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anti-national - Page 835

  • Bibliothèques idéologiques (suite)

    La polémique sur les ouvrages idéologiques mis à la portée des enfants dans les bibliothèques se poursuit. Ainsi, l'Association des bibliothécaires de France s'indigne :

    "Ces derniers jours, quelques sites web ont mené des appels au retrait de livres achetés par des bibliothèques municipales, dont la liste est également dressée. Les ouvrages incriminés sont ceux d’une bibliographie proposée par le syndicat SNUipp-FSU de 79 livres de jeunesse pour l’égalité et concernent essentiellement l’égalité femme-homme et l’homosexualité. [...]"

    Le SNUipp a droit à plus de considération que les parents.

    J'apprends aussi l'existence de la Charte des auteurs et des illustrateurs jeunesse, qui défend son beurre, car, soyons honnêtes : si les bibliothèques n'achetaient plus ces ouvrages idéologiques, qui les achèteraient ?

    "[...] La Charte tient d’abord à exprimer sa colère de voir des auteurs, illustrateurs, éditeurs, libraires, bibliothécaires, enseignants et blogueurs de littérature jeunesse mis injustement en cause dans différents faits d'actualité touchant aux questions des genres ou de l’égalité fille-garçon. Nous ne pouvons laisser ces appels à la censure et à la haine passer pour des opinions acceptables. Nous ne pouvons excuser l’ignorance de ceux qui portent ces attaques. [...]

    Le Monde en perd même son français. A force de se concentrer sur une idéologie, on en perd la grammaire :

    MD'autres bibliothèques sont visées désormais par les parents qui s'inquiètent de la propagande faite contre leurs enfants : Loire-Forez (42), Besançon, Lille...

    Michel Janva

  • Rennes : les 4 miliciens antifas ont été relâchés

    Les quatre personnes interpellées samedi soir à Rennes lors de la manifestation violente contre une réunion du Front national ont été relâchées.

    Des policiers avaient été atteints par des jets de pavés, avant de faire usage de gaz lacrymogènes et d’un canon à eau.
    antifa
    Dans un communiqué, le maire PS de Rennes, Daniel Delaveau, a condamné ces violences, tout en portant la responsabilité sur le FN (sic), qui aurait choisi la provocation en organisant la réunion dans un lieu symbolique des luttes sociales à Rennes…

    « Le Front national, qui n’est pas un parti comme les autres, a choisi de tenir un meeting salle de la Cité, avec le sens de la provocation dont il est coutumier. Ses mensonges et son esprit polémique ne sauraient duper personne ».

    Jacques Bompard pose 2 questions écrites au ministre de l’Intérieur et du désordre :
    « M. Jacques Bompard attire l’attention de M. le ministre de l’intérieur sur les violences perpétrées par des groupuscules d’extrême gauche à Rennes le samedi 8 février 2014. Ces groupes violents d’extrême gauche dénommés anti-fas ont pris prétexte de l’organisation d’une réunion publique du Front National dans le cadre de la campagne pour l’élection municipale de Rennes pour ravager le centre-ville de Rennes. Il semble que la violence soit autorisée et légitime aux yeux de Monsieur le ministre de l’intérieur lorsqu’elle est le fait de groupes d’extrême gauche, alors même qu’il organise de véritables rafles de manifestants pacifiques lorsqu’il s’agit d’opposants à la politique gouvernementale, que ce soit lors des nombreuses Manif Pour Tous ou lors du Jour de Colère du 26 janvier 2014. A Rennes, des voitures ont été brûlées, des vitrines saccagées, des pavés et des bouteilles ont été jetées sur les forces de l’ordre, dont cinq membres ont été blessés. M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l’intérieur de condamner enfin les groupuscules d’extrême gauche et de mettre fin à l’impunité dont ils jouissent actuellement, et lui demande combien de personnes ont été placées en garde à vue lors de ces incidents de Rennes. »

    « M. Jacques Bompard attire l’attention de M. le ministre de l’intérieur sur l’attaque subie par la librairie Facta dans le neuvième arrondissement de Paris, vandalisée pour la deuxième fois en moins de trois mois. Cette librairie a été vandalisée en marge d’une manifestation d’extrême gauche autorisée par la préfecture de police. Cette manifestation entendait protester contre la montée de la droite. Monsieur le ministre de l’intérieur a condamné de prétendues violences lors de la dispersion de la manifestation du 26 janvier 2014 organisée par le collectif Jour de Colère  » alors même qu’il n’y a eu à déplorer, lors de cette manifestation, ni voiture brûlée, ni vitrine brisée. Le saccage d’une librairie n’est pas un acte anodin. Il s’agit d’une atteinte à la culture qui rappelle les heures les plus sombres de notre histoire. Jacques Bompard est surpris que Monsieur le ministre de l’intérieur, si prompt à dénoncer des violences imaginaires lors de la manifestation Jour de colère du 26 janvier dernier et qui avait alors décidé d’arrêter sans motif plusieurs e 250 manifestants pacifiques, n’ait toujours pas condamné les violences en marge de la manifestation d’extrême gauche du 9 février et que les forces de l’ordre n’aient procédé à aucune interpellation malgré cette attaque d’une librairie. M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l’intérieur d’agir contre les milices d’extrême gauche qui font régner la terreur et vandalisent régulièrement les centre-ville de Paris ou d’autres grandes villes, au lieu de s’acharner contre les manifestations pacifiques de La Manif pour Tous ou de Jour de Colère qui, en seize mois, n’ont donné lieux à aucune violence réelle puisqu’on ne dénombre ni vitrine brisée, ni voiture brûlée, ni commerce saccagé, leur seul tort étant de s’opposer à la politique du gouvernement socialiste. »
    Michel Janva dans Le Salon Beige

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/rennes-les-4-miliciens-antifas-ont-ete-relaches_99368.html#more-99368

  • Accueil de 3 ministres à Angers ce mercredi 12 février…

    Jean-Marc Ayrault se rendra à Angers le mercredi 12 février, accompagné de Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la Santé, et de Michèle Delaunay, Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et de l’Autonomie.

    Angers Programe :

    •10h10 - Visite d’un L.E.N.A.
    (Logement évolutif pour une nouvelle autonomie)

    •10h50 – Visite de l’espace territorial « Bien Vieillir Robert Robin »

    •11h15 – Intervention du Premier Ministre à l’espace territorial « Bien Vieillir Robert Robin »
    16 bis, avenue Jean XXIII – Angers

  • Pourquoi tant de haine M. Valls ?

    Qui pouvait en douter ? Selon le dernier baromètre mensuel réalisé par Ipsos, François Hollande n’a pas convaincu après l’annonce de sa conversion au sociale-libéralisme: il chute de trois points avec 21 % d‘opinions favorables et parvient à gagner…un nouveau record d’impopularité avec 76 % d’opinions défavorables (+ 2 points), dont 43 % « très défavorables » (+ 3 points). Jean-Marc Ayrault évolue logiquement dans les mêmes eaux avec 22 % de bonnes opinions (- quatre points). La surprise pour un certain nombre de commentateurs vient de la rapidité et de l’ampleur de la dégringolade de la cote de popularité de Manuel Valls. Certes il n’est pas le seul? puisque sur 37 personnalités mesurées par cette enquête Ipsos, 29 sont à la baisse, dont 18 d’au moins trois points. Marine Le Pen est une des rares à progresser gagnant un point avec 30 % de bonnes opinions. Le ministre de l’Intérieur qui expliquait sur France 2 la semaine dernière qu’il «(regardait) les sondages avec intérêt» mais pas «en permanence», perd 11 points sur deux mois. Il reste en tête du baromètre – avec 48 % de bonnes intentions -, mais avec seulement  un point d’avance sur Bertrand Delanoë… contre dix points à la fin de l’automne. Ce dévissage de M. Valls dans l’opinion est confirmé par Harris Interactive ou il chute de neuf points,  mais aussi dans le baromètre mensuel BVA  (-6 points), pour l’institut YouGov (-7 pts) et OpinionWay (-12 points)

     Ce désaveu qui frappe aussi très largement les autres ténors des partis du Système comme le rapporte le sondage Ipsos cité plus haut, fait peur à beaucoup. Jean-François Doridot, de ce même institut, explique que «Cela n’augure rien de bon à un mois et demi des municipales. On ne peut pas vraiment dire que les deux camps se mobilisent. Ça s’annonce difficile pour tout le monde, y compris pour le Front National » croit-il savoir.

     Il faut en effet rappeler à nos compatriotes, comme le fait inlassablement Bruno Gollnisch, que l’on ne peut pas ébranler le Système en faisant la grève du vote, bien au contraire on le conforte en agissant ainsi. L’abstentionnisme est un allié de revers de l’euromondialisme. C’est en déposant un bulletin FN dans l’urne que l’on peut faire bouger les lignes et préparer l’alternative, la politique restant encore et toujours une question de rapport de forces. A bon entendeur…

     Rapport de force que Manuel Valls, a voulu engager contre une partie des Français et qu’il paye comptant dans les sondages, malgré le soutien médiatique bien réel dont dispose ce membre du club Le Siècle. A l’évidence son très médiocre bilan dans le domaine de la lutte contre la délinquance, laquelle touche tous les Français, de gauche comme de droite, les catégories les plus modestes, explique cette forte décrue de bonnes opinions.

     Mais au  delà, son bras de fer contre Dieudonné est aussi une des causes de sa dégringolade dans les sondages .Notamment auprès des électeurs franco-afro-maghrébins, des populations musulmanes de la France des banlieues, considérés jusqu’alors comme une clientèle électorale captive de la gauche et du PS en particulier. A tort ou à raison, le ministre de l’Intérieur  est apparu dans ce dossier comme le défenseur des intérêts d’une communauté tout en fustigeant à longueur de discours officiel  le communautarisme au nom de la république et de la laïcité…

     Dans le domaine des atteintes à la liberté d’expression, il n’est pas anodin non plus que les autorités françaises soient les championnes du monde lorsqu’il s’agit de demander la suppression de tweets. Selon les statistiques rapportées par Le Monde, entre juillet et décembre 2013, des pays comme l’Inde, le Royaume-Uni et la Russie ont demandé respectivement les suppressions de six, huit et quatorze tweets. Or, via  les autorités administratives et ses partenaires, en l’occurrence un certain nombre d’officines subventionnées, gardiennes du dogme progressiste et des luttes contre les discriminations, 306 demandes de censure ont été formulées dans le même laps de temps par le France !  

     Manuel Valls paye aussi «à droite» ses saillies contre la radicalisation de cette frange de l’électorat comparé au tea party américain ont expliqué quelques observateurs. Il révulse aussi nombre de Français par son soutien implicite  à l’activisme anticatholique.  Un tropisme socialo-maçonnique, qui est symbolisé dans un autre domaine par le  très militant Vincent Peillon au sein du ministère de l’Education « nationale» qui couvre de son autorité, entre autres,  une entreprise de lavage de cerveau des enfants avec les  ABCD de l’égalité.

     Nos compatriotes sont excédés plus largement par le règne du deux poids deux mesures, les atteintes à leur foi, et croyants ou non, les coups portés à une religion catholique consubstantielle à notre civilisation française et notre culture nationale.

     Si l’AGRIF (l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) a su mobiliser avec succès samedi  dernier à Paris pour demander la dissolution des Femen, M. Valls a octroyé un passeport français à la dirigeante ukrainienne des Femen, Inna Schevchenko, dont la tête orne un  timbre de  la  république ( !!!). Il a donné son accord pour que  ce  groupuscule d’activistes ciblant notamment les  églises puisse s’installer sur le territoire  national.

     Le ministre de l’Intérieur, nous l’avions souligné, n’a émis qu’une protestation bien molle, de pure forme, devant la dernière profanation en date de ces dernières, en  l’église Sainte-Odile à Paris. Faut-il y voir un lien de cause à effet,  M. Valls est membre  (également de « manière éternelle, quand même » ?)  comme Alain Bauer,  de la loge « L’infini maçonnique » affilié au Grand Orient.

     Cette affiliation est à prendre en compte à la lumière de sa détestation des idéaux portés par le Mouvement national et de sa volonté d’associer le FN à l’extrémisme. Cela explique en partie que les groupuscules d’extrême gauche, éternels idiots utiles d’un Système qu’ils prétendent combattre, soient instrumentalisés par le pouvoir, comme on l’a vu à Rennes cette fin de semaine, avec la manifestation anti-FN qui a dégénéré en scènes d’émeute.

     Il s’agit d’associer, par capillarité en quelque sorte remarque Bruno Gollnisch, le FN à des images de violence, pour faire peur. Les milices anti frontistes sont bien utilisées pas le pouvoir avec beaucoup de cynisme et de malignité. Encore faut-il le savoir.

     Et ne pas se tromper sur la nature des regards  noirs que M.  Valls réservent dans ses  conférences de presse à l’évocation du FN  et dans les  débats à  Marine Le Pen ou dernièrement  sur France 2 à Florian Philippot. Comme le notait finement le cardinal de Mazarin dans son « bréviaire des politiciens», « Si quelqu’un te manifeste sa haine, sache que ce sentiment est toujours authentique : à la différence de l’amour, la haine ignore l’hypocrisie»…

    http://gollnisch.com/2014/02/11/pourquoi-tant-de-haine-m-valls/

  • L’Education nationale française pourrit par la tête !

    Il y a deux périodes bénies dans la vie où le sexe nous fout la paix, la vieillesse (enfin je l’espère, je n’y suis pas encore arrivé, mais je fais des progrès notables)… et l’enfance.
    Quand j’étais enfant, avant que le traumatisme de la puberté ne m’atteigne, je courais derrière un ballon, je montais aux arbres, je mettais des claques à mon frère qui me les rendait avec beaucoup d’allégresse, je lisais tout ce qui me tombait sous la main en n’en comprenant pas la moitié, bref c’était le bonheur total surtout pendant les vacances qui duraient une éternité. Le seul point noir dans ma vie étant qu’il fallait aller à l’école pour y être enfermé dans le but tout à fait incompréhensible d’essayer de m’apprendre quelque chose. L’avantage de l’école était qu’aux récréations, je retrouvais toute une série de copains et que l’on pouvait se mettre des claques, grimper aux arbres, courir derrière un ballon (voir plus haut).
    Pour plus de détails sur ma petite enfance, relire « Le Petit Nicolas » de Sempé et Goscinny, ou « Le château de ma mère » de Marcel Pagnol.
    De l’autre côté de la rue, il y avait une autre école, réservée à une autre sorte d’enfants, habillées différemment, qui en général terminaient la journée aussi propres qu’elles l’avaient commencée et dont on nous disait qu’elles s’appelaient « des filles ». Je savais que cette autre sorte d’enfants existait puisque j’avais deux grandes sœurs plus âgées que moi à la maison, mais dans l’ensemble les relations entre les deux écoles étaient ténues et les invitations croisées dans les goûters d’anniversaire assez rares en ces temps anciens. Mais je peux assurer le lecteur que s’il y avait une chose qui ne nous préoccupait pas, c’était « le sexe ». En fait, la puberté commençant à roder, l’un de mes copains me raconta un jour sous le sceau du secret comment cela se passait entre un homme et une femme. Je sortis de cette conversation complètement certain que mon copain racontait n’importe quoi pour se rendre intéressant.
    Etait-ce bien ? Etait-ce mal ? Je n’en sais rien, mais en tout cas je ne changerais pas mon enfance pour celle des petits garçons ou des petites filles actuels (ou devrais-je écrire actuelles ? Grave question, après tout le masculin doit-il toujours grammaticalement l’emporter sur le féminin ?).
    Et avoir une enfance heureuse est de loin le plus beau cadeau que des adultes puissent faire à un enfant.
    En effet, dans « la fabrique de crétins » qu’est devenue l’Education nationale, une série d’obsédés sexuels et de pédophiles enragés a, à l’évidence, pris le pouvoir au ministère et veut à tout prix « informer » les pauvres gamins sur ce qui sera sans aucun doute la grand histoire de leur vie, le sexe. Le fait qu’une grande partie de nos enfants arrivent en sixième en ne sachant ni lire, ni écrire, ni compter ne les préoccupe guère en revanche.
    L’essentiel c’est d’être certain, vraiment certain, qu’à 12 ans aucun d’entre eux n’ignore rien de l’homosexualité, du kamasutra et de tous ces choix qui s’offrent à eux. Certes, on a les priorités qu’on peut… Et cette volonté de ne rien laisser ignorer aux enfants des « choses de la vie « , je l’assimile à de la pédophilie éducationnelle.
    Qu’est-ce donc que la pédophilie, la vraie ?
    Apparemment un certain nombre d’adultes ne supportent pas cet « âge de l’innocence » et cherchent à imposer leurs fantasmes sexuels à ces innocents. Et les petites victimes en sortent abîmées à jamais. Et cela est monstrueux.
    La pédophilie éducationnelle est bien sûr différente. La relation physique n’est pas le but recherché. L’idée ici est d’introduire dans l’esprit de l’enfant des informations appartenant au monde des adultes de façon à ne rien lui laisser ignorer de ce qui l’attend plus tard.
    Mais l’horrible chose est que l’enfant n’est pas équipé physiquement pour « traiter » cette information. Etre mis au courant de faits sur lesquels on n’a aucune prise ne peut être que générateur d’angoisses et de troubles.
    Ce que les pédophiles font souffrir au corps des enfants, les pédophiles « éducationnels » le font souffrir à leur esprit. Et cela est monstrueux également, comme le Christ nous le dit, sans ambages : « Mais, si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer. » Mathieu 18.6.
    Mais qui donc sont ces pédophiles éducationnels ?
    Aussi curieux que cela paraisse, ce ne sont pour ainsi dire jamais des enseignants « du terrain ». Ils ne voient que fort rarement un enfant. Les enfants ne les intéressent pas. Ce qui les passionne, c’est de transformer la nature profonde de ceux que leurs parents sont bien forcés de leur confier, leurs enfants.
    Ce sont la plupart du temps des « intellectuels », des politiques, des syndicalistes appartenant à l’administration de l’Education nationale, des « chercheurs » à l’Université ou au CNRS, qui vont de comité Théodule en comité Théodule, de congrès international en congrès international où ils retrouvent ceux qui pensent comme eux et où l’on parle non pas d’éducation ou d’enseignement, mais de « changer la nature humaine », ambition totalitaire par excellence, qui a déjà fait des centaines de millions de morts depuis le XVIIIe siècle où cette idée bizarre est apparue pour la première fois.
    Parler de liberté en envoyant ceux qui ne sont pas d’accord au goulag a toujours été la caractéristique de ceux qui veulent faire le bonheur du genre humain en changeant la nature de l’homme.
    Nos pédophiles éducationnels font donc partie d’une longue lignée « de gauche », qui commence avec les massacres de la Convention pour se terminer avec le Cambodge ou la Corée du Nord, en passant par Marx, Staline…
    Il est rare que nos pédophiles aient des enfants eux-mêmes, et s’ils en ont , comme l’illustre Bourdieu qui a écrit de multiples livres sur l’école comme moyen de transmission du pouvoir par la classe dominante, ils les font inscrire à Henri IV à Paris, la matrice de l’élite par excellence, ce que ce lycée ne pouvait lui refuser puisqu’il était professeur au Collège de France.
    Leur dieu philosophique est Rousseau, qui a beaucoup écrit sur l’éducation à donner aux enfants, tout en abandonnant ceux qu’il avait fait à sa domestique aux bons soins de l’assistance publique, alors gérée par l’Eglise catholique, dont il disait le plus grand mal. Faire des enfants, les abandonner, dire du mal de ceux qui les ont recueillis tout en écrivant des traités sur l’éducation, on comprend que la gauche adore Rousseau. Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais…
    Quelle est la solution va me demander le lecteur ? Elle est simple. Comme le dit le proverbe chinois, « le poisson pourrit toujours par la tête ».
    Et donc quand une structure est centralisée, si des forces mauvaises en prennent le contrôle, le pouvoir immense que permet cette centralisation peut créer des dégâts gigantesques, comme on l’a vu avec l’Union soviétique, l’Allemagne nazie, et maintenant avec l’Education nationale française.
    Partons de deux constatations :
    1. La tête de notre système éducatif est pourrie comme jamais.
    2. La changer est impossible politiquement.
    Il faut donc non pas couper cette tête, mais en faire une tête parmi d’autres et créer de très nombreuses autres têtes pour permettre de vraies expériences. Il faut donc décentraliser notre Education nationale pour que ces gens en perdent le contrôle et rendre le contrôle du système éducatif à ceux qui ont des enfants, c’est-à-dire aux parents, par l’intermédiaire du chèque éducation comme cela a été le cas en Suède qui a fort bien réussi cette transformation.
    Et les parents pourront, s’ils le veulent, mettre leurs enfants dans les écoles qui suivront les idées de mes pédophiles éducationnels. Je ne doute pas de leur succès.
    Charles Gave
    http://francelibre.tumblr.com/post/76312404816/leducation-nationale-francaise-pourrit-par-la-tete#.Uvn2AfYsRXY

  • SOS Racisme veut s’en prendre à la mémoire du 6 février et sombre dans le ridicule

    sos7.jpgL’association antifrançaise SOS-Racisme a organisé une petite manifestation, le 6 février, place de la Concorde, en profanant ainsi ignoblement la mémoire des patriotes français morts ce jour-là.
    Ce rassemblement fut un bide et le vent s’est chargé de détruire la banderole, les ridiculisant et les empêchant de tenir leur pitoyable réunion !

    On notera la différence de traitement, encore une fois, avec les nationalistes.
    Ces gauchistes peuvent venir manifester et déployer une grande banderole dans une action de pure provocation, place de la Concorde. Mais quand ce sont les nationalistes du Renouveau français qui se retrouvent pour un hommage solennel et discret sur cette même place quelques heures plus tard, une horde de CRS hystériques leur tombe dessus !

    http://www.contre-info.com/

     

  • Exemple d’une association dégénérée venant bourrer le crâne des élèves

    couleurs.jpgIl y a des partisans du gouvernement pour dire que les tenants de la théorie du genre et de la propagande homosexuelle ne viennent pas dans les classes s’en prendre aux cerveaux des jeunes.

    Sur le tract (visible ici) que l’association (financée par les impôts) communautaire homosexualiste, militante LGBT « Couleurs gaies » [sic] envoie aux établissements de la région Lorraine, on peut lire :
    Depuis 2008, Couleurs Gaies est agréée par l’Académie de Nancy-Metz pour de telles interventions.

    Ces dernières sont construites en référence aux objectifs fixés par les différentes circulaires du ministère de l’Education nationale qui préconisent la lutte contre toutes les formes de discriminations. Au cours de l’année scolaire 2011/2012, notre association a sensibilisé près de 2000 élèves, de la 4ème à la Terminale. [...] Nos interventions font la part belle aux techniques de pédagogie active.

    L’homophobie est la clef d’entrée pour réaliser un travail plus large de déconstruction des stéréotypes et d’analyse critique des phénomènes discriminatoires. [...]
    Nous sommes très sollicités, surtout au cours des mois de janvier, février, mars et avril.
  • Quand l'UMP s'attaque à un document sur la théorie du genre qu'elle a elle-même diffusé...

     

     

    L'UMP en est persuadée : le gouvernement cherche à effacer les preuves de sa promotion de la "théorie du genre". Tellement persuadée que l'un de ses délégués généraux, le député Sébastien Huyghe, a signé un communiqué le 4 février affirmant ceci : Le gouvernement, pris la main dans le sac sur la théorie du genre, essaye désespérément de faire disparaître les pièces à conviction qui l'accusent.
    Cette "pièce à conviction" est un tableau mis en ligne par le site Ligne Azur, une filiale de l'association Sida info service travaillant en partenariat avec l'Education nationale et proposant un service d'écoute téléphonique à destination des lycéens. Le tableau et le site ont pour vocation d'aider ces lycéens se posant des questions sur leur orientation sexuelle. Sauf que depuis le 3 février, le site ne répond plus.
    Il n'en faut pas plus à l'UMP pour accuser le gouvernement de faire tomber volontairement le site, pour cacher ce document, qui explique par exemple que les pratiques sexuelles ne sont pas "nécessairement connectées à la façon dont [on] définit [son] orientation" sexuelle. Une véritable promotion du "genre"à l'école selon l'UMP, que le gouvernement voudrait désormais faire disparaître.
    A un détail près, que Sébastien Huyghe ne semble pas avoir relevé, contrairement à la rubrique Désintox de Libération qui s'est penchée sur la question : le partenariat entre les lycées et Ligne Azur existe depuis 2009. Il été lancé et promu par le ministre UMP Xavier Darcos dans une volonté de "lutte contre l'homophobie", puis reconduit avec le même enthousiasme par Luc Chatel.
    Quant au tableau incriminé, il est en ligne depuis plus de deux ans, avant que la gauche n'arrive au pouvoir. Najat Vallaud-Belkacem ou Vincent Peillon n'ont donc aucun lien avec sa diffusion. L'Etat n'est de toute façon pas censé interférer avec le contenu du site, selon le partenariat qui le lie à Ligne Azur, explique également Libération.
    La formule "identité de genre", qui hérisse le poil de beaucoup à l'UMP, a toujours été présente, même sous l'ère Darcos et Chatel, affirme enfin le rédacteur en chef de Ligne Azur, Alain Miguet. 

     

    Mais ça, Sébastien Huyghe ne l'avait pas relevé à l'époque.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • La charia officiellement enseignée dans un lycée français…

    Qui a dit que l’intégration, ça ne marchait pas ? Au Qatar, ça galope ! Enfin, pour ce qui est de l’intégration des Français à l’islam.

    Qui a dit que l’intégration, ça ne marchait pas ? Au Qatar, ça galope, même ! Enfin, pour ce qui est de l’intégration des Français à l’islam, en tout cas. Au lycée Voltaire de Doha, « certains problèmes » sont donc réglés après l’accord signé entre la France et le Qatar : entre autres, la séparation des sexes au niveau du secondaire et l’enseignement de la religion musulmane. Ici, le mariage ; là-bas, la charia… pour tous !

    Ali Ben Fetais al-Marri, procureur général du Qatar et président du conseil d’administration du lycée Voltaire, l’affirme : « Il y a trois questions qui sont importantes pour les Qataris et les Arabes qui fréquentent cette école, et ce sont l’enseignement de la charia islamique, de la langue arabe et de la séparation entre garçons et filles à partir d’un certain âge… » Qu’à cela ne tienne. « Nos amis français se sont montrés compréhensifs, car l’essentiel pour nous est d’avoir des Qataris francophones attachés à leur langue et leur religion. »

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  • ILGA, exemple de cette internationale LGBT qui vit de subventions

    Peu de gens osent aujourd’hui remettre en question la pertinence, l’influence internationale et le pouvoir économique des organisations politiques LGBT. Il est pourtant bien utile de s’intéresser par exemple au rôle de l’Association lesbienne et gay internationale (ILGA).
    Ce lobby est-il influent en raison de sa représentativité sociale ou de sa force économique donnée par ses membres, affiliés et sympathisants ? La réponse est non, et son apparente force sociale est un montage artificiel dénué de toute représentativité.

    D’où vient le pouvoir économique de l’homosexualisme politique ?
    La réponse à cette question peut être envisagée à travers l’exemple de l’ILGA, qui regroupe environ 356 organisations LGBT en Europe, avec un budget en 2013 de 2.032.400€ selon les données du «registre de transparence» de l’ILGA-Europe, publiées par l’Union européenne.

    Cependant, loin de ce qu’on pourrait attendre d’une organisation qui se prétend représentative et affirme disposer de millions de sympathisants, près des trois quarts du budget de l’organisation, à savoir 69,28%, sont couvert par des subventions publiques de l’ Union européenne mais aussi des États membres.

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