ancien élève de l’ENA et haut fonctionnaire, s’inspirant de Maurice Allais, a calculé le coût additionnel des 200.000 entrées annuelles d’immigrants.
    Enfin, trois études sont parues en 2012 et 2013. Ce sont celles de Yves-Marie Laulan, démographe, géopoliticien, ancien économiste du FMI et de la Banque mondiale, déjà citée, de Polémia sous la plume d’André Posokhow, ancien de Sciences Po Paris, expert-comptable diplômé et consultant international, et enfin de Gérard Pince, docteur en économie du développement et ancien consultant auprès du FMI et de la Banque mondiale. Ces trois dernières études chiffrent le coût annuel de l’immigration pour les finances publiques françaises entre 65Mds€ et 85Mds€. Certes, les choix opérés par les auteurs, les hypothèses, les modalités de calcul peuvent prêter à discussion ou à la critique. Il est bien évident qu’il s’agit d’estimations ; elles sont d’ailleurs souvent présentées comme telles. Parfois les études se succèdent et se corrigent d’autant plus que, comme l’a souligné Madame Tribalat dans son livre Les yeux grands fermés, les instruments statistiques offrent une fiabilité faible et font ressortir « une certaine préférence pour l’ignorance ». Mais les travaux n’ont rien de fantasmatique et s’affinent d’année en année face à une situation dramatique et qui s’aggrave constamment. Nous y reviendrons.
    Monsieur Chojnicki n’a pas traité le sujet du coût de l’immigration
    François de Closets parle d’études sérieuses qui avancent des chiffres très inférieurs. Il ne les nomme pas mais celle qui est le plus souvent citée est celle de Xavier Chojnicki, de l’Université de Lille 2, et Lionel Ragot, de l’Université d’Evry, commandée par trois ministères et parue en 2010 et qui a été résumée dans leur livre paru à la fin de 2012 : L’immigration coûte cher à la France. Qu’en pensent les économistes ?.
    X. Chojnicki et son équipe évaluent la contribution nette budgétaire positive des immigrés sur une base statique et leur contribution future aux agrégats macroéconomiques futurs de la France selon la méthode dynamique de la « comptabilité générationnelle ».
    Les médias, qui se réfèrent à leurs études dès que cette question du coût de l’immigration est évoquée, ont accueilli avec soulagement le résultat chiffré de l’étude de 2010 qui annonçait une contribution budgétaire nette positive de 12Md€. Or, deux ans après, le livre réduisait ce solde positif à 3,9Md€ sans qu’une explication claire soit donnée.
    D’une manière symptomatique les médias se sont abstenus de relever que les auteurs ont présenté des constats bien connus mais qui n’en prennent que plus de relief :
        – En plus de la perspective de revenus, « la protection sociale doit dans tous les cas être intégrée à l’analyse des motifs de migration » ;
        – X. Chojnicki souligne la surreprésentation des immigrés pour certains risques de la protection sociale : RMI puis RSA, chômage, logement, famille ;
        – Les auteurs notent, comme Michèle Tribalat, que l’intégration de nouvelles générations d’immigrés « rencontre aujourd’hui de réelles difficultés qui ne doivent pas être occultées ».
    La méthode de détermination de ce solde positif fait ressortir des choix de fond qui sont contestables :
        – Les auteurs ne prennent en compte que les immigrés directs au nombre de 5,2 millions ;
        – Affirmer que la France est un pays d’immigration relativement modérée sur la base d’un solde migratoire de 75.000 personnes revient à assimiler l’émigration des Français autochtones aux flux de retour d’immigrés et à ne pas tenir compte de l’immigration irrégulière. Il s’agit au moins d’une erreur ;
        – Les données statistiques auxquelles se réfèrent les auteurs sont anciennes : la date de référence des travaux est l’année 2005 ;
        – Une autre lacune est d’avoir borné l’examen individualisé des dépenses aux prestations à caractère social dont certaines, comme la santé ou l’éducation, apparaissent comme significativement sous-évaluées. Les autres coûts budgétaires sont répartis au prorata du pourcentage des immigrés dans la population française, soit environ 8% selon les auteurs, ce qui aboutit à une sous-estimation.
    L’immigration, ce n’est pas seulement les immigrés tels que Xavier Chojnicki les définit, à savoir les individus étrangers nés à l’étranger et immigrant légalement en France. Ce sont également leurs descendants qui forment la deuxième génération. Ce sont aussi les immigrés clandestins et les descendants de ceux-ci, nés en France. Or les auteurs n’en ont délibérément pas tenu compte.
    Cette cible restreinte, certaines méthodes employées et le choix de ne pas retenir une surreprésentation de l’immigration dans les autres dépenses que les prestations sociales conduisent à considérer le chiffre positif de 3,9Mds€ du livre de Xavier Chojnicki ainsi que les conclusions de l’étude dynamique comme ne reflétant pas la réalité du poids de l’immigration sur nos finances publiques.
    En définitive, Xavier Chojnicki et Lionel Ragot n’ont traité qu’une partie du coût d’une partie de la population immigrée et d’une partie de ses coûts et non celui de l’immigration comme les médias l’ont apparemment cru et annoncé. En fait, les auteurs n’ont pas traité le sujet de l’immigration et de son coût. A ce titre leurs conclusions ne sauraient être considérées comme la référence de cette problématique et ne méritent pas l’enthousiasme que les médias ont manifesté.
    Des études récentes qui montrent un coût gigantesque et ruineux pour la France et les Français
    Revenons aux études récentes qu’un examen attentif peut qualifier de sérieuses et qui sont résumées dans le tableau ci-après (IIIe volet).
    Il est loisible de constater que ces études et les auteurs qui se sont penchés sur cette problématique sont peu nombreux. Il paraît difficile de comprendre que l’INSEE et l’Institut national d’études démographiques (INED) ne se soient pas livrés à cet exercice. C’est plus qu’un oubli, c’est une lacune que l’on est bien obligé de considérer comme délibérée.
    Comme l’a constaté J.P. Gourévitch et dénoncé M. Tribalat dans son livre Les yeux grands fermés, l’appareil statistique est peu fiable, les chiffres incertains ou absents, l’ignorance volontaire.
    Cet état de choses est à relier au faible écho médiatique qui accueille leurs travaux contrairement à ce qui a été le cas pour les études de X. Chojnicki et de L. Ragot. Il n’y a ni discussion sur le fond, ni critique argumentée : seulement la dérision ou la réprobation.
    Les auteurs ayant travaillé dans des cadres distincts et à des dates différentes, leurs écrits reflètent des choix de méthode divers et parfois sensiblement différents.
    C’est le cas, par exemple, pour l’identification  de la population cible des études et de son estimation chiffrée. J.Y. Le Gallou et G.Pince visent, le premier, le contingent annuel d’immigrés arrivant en France, le second, la seule population immigrée venant des pays du tiers-monde.
    J.P. Gourévitch distingue les dépenses qui sont des coûts de celles qui sont des surcoûts ou des investissements. G. Pince intègre les dépenses régaliennes : défense, culture, etc., dans l’ensemble des dépenses qui constituent la base de calcul des coûts affectés aux immigrés. Enfin, J.P. Gourévitch, à partir de ce qu’il considère comme des investissements, calcule leur rentabilité d’ailleurs négative pour l’ensemble des immigrés à hauteur de 15,3Mds€.
    Cependant il est loisible de constater que les études successives, parfois chez le même auteur, apportent des avancées dans la connaissance de ce phénomène de l’immigration massive et montrent une convergence sur plusieurs points importants.
    La première étude de notre champ d’analyse, celle de Pierre Milloz, a posé le cadre de travail qui est généralement annuel et budgétaire. Ce cadre a été repris par J.P. Gourévitch, Polémia et G. Pince.
    La macroéconomie apparaît chez J.P. Gourévitch au travers du calcul de la rentabilité des investissements et chez Y.M. Laulan. G. Pince, dans le chapitre 5 de son livre paru en 2013, a montré l’impact négatif de l’immigration sur le PIB et surtout sur le PIB par habitant débouchant ainsi sur un appauvrissement drastique et, à terme, sur la ruine des Français.
    J.P. Gourévitch a introduit la notion de coûts sociétaux, de fraude fiscale et sociale et a montré les conséquences chiffrées de ces dérives. Citée par Y.M. Laulan, cette notion a été reprise et développée par l’étude Polémia. On peut argumenter qu’elle correspond plus à un manque à gagner qu’à des coûts réels. Si c’est le cas du travail illégal, ça ne l’est pas pour ce qui concerne la fraude aux prestations sociales. L’estimation récente d’une économie informelle à hauteur de 10% du PIB ne peut que renforcer cette démarche.
    Si les études de Y.M. Laulan et de G. Pince abordent la question, c’est Polémia qui insiste le plus sur l’impact de l’immigration massive sur la dette française.
    La plupart de ces études sont fondées sur des calculs complexes et explicités par leurs auteurs, comme celles de P. Milloz, J.P. Gourévitch, Polémia ou G. Pince, même si elles pâtissent des faiblesses de l’information statistique.
    Au bout du compte, les auteurs, à l’exception de J.P. Gourévitch, convergent vers des estimations élevées du coût annuel de l’immigration sur les finances publiques de la France. P. Milloz l’estimait déjà en 1997 à 42Mds€, soit 55Mds€ en euros 2013. De G. Pince, qui l’évalue à 65Mds€, mais seulement pour ce qui concerne les immigrés des pays tiers, à Polémia, qui conclut à 84Mds€, en passant par Y.M. Laulan, qui cite le chiffre de 73Mds€, la fourchette « sérieuse » est haute et ruineuse pour la France et les Français.
    Et pourtant, en dépit de leur niveau impressionnant et consternant, ces chiffres mériteraient encore des approfondissements et des recherches complémentaires concernant l’impact de l’immigration sur l’économie informelle et la fraude, les dépenses régaliennes et les finances des collectivités territoriales.
    André Posokhow, 3/02/2014

    II Historique des évaluations du coût de l’immigration en France, version PDF, en cliquant ICI

    III Tableau récapitulatif des études sur le coût de l’immigration, en version PDF, en cliquant ICI

     Note :

    (*) « Il faut mettre fin à l’inconscience totale qui a caractérisé jusqu’ici la politique d’immigration de la France » : Maurice Allais, Nouveaux Combats pour l’Europe, 1995-2002 : Un aveuglement suicidaire. Pour une autre Europe, éditions Clément Juglar, 2002 :

    Voir du même auteur :
    84 milliards : coût budgétaire de l’immigration selon le rapport Posokhow
    « L’immigration coûte cher à la France. Qu’en pensent les économistes ? » de Xavier Chojnicki et de Lionel Ragot
    16 milliards d’euros : coût sécuritaire de l’immigration pour le budget français

    http://www.polemia.com/historique-des-etudes-sur-le-cout-de-limmigration/

  • Pour la gauche, le comble du fascisme, c'est le peuple

    Après avoir décrit les étapes de la conversion de la gauche au libéralisme, qu'il fait remonter à l'affaire Dreyfus, Eric Zemmour décrypte ainsi la période actuelle dans Figarovox :

    "Le prix à payer pour la soumission définitive de la gauche au libéralisme économique, c'est effectivement la marche en avant totalitaire vers un libéralisme sociétal. Comme on peut le voir à travers la politique de Najat Vallaud-Belkacem, qui reprend aujourd'hui les programmes que l'inter LGBT promeut depuis 15 ans, ou à travers le rapport sur l'intégration qui prône le retour du voile à l'école, la gauche brûle aujourd'hui ses vaisseaux sociétaux. Elle le fait pour deux raisons assez simples.

    Premièrement, comme on l'a déjà dit, pour masquer sa conversion au libéralisme mondialisé.

    Deuxièmement, parce qu'elle sent qu'il y a «un retour de bâton» dans le pays réel comme le montrent les sondages. Tout l'électorat de droite, de l'UMP au FN, fait désormais bloc sur les thématiques sociétales, immigrationnistes et sécuritaires, mais désormais la moitié de l'électorat de gauche les rejoint également. Il y a une donc une volonté idéologique de la part de la gauche de briser ce qui leur apparaît comme le comble du fascisme : le peuple français. Celui-ci est à leurs yeux, racistes, xénophobe et homophobe. Et les lobbys pourtant ultra minoritaires, qui dictent leur loi au gouvernement, veulent profiter du quinquennat de François Hollande pour imposer leur vision de la société de manière irrémédiable. Il s'agit ni plus ni moins d'une déclaration de guerre."

    Louise Tudy

  • L'UMP veut le statut du faux-parent

    Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a reproché au gouvernement de n'avoir "pas de politique familiale", a néanmoins jugé qu'"il faut avancer" à propos du statut du beau-parent. Elle a rappelé que l'UMP au pouvoir avait ouvert ce sujet :

    "On avait commencé à regarder le problème mais ce n'est pas simple à résoudre", "il faut préserver tous les liens".

    De même Valérie Pécresse a jugé qu'

    "il faut y travailler bien évidemment parce que les familles ont changé, il y a énormément de familles recomposées et de beaux-parents qui vont de fait élever des enfants, mais il faut faire très attention".

    "Il ne faut pas que ce statut du beau-parent conduise à gommer le parent".

    Comme l'écrit Aude Mirkovic sur le blog de l'Homme Nouveau, c'est un faux prétexte :

    "En pratique, on prétend que la vie quotidienne des enfants élevés par un « beau-parent » est très complexe, et qu’il faudrait habiliter ce dernier à accomplir les actes usuels concernant l’enfant. Sauf que, en l’état du droit, un des parents peut déjà autoriser un tiers à accomplir un acte usuel concernant l’enfant, autorisation qui peut être tacite et n’a donc même pas besoin d’être exprimée. Lorsqu’un parent confie son enfant à un tiers, il donne à ce tiers un mandat tacite d’accomplir les actes de la vie quotidienne. Une baby-sitter peut emmener l’enfant chez le médecin ou au tennis et aller le chercher à l’école, et le « beau-parent » aurait besoin d’une loi pour cela ?

    Quant aux actes importants concernant la personne de l’enfant, ils requièrent l’accord des parents, ce qui est bien normal. Associer le « beau-parent » à ces décisions ne simplifierait rien puisque, au contraire, l’accord des parents serait toujours nécessaire et qu’il faudrait, du coup et en plus, celui du « beau-parent » ! Les promoteurs du statut du « beau-parent » veulent faciliter le partage de l’autorité parentale entre les parents et lui. Mais le droit actuel permet déjà ce partage, s’il est justifié par les besoins de l’éducation de l’enfant. C’est bien le minimum que l’on puisse faire, car associer un tiers à l’autorité parentale est un acte grave, et pourquoi le faire sans besoin particulier relatif à l’éducation de l’enfant ? L’autorité parentale est une institution au service de l’enfant et non un faire-valoir pour les adultes.

    On invoque encore que l’enfant risque, en cas de séparation, d’être brutalement séparé de cet adulte qui partageait sa vie. Mais le droit actuel permet déjà au juge, à défaut d’accord amiable, d’organiser des liens entre cet adulte et l’enfant, si tel est l’intérêt de ce dernier. Il serait irresponsable de généraliser cette possibilité car comment poser comme postulat que l’intérêt de l’enfant est, systématiquement, de maintenir des liens avec tous les adultes qui défilent dans sa vie ? On imagine l’agenda de ministre qu’il devra tenir entre les différents droits de visite des uns et des autres.

    Enfin, certains feignent de croire que, lorsque l’enfant n’a qu’un seul de ses parents et que ce dernier décède, le « beau-parent » ne peut le recueillir et qu’il se retrouve en famille d’accueil. Là encore, tout est faux car le parent dernier mourant peut, de son vivant, désigner la personne qu’il choisit comme tuteur de l’enfant en cas de décès. À défaut, le conseil de famille désignera un tuteur au mineur, et pourra désigner le « beau-parent » si c’est là le bien de l’enfant. Ici encore, comment prévoir de façon systématique que l’homme ou la femme qui vit avec le père ou la mère de l’enfant sera le tuteur de ce dernier ? Une décision sur mesure est bien plus profitable à l’enfant qu’une règle généralisée car on ne peut poser a priori qu’il est dans l’intérêt de l’enfant d’être systématiquement confié à son « beau-parent » s’il venait à être orphelin."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Maçonnerie : extrémisme politique et mafia affairiste

    Après des décennies de toute-puissance, la franc-maçonnerie est peu à peu dévoilée, comme d’autres groupes politiques ou ethnico-religieux qui poursuivent leur guerre de mille ans contre les peuples d’Europe. Ce n’est pas sans raison que les nationalistes battaient le pavé parisien ces dernières semaines au cri de « Franc-maçon en prison ! »
    L’actualité met en exergue le double-discours des maçons : des politiciens qui s’affichent anarchistes libertaires pendant qu’ils œuvrent dans le secret de loges très hiérarchisées à la destruction des libertés, des défenseurs de la probité au cœur de tous les scandales politico-financiers.
    Un anarchiste « grand maître » : Daniel Keller, antifasciste et franc-maçon
    C’est à la loge « Vérité ni dieu ni maître » que Daniel Keller a été initié. Cela ne l’a pas empêché de se courber devant les puissants de ce monde, de se prosterner devant le « grand architecte de l’univers », avant lui-même de devenir « grand-maître » du Grand Orient de France (GODF). Un (faux) Dieu, un maître, mais pas de vérité… Antifasciste militant, il parcourt la France pour dénoncer la bête immonde. De passage à Brignoles – « le Hénin-Beaumont du sud » –, il a accordé un entretien à Var Matin. Morceaux choisis.
    « Le GODF n’est pas une société secrète de magouilles »
    « On n’entre pas dans la franc-maçonnerie pour faire des affaires, se créer un réseau ou se faire élire. »
    « J’ai écrit en ce sens au président du Parlement européen pour plaider l’inscription de l’IVG dans la charte des droits fondamentaux. »
    « On présente la loi de 1905 comme liberticide, alors qu’elle représente tout l’inverse. La laïcité permet de rassembler au-delà des diversités culturelles, religieuses, ethniques… »
    « Le Front national n’est pas “francmaçonniquement” compatible… »
    « Le GODF n’est pas un vaste think tank. C’est un rassemblement d’honnêtes gens »
    Comme pour illustrer ces mensonges, la justice, après avoir fermé les yeux pendant des années, a mis au jour une nouvelle affaire, dont le point central est l’appartenance des protagonistes à la maçonnerie.

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    Mafia maçonnique et affairisme : scandale au cœur de la Préfecture de police de Paris
    Le contrôleur général de la Préfecture de police de Paris Jean-Yves Adam a été mis en examen pour corruption, pour de multiples faits commis au nom de la franc-maçonnerie. Il a été arrêté mercredi et placé en garde à vue puis mis en examen pour corruption, violation du secret professionnel, abus de biens sociaux, et banqueroute par dissimulation d’actifs.
    L’enquête s’intéressait au départ aux « indulgences », le classement sans suite de procédures contraventionnelles, en faveur d’autres membres de la mafia. Les enquêteurs ont ensuite accumulé preuves et témoignages sur des violations du secret professionnel, l’utilisation illégale des fichiers de police, toujours en lien avec ses activités mafieuses.
    Une troisième partie de l’enquête s’articule autour de faits délictueux en lien avec sa passion pour les courses automobiles. Il y aurait des faits « plus graves encore ».
    Sans surprise, il a bénéficié jusque-là de la protection de membres de la mafia. Un haut fonctionnaire de la préfecture de police a confirmé au Point qu’il avait été protégé par les « amitiés fraternelles ».
    Jean-Yves Adam est un haut cadre de la Grande loge nationale “française” : il est, selon les habituelles terminologies ridicules de la maçonnerie, « assistant grand porte-glaive ». Un fait éclairant : le « grand porte-glaive » fait office de procureur dans la justice interne de cette mafia. Il avait auparavant occupé les fonctions de « vénérable » de la loge « Noces de Cana 854 ».

     

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    http://jeune-nation.com/2014/02/maconne ... ffairiste/

  • Grande mosquée de Metz : le bail a été signé pour… 15 euros par an

    Mais à part ça, l’islam et l’islamisation ne sont pas soutenues par la République laïque…

    Dans un communiqué, la ville de Metz a en effet indiqué que Dominique GROS, Maire de Metz, et Raymond BELLER, Président de l’Union des Associations Cultuelles et Culturelles des Musulmans de Metz (UACM) avaient signé le bail du terrain de la future mosquée de Metz ce jeudi 6 février à 17h à l’Hôtel de Ville, en présence des représentants des cinq associations membres de l’UACM.

    « Le bail conclu, pour une durée de 99 ans, sera assorti d’une redevance annuelle de 15 €uros. L’association disposera alors d’un délai de trois années pour faire aboutir le projet qui se concrétisera par le dépôt du permis de construire. [...]
    Le projet comprendra des salles de prières d’une capacité de 1500 places pour les hommes et 500 places pour les femmes et des activités annexes telles que : garderie – crèche, exposition d’œuvres et bibliothèque, funérarium, restauration -self – salon de thé, salle de détente et relaxation, service d’accompagnement pour le pèlerinage. »

    Source fdesouche

    http://www.contre-info.com/

  • Les antifas et le ministère de l’Intérieur… une longue histoire

  • L’idéologie contre la famille

    Par Charles Saint-Prot*

    Entre 1748, date de publication de l’Esprit des lois, et le milieu des années 1760 avec la publication de l’Emile, du Contrat et des principaux tomes de l’Encyclopédie, s’opère le grand tournant de l’intelligence française, le moment où celle-ci entre dans l’âge de la métaphysique,...

    ...où l’idéologie remplace la raison tout en se parant abusivement de ses habits, où l’on fonde des doctrines sur des vues de l’esprit et sans se soucier des faits.

    L’idéologie ne consistera jamais qu’à donner pour des idées des passions ou des marottes et, par conséquent, à faire passer pour le bien de la communauté des intérêts ou des pulsions ou des appétits qui n’ont rien que de particuliers. Pourtant, elle va prospérer tissant des rideaux d’illusions de façon à dissimuler le réel. Et, comme il fallait s’y attendre l’idée générale, conçue comme un dogme religieux, ne poussera pas seulement à la perte de la mesure mais encore au totalitarisme. Quand le sage Montaigne avait démontré que la nouveauté idéologique est le plus souvent mue par l’esprit de cruauté, de méchanceté, d’envie et de guerres civiles, il avait tracé le portrait des fabricants de systèmes totalitaires de tous les temps et mis en garde contre leurs excès.

    Avec les idéologies, ces idoles sanguinaires, s’est ouverte une nouvelle ère totalitaire dont Hannah Arendt souligne bien que les moyens de domination totale ne sont pas seulement plus radicaux, mais qu’il diffère « par essence des autres formes d’oppression politique » [1].

    Et voici notre société moderne en proie aux idéologies les plus folles. Voici que l’homme est réduit à l’état d’un individu dont on proclame sans cesse de nouveaux droits, parfois ridicules, souvent saugrenus, en attendant le droit de pouvoir épouser son chien !

    De fait, les idéologies à la mode opposent constamment cet individu sans feu ni lieu, à la société. C’est ainsi que la théorie du genre, désormais très en vogue, est en train de s’imposer [2]. C’est cette théorie qui a ouvert la voie à la légalisation des unions homosexuelles abusivement assimilées au mariage. Née aux Etats-Unis, à la fin des années 1960, dans les lobbies des « minorités sexuelles » er des féministes les plus extrémistes, puis récupérée par des cercles néo-marxistes tout heureux de trouver un nouveau levier pour déconstruire la société, l’idéologie du genre (gender) est devenue l’une des obsessions des cercles qui forgent la pensée unique dominant les pays occidentaux et certaines institutions internationales. L’influence marxiste est d’ailleurs incontestable puisque, selon les théoriciens du gender, « le genre implique la classe, et la classe présuppose l’inégalité »[3].

    Selon le gender, l’identité sexuelle ne serait pas une donnée biologique, mais une construction culturelle et sociale. On ne naîtrait pas garçon ou fille, on le deviendrait. Il conviendrait donc d’oublier le sexe –donnée naturelle immuable- pour ne voir que le genre qui évoque le rôle social joué par les individus. Au nom d’une non-discrimination que l’on ne peut qu’approuver, il s’agit de créer une contre-vérité, une contre-culture radicale et sectaire. En effet, le gender prétend que l’on pourrait changer de genre à sa guise, au gré de ses pulsions, de ses fantasmes individuels. C’est l’éternel combat de l’individualisme contre la conception d’un Homme vivant en société. Et, comme toute idéologie extrême, celle-ci a encore un caractère totalitaire.

    Pour faire bonne mesure, ce qui n’est qu’une billevesée est parée de faux atours scientifiques. L’escroquerie scientifique au service d’une idéologie est une grande tentation des systèmes totalitaires. L’un des exemples le plus connu est, l’affaire Lyssenko, dans les années 1940, qui mit en cause un charlatan soviétique dont les théories en matière de génétique devinrent un dogme d’Etat. Le régime marxiste de Staline persécuta les généticiens et obligea la majorité des scientifiques à se taire par peur des représailles.

    Voici que les néomarxistes retombent dans les mêmes travers en tentant d’imposer le gender de force –et même par la force- à la société ; au besoin en stigmatisant ceux qui s’y opposent. Ceux qui n’acceptent pas ce nouveau dogme doivent être dénoncés, combattus voire sanctionner juridiquement. L’inquisition a ouvert ses tribunaux ! Depuis 2006, des parents allemands sont condamnés à des peines des amendes puis à des peines de prison pour avoir refusé d’envoyer leurs enfants à des cours d’éducation sexuelle enseignant le gender [4]. Sans doute est-ce l’exemple que souhaiterait suivre un Vincent Peillon lorsqu’il invite à extirper tous les déterminismes –c’est à dire les réalités – pour « changer les mentalités (...) notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles » [5]. Il est vrai que le ministre auquel est confiée l’éducation de nos enfants, n’a pas craint d’écrire naguère qu’il faudrait trouver « une religion de substitution qui arrive à inscrire jusque dans les moeurs, les coeurs, la chair, les valeurs et l’esprit républicain » [6]. Fanatisme et intolérance, voilà bien les marques d’un combat qui est surtout idéologique ! Il est vrai que l’enjeu est de taille, il est sociétal et anthropologique puisqu’il s’agit en fin de compte de la complémentarité homme-femme.

    Et bien entendu, au centre du débat ouvert par la négation de ces vérités éternelle, se trouve la première des communautés naturelles de l’ordre social, la famille. Et une famille c’est d’abord un homme et une femme qui s’unissent et vont procréer. Or voilà qu’à l’heure où l’on ne cesse de nous parler de parité, une parité qui serait un véritable impératif catégorique, cette fameuse parité serait refusée au seul couple. Le couple ne serait plus un homme et une femme, une famille ne serait plus un père et une mère. Chacun naîtrait plus fille ou garçon et cette différence ne serait plus la source essentielle de la vie, la clé de voûte de toute société. On voit bien que derrière ce galimatias , c’est la destruction de la famille qui est programmée pour permettre l’émergence d’hommes et de femmes nouveaux, ou plutôt non plus du fameux « homme nouveau » prédit périodiquement par les idéologies totalitaires mais un « être nouveau indistinct », véritable prototype de la société sans classe, sans genre, sans identité. Bref plus de société du tout, ce qui est parfait pour instituer l’ordre totalitaire. Belle revanche du marxisme qui a la vie dure et de belles perspectives dans des sociétés décervelées.

    Telle est la dérive que pouvait constater le pape Benoit XVI lorsqu’il affirmait : « Dans le monde actuel, dans lequel se répandent certaines conceptions équivoques sur l’homme, sur la liberté, sur l’amour humain, nous ne devons jamais nous lasser de présenter à nouveau la vérité sur l’institution familiale ».

    Nous nous retrouvons ici au coeur du sujet : la sédition de l’idéologie contre la nature humaine.

    Article paru dans Le mouvement des idées, revue de l’UMP

    * universitaire, directeur de l’Observatoire d’études géopolitiques.

    - [1] Hannah Arendt, Le système totalitaire
    - [2] V. Conseil pontifical pour la Famille, Gender, la controverse, Paris, Pierre Téqui éditeur, 2011.
    - [3] Kate Bornstein, Gender Outlaw : On Men, Women and the Rest of Us, New York, Routledge, 1994.
    - [4] V. le site de La Manif pour tous : « Le gender pour tous contre le droit des parents » par Grégor Puppinck, directeur du European Centre for Law and Justice. http://www.lamanifpourtous14.com/?p=3037
    - [5] Vincent Peillon, Lettre aux recteurs du 4 janvier 2013.
    - [6] Vincent Peillon, Une religion pour la République, édition du Seuil, 2010, p.34.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-ideologie-contre-la-famille

  • Radio Courtoisie - Farida Belghoul (20140209)

  • Mnef : la lettre qui accuse le PS

    La Rédaction de Voxnr célèbre - elle aussi - la mémoire.
    Article publié le 13.09.2000

    UNE LETTRE extrêmement gênante vient d'être exhumée des archives de la Mnef. Ce document met notamment en cause Manuel Valls, l'actuel porte-parole de Lionel Jospin, et semble confirmer que les anciens dirigeants de la mutuelle étaient bien sous la coupe du PS et de ses courants, mais aussi des plus hautes autorités gouvernementales socialistes de l'époque. Une version que chacun s'est pourtant efforcé, jusque-là, de démentir.
    Cette fameuse lettre, parfaitement authentifiée, en date du 21 décembre 1990, à en-tête du Premier ministre, est donc signée de Manuel Valls, alors chargé de mission de Michel Rocard à Matignon et chef de file des jeunes rocardiens. Dans ce courrier adressé au « Président et Cher Ami » de la Mnef, Dominique Levêque, il regrette amèrement qu'un « des points dont nous avions convenu n'ait pas été mis à l'ordre du jour (...) Emmanuel Couet, vice-président de l'Unef-ID, n'est pas rentré au conseil d'administration » de la mutuelle. En conséquence, Manuel Valls présente sa démission de ce conseil et annonce une éventuelle mesure de représailles. « Je me réserve (...) la possibilité de réunir d'autres administrateurs afin d'étudier en commun leur propre retrait de cette instance. » En clair, si son exigence n'est pas satisfaite, Manuel Valls menace de faire partir tous les rocardiens de la Mnef, avant de conclure : « Je suis sûr que tu trouveras, en accord avec Olivier Spithakis (NDLR : le directeur général et véritable patron), les moyens de résoudre ce que je veux considérer comme un incident. » Le propos de Manuel Valls qui ne se présentait pas en son nom propre, mais bel et bien comme conseiller du Premier ministre, mérite quelques éclaircissements. Outre ce qui s'apparente à une forme de chantage sur les dirigeants de la Mnef pour obtenir l'embauche d'Emmanuel Couet (futur membre du cabinet de Catherine Trautman au ministère de la Culture), Manuel Valls semble accréditer l'idée qu'existait un lien de subordination direct entre Matignon, les cadres du PS et Olivier Spithakis. « La formulation de cette lettre est caricaturale, mais il était habituel de recevoir des courriers de la même veine », souligne, désabusé, un ancien haut responsable de la mutuelle étudiante.

    « Le message que je voulais faire passer était uniquement politique »

    Mais la lettre de Manuel Valls recèle une autre étrangeté. « Depuis des années, écrit-il en préambule au président de la Mnef, nos relations sont basées sur la confiance et le respect des dispositions arrêtées en commun avec moi-même et Alain Bauer. » Ce dernier, qui fut comme Manuel Valls rocardien avant de devenir jospiniste, a toujours entretenu des liens étroits avec la Mnef, au point d'être nommé par Spithakis, au milieu des années quatre-vingt-dix, à la direction d'une filiale. Souvent cité dans les affaires de la mutuelle sans jamais avoir été inquiété, Alain Bauer a été élu, en fin de semaine dernière, à la tête du Grand Orient, la première organisation maçonnique. Quelles étaient donc les mystérieuses dispositions arrêtées entre Manuel Valls, Alain Bauer et l'équipe d'Olivier Spithakis ? Si le nouveau grand maître du Grand Orient était, hier, injoignable, l'actuel porte-parole de Lionel Jospin a accepté de commenter cette lettre dont il nous a d'abord affirmé de ne pas se souvenir. « Le message que je voulais faire passer était uniquement politique, dit Manuel Valls. Je tenais à ce que la place des rocardiens au sein du conseil d'administration de la Mnef soit respectée par rapport aux autres courants. » Selon lui, aucun accord secret n'aurait donc été scellé avec la mutuelle. De même, l'ancien conseiller de Rocard devenu celui de Jospin réfute « tout lien de subordination entre la Mnef, le PS ou Matignon ». « La seule maladresse que j'ai commise est d'avoir écrit ce courrier sur du papier à en-tête du Premier ministre », a-t-il conclu, visiblement excédé. Il reste que cette lettre éclaire un peu plus les relations ambiguës qui unissaient la mutuelle étudiante et le Parti socialiste. Outre Manuel Valls, elle risque également de gêner Lionel Jospin, dont plusieurs de ses plus proches ont été emportés par l'affaire de la Mnef. Quant aux juges, ils pourraient rapidement se saisir de cette pièce tirée tout bonnement des archives de la mutuelle.

    Eric Decouty http://www.voxnr.com/cc/politique/EFAEAyuAkAqpafJxhK.shtml

    Source : Le Parisien : http://www.leparisien.fr/faits-divers/mnef-la-lettre-qui-accuse-le-ps-13-09-2000-2001625185.php