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anti-national - Page 833

  • Dictature scolaire : quand l'UMP concurrence le PS

    Le député-maire de Versailles en guerre contre les écoles hors-contrat ?

    Décidément, la liberté éducative des parents - principe non négociable, rappelons-le, au même titre que la défense de la vie de la conception à la mort naturelle, ou la défense du mariage traditionnel et de la famille - est fortement menacée.

    Nous savions que M. Peillon et ses affidés souhaitaient "arracher les enfants à leurs déterminismes familiaux". Mais il y a, si l’on peut dire, pire encore : l’opposition semble trouver que le PS ne va pas assez loin dans ce délire totalitaire. [...]

    La suite sur Le Salon Beige

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Dictature-scolaire-quand-l-UMP

  • Peillon veut renforcer l’enseignement de l’arabe : « C’est l’avenir de l’Europe et l’avenir de la France »

    « L’enseignement de l’arabe était abandonné […] depuis des années, nous allons mettre les moyens nécessaires » à son renforcement, a déclaré à l’AFP le ministre français de l’Education, Vincent Peillon.

    Cette orientation« est culturelle, mais elle est aussi, et ça chacun doit le comprendre, l’avenir de l’Europe et l’avenir de la France », a-t-il ajouté.

    Comme ça, les choses sont claires !Et tant pis si la plupart des jeunes Français ne savent plus aujourd’hui écrire leur propre langue !

    http://www.contre-info.com/peillon-veut-renforcer-lenseignement-de-larabe-cest-lavenir-de-leurope-et-lavenir-de-la-france

  • « Théorie du genre » à la maternelle : comment l’UMP essaie de faire oublier son récent passé

    Désireuse de « coller » à sa base électorale, l’UMP a largement relayé le combat des adversaires de la théorie du genre, ne ratant pas une occasion de dénoncer « l’idéologie » des socialistes et du gouvernement.
    « Choqué », Jean-François Copé a ainsi affirmé comprendre « l’inquiétude des familles » et estimé que « la priorité de l’école doit rester les savoirs fondamentaux ».

    Mais le parti dit « de droite » n’a pas toujours défendu cette ligne. Il fut un temps où il émettait des propositions quasiment identiques à celles émanant du PS et qu’il « combat » aujourd’hui.
    Au printemps 2011, l’UMP, déjà dirigée par Jean-François Copé, avait organisé des « états généraux » du parti, qui devaient poser des propositions, en attendant que Nicolas Sarkozy entre en campagne. Une séance portait sur la place des femmes dans la société, l’occasion d’aborder les « questions d’égalité des sexes et les stéréotypes de genre ».

    Comme on peut le lire sur l’image ci-contre (cliquer ici pour agrandir), ou sur la page que le parti consacrait à cette convention, l’UMP proposait « d’introduire dès la maternelle des séances consacrées à la mixité et au respect hommes-femmes », soit ce que font entre atures les « ABCD de l’égalité » mis en place par le gouvernement Ayrault, et maintenant critiqués.

    Plus ironique encore, l’utilisation, dans le texte de la convention UMP, des fameux termes que le parti conspue aujourd’hui :

    • « Amener les enfants à se sentir autorisés à adopter des conduites non stéréotypées. »
    • « Il faut aider les filles et les garçons à percevoir positivement leur genre et celui du sexe opposé. »

    Le document relatif à la convention en question offre une sélection encore plus ample de termes dénoncés actuellement :

    • « Il conviendra de mieux sensibiliser les jurys à l’égalité professionnelle et aux discriminations liées au genre. »
    • « Il est nécessaire d’aider les managers à remettre en cause les stéréotypes de genre. »
    • « Les médias recréent un monde binaire, voire archaïque, et transmettent des représentations liées au genre presque régressives, loin du monde actuel. »

     En 2011, l’UMP, loin de juger « dangereuses » les « études de genre », s’en inspirait très clairement, et proposait bel et bien de sensibiliser les enfants aux questions de « genre », ce « dès la maternelle ».

    On peut aussi rappeler qu’en 2008, Nadine Morano, alors ministre de la famille, s’était prononcée en faveur de la GPA (bénévole). On parlait alors plutôt de « mères porteuses ». Les stratégies électorales de l’UMP ont changé depuis.

    Source

    http://www.contre-info.com/theorie-du-genre-a-la-maternelle-comment-lump-essaie-de-faire-oublier-son-passe#more-31420

  • Manuel Valls et Arnaud Montebourg à Corbehem : des manifestants pacifiques obligés de quitter la ville

    CORBEHEM (NOVOpress) - Des manifestants pacifiques ont réservé un comité d’accueil à Manuel Valls et Arnaud Montebourg en visite hier dans une usine de la commune de Corbehem (Pas-De-Calais). Ces manifestants se sont retrouvés obligés de choisir entre quitter la ville ou la garde à vue, alors qu’ils n’avaient procédé à aucune violence.

    Ils ont eu un premier contrôle d’identité après avoir sorti une pancarte “Hollande Dégage” devant la papeterie à l’arrivée de Manuel Valls et Arnaud Montebourg, contrôle effectué par 2 femmes et 1 homme du SDIG (ex RG) ainsi que 4 gendarmes. Ils ont subi un deuxième contrôle d’identité toujours par le SDIG qui les a fait sortir de la salle des fêtes où devait parler Arnaud Montebourg aux salariés. 15 CRS sont ensuite arrivés avec à leur tête un colonel de gendarmerie, et ont procédé à un troisième contrôle d’identité leur laissant choisir entre quitter la ville ou y retourner et finir en garde à vue.

    Au total, ont été mobilisés environ 80 CRS, 40 gendarmes, les agents du SDIG, 2 véhicules police nationale et 15 véhicules dans le convoi de Manuel Valls et Arnaud Montebourg.

    http://fr.novopress.info/156518/manuel-valls-arnaud-montebourg-corbehem-manifestants-pacifiques-obliges-quitter-ville/

  • Métissage : l’Education dite Nationale s’occupe de réécrire les classiques.

    Hier matin, sur France Info, un reportage en immersion dans un lycée de banlieue parisienne occupée explicite ce que certains patriotes refusent de voir.

    Conduit par un gauchiste blanc haineux de son peuple, professeur de son état, une réécriture de la pièce Roméo et Juliette de W. Shakespeare est en cours.
    Le nouveau titre, plus conforme à la France d’après voulue par nos élites : Mamadou et Juliette.
    Cet exercice est donc un hymne au métissage et à la réécriture de notre culture, face au défi posé par le journaliste : un collège plein de communautés diverses et variées (on notera l’absence des Français dans son énumération) et qui ont l’outrecuidance de ne pas se mélanger.
    Enfin, il est important de souligner la fin du reportage, sur les mœurs de ces allogènes qui contaminent toute une jeunesse française forcée de vivre avec.
    En effet, ne nous est décrit rien de moins que la disparition de la galanterie, des subtilités de la cour faite aux femmes par les hommes européens, qui a donné tout un genre littéraire à notre civilisation : le roman courtois.
    En France occupée, on bouscule, frappe « gentiment » les jeunes filles, avant de leur demander leur « 06″ ou « 07″, dans un but rapide d’union charnelle quasi animale.
  • « Idéologues, maurrassiens, tea-party à la française, opposants à la pseudo-théorie du genre, sainte-alliance entre ultras... »

    Mgr Castet, évêque de Luçon, dénonce le terrorisme intellectuel pratiqué par les idéologues du gender, dans un texte publié dans le magazine du diocèse de Luçon, sous le titre « Idéologues, maurrassiens, tea-party à la française, opposants à la pseudo-théorie du genre, sainte-alliance entre ultras... » :

    "La méthode est connue depuis bien longtemps. Lorsque l'on souhaite tuer dans l'oeuf l'expression libre d'une conviction fondée, les mots deviennent des armes efficaces et mortelles.

    Les personnes sont enfermées dans une catégorie considérée comme infâme et perdent de ce fait tout droit à l'expression publique. Incriminés, bâillonnés, les gens se trouvent alors exclus de tout débat et leurs actions, comme leurs paroles, prisonnières de catégories qui les rendent inaudibles. « Ringardisés », ils sont perçus comme rétrogrades et rigides. Ils sont désormais privés de leurs droits élémentaires de citoyens et parmi ces mêmes droits, de l'un des plus essentiels, celui d'une expression libre et publique. Mgr Podvin, porte-parole de la Conférence des évêques de France n'a-t-il pas écrit : « Il est profondément légitime que les citoyens s'expriment et qu'on les écoute. Que l'on cesse de blesser par le qualificatif "ringards" des citoyens à part entière ».

    Des catholiques, en très grand nombre, et non des moindres, je pense au cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, ont cru devoir manifester, aux côtés d'autres personnes, leur inquiétude forte devant les intentions législatives concernant la famille, la nature du mariage et la filiation. Ils ont proclamé très haut leur indignation de ne pas être pris en compte.

    À tous ceux qui promeuvent ce qu'ils appellent une évolution sociétale irréversible, ou encore que le droit est un simple contrat social sans référence à une vérité objective, je préfère dire, aux côtés du Cardinal Philippe Barbarin, que « nous avons un témoignage à donner. Nous avons à dire un non tout simple, tout clair, tout fort. Je ne sais pas si l'on sera entendu, mais nous sommes responsables de l'avoir dit ».

    L'an dernier, en fidélité à l'enseignement du Christ et de l'Église, nous avions déjà dit non à la loi concernant la nature du mariage. Les suites de cette loi concernant la PMA (procréation médicalement assistée) et la GPA (gestation pour autrui) posent des questions majeures. Ce n'est pas au législateur d'instituer un système dans lequel l'enfant n'aura pas de mère ou de père.

    L'accompagnement des personnes pratiqué avec générosité par les pasteurs et beaucoup de chrétiens ne peut pas être utilisé comme un argument qui conduise à choisir entre charité et vérité. Oser proclamer le vrai et le juste conduit, parfois difficilement, à vivre la charité dans la vérité. « La vérité vous rendra libres. » (Jn 8,32)."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un procès pour les Femen ? Non, pour les vigiles de Notre-Dame !

    Un an, presque jour pour jour, après la profanation de Notre-Dame de Paris, les 9 Fem-Haine accusées d'avoir dégradé l'une des cloches, n'ont toujours pas été jugées. Leur procès, initialement prévu en septembre, a été reporté, le tribunal correctionnel de Paris estimant prioritaire d'enquêter sur les conditions de leur expulsion.

    Ce qui mène à l'aberration suivante : trois agents du service d'ordre de Notre-Dame de Paris ont appris aujourd'hui qu'ils allaient être poursuivis devant le tribunal pour violences. Avant donc que le tribunal ne se prononce sur les dégradations qui pouvaient justifier une expulsion un peu musclée - Inna et une comparse n'ont-elles pas admis elles-mêmes avoir volé un bout d'or de la cloche ?
    En attendant, les Fem-Haine sont toujours dans la nature, alors que l'on apprend par le Figaro que :

    "le témoignage d'une ex-Femen, Alice*, révélé mercredi par Le Figaro a provoqué «l'ébullition» au sein du mouvement féministe, atteste une source proche du groupe d'activistes qui évoque en coulisses «menaces» et «actions en représailles»."

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/02/un-proc%C3%A8s-pour-les-femen-non-pour-les-vigiles-de-notre-dame-.html

  • La plate-forme Web de la police des polices a enregistré 1154 signalements

    En quatre mois d'existence, la plate-forme Internet de l'IGPN a été enregistré plus de mille signalements anonymes. 17 ont fait l'objet d'une enquête.
    Depuis quatre mois, on peut "se plaindre" en ligne des actions de la police.
    La plate-forme Internet de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a enregistré 1 154 signalements en 2013 et 17 d'entre eux ont donné matière à enquête, a affirmé le 12 février 2014 le directeur général de la police nationale Claude Baland.

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  • Peillon hué a son arrivée à sciences po a Aix : 200 personn