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anti-national - Page 832

  • Avec la nomination de Valls, les rafles d’opposants politiques se trouvent légitimées

    Communiqué du Printemps français :

    S"En nommant Premier ministre Manuel Valls, François Hollande adresse deux messages aux français : le changement de civilisation préfiguré par la loi Taubira est son seul programme, il va donc continuer la même politique. Le Printemps Français dénonce l’ambition qu’exprime cette nomination d’achever la destruction du mariage, de la famille et de la filiation, qui sont le socle fondamental de toute humanité.

    La nomination de Manuel Valls à Matignon signifie que la politique du gouvernement ne s’éloignera pas d’un pas du programme de changement de civilisation engagé depuis 2012. Manuel Valls est au service de la même conception technicienne et idéologique de la personne humaine. Il s’est d’ores et déjà prononcé pour la PMA et l’euthanasie. L’enseignement du genre à l’école fait partie intégrante de sa vision de la République. Et il entend, comme il l’a prouvé lors de son passage au Ministère de l’intérieur, que la force publique s’emploie avec cynisme et brutalité à édifier cette république idéologique. Avec cette nomination, les rafles d’opposants politiques, les arrestations arbitraires, les violences policières, le détournement de la justice à des fins politiques se trouvent légitimés.

    Le Printemps Français est né le 24 mars 2013 sur les Champs Elysées au milieu des gaz lacrymogènes lancés par la police de Manuel Valls contre des manifestants pacifiques. Le Printemps Français n’a pas oublié les menaces de dissolution prononcées contre lui par Manuel Valls, au lendemain de la première manifestation jamais organisée devant le siège du Grand orient de France en avril 2013. Le programme politique qu’annonce cette décision, c’est qu’une chape idéologique se rabat sur la France pour faire de notre pays la république des loges. Il est maintenant prouvé que François Hollande n’a pas eu d’autres choix que d’obéir à la Franc Maçonnerie.

    Pourtant le scrutin municipal de mars 2014 révèle le rejet du clivage droite-gauche et l’impatience des français à changer de marqueur politique. Il est urgent de refonder la politique sur d’autres valeurs, sur une autre conception de l’homme et de la société. C’est pourquoi le programme de résistance du Printemps Français est aujourd’hui plus nécessaire que jamais. Nous promettons à Manuel Valls qu’il aura bientôt à s’en apercevoir… Si vous voulez, vous aussi, entrer en résistance, rejoignez le Printemps Français !"

    Michel Janva

  • Fréjus : les valeurs républicaines en question…

    Philippe Vardon s’est fait agresser par un groupe de quatre individus qui l’ont attaqué avec un couteau et un démonte-pneu !
    Le respect des « valeurs républicaines » et du « principe démocratique » sont dans l’ADN de la « gauche », du moins c’est ce que je m’entends répéter depuis tout petit. J’y ai longtemps cru ; il faut dire qu’ils le martèlent perpétuellement, de la petite école à la faculté, en passant par leurs réseaux médiatiques. Naïvement, je m’imaginais que l’élection du candidat frontiste David Rachline, à Fréjus dans le Var, ne poserait pas de problèmes particuliers, que tout serait fait pour assurer une paisible prise de pouvoir.
    Quelle ne fut donc pas ma surprise en voyant les images de violence à la télévision, au soir du scrutin, le dimanche 30 mars 2014.
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  • Ces socialistes qui attribuent leur défaite à la loi Taubira

    L'ironie du journaliste d'Europe 1 laisse imaginer qu'il est encore plus déconnecté du terrain que les candidats socialistes dont il se moque (qui, il vrai, pourraient aussi reconnaître leur part de responsabilité) :

    "C'EST PAS MA FAUTE A MOI - (...) Les socialistes tentent, trois jours après leur défaite, de trouver les raisons de leur déconvenue électorale. Et certains d'entre eux ont une explication toute trouvée: le mariage pour tous. (...)

    Dans son interview au MondePatrick Mennucci dénonce l'instrumentalisation faite du mariage gay :

    Sur le terrain, on a toujours entendu les mêmes choses : les retraites taxées, le poids des impôts. Dans mon arrondissement, en centre-ville, il y a aussi eu la question du mariage pour tous. Pas chez des catholiques qui se seraient radicalisés – ceux-là ne votaient pas pour moi –, mais plutôt dans la communauté musulmane.</br>Il y a eu une campagne assez dure menée sur le terrain. Des tracts avec ma photo en train de célébrer un mariage homosexuel ont été diffusés.

    Question suivante, Patrick Mennucci en remet une couche :

    Je confirme que ces mesures sur les grandes questions de société nous ont coûté des voix sur le terrain.

    Même explication de Sébastien Pietrasanta, qui a perdu sa mairie d'Asnières-sur-Seine. Là aussi, le socialiste pointe le "radicalisme" et le "fondamentalisme", sans pour autant préciser s'il s'agit là de la communauté musulmane :

    Dans ma ville, nous avons fait de mauvais résultats dans les quartiers où nous avions, il y a quelques années, une partie de notre électorat. Le vote de la loi pour le mariage pour tous puis l’instrumentalisation de la polémique sur la théorie du genre a pesé en alimentant les conservatismes. Malheureusement, dans les quartiers populaires, nous assistons à une montée du radicalisme, du fondamentalisme, qui s’est nourri de ces sujets.

    Cela leur fait au moins un point commun avec Christine Boutin, qui a elle aussi expliqué la défaite socialiste aux municipales par l'adoption de la loi Taubira."

    Louise Tudy

  • Accord de libre échange transatlantique : les Européens ont la mémoire et la vue courte en croyant aux promesses d’amitié d’Obama

    Obama se rend en Belgique pour un discours sur les relations transatlantiques, dont le traité est de plus en plus critiqué. Et pour cause : il est loin d’assurer une vraie protection et l’Europe a davantage tendance à être lésée.
    ALENA : Accord de libre échange nord-américain. Ce traité, devenant pour l’Europe le TTIP (Partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement) dont il est le laboratoire, est entré en vigueur le 1er janvier 1994. Il a créé une zone de libre-échange entre les Etats-Unis, le Canada et le Mexique et a notablement favorisé les exportations canadiennes et mexicaines vers les Etats-Unis, mais la crise économique 2008-2010 les ont fait chuter. Confronté à l’opposition de groupes altermondialistes, ALENA a fait l’objet de nombreuses critiques : dépendance économique du Mexique vis-à-vis des Etats-Unis, agriculture dévastée, effets négatifs des envois de fonds, délocalisations d’emplois…
    Elargir ce type de traité à l’Europe soulève plusieurs questions auxquelles Christian Harbulot répond ci-après dans un article publié par Atlantico.fr et qui nous est communiqué par un de nos correspondants.
    Polémia
    Atlantico : Barack Obama passera la journée du 26 mars en Belgique, à l’occasion d’une rencontre politique avec l’Union européenne. L’unique discours que devrait donner le Président américain concerne les relations transatlantiques. Le traité transatlantique est supposé induire une harmonisation progressive des normes en vigueurs, mais fait l’objet de vives critiques. Pourquoi ? Dans quelle mesure peut-il représenter un danger pour l’Europe ?
     Christian Harbulot : Le traité transatlantique représente un danger pour l’Europe, dans la mesure où le système qui est appliqué dans le cadre de l’ALENA (qui peut apparaitre comme un laboratoire qui sera transposé ensuite dans le cadre européen) est un système qui, de fait, favorise les Etats-Unis. Pour des raisons tant juridiques et financières que normatives. Il faut comprendre que les Etats-Unis se sont préparés à ce type de système et qu’ils sont dominants dans l’application de ces trois types de sujets. Arrêtons-nous un instant sur cet aspect juridique, dont on parle malheureusement trop peu. Il y a là une dimension stratégique du droit, qui s’explique par la taille critique prise par les cabinets anglo-saxons. En France, en 30 ans, ces cabinets sont passés de 15% à plus de 80% des parts de marché. Ces cabinets ont une attitude qu’on peut qualifier d’ambigüe, en cela qu’ils ont une attitude particulièrement critique face aux mesures protectionnistes, voire défensives, que pourraient prendre un pays comme la France (on l’a vu dans le cadre des OPA de l’affaire Florange), tandis que ces mêmes cabinets ne formulent aucune critique à l’égard de mesures similaires, si pas plus protectionnistes encore quand elles ont lieu aux Etats-Unis. Cette ambiguïté est parfois traduit comme une forme d’hypocrisie par certains.
    Prenons aussi l’exemple du tribunal arbitral, présenté comme un risque un peu générique et qui devraient profiter plus aux entreprises qu’à l’intérêt général. Dans les faits, le problème est plus compliqué et ne se limite pas au simple problème entreprise-état. Quand on a bien étudié le fonctionnement de l’ALENA, on réalise que les Etats-Unis font jouer cette masse critique, qu’ils ont bâtie pour défendre leurs intérêts. Autant ceux de firmes multinationales que ceux du système Nord-Américain, au dépend de celui des autres, comme dans le cas du Canada et du Mexique. Il faut craindre une organisation semblable des rapports entre les Etats-Unis et l’Europe.
    Nous Français avons pris l’habitude, en termes de défense des intérêts français, de nous focaliser sur certains dossiers, comme celui de la politique agricole commune. Parce que nous nous focalisons sur ces dossiers, nous en abandonnons d’autres, et pire encore, nous n’anticipons pas sur les dossiers majeurs. Quelle anticipation sur ce monde immatériel, en émergence ? Aucune. Pour la première fois de l’histoire de l’humanité, on va travailler non plus sur un mais sur deux mondes. Il y a les enjeux de l’économie numérique, de celle de la connaissance. Pour l’heure, il y a un déficit très fort de définition de la stratégie qu’un état comme la France devrait avoir, d’abord pour la France et ensuite au sein du débat européen. C’est là que se situe le déficit, dans le sens où les Etats-Unis ont déjà noué certains contacts dans les zones privilégiées (nord de l’Europe, certains pays de l’Est), qui visent à asseoir leur influence. Il n’y a pas nécessairement harmonie, ou même similitude d’intérêt au sein de l’Union Européenne.
    Face à ce danger, comment réagissent les états membres ? Finalement, à qui la faute ? S’agit-il des Etats-Unis qui ne jouent pas franc-jeu, ou bien des membres de l’UE qui n’ont pas de vision politique et stratégique suffisante ? Comment est-ce que cela peut profiter aux USA ?
    Il y a effectivement un double langage du côté des Etats-Unis. D’une part, pour faciliter ce marché transatlantique, ils souhaitent effectivement plus de liens et des liens plus ouverts. D’autre part, ils ne veulent pas perdre leurs avantages acquis ; comme le small business act qui ne rejoindra certainement pas la corbeille de la mariée. Ils feront très attention à préserver un certain nombre de dispositions, qui sont en fait de nature protectionniste.
    Dans le même temps, le problème vient également du fait que nous n’avons pas une position unitaire, en Europe. Chacun va défendre ses propres intérêts et on voit bien certaines divergences qui affectent certains états. La question se pose : comment négocier avec un état qui, lui, a une vision unitaire comme les Etats-Unis, alors qu’en face, nous arrivons en ordre dispersé ? Il n’est pas possible de négocier à part égale, et dès lors il n’est pas non plus possible de tirer notre épingle du jeu.
    Une des questions vitales, c’est de se mobiliser à la hauteur des enjeux. La gouvernance internet est un enjeu stratégique, pas un débat technique. Je crains que, pour l’instant, notre ministre des affaires étrangères n’ait pas pris la mesure de cet enjeu stratégique. Si Laurent Fabius en prend la mesure, il doit se rendre à Ryo, en personne. Et s’il s’y rend, il faut qu’il dise des choses pertinentes : sur cette question, cela signifie que l’Europe et la France doivent tenir compte des contrecoups de l’affaire Snowden et défendre une position face aux Etats-Unis qui ne soit pas une position suiviste. L’Europe doit récupérer son autonomie stratégique.
    Les Etats-Unis ont tout intérêt à signer un traité qui soit le plus linéaire possible, soit un traité qui ne fasse ressortir que des questions d’ordre technique. Un traité transatlantique dans lequel on aborde des questions d’ordre stratégique sous l’angle technique entrainerait un déséquilibre favorable aux USA. Il est clair que nous perdrions du terrain, et pas seulement en termes de marchés : sur des questions essentielles comme la définition de l’intérêt général, ou de rapport aux modes de vies. Nous n’avons pas du tout la même approche que les Etats-Unis sur le rapport entre l’agroalimentaire et la santé publique. Il y a en Europe des critères différents. Ça n’est pas pour autant le type de contradiction qu’on pourrait faire ressortir lors des négociations. Il est même possible, via l’approche technique, qu’on cherche à les lisser, de façon à pouvoir faire passer ces différences comme de simples approches normatives différentes.
    Qu’en est-il des protections annoncées dans le traité ? Barack Obama se fait-il véritablement le blanc chevalier protecteur des marchés et de l’échange Européen ? Le constat brossé est résolument sombre, mais n’avons-nous rien à y gagner ?
    La seule chose que nous avons à gagner à cette entente, c’est une alliance entre Etats-Unis et Europe, face à la Chine. Et sur ce terrain-là, les USA ont compris qu’ils avaient besoin d’un traité transatlantique pour ne pas être laminés par la Chine. Il faudra donc être attentif à ce qui sera négocié, puisque le véritable enjeu se porte contre la menace économique que représente la Chine. Là, effectivement, on peut gagner un certain nombre de choses. Il est très important d’imposer à la Chine des règles qu’elle ne respecte pas forcément. Il n’est pas normal que la Chine continue à laisser contrefaire des produits comme les médicaments (avec tous les risques qui y sont inhérents), ou la contrefaçon de marques de luxe. C’est une nécessité absolue que de les obliger à respecter ces principes. Ce traité pourrait nous aider à, au moins, les amener à un autre type de rapport de force que celui qui prévaut en ce moment.
    Quels sont les moyens dont nous disposons aujourd’hui pour nous protéger de ce traité ? Et, à termes, qui va devoir en payer les frais ?
    Une des manières de ne pas être pénalisé par ce traité sommeille dans les forces de la société civile, qui doivent jouer un rôle de lanceur d’alerte. Pas comme les ONG type Greenpeace : il faut que la société civile s’exprime sur des problématiques où elle est légitime. Dans l’économie de la connaissance, sur les normes éducatives… Il est vital que nous ne soyons pas aussi démunis qu’aujourd’hui. L’Europe doit pouvoir défendre des intérêts précis : la CNIL ne suffit pas face à ce genre d’enjeu. L’Europe devrait développer son propre réseau internet. Il faut s’emparer de ce sujet du monde immatériel, comme on a pu le faire à propos des voies maritimes par le passé. C’est aussi important, et pour l’instant nous n’y avons pas accès. Au travers des sociétés civiles, on pourra passer outre le déficit des politiques et des entreprises pour rendre les états légitimes à porter ces sujets.
    Il est évident, également, qu’une Europe incapable de faire en sorte qu’il y ait un changement nous coûtera cher à nous, contribuable. Qu’il s’agisse de l’éducation de nos enfants, de la notion d’e-commerce ou même d’échange marchands dans ce monde immatériel. Si nous ne réfléchissons pas à ça, c’est notre indépendance qui est mis en danger.
     Christian Harbulot, 26/03/2014
    Source : Atlantico.fr
    Christian Harbulot est historien, politologue et expert international en intelligence économique. Directeur associé du cabinet Spin Partners, il est également directeur de l’Ecole de Guerre Economique, membre fondateur du nouvel Institut de l’intelligence économique. Il est l’auteur de La guerre économique (PUF, Que sais-je ?, 2010).Correspondance Polémia – 30/03/2014
    http://www.polemia.com/accord-de-libre-echange-transatlantique-les-europeens-ont-la-memoire-et-la-vue-courte-en-croyant-aux-promesses-damitie-dobama/

  • Béatrice Bourges violemment mise à la porte à la Queer Week de Science Po

  • Videos des rebelles fabiusiens en Syrie : homme crucifié sur la place publique, massacre de prisonniers…

    Dans une vidéo postée il y a quelques jours sur des sites musulmans (et visible ci-dessous), on voit un Syrien crucifié sur la place publique par les rebelles (syriens ou non), devant une foule d’enfants et d’adultes ébahis.
    Plusieurs spectateurs admirent la scène, sourire aux lèvres… Leurs soutiens Fabius et Hollande en feraient peut-être autant s’ils étaient là.

    Par ailleurs, une autre video a été postée récemment (visible ci-dessous) où l’on voit les islamistes abattre des soldats syriens prisonniers (faisant preuve d’une grande dignité), capturés lors de la prise de l’hôpital Al Kindi à Alep. Et encore, ils ont de la chance d’être mis à mort de cette manière plutôt que d’autres appréciées des islamistes…
    La prise de l’hôpital – fin décembre – avait été rendue possible, après des semaines de siège, suite à un attentat-suicide commis avec un camion bourré d’explosifs, qui avait détruit les postes de garde de l’hôpital et endommagé celui-ci (attentat filmé par les islamistes, video ci-dessous).

    Les films de ce genre se multiplient, et ils ont l’avantage de rappeler ce dont sont capables les musulmans radicaux, et ce qui arrivera peut-être en France dans quelques années.

    Attention images très choquantes :

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  • L’idéologie du contrat social contre l'identité

    Dans Valeurs Actuelles, Guillaume Bernard dénonce la nouvelle interdiction de s'affirmer "Français de souche"

    "Nier l’existence des Français de souche revient à couper la société de son passé et à prétendre que la nation recommence à chaque génération : c’est adhérer à l’hypothèse selon laquelle le corps social n’est qu’une construction artificielle. Pour l’idéologie contractualiste, le corps social n’a pas d’identité propre dépassant les citoyens l’incarnant à un moment donné ; l’identité du tout n’est que le résultat de la juxtaposition des cultures particulières présentes sur son territoire. Par conséquent, le multiculturalisme regarde toute exigence d’assimilation culturelle des immigrés comme infondée. Au nom de l’égalitarisme, l’intégration est désormais perçue comme un processus à double sens, un compromis réciproque entre les étrangers et les nationaux. Les plus récemment venus pourraient légitimement transtransformer la culture de la société qui accepte de les accueillir. La situation devient ubuesque : plus les membres d’une communauté dérogent à l’identité générale, plus ils revendiquent fortement le fait d’être des citoyens comme les autres.

    Auparavant, les étrangers étaient invités et aidés à se convertir aux coutumes nationales ; désormais, c’est aux hôtes porteurs de la tradition culturelle autochtone de modifier leurs habitudes pour permettre aux personnes reçues de maintenir leurs pratiques exogènes. C’est la fin du modèle assimilationniste (républicain !). La culture française n’a plus la préséance et les Français enracinés (qu’ils soient ou non “de souche”) ne sont plus considérés comme les référents culturels. La France se voit contrainte d’abdiquer ses codes socioculturels pour permettre l’inclusion de toute identité présente sur son territoire. Plus d’identité de référence dans laquelle les nouveaux venus devraient se fondre : voilà la culture française dénoncée comme un obstacle à l’intégration… à la France !

    Dans ces conditions, l’intégration des immigrés confine à la désintégration de l’identité nationale. Comment, dès lors, s’étonner de la montée de l’inquiétude identitaire ? Celle-ci ne traduit pas le rejet de l’autre (en tant qu’il est différent), mais le refus d’une dépossession de soi et de devenir autre chez soi. Sur le territoire de la France ont vécu et sont morts 15 milliards d’hommes. Que représentent, face à eux, les 65 millions d’actuels Français et, parmi eux, les 12 millions qui ont une ascendance étrangère ? Si certains avaient la prétention de modifier l’identité de la France, celle-ci ne serait-elle pas en état de légitime défense ?"

    Michel Janva

  • Bordeaux : La propagande du genre enseignée aux enfants de maternelle !

    28/03/2014 – BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux)
    Le tract ci-dessous annonçant l’exposition est très clair : « À l’occasion de l’ouverture de sa nouvelle exposition du Carré des 3 – 6 ans destinée aux petits, Cap Sciences vous propose une journée spéciale enseignants de présentation de l’exposition et de son atelier (…) cette exposition invite les enfants à faire des choix d’activités, de comportements, de postures et d’attitudes selon leurs envies et leurs intérêts en dépassant les stéréotypes liés au sexe ».

    Comme le précise le document, « cette exposition s’adresse aux PS, MS et GS » [petite, moyenne et grande sections de maternelle]. Dans l’activité « Le méli-mélo des rencontres », les enfants sont amenés à « trouver des « paires d’amis » en fonction de leurs affinités » et à s’exprimer « au-delà des codes du genre. »

    Les partenaires de cette exposition sont la région Aquitaine, le Conseil Général, la CUB (Communauté Urbaine de Bordeaux), l’académie et la mairie de Bordeaux.

    En janvier dernier, le ministre de l’éducation nationale, niant la réalité de l’application de cette théorie dans l’Éducation nationale déclarait : «  Il y a un certain nombre d’extrémistes qui ont décidé de mentir, de faire peur aux parents. Ce que nous faisons à l’école, c’est uniquement enseigner les valeurs de la République ». Le 29 janvier dernier, Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, rajoutait : « il n’y a aucune théorie du genre qui est développée dans les écoles primaires de France ». Vraiment ?

    Bordeaux : La propagande du genre enseignée aux enfants de maternelle !

    http://fr.novopress.info/160997/bordeaux-propagande-du-genre-enseignee-aux-enfants-maternelle/#more-160997

  • La journée de retrait des écoles prévue ce 31 mars reçoit le soutien des infirmières et médecins catholiques

    acim-MPI

     

    Nous recevons le communiqué de l’Association Catholique des Infirmières et Médecins en soutien à la Journée de Retrait des Ecoles prévue pour ce lundi 31 mars.

     

    Communiqué de l’Association Catholique des Infirmières et Médecins, le 28 mars 2014

    Le gouvernement du président Hollande veut nous faire croire que la théorie du genre n’existe pas et qu’elle n’est pas imposée à nos enfants. Il s’agit d’un gigantesque mensonge identique à celui qui prétend que la courbe du chômage est sur une pente descendante. Or que cela soit les « études » ou la «  théorie »,  le gender est expérimenté et propagé aux écoliers en bas âge et jusque dans les universités au nom de la lutte contre « l’homophobie ». Nos enfants sont donc devenus des cobayes.

    Rappelons que la théorie du gender prétend que le sexe qui nous est donné par la nature est optionnel. Il appartient à chacun de le déterminer en fonction  de ses désirs dès le plus jeune âge. Or biologiquement le sexe est déterminé par les chromosomes XX pour la femme et XY pour l’homme. Vouloir manipuler les chromosomes est létal c’est-à-dire entraîne la mort.

    La logique est que celui qui veut changer de sexe doit se soumettre à des mutilations effroyables. Imagine-t-on ce que c’est chirurgicalement que de transformer une femme en homme et inversement. Le tout suivi de prise d’hormones durant toute la vie avec les complications que cela entraîne sur le plan médical ;  sans compter la diffusion dans la nature de produits hormonaux qui modifie tout l’équilibre écologique de la planète.

    Pour cette folie biologique, dans tous les cas, le médecin sera sollicité : pour le bricolage chirurgical, pour les troubles psychologiques ou psychiatriques entraînés par ces modifications, pour les désordres médicaux  causés par l’hormonothérapie..

    Notre devoir de médecins, de soignants et de parents est de mettre en garde contre l’application du gender dans notre société par un gouvernement qui n’écoute personne, mené par une idéologie de mort. Nos enfants en bas âge seront  alors les premières victimes.

    Face à cela nous sommes désormais en état de légitime défense. Il est plus que temps de réagir contre cet attentat à la nature avec les moyens que nous avons.

    L’Association Catholique des Infirmières et Médecins demande à tous les parents craignant pour leurs enfants de se joindre à la Journée de Retrait des Ecoles organisée ce 31 mars et de ne pas envoyer leurs enfants à l’école publique ce lundi.

    Dr Jean-Pierre Dickès, président de l’ACIM

    http://medias-presse.info/la-journee-de-retrait-des-ecoles-prevue-ce-31-mars-recoit-le-soutien-des-infirmieres-et-medecins-catholiques/8067

  • Gender – Le lobby LGBT forme les enseignants avec l’aval de l’Inspection de l’éducation nationale

    Civitas a transmis à notre rédaction un courrier daté du 7 février 2014, adressé aux chefs d’établissement scolaire par Alain Brélivet, « référent de la mission égalité filles-garçons » pour l’académie de Créteil.

    Ce courrier est à en-tête officiel. Alain Brélivet agit en tant qu’Inspecteur de l’éducation nationale. Dans le cadre de « la mission égalité filles-garçons » du plan académique de formation, Alain Brélivet présentait le programme d’une journée de conférences organisée le 11 mars au Centre départemental de documentation pédagogique du Val-de-Marne et remerciait les chefs d’établissement scolaire de procéder à l’inscription des personnels intéressés.

    Le programme de la journée ?

    Le matin était consacré au thème « Masculin / féminin : l’approche de la psychanalyse. Le sujet était confié à Fanny Dargent (psychanalyste, maîtresse de conférences), ainsi qu’à Laurie Laufer que l’inspection de l’éducation nationale nous présente sobrement comme « psychanalyste, professeure (université Paris 7 Denis Diderot) ». C’est faire l’impasse sur un « détail » qui a toute son importance : Laurie Laufer est aussi présidente du « Comité scientifique » de l’Institut Emilie du Châtelet qui agit « pour le développement et la diffusion des recherches sur les femmes, le sexe et le genre ». Le « Centre de Recherches Psychanalyse, Médecine et Société » de l’Université Paris Diderot confirme d’ailleurs que le principal thème de recherches de Laurie Lauffer est : « genre, sexualité, psychanalyse ». Bref, on touche ici un nid d’idéologues de la théorie du genre.

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