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anti-national - Page 840

  • Versaillais et communards rassemblés: l’union sacrée qui effraye la secte

    S’attaquer à «ce qui constitue le socle des valeurs sur lequel se fonde la majorité des familles de notre pays» (Le Bulletin d’André Noël) , saper ce pilier familial, un des rares encore debout, vaille que vaille, au nom d’une idéologie qui exige des Français qu’ils abdiquent frontières, repères et marqueurs identitaires…La gauche «sociétale » n’y renonce pas.  Le Monde titrait dernièrement que le recul du gouvernement sur la «loi sur la famille» s’explique par le fait que « Hollande veut éviter la mobilisation de l’extrême droite » (sic) -elle se concrétisera dans les urnes!-, mais  les députés socialo-écolo-communistes ruent dans les brancards. L’annonce du report de l’examen de ce projet de loi à 2015 accusent-ils à mots plus ou moins couverts, est la signe de la «trahison», de la «démission», de la «capitulation» du social-libéral Hollande devant la «réaction versaillaise». Manière d’occulter, soulignons-le au passage, que les versaillais en question, les bourgeois de droite pour faire court, sont aussi sur cette question sur la même longueur d’onde  que les communards, des catégories populaires présentes aussi dans les défilés, sensibles au discours frontiste,  et qui ne votent plus à gauche que de façon résiduelle…

      Plusieurs députés du PS et d’EELV, ont indiqué qu’ils ne renonçaient pas à déposer des propositions de loi visant à  appliquer certaines de ses dispositions les plus problématiques. Thierry Mandon, porte-parole du groupe socialiste à l’Assemblée,  le président de l’Assemblée, Claude Bartolone,  et même le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault l’ont affirmé. Ce dernier a précisé que le travail sur le projet de loi allait « se poursuivre » et serait « mené à bon port ».

     Porte-parole des élus PS, Annick Lepetit, rapporte Le Monde,  est amère: «On aimerait bien que tout le travail effectué ne soit pas perdu… Il y a besoin de mieux comprendre ce qu’il s’est passé hier jusqu’à la décision du Premier ministre. Il n’y avait pas besoin de reprendre dès lundi matin les slogans de La Manif pour tous, de mettre dans le même sac PMA et GPA. »

     Elle n’est pas la seule indique le quotidien: «Furieuse, la fédération lesbienne gay, bi et trans rappelle au gouvernement qu’il n’a rien à attendre des opposants aux droits des nouvelles familles qui par définition grossissent des droites variées, alors qu’électoralement il a tout à perdre de celles et ceux à qui il refuse de nouveaux droits ».

     Il est un secret pour personne que cette loi sur la famille est aussi le fruit des réflexions de certaines loges maçonniques extrémistes. Or, dans cette situation politique chaotique, le gouvernement n’entend pas se priver de l’appui, ou  à tout le moins,  de la neutralité bienveillante des frères.

     Le « blog Franc-maçon » de L’express, tenu par François Koch, rapportait  qu’ «Au cours de la cérémonie de vœux qu’il a offerte aux obédiences maçonniques le 30 janvier (…)  au ministère de l’Intérieur, Manuel Valls a exhorté les francs-maçons à se battre contre les extrémismes, l’extrême-droite, Dieudonné en particulier… et en stigmatisant les attaques indignes de la manifestation Jour de colère du 26 janvier dernier».

     « Dans un discours très républicain (sic), où le terme laïcité a été utilisé plusieurs fois, Manuels Valls a souligné le rôle positif de la franc-maçonnerie dans la construction de la République française ». Une manière en effet pour Manuel Valls de rappeler à tous  que les valeurs de «sa»  République sont celles du mondialisme  maçonnique  et  qu’il entend s’appuyer sur les fils de la veuve pour mener à bien sa politique antinationale.

     Une façon aussi  de désamorcer la crise pouvant naître de la reculade gouvernementale (tactique et éphémère ne soyons pas naïfs) sur cette «loi sur la famille». Une volonté de faire «passer le message»,  de flatter, de rassurer les obédiences maçonniques (déjà très bien représentées au sein du gouvernement Ayrault) en sollicitant leur appui contre la vague patriotique et nationale qui ne cesse de prendre de l’ampleur.

     « De mémoire de maçons, souligne François Koch, c’est la première fois qu’un ministre de l’Intérieur offre une cérémonie de vœux aux obédiences. Nicolas Sarkozy l’avait fait, mais en tant que Président de la République».

     «Pour écouter le ministre Valls, boire le Champagne et déguster les petits fours, 35 francs-maçons sur les 50 prévus se sont déplacés au ministère de l’Intérieur (Yvette Roudy, Catherine Jeannin-Naltet, Alain Juillet, Jean-Pierre Servel, Roger Dachez, «trois anciens Grands Maîtres : Philippe Guglielmi, Jean-Michel Quillardet Alain Bauer » , conseiller de MM. Sarkozy et  Hollande).

     «Quatre obédiences étaient représentées : le Grand Orient de France (GODF), la  Grande Loge Nationale Française (GLNF), la Grande Loge Féminine de France (GLFF)  et la Grande Loge de l’Alliance Maçonnique Française (GLAMF). »  La GLDF  (Grande Loge de France) et la  FFDH (Fédération Française du Droit Humain) étaient absentes précise M. Koch.

     « Pour le GODF, plusieurs conseillers de l’Ordre représentaient le Grand Maître Daniel Keller (retenu à Brignoles pour une conférence où il expliquait pourquoi un franc-maçon ne peut pas être membre du FN).»

     Cette petite causerie de Daniel Keller dans ce canton conquis par notre ami Laurent Lopez en octobre dernier, a été évoquée par Var-Matin qui a publié un entretien avec le nouveau grand sachem de la secte grande orientale. Chef d’entreprise, marié, père de trois enfants, âgé de  54 ans, homme de gauche mais  non membre du PS, M. Keller, « initié dès 1996 dans la loge d’inspiration anarchiste Vérité Ni dieu Ni maître»,  a été élu à la tête du GODF l’année dernière. Une élection remportée  face au socialiste encarté et haut-fonctionnaire Alain Simon, le candidat qui avait la préférence des apparatchiks du PS.

     Interrogé avec la révérence et la complaisance qui sied à sa dignité, le frère Keller a débité dans Var matin son credo d’humaniste laïcard, masque commode emprunté depuis toujours pour s’attaquer aux valeurs helléno-chrétiennes.« La franc-maçonnerie interpelle les gens de pouvoir pour les mobiliser sur la défense des valeurs fondamentales. Il nous faut être à la source des réflexions sociétales (…)  il faut prôner nos valeurs ouvertement pour faire reculer les extrêmes ».

     En bon propagandiste d’une  république universelle ne pouvant émerger  que sur la ruine des nations et des peuples enracinés, le grand sachem a donc logiquement sorti de son tablier les incantations antifrontistes. « À Brignoles ou ailleurs, explique-t-il,  de gauche ou de droite, la franc-maçonnerie doit être le défenseur de cet esprit républicain, pour éviter un naufrage politique. Le Front National n’est pas francmaçonniquement compatible. » Un avis, rappelons-le qui n’est pas partagé par toutes les obédiences maçonniques.

     Gardons cependant ce trait d’humour pour la fin, M. Keller  a encore tenu à préciser  qu’«On n’entre pas dans la franc-maçonnerie pour faire des affaires, se créer un réseau ou se faire élire (sic) . Nous sommes détachés du politique (sic) . Et, si des hommes politiques ne cachent pas leur appartenance, je doute que fréquenter les loges maçonniques soit compatible avec un emploi du temps de ministre (sic)…».

     En fait d’incompatibilités estime Bruno Gollnisch,  ce sont bien les dogmes extrémistes que M. Keller et ses amis  infusent dans les programmes de l’UMPS, qui  le sont avec les vœux et le attentes des Français. Et c’est cette prise de conscience  de nos compatriotes, qui effrayent les gourous sectaires  pseudo-républicains. Ils ont d’ailleurs raison d’avoir peur, car comme le note Marine Le Pen, versaillais et communards rassemblés, «Unis les Français sont invincibles!».

    http://gollnisch.com/2014/02/06/versaillais-communards-rassembles-lunion-sacree-qui-effraye-la-secte/

  • Éric Zemmour : «La gauche libérale libertaire a déclaré la guerre au peuple français»

    INTERVIEW - Le chroniqueur du Figaro, Éric Zemmour, analyse l'évolution de la gauche française ces dernières décennies.

    Depuis la dernière conférence de presse de François Hollande, la plupart des éditorialistes de droite comme de gauche applaudissent le tournant social-libéral du président de la République. Mais François Hollande n'a-t-il pas toujours été social-libéral?

    Pour moi, il n'y a pas de tournant. À partir du moment où François Hollande avait ratifié le traité budgétaire signé par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, et où ni l'Euro ni le libre-échange n'étaient remis en cause, il n'y avait pas d'autre politique possible. François Hollande, héritier de Jacques Delors le savait depuis le début de son mandat, sans doute même depuis la campagne électorale. Pour prendre une image automobile, le président de la République est sur l'autoroute de cette politique là et auparavant il n'a fait qu'acquitter des péages à la gauche qui l'avait porté au pouvoir: la taxe à 75%, les mots sur la finance qui serait son «ennemi»…

    Certains vont même jusqu'à parler de Bad Godesberg français... De quand date réellement la conversion de la gauche française au libéralisme?

    Le virage le plus récent et le plus marquant est celui de 1983, lorsque François Mitterrand arrime la monnaie française au Deutsche Mark et se jette dans le libre-échange.

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  • Loi famille : Jean-François Copé prend le train en marche

    Volant au secours de la victoire, le patron de l'UMP, absent et muet dimanche dernier, s'est fendu d'un communiqué triomphant, montrant surtout que le succès de la mobilisation de LMPT  oblige l'UMP à se positionner :

    "Notre -votre- mobilisation a porté ses fruits ! Matignon a fait volte-face lundi en annonçant que le Gouvernement ne présenterait finalement pas de projet de loi sur la famille en 2014. Le Gouvernement invoque des « travaux préparatoires » à peaufiner, un « calendrier parlementaire déjà dense », mais ne vous y trompez pas : c'est bien la mobilisation massive et opiniâtre des Français et des élus de notre Mouvement qui a contraint François Hollande à arrêter les frais.

    Annoncées il y a quelques mois comme prioritaires, les questions de gestation pour autrui (GPA) et de procréation médicalement assistée (PMA) pour les couples de même sexe auxquelles nous nous opposons fermement semblent aujourd'hui repoussées sine die. Que dire de cette curieuse coïncidence en terme de calendrier, quelques semaines avant les prochaines échéances électorales ? Avec votre aide, nous voulons continuer à faire reculer la majorité socialiste, veiller à la suppression définitive de ce projet mais également dénoncer l'opportunisme éhonté du Gouvernement. Ne lâchons rien ! [sic] Je compte sur vous. Très sincèrement."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/02/loi-famille-jean-fran%C3%A7ois-cop%C3%A9-prend-le-train-en-marche.html

  • Les forces de police ont l’ordre de ne fouiller ni interpeller les extrêmistes de gauche

    Lu ici :

    "Depuis que Manuel Valls est ministre de l’Intérieur, les réseaux d’extrême gauche  bénéficieraient-ils de passe-droit lorsqu’il s’agit d’agresser tous ceux qu’il désigne comme des « ennemis de la République »? Une vidéo publiée samedi par l’agence Info Libre  semble  le démontrer .

    Cette vidéo montre en effet un journaliste venu couvrir une manifestation pro avortement à Paris le 1er février dernier. On le voit se faire menacer et  voler son vélo par un groupe de militants. Ils appartiennent à l’extrême gauche radicale parisienne. On y aperçoit surtout un policier en civil « extraire » le journaliste de la manifestation. Il lui explique qu’il ne peut pas rester là, car il risquerait d’y perdre son intégrité physique, voire sa vie, tant les personnes qui l’ont molesté sont dangereuses. (voir la vidéo). [...] Mais le plus stupéfiant de cette vidéo, filmée en caméra cachée, ce sont les consignes énoncées par le policier, qui ignorait qu’il était enregistré. Il affirme en effet que les forces de police reçoivent l’ordre de leur hiérarchie – donc du ministère de l’Intérieur - de ne  fouiller ni interpeller ces militants d’extrême gauche, y compris si ces derniers sont « outillés» (armés). Expliquant être en « sous-effectif » – ce qui n’était manifestement pas le cas le lendemain pour la LMPT – le policier demande donc au journaliste de quitter les lieux « car sa sécurité ne peut pas être assurée ». [...]"

    Michel Janva

  • Béatrice Bourges a-t-elle réussi à faire trembler l’Élysée ?

    Elle n’a pas accepté que le président fasse de son quinquennat une révolution dont le but est de détruire la millénaire structure familiale.

    Huit jours après avoir entamé son jeûne, Béatrice Bourges a emporté une première victoire. Elle a, lundi après-midi, au lendemain de la Manif pour tous, arrêté de jeûner et l’a annoncé sur la place Édouard-Herriot, devant l’Assemblée nationale qui l’avait vue assise sur un banc, souvent entourée de nombreux policiers et de très peu de journalistes. 

Le cas de cette pasionaria n’a pas attiré l’intérêt de la presse française.

    Quelques courageux députés (Jacques Bompard, Thierry Mariani, Marion Maréchal-Le Pen, etc.) sont venus la saluer, et nombreux furent les internautes à l’avoir rejointe sur son banc pour l’encourager, la féliciter, la remercier tout au long de la semaine, malgré les barrières mises en place tout autour d’elle et une présence policière totalement disproportionnée : jusqu’à 35 policiers, jeudi dernier, et le bus des gardes à vue, comme si le préfet de police voulait l’intimider, la dissuader, la déstabiliser.

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  • Rapport Lunacek : un sommet d’hypocrisie !

    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch
    Député européen

    À la suite du rapport de Mme Ulrike Lunacek, et afin d’en assurer l’adoption à coup sûr, les groupes politiques suivants se sont mis d’accord sur un texte commun : Communistes (GUE), Socialistes (S & D), Écologistes, Libéraux (ALDE), et…. « Parti populaire européen » (PPE), autrement dit les prétendus « démocrates chrétiens » dont font partie tous les députés UMP !

    C’est donc explicitement en leur nom que ce texte a été proposé au vote.

    C’est en leur nom que :

    Sous couvert de non-discrimination, les paragraphes 1, 2 et 3 érigent en nouvelles valeurs de l’Europe l’homosexualité masculine, le lesbianisme, la bisexualité, la transsexualité, etc…

    Le paragraphe 4 fixe les étapes d’un processus totalitaire à cet effet :

    • Mobilisation à cet effet de toutes les agences payées par les contribuables européens (au point A3) ;
    • Propagande auprès de la jeunesse dans l’éducation (au point D i)) ;
    • Imposition du mariage homosexuel à tous les États membres (au point H iv)) ;
    • Liberté de promotion de l’homosexualité, « gay pride » et autres (au point I) ;
    • Criminalisation de toute critique rebaptisée « discours de haine » (au point H) ;
    • Droit d’asile politique accordée aux LGBTI non-européens (au point K).

    Cependant, au moment du vote, courageux mais pas téméraires, impressionnés par les courriels reçus, les députés UMP ont finalement voté contre le texte qu’ils avaient présenté.

    Puisse ce cas de cynique duplicité ouvrir les yeux des électeurs, et spécialement de ceux qui ont défilé dimanche dernier par centaines de milliers pour défendre la famille.

    http://gollnisch.com/2014/02/04/rapport-lunacek-sommet-dhypocrisie/

  • Pour ceux qui trouvent qu'on exagère un peu...

    Florilège de citations 
    "Ce qui est cause, c'est l'hétérosexualité en tant que norme. Il nous faut essayer de penser un monde où l'hétérosexualité ne serait pas normale." 
    Eric Fassin, sociologue, promoteur de la théorie du genre en France, professeur à l'Ecole Normale Supérieure.
    "Les enfants n'appartiennent pas à leurs parents." 
    Laurence Rossignol, sénatrice PS, 5 avril 2013, en direct sur France 2, émission Ce soir ou jamais.
    "Le but de la morale laïque est de permettre à chaque élève de s'émanciper... Il faut être capable d'arracher l'élève à tous les déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel"
    (Vincent Peillon, Le Figaro, 2/9/2012)
    "Toute l'opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l'Eglise"
    (Vincent Peillon, Une religion pour la République, p. 277, édition du Seuil, 2010)
    "Il faut donc à la fois déraciner l'empreinte catholique qui ne s'accomode pas de la République et trouver, en dehors des formes religieuses traditionnelles, une religion de substitution qui arrive à inscrire jusque dans les moeurs, les coeurs, la chair, les valeurs et l'esprit républicain sans lesquels les institutions républicaines sont des corps sans âme qui se préparent à tous les dévoiements"
    (Vincent Peillon, ibid, p. 34)
    "La laïcité française, son ancrage premier dans l'école, est l'effet d'un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale, spirituelle. Il faut pour cela une religion universelle : ce sera la laïcité. Il lui faut aussi son temple ou son église : ce sera l'école. Enfin, il lui faut son nouveau clergé : ce seront les hussards noirs de la république".
    (Vincent Peillon, ibid, p. 48)
    "Il faut toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et politiques."
    La réalisatrice du film Tomboy a propos de son film projeté en classes de primaire. 
    "Je suis pour la GPA accessible à tous les couples."
    Jean Pierre Michel, sénateur PS, rapporteur du texte de loi sur le mariage pour tous au sénat. 
    "Des parents, un géniteur, une gestatrice peuvent permettre ensemble la venue au monde d'un enfant."
    Najat Vallaud Belkacem, porte parole du gouvernement.
    "Il faut en finir avec la filiation biologique."
    Erwan Binet, député PS et rapporteur de la loi Taubira
    "Une femme doit pouvoir avoir accès à la PMA parce qu'elle ne souhaite pas avoir de relations avec un homme."
    Francois Hollande
    "Il s'agit de substituer a des concepts  tels que "le sexe" ou "la différence sexuelle" le concept de "genre" qui montre que les différences entre le différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature mais socialement construites. [...] [La théorie du genre] se borne à dire que les hommes et les femmes ne se retrouvent pas dans leur état biologique et se construisent autrement."
    Julie Sommaruga, député PS
    « Je ne vois aucun inconvénient ni pour les unions à plusieurs, ni pour les unions polygames, ni pour l’inceste. » 
    idem
    "Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence? C'est faire un distinguo qui est choquant"
    Pierre Bergé au Figaro
    « Admettre la différence des sexes c’est admettre la complémentarité des sexes, donc la domination patriarcale, donc l’oppression et l’aliénation de la femme » 
    Judith Butler, philosophe féministe du genre
    « Le droit à l’adoption pour les couples homosexuels repose sur une filiation fondée sur la volonté individuelle, et la volonté n’a pas de sexe… » 
    Daniel Borillo, Sénat
    « La famille est une construction sociale créée par les hommes pour dominer les femmes. » 
    Roselyne Bachelot, janv 2013
    « Revendiquer l’égalité de tous les individus quels que soient leur sexe et leur orientation sexuelle c’est déconstruire la complémentarité des sexes et donc reconstruire de nouveaux fondements républicains »
    « Il s’agit donc de déconstruire la complémentarité des sexes pour transformer en profondeur la société. » 
    Réjane Sénac, chercheure au CNRS affectée au Centre de Recherches Politiques de Sciences Po (CEVIPOF), enseignante à Sciences-Po Paris et à l’université Sorbonne Nouvelle –Paris 3, source rapport du SNUipp, page 24-25
    « Je pense qu’en matière du lien de filiation, le mariage est devenu tout à fait secondaire. [...] Il me paraît évident que le groupe que je préside préconisera d’ouvrir la possibilité d’adoption aux couples non mariés, parce que, tout simplement, ça va de soi. »
    Irène Théry, sociologue, directrice d’étude à l’EHESS et nommée présidente d’un groupe de travail par Dominique Bertinotti dans le cadre de la Loi Famille
    « Pour pouvoir abolir le mariage, il faut d’abord que tout le monde puisse en bénéficier. Ce que vous évoquez est tout à fait envisageable [l’abolition du mariage] […] c’est l’étape suivante ».
    Caroline Mécary, Avocate au barreau de Paris, festival « Mode d’emploi » à Lyon, nov 2013
    « Une proposition que je vous soumets, ce serait de disjoindre la parentalité et la conjugalité – pourquoi ne pas proposer dès la naissance des enfants, disons juste après le sevrage, une disjonction des maisons, c’est-à-dire une résidence alternée dès la naissance. Au moins, les femmes anticiperaient une carrière maternelle comme les hommes anticiperaient une carrière paternelle [...]. Les hommes pourraient envisager des métiers où ils seraient bien obligés une semaine sur deux de s’occuper des enfants. Ce qui veut dire qu’au moment de la séparation, les choses seraient beaucoup plus simples : il n’y aurait plus de séparation puisqu’on serait déjà séparés.» 
    Caroline Mécary, avocate au barreau de Paris, spécialiste des droits des homosexuels, Festival mode d’emploi à Lyon, novembre 2013
    source

  • Peillon ou la tentation totalitaire

    Une chronique d'Ivan Rioufol :

     

    "Au delà de la théorie du genre, qui trouve son application en primaire avec les ABCD de l’égalité, c’est aussi la prétention de l’Etat (et de l’Europe) à intervenir jusque dans la sphère privée qui est refusée par les opposants au gouvernement. Car il existe une volonté politique de soustraire l’enfant à ses parents, afin de l’élever dans l’idéologie "républicaine" du moment. Ce mercredi, Le Canard Enchaîné dénonce la "citation travestie" prêtée à la sénatrice socialiste, Laurence Rossignol : "Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents. Ils appartiennent à l’Etat". L’hebdomadaire démontre, de manière convaincante d’ailleurs, que la deuxième phrase n’est pas d’elle. Mais cela ne change rien au désir de déposséder les familles de leurs responsabilités éducatives, selon le vieux procédé totalitaire destiné à construire "l’homme nouveau". Il suffit de lire Vincent Peillon. Voici ce que le ministre de l’Education écrit, dans "La Révolution française n’est pas terminée" (Seuil) (pages 17-18) : "C’est à elle (l’école) qu’il revient (…) d’être la matrice qui engendre en permanence des républicains (…). L’école doit opérer ce miracle de l’engendrement par lequel l’enfant, dépouillé de toutes ses attaches pré-républicaines, va s’élever jusqu’à devenir le citoyen, sujet autonome. C’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Eglise avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi", etc.
    Danton expliquait : "Il est temps de rétablir ce grand principe qu’on semble méconnaître : que les enfants appartiennent à la République avant d’appartenir à leurs parents". Un même robespierrisme est reproduit par l’actuel ministre de la Rééducation quand il dit aussi, avec l’aval des socialistes, vouloir "arracher l’élève à tous les déterminismes". Peillon vient d’être appuyé, dans sa promotion expérimentale de l’identité du genre en primaire,  par le parlement européen qui a approuvé hier le rapport Lunacek, qui reprend à son compte les exigences des minorités Lgtb (lesbiennes, gays, bi et trans). Ce mercredi, dans Le Figaro, l’américaine Shéhérazade Semsar décrit les absurdités produites par les revendications sur le genre aux Etats-Unis. Cette inscription sur une porte, par exemple, dans une école de Californie : "Si tu te considères comme un garçon, ce sont tes toilettes". Comme le remarque Chantal Delsol (Le Monde du 1 er février) : "On dirait bien que deux totalitarismes ne nous ont pas encore déniaisés, ni découragés de vouloir prendre la place du créateur". La colère de la société civile ne va pas s’apaiser de si tôt, contre cet Etat qui ne respecte plus la sphère familiale et qui transmet aux enfants une idéologie déstructurante, à défaut d’un savoir."

    Louise Tudy  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Coup de force marxiste au Figaro !

    Les collectivistes de tout poil sont affolés par l’effondrement de la Sécurité sociale et par les cohortes chaque jour plus nombreuses de Français qui la quittent.

    Le front le plus chaud est celui du Régime social des indépendants (RSI), dont l’hémorragie est devenue telle qu’il a tenté une manœuvre désespérée pour essayer de la ralentir. Et ce sont les marxistes de la rédaction du Figaro qui ont prêté main forte à l’opération.

    Un journaliste de ce quotidien enquêtait sur l’action du MLPS, qui conduit depuis plus de vingt ans le mouvement de combat contre la pieuvre sociale, et sur ceux qui y participent. C’est ainsi qu’il m’a longuement interviewé et que je lui ai fourni toute la documentation qui lui était nécessaire pour étayer son article. Plusieurs « libérés » ont également été interrogés et ont raconté leur expérience.

    C’en était trop pour les collectivistes, qui savent très bien que seul le silence médiatique préserve encore la Sécurité sociale de l’issue fatale. Ils ont donc monté, en s’appuyant sur leurs complices infiltrés depuis longtemps à la rédaction du Figaro, une opération consistant à reprendre à leur compte les critiques unanimes des affiliés de force au RSI pour les rendre réceptifs au message qu’ils voulaient leur transmettre, à savoir que, si critiquable et odieux que puisse être le RSI, il est illégal de le quitter. De la pure technique marxiste, digne de la Pravda !

    Le message a été répété dans chacun des trois articles consacrés à ce sujet. Dans l’article de tête, il est indiqué que « la désaffiliation « sauvage » prônée par le groupuscule les « libérés » est totalement illégale ». Dans l’interview du directeur général du RSI, celui-ci déclare que «  les personnes qui se radient en continuant d’exercer en indépendant ou qui refusent de s’acquitter de leurs cotisations sociales s’exposent à de lourdes amendes, voire à des sanctions pénales ». Enfin, dans l’article comportant les témoignages d’affiliés au RSI, la journaliste fait dire à l’une d’entre elles qu’ « elle regarde avec envie ces quelques indépendants qui se désaffilient du RSI pour prendre une caisse d’assurance privée. Mais ne franchit pas le pas, car c’est totalement illégal ».

    Du marxisme au petit point, on vous le dit. Tout y est, de l’ennemi forcément « groupusculaire » à la menace pénale envers les dissidents qui fuient ce qu’on n’ose plus appeler le « paradis socialiste » et qui ne survit plus que par ses barbelés.

    Les questions qu’on se pose sont forcément les suivantes. Comment le premier quotidien de droite français en est-il arrivé à se faire la voix du communisme ? Comment ce journal peut-il tromper à ce point ses lecteurs en ne leur révélant pas que le monopole de la sécurité sociale a été définitivement supprimé par un arrêt du 3 octobre 2013 de la Cour de justice de l’Union européenne, et que les sanctions pénales, ce sont les directeurs des caisses de sécurité sociale qui les encourent ? Comment Alexis Brézet, directeur des rédactions du Figaro, peut-il négliger ses fonctions au point de laisser son journal militer pour le collectivisme ? Et comment Serge Dassault, propriétaire du Figaro, peut-il laisser ce titre glorieux se vautrer dans la pire des propagandes marxistes ?

    Le Figaro n’est que Le Figaro, et aujourd’hui l’histoire se fait sans lui. Les Français veulent en finir avec le collectivisme, ils le disent tous les jours et le manifestent dans la rue. Et ils se moquent éperdument de la désinformation pratiquée par la presse officielle. Mais pour le démocrate que je suis, il n’était pas possible de laisser passer sans réagir la grave dérive d’un quotidien que je lis depuis des décennies et qui, aujourd’hui, trahit son histoire et, comme on dit maintenant, ses valeurs.

    Dr Claude Reichman

    http://francelibre.tumblr.com/post/75639384966/coup-de-force-marxiste-au-figaro#.UvJv1fYsRXY

  • Rumeur persistante : 2000 études qui n'existent pas

    Le CNRS a répertorié 2000 études sur ce qui n’existe pas. Les actes sonores du colloque du 8 mars 2012 au siège du CNRS à Paris « Recherches Genre, un défi au-delà de la parité. Recensement, bilan et perspectives », sont disponibles en libre écoute sur le site de la Mission pour la place des femmes au CNRS, dans la rubrique Recherches et approches genre.

    "Un défi au-delà de la parité": il s'agit donc bien de l'idéologie du genre, et non de l'égalité des sexes.

    Tout ça pour un truc qui n'existe pas : le gouvernement doit dissoudre le CNRS.

    Michel Janva