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avortement et euthanasie - Page 116

  • Fondation Jérôme Lejeune : 20 ans, ça se fête !

    Chers amis,

    20 ans ça se fête !

    D’avril 2014 à avril 2015, la Fondation Jérôme Lejeune célèbre « 20 ans de défi scientifique et éthique ».

    De nombreux événements sont organisés pour commémorer à la fois la mort du professeur Jérôme Lejeune (3 avril 1994) et la création de la Fondation (avril 1995) : expositions, conférences, soirées débat, publications…

    Les 2 premiers moments forts de cette année :
    - 1) Samedi 5 avril à 10h30 la Messe pour la vie, célébrée à Notre Dame de Paris par le Cardinal André Vingt-Trois
    - 2) Mardi 8 avril à 20h00 une soirée débat au collège des Bernardins : « Jérôme Lejeune : une conscience pour la science d’aujourd’hui ? »

    Les intervenants sont Jean-Marie Le Méné président de la Fondation Jérôme Lejeune, Arnold Munnich Directeur du département de génétique de l’hôpital Necker et Mgr Jacques Suaudeau de l’Académie pontificale pour la vie.

    Pour participer et débattre il faut s’inscrire ici (5€) [...]

    La suite sur le site de la fondation

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Fondation-Jerome-Lejeune-20-ans-ca

  • Espagne – Les avortements pratiqués en 15 jours répondraient aux demandes d’adoption introduites en un an

    Espagne – La quantité d’avortements commis en une quinzaine de jours permettrait de couvrirait la liste de demandes d’adoption déposées en un an.

    Les exposés des experts en questions liées la vie et la famille réunis durant le Congrès « La conception d’un nouveau partenariat pour la vie » de DALAVIDA ont spécialement traité des lois, de l’éducation , de l’économie et des médias. Quatre sphères qui pourraient contribuer au changement  de conception d’une nouvelle société qui défendrait la vie.

    Le directeur du Centre d’études familiales de l’Université Francisco de Vitoria, María Lacalle; le professeur de philosophie du droit de l’Université San Pablo CEU,  Elio Gallego; le Docteur en sciences économiques et commerciales à l’Université Autonome de Madrid, Oscar Vara et le directeur de la Fondation Jérôme Lejeune, Mónica López Barahona, étaient les intervenants.

    Mónica López Barahona a indiqué que les avortements pratiqués en Espagne atteignent en quinze jours les 4.000 cas d’enfants mis à mort, et que ce chiffre couvrirait la liste d’attente de l’adoption d’une année entière.

    « Comment est-il possible que personne ne prenne cela en compte ? », s’est demandé M. Lopez Barahona, rappelant que la durée moyenne d’attente dans le processus d’adoption est de cinq ans .
    Elle a aussi demandé de véritables alternatives à l’avortement, accompagnées par des politiques qui profitent vraiment les femmes enceinte.

    http://medias-presse.info/espagne-les-avortements-pratiques-en-15-jours-repondraient-aux-demandes-dadoption-introduites-en-un-an/8175

  • Succès de la Marche pour la Vie de Bruxelles

    MacheviebruxMalgré l’arrivée  du Président de la Chine en Belgique et d’une grande manifestation de l’autonomiste européen, la marche pour la Vie de Bruxelles  a rassemblé plus de 2000 personnes,  3500 pour les organisateur, moins selon la police. Plusieurs délégations étrangères présentes, USA, Pologne, Italie France, Pays- Bas.

    Des témoignages émouvants ont été racontés à la tribune,  des proches des personnes qu’on était euthanasié sans que personne leur prévienne…

    L’archevêque de Bruxelles Monseigneur Leonard a rappellé que tous les élus qu’ont voté de lois ont tous été des embryons au commencement et qu'on leur a laissé la possibilité  de vivre… et qu'il faut agir pour que le respect de la personne  à toute l’étape de la vie.

    Des milliers de ballons avec le cœur Ia Life ont été lâché para les enfants et la Marche a fini dans une ambiance familiale et joyeuse au  Mont des Arts (centre-ville de Bruxelles).

    MarcheVieBruxelles0314MvieBruxballonsMichel Janva

  • 252 enfants à naître sauvés de l’avortement

    Au vingt-et-unième jour de la campagne de Carême lancée par les 40 Days for Life.

    Michel Janva

  • Pérou : la plus grande marche pro-vie d’Amérique latine

    Pour la troisième année, Lima a accueilli la grande Marche pour la vie et cette année, les Péruviens sont entrés dans l’histoire en réalisant probablement la plus grande manifestation pro-vie de l’histoire de l’Amérique latine avec la participation de 150.000 à 300.000 personnes.

    Des enfants, des jeunes, des adultes ont marché dès 9h du matin le samedi 22 mars. Ils se sont réunis au croisement des avenues Brasil et Javier Prado et ont marché jusqu’au Campo de Marte .

     lima-provida-1-MPI

    Les photos sont impressionnantes mais cela n’a pas empêché des articles défavorables comme celui de l’agence Andina, qui titrait ridiculement « Une centaine de personnes se sont mobilisées dans les rues de Lima ».

    Les photos aériennes nombreuses qui peuvent se voir sur le site Facebook des organisateurs ne sont pas reprises dans la majorité des journaux péruviens qui ont minimisé la participation et utiliser des photos de petits groupes.

     lima-provida-2-MPI

     

    lima-provida-3-MPI

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  • Au Royaume-Uni, des hôpitaux chauffés avec des corps d’enfants avortés ou morts-nés…

    Le glauque n’a plus de limites : au Royaume-Uni, au moins 15 500 corps d’enfants avortés ou mort-nés ont été traités comme des déchets cliniques et incinérés ces deux dernières années, dont des milliers pour chauffer 27 hôpitaux et cliniques, résume The Telegraph, suite aux révélations du magazine Dispatches diffusé ce soir par Channel4.
    Inutile de préciser que leurs parents n’ont pas été consultés.
    Dimanche soir, le ministère de la Santé a émis une interdiction immédiate de cette pratique « totalement inacceptable » selon les termes du ministre de la Santé, le Dr Dan Poulter.

    Les gens peuvent en effet encore être choqués mais gageons que, si rien ne change, dans quelques années, tout le monde l’acceptera. Sous des prétextes utilitaristes, écologiques, et avec une conception matérialiste de l’humain, le pire est possible.
    D’ailleurs, si avec l’avortement, on considère déjà que les embryons ne sont que des amas de cellules, on n’est pas loin d’une telle suite logique.

    Source NDF

    http://www.contre-info.com/

  • 250 000 marcheurs pour la vie au Pérou

    Hier, les organisateurs de la Marche pour la vie, qui s'est déroulée à Lima, au Pérou, ont revendiqué 250 000 participants, contre 100 000 l'an dernier !

    LimaUne loi péruvienne a fait du 25 mars (fête de l'Annonciation) le "jour de l'enfant à naître".

    Louise Tudy

  • Les “conditions strictes” qui encadrent l’euthanasie ne sont pas respectées

    Philippe Juvin, maire UMP de La Garenne Colombes et député européen, avait signé une tribune sur l'euthanasie dans Valeurs Actuelles il y a quelques mois. La voilà :

    J"Le débat sur la légalisation de l’euthanasie est donc relancé. Le sujet est complexe et riche. Un des aspects du débat porte sur les limites qui seraient inscrites dans la loi pour autoriser la réalisation d’une euthanasie. Autrement dit, des critères pourraient-ils être imaginés pour encadrer strictement la pratique d’une euthanasie afin qu’elle reste réservée à quelques cas exceptionnels de souffrance incurable ? Certains le pensent. D’autres répondent que le respect de tels critères est illusoire. Une façon de départager les deux avis est d’étudier les exemples étrangers, dans les pays où l’euthanasie a été autorisée.

    Le premier garde-fou habituellement rencontré dans les lois existantes est, heureusement, l’obligation de recueillir l’accord explicite du patient. Or en 2007, une étude financée par le ministre hollandais de la Santé et publiée dans le très honorable New England Journal of Medicine a montré que plus de 500 personnes étaient euthanasiées chaque année aux Pays-Bas sans leur accord explicite… En Belgique, la situation semble encore plus préoccupante puisque, dans un travail publié en 2009 dans le même journal, la moitié des morts par injection létale avaient été réalisées sans consentement explicite du patient.

    Autre garde-fou souvent rencontré dans les législations d’euthanasie : l’obligation d’obtenir un second avis médical avant d’autoriser la mort du patient. Le rôle de ce second avis étant double : vérifier que le patient avait bien compris ce qu’on lui proposait et qu’il souffrait effectivement d’une maladie grave, invalidante et incurable. Or l’étude hollandaise déjà citée montrait que ce second avis médical n’était retrouvé que dans 35 % des dossiers d’euthanasie réalisée sans accord explicite du patient. Une étude canadienne de 2011 et citée dans Current Oncology montrait que dans l’Oregon, sur 62 euthanasies consécutives, 58 avaient bien reçu le second avis favorable, mais que celui-ci avait été donné par un seul médecin, militant pro-euthanasie notoire.

    Le dernier garde-fou habituellement prévu dans les lois légalisant l’euthanasie est l’obligation d’obtenir l’accord d’un psychiatre pour s’assurer que le patient qui a demandé l’euthanasie ne souffre pas de démence ni de dépression susceptibles d’altérer son libre arbitre. La dépression est en effet fréquente au cours des phases terminales de cancer : jusqu’à 59 % des cas dans un travail de l’American Journal of Psychiatry en 1995. Or en 2011 dans l’Oregon, un seul patient sur 71 euthanasies avait bénéficié de l’avis d’un psychiatre alors que la majorité de ces patients avait un cancer en phase terminale.

    Autrement dit, il n’est pas exagéré d’affirmer que de nombreux authentiques dépressifs, peut-être incapables de donner un consentement éclairé, ont été euthanasiés. Cette observation rappelle cette polémique qui avait impliqué l’association suisse Dignitas, qui organisa l’euthanasie d’un frère et d’une soeur schizophrènes dont la capacité de jugement fut mise en doute.

    Ces études scientifiques ont été publiées dans des revues reconnues, à comité de lecture, c’est-à-dire que leur méthodologie a été validée par des lecteurs indépendants. Elles démontrent donc que, dans les pays où l’euthanasie a été légalisée, celle-ci est assez souvent réalisée sans l’accord du patient ni l’obtention d’un second avis médical, alors que ces deux points sont légalement obligatoires. Finissons donc avec une illusion : celle d’une loi propre, qui permettrait des euthanasies sans risque de bavure.

    L’expérience de nos voisins est sans appel : les “conditions strictes” qui encadreront la légalisation de l’euthanasie ne seront pas plus respectées en France qu’elles ne le sont aujourd’hui en Belgique, aux Pays-Bas ou dans l’Oregon. Or en ne respectant pas ces critères, nous ouvrirons une voie incertaine où des comateux, des déments ou des dépressifs et même des handicapés incapables de crier non seront euthanasiés en silence sans avoir donné leur accord.

    On trouvera toujours de bonnes raisons de glisser d’une euthanasie librement demandée par le malade à une euthanasie d’opportunité pour le vieillard qui encombre un lit de réanimation, économique pour des patients affectés d’une maladie longue et coûteuse, ou même familiale en cas d’appétissants héritages trop longs à venir.

    Une des difficultés du débat se situe dans la part d’idéologie qui nourrit parfois la revendication du droit à l’euthanasie. Cette part d’idéologie est par définition la plus insensible au raisonnement et à la démonstration tels que nous venons de les faire. Elle rapproche paradoxalement les avocats de l’euthanasie des ayatollahs de l’acharnement thérapeutique. Volonté commune de toute-puissance. Illusion partagée d’une maîtrise totale de la mort que les uns veulent choisir et les autres reculer contre toute raison."

    Michel Janva

  • 160 enfants à naître sauvés de l’avortement

    Les militants pro-vie américains ne lâchent rien. Au quinzième jour de la campagne de Carême lancée par les 40 Days for Life, 160 enfants à naître ont  été sauvés de l’avortement grâce à la présence paisible et priante des vigiles devant 253 avortoirs, grâce aux “conseillers de trottoirs” qui proposent aux mamans qui envisagent des solutions concrètes, grâce aux jeûneurs, et grâce, aussi, aux “prières de l’arrière”. En outre, déjà 102 messes ont été ou seront célébrées pendant cette Sainte Quarantaine aux intentions des 40 Days for Life, la plus grande partie en France, mais aussi en Belgique, au Brésil, à Jérusalem et en la basilique Saint-Pierre… 

    Michel Janva