anti-national - Page 840
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RT. le soutien américain à l'EIIL S/T
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10 000 avortements supplémentaires pratiqués l'an dernier
Alors que le nombre d'avortements était stable en France depuis 2006, il est reparti à la hausse en 2013, selon un rapport de la Direction des Etudes et Statistiques du ministère de la Santé (Drees) publié en juin. Le nombre d'enfants tués dans le ventre de leur mère a augmenté de 4,7% par rapport à 2012, passant de 207 000 avortements à 217 000.
Selon la Drees, cette augmentation morbide a été causée par l'affaire sur les moyens de contraception et la totale gratuité des avortements depuis le 31 mars 2013. Ou encore l'augmentation en 2013 de la rémunération des établissements hospitaliers qui pratiquent l'avortement.
Pour certains, c'est la méthode naturelle qui serait la cause de cette croissance, alors même qu'une étude précédente montrait que la plupart des femmes qui avortent sont sous contraception. Le fait est que l'avortement étant gratuit, il est devenu un moyen de contraception.
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France, paradis des militants LGBT du monde entier : nouvelle conséquence de la loi Taubira
C’est une conséquence de l’adoption par la France de la loi Taubira autorisant le mariage « pour tous ». Hier, mercredi 9 juillet, le Conseil d’Etat a sommé le gouvernement de délivrer sous vingt-quatre heures un visa à un homosexuel sénégalais vivant au Maroc pour qu’il puisse se marier samedi à Creil (Oise) avec un homme français.
Le Conseil d’Etat considère que le refus de visa porte « une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté fondamentale de se marier », puisque le Maroc n’autorise pas les unions entre personnes de même sexe.
La loi dite Taubira, du 17 mai 2013, ouvrant le mariage aux personnes de même sexe, prévoit que si l’un des époux est ressortissant d’un pays interdisant ce type d’union, le mariage ne peut pas être célébré par les autorités diplomatiques et consulaires françaises – comme c’est fréquemment le cas pour les couples hétérosexuels – mais qu’il doit avoir lieu en France.
Le Sénégalais en question, résidant à Casablanca, avait entamé des démarches pour épouser son amant français peu après l’adoption de la loi Taubira. Le 26 mai, il avait déposé une demande de visa court séjour au consulat de Casablanca et avait essuyé un refus le 16 juin. Bien informé des procédures, il avait alors fait appel en urgence devant le tribunal administratif de Nantes, qui avait rejeté sa demande, et avait ensuite saisi le Conseil d’Etat, plus haute juridiction administrative.
Le ministère de l’intérieur avait justifié le refus de visa en évoquant « les antécédents migratoires » du ressortissant sénégalais, déjà venu en France sans papiers en 2010. Le ministère a également mis en doute « la sincérité de l’union »entre les deux hommes, qui ont trente-cinq ans de différence d’âge.
Le Conseil d’Etat a rétorqué que les deux hommes partageaient un appartement à Casablanca, que le requérant sénégalais avait un emploi stable, et qu’il n’avait pas l’intention de s’installer en France – ben tiens, on en reparlera plus tard. Le ministère de l’intérieur a été condamné à délivrer un visa sous vingt-quatre heures et à verser 5 000 euros à l’homosexuel sénégalais.
Voilà une jurisprudence qui va faire parler d’elle et va servir de nouveau prétexte migratoire pour faux et vrais militants LGBT du monde entier.
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L'idéologie du genre au CAPES
Comme chaque année, des milliers d’étudiants ont tenté de décrocher le sésame pour accéder aux fonctions d’enseignement, le fameux CAPES. Une candidate au concours, lectrice du Salon Beige, dénonce un recrutement écœurant qui ne laisse que peu de place à l'idéal enseignant. Description d’un concours plus que contestable :
Le jury du CAPES détermine à l’avance un programme de révisions sur trois « questions » d’histoire, et trois « questions » de géographie (les sociétés coloniales des années 1850 aux années 1950, La France en villes…), auxquelles s’ajoute un module « Agir en fonctionnaire de l’état de façon éthique et responsable ».
En effet, le référentiel des Dix Compétences du Professeur étudié dans le cadre de ce module hiérarchise les compétences exigibles du futur professeur certifié :
- Agir en fonctionnaire de l’Etat et de façon éthique et responsable
- Maîtriser la langue française pour enseigner et communiquer
- Maîtriser les disciplines et avoir une bonne culture générale
- Concevoir et mettre en œuvre son enseignement
- Organiser le travail de la classe
- Prendre en compte la diversité des élèves
- Evaluer les élèves
- Maîtriser les technologies de l’information et de la communication
- Travailler en équipe et coopérer avec les parents et les partenaires de l’école
- Se former et innover
Il est déjà curieux de voir qu’au vu de cette hiérarchie, il est plus important pour l’Etat de disposer de bons petits fonctionnaires obéissants que d’enseignants maîtrisant la langue française. Mais le scandale va plus loin.
Lors des oraux d’admission au CAPES, les candidats présentent deux épreuves : la première dite de « leçon » (30 minutes d’exposé sur un sujet tiré au sort suivies de 30 minutes d’entretien) et la seconde dite « épreuve sur dossier ».
Cette épreuve sur dossier se déroule en deux temps :
- 20 minutes de réflexion et analyse sur un sujet en histoire ou en géographie (selon la matière non présentée à la leçon), à partir de trois documents (suivies de vingt minutes d’entretien)
- 10 minutes de réflexion et analyse sur un quatrième document se référant à cette fameuse compétente « agir en fonctionnaire de l’état de façon éthique et responsable ».
Cette année, le jury a poussé l’idéologie ambiante à son paroxysme. Le sujet posé à de nombreux candidats le lundi 16 juin posait ainsi deux questions à l’épreuve sur dossier en géographie :
- L’étude des discriminations, notamment de sexe et de genre, est-elle pertinente pour aborder les conflits en géographie ?
- En quoi les luttes contre les stéréotypes filles-garçons participent-elles à régler les situations conflictuelles.
Outre l’absence de lien direct avec les compétences en géographie des futurs enseignants, les documents à l’appui étaient d’une rare objectivité : préface d’un ouvrage Genre et construction de la géographie, extrait du rapport remis en janvier 2014 à Najat Vallaud-Belkacem pour la lutte contre les stéréotypes du genre…
C’est donc officiel. Le changement de civilisation promis par Mme Taubira et le changement des mentalités voulu par M. Peillon passent par l’école. Ecole dans laquelle les professeurs ne seront cette année sélectionnés qu’en fonction non pas de leurs compétences disciplinaires et pédagogiques, mais bien de leur adhésion à une idéologie d’Etat.
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La dénaturation du mariage ne leur suffit pas : LGBT en veut toujours plus
Le délégué d'Homosexualité et socialisme (HES), Sébastien Kinach, annonce qu'il quitte le Parti socialiste :
«ça fait longtemps que je l'envisage. Les dernières prises de position du gouvernement et le résultat dont a été engagé le débat sur le Mariage pour tous m'y ont poussé. En faisant des concessions à un électorat qui ne votera jamais pour lui, le gouvernement a perdu des voix à gauche. Par ailleurs, les défaites aux municipales et aux Européennes n'ont pas fait réagir le parti. Personnellement je ne pouvais plus faire le grand écart entre le PS et Homosexualité et socialiste.»
«Il reste beaucoup de travail à faire, notamment autour du projet de loi sur la famille. Nous serons vigilants et force de proposition. Il y a aussi des questions qui ne sont pas réglées ou soumises à interprétation comme le don du sang ou l'adoption».
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Mariage : la loi Taubira a créé dans la société une fracture sociale
De Tony Anatrella dans Valeurs Actuelles :
"[...] La loi du “mariage pour tous” a créé dans la société une fracture sociale et une confusion psychique sur le sens du couple générationnel et de la filiation. Parler ici de “couples” de femmes, “d’épouses” et de “mères” montre que l’on ne sait plus de quoi l’on parle en attribuant à un duo de même sexe les caractéristiques empruntées par mimétisme au couple formé par un homme et une femme. Ces derniers étant les seuls à former un couple et une famille, même si la loi civile ose dire le contraire. L’un comme l’autre sont de structures différentes, et voler le vocabulaire de l’un pour l’adapter à l’autre est une duperie psychologique et sémantique. J’ai souvent repris la formule de Camus à ce sujet qui affirme que « mal nommer les choses, c’est ajouter aux malheurs du monde ». La loi civile est ainsi un facteur de pathologies sociales qui nous conduisent à la violence.
En réalité nous assistons à une manigance qui consiste à valider l’idée que l’enfant peut se “faire” sans sexe, puisque deux personnes de même sexe en sont incapables. En effet, on ne conçoit un autre qu’avec un autre et non pas avec du même. Il faut donc forcer la réalité pour montrer qu’il y a d’autres voies possibles et qu’il revient à chacun, selon les concepts du genre, de se construire soi-même et d’inventer la famille. De cette façon, à l’image des tribus anciennes qui, faute d’avoir une progéniture pour se survivre, pratiquaient le rapt des enfants, nous réactualisons le même phénomène par la “prise” de produits biologiques masculins pour se donner une filiation narcissique. On s’étonnera par la suite que, dans cette confusion psychologique et sémantique, des adultes s’engagent dans la recherche de leur origine à travers la généalogie et tentent de résoudre leurs troubles de la filiation. Le rapt des enfants au nom de l’unisexualité nous plonge au coeur du déni de ce qui nous humanise."
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Stop gender devant le rectorat de Lyon
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE : Le Printemps Français refuse au parlement toute légitimité pour créer un nouveau statut parental !
Le Printemps Français s’est opposé et continue de s’opposer à la loi Taubira et à la prétention du législateur à créer un mariage entre des personnes de même sexe, au nom de l’évidence biologique qui institue le mariage.
De même, le Printemps Français s’oppose à la prétention du législateur à créer un statut de tiers-parent, pour soit-disant donner des droits à la personne qui vit avec l’un des deux parents de l’enfant. Il est totalement faux de prétendre que cette proposition de loi réponde à une nécessité. Elle n’a qu’un objectif : faire rentrer dans la loi un statut du beau parent au profit des couples homosexuels. Cette loi, si elle est votée, ouvrira demain à toutes les dérives par la simple adjonction de droits nouveaux à ce que le législateur aura fait.
La loi est faite pour protéger l’enfant, pas pour donner satisfaction aux fantasmes des adultes. En instaurant juridiquement une confusion volontaire entre les parents et le tiers qui vit avec l’un d’eux, le projet socialiste et écologiste ne vise rien d’autre qu’à l’instauration légale de l’homoparentalité, sous couvert de résoudre des problèmes qui ne se posent que pour eux. En effet, la loi dispose déjà des moyens d’organiser la vie quotidienne entre des parents séparés pour préserver les intérêts de l’enfant. Dans cette proposition de loi, une fois de plus, ce sont les intérêts des adultes que l’on cherche à promouvoir au détriment de l’enfant.
Le Printemps Français demande aux parlementaires de cesser de mentir aux français. La cause de la famille et des enfant mérite mieux.
http://www.actionfrancaise.net/craf/?COMMUNIQUE-DE-PRESSE-Le-Printemps
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Christiane Taubira ne peut s’en prendre qu’à elle-même…
Le peuple est-il coupable parce que le pouvoir n'a tiré aucune leçon du désastre des élections municipales ?
Je sais, à force, c’est lassant. J’y viens, j’y reviens, je persiste, je m’incruste et je confirme. Ce n’est pas nous qui allons chercher des noises à Christiane Taubira, c’est elle qui vient nous causer du souci assez régulièrement.
Nous ne sommes pas coupables des offenses profondes ou dérisoires qu’elle inflige à la justice et à la démocratie. [...]
Parce qu’elle n’a pas voulu chanter « La Marseillaise » et que des polémiques ont surgi à ce sujet.
Pour le président de la République, elles sont « ridicules ». Pour le Premier ministre, « absurdes ». Pour le ministre Rebsamen, il y a « un relent de racisme » et pour le ministre Filippetti, c’est « ignoble ». Pour le secrétaire d’État André Vallini, la polémique est « stérile et absurde » et « personne ne peut douter un instant que Taubira aime la République ».
Fermez le ban !
[...]
Pour ma part, quoi qu’on pense de l’obligation ou non de chanter « La Marseillaise » pour un ministre – en soi, il me semble que ce serait convenable –, je suis surtout frappé par le fait que Christiane Taubira se complaît en permanence dans une posture de singularité, voire d’incongruité, presque de provocation (qui la rend chère à la gauche pure), d’évitement mais révèle un atypisme aux effets dévastateurs pour la mission qui lui a été confiée puis renouvelée.
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Les académies n'ont pas vocation à relayer la propagande de militants LGBTQI
Question écrite n° 20-00149 du député Jacques Bompard :
"M. Jacques Bompard attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur la journée "ce que soulève la jupe" qui doit avoir lieu le 16 mai prochain dans 27 lycée de l'académie de Nantes.Comme on peut le lire dans un dossier de presse publié par l'académie, cette journée consiste à mobiliser les lycées au nom de la lutte contre les discriminations. Le principe consiste notamment à "inviter filles et garçons, élèves et adultes, (...) à porter une jupe". Le Comité de la jupette (sic) du lycée George Clemenceau de Nantes les invite également à venir en cours avec du "rouge à lèvre rouge". Il est légitime de s'interroger sur l'utilité et le bien-fondé d'une telle initiative. Plusieurs raisons peuvent être invoquées pour s'opposer à une telle action. Premièrement, les académies n'ont pas vocation à relayer la propagande de militants LGBTQI. Deuxièmement, plusieurs études indiquent que les garçons ont plus de difficultés scolaires que les filles. Si discrimination il y a là, peut être le ministère devrait-il porter son attention là dessus. En effet, culpabiliser les garçons en les chapitrant constamment sur leur sexisme n'aidera certainement pas à améliorer leur niveau. Cette journée, soutenue et promue par le rectorat, et donc de facto par le ministère de l'Education nationale lui-même, illustre une fois de plus la progression de l'idéologie dans les écoles publiques. Il s'agit ni plus ni moins d'une volonté politique farouche d'imposer une nouvelle vision de la société où hommes et femmes seraient totalement indifférenciés au nom de l'égalité. Le fait d'inciter des garçons à porter une jupe marque clairement une volonté de nier l'altérité sexuelle qui est un fondement et un repère essentiel de notre société. On se sert de l'école, de la maternelle jusqu'au lycée, pour faire table rase de l'héritage culturel et des valeurs chrétiennes qui nous ont été légués. M. Jacques Bompard demande donc à M. le ministre de l'Education nationale s'il compte prendre des mesures pour que les académies cessent de propager l'idéologie du genre."