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avortement et euthanasie - Page 116

  • Au Royaume-Uni, des hôpitaux chauffés avec des corps d’enfants avortés ou morts-nés…

    Le glauque n’a plus de limites : au Royaume-Uni, au moins 15 500 corps d’enfants avortés ou mort-nés ont été traités comme des déchets cliniques et incinérés ces deux dernières années, dont des milliers pour chauffer 27 hôpitaux et cliniques, résume The Telegraph, suite aux révélations du magazine Dispatches diffusé ce soir par Channel4.
    Inutile de préciser que leurs parents n’ont pas été consultés.
    Dimanche soir, le ministère de la Santé a émis une interdiction immédiate de cette pratique « totalement inacceptable » selon les termes du ministre de la Santé, le Dr Dan Poulter.

    Les gens peuvent en effet encore être choqués mais gageons que, si rien ne change, dans quelques années, tout le monde l’acceptera. Sous des prétextes utilitaristes, écologiques, et avec une conception matérialiste de l’humain, le pire est possible.
    D’ailleurs, si avec l’avortement, on considère déjà que les embryons ne sont que des amas de cellules, on n’est pas loin d’une telle suite logique.

    Source NDF

    http://www.contre-info.com/

  • 250 000 marcheurs pour la vie au Pérou

    Hier, les organisateurs de la Marche pour la vie, qui s'est déroulée à Lima, au Pérou, ont revendiqué 250 000 participants, contre 100 000 l'an dernier !

    LimaUne loi péruvienne a fait du 25 mars (fête de l'Annonciation) le "jour de l'enfant à naître".

    Louise Tudy

  • Les “conditions strictes” qui encadrent l’euthanasie ne sont pas respectées

    Philippe Juvin, maire UMP de La Garenne Colombes et député européen, avait signé une tribune sur l'euthanasie dans Valeurs Actuelles il y a quelques mois. La voilà :

    J"Le débat sur la légalisation de l’euthanasie est donc relancé. Le sujet est complexe et riche. Un des aspects du débat porte sur les limites qui seraient inscrites dans la loi pour autoriser la réalisation d’une euthanasie. Autrement dit, des critères pourraient-ils être imaginés pour encadrer strictement la pratique d’une euthanasie afin qu’elle reste réservée à quelques cas exceptionnels de souffrance incurable ? Certains le pensent. D’autres répondent que le respect de tels critères est illusoire. Une façon de départager les deux avis est d’étudier les exemples étrangers, dans les pays où l’euthanasie a été autorisée.

    Le premier garde-fou habituellement rencontré dans les lois existantes est, heureusement, l’obligation de recueillir l’accord explicite du patient. Or en 2007, une étude financée par le ministre hollandais de la Santé et publiée dans le très honorable New England Journal of Medicine a montré que plus de 500 personnes étaient euthanasiées chaque année aux Pays-Bas sans leur accord explicite… En Belgique, la situation semble encore plus préoccupante puisque, dans un travail publié en 2009 dans le même journal, la moitié des morts par injection létale avaient été réalisées sans consentement explicite du patient.

    Autre garde-fou souvent rencontré dans les législations d’euthanasie : l’obligation d’obtenir un second avis médical avant d’autoriser la mort du patient. Le rôle de ce second avis étant double : vérifier que le patient avait bien compris ce qu’on lui proposait et qu’il souffrait effectivement d’une maladie grave, invalidante et incurable. Or l’étude hollandaise déjà citée montrait que ce second avis médical n’était retrouvé que dans 35 % des dossiers d’euthanasie réalisée sans accord explicite du patient. Une étude canadienne de 2011 et citée dans Current Oncology montrait que dans l’Oregon, sur 62 euthanasies consécutives, 58 avaient bien reçu le second avis favorable, mais que celui-ci avait été donné par un seul médecin, militant pro-euthanasie notoire.

    Le dernier garde-fou habituellement prévu dans les lois légalisant l’euthanasie est l’obligation d’obtenir l’accord d’un psychiatre pour s’assurer que le patient qui a demandé l’euthanasie ne souffre pas de démence ni de dépression susceptibles d’altérer son libre arbitre. La dépression est en effet fréquente au cours des phases terminales de cancer : jusqu’à 59 % des cas dans un travail de l’American Journal of Psychiatry en 1995. Or en 2011 dans l’Oregon, un seul patient sur 71 euthanasies avait bénéficié de l’avis d’un psychiatre alors que la majorité de ces patients avait un cancer en phase terminale.

    Autrement dit, il n’est pas exagéré d’affirmer que de nombreux authentiques dépressifs, peut-être incapables de donner un consentement éclairé, ont été euthanasiés. Cette observation rappelle cette polémique qui avait impliqué l’association suisse Dignitas, qui organisa l’euthanasie d’un frère et d’une soeur schizophrènes dont la capacité de jugement fut mise en doute.

    Ces études scientifiques ont été publiées dans des revues reconnues, à comité de lecture, c’est-à-dire que leur méthodologie a été validée par des lecteurs indépendants. Elles démontrent donc que, dans les pays où l’euthanasie a été légalisée, celle-ci est assez souvent réalisée sans l’accord du patient ni l’obtention d’un second avis médical, alors que ces deux points sont légalement obligatoires. Finissons donc avec une illusion : celle d’une loi propre, qui permettrait des euthanasies sans risque de bavure.

    L’expérience de nos voisins est sans appel : les “conditions strictes” qui encadreront la légalisation de l’euthanasie ne seront pas plus respectées en France qu’elles ne le sont aujourd’hui en Belgique, aux Pays-Bas ou dans l’Oregon. Or en ne respectant pas ces critères, nous ouvrirons une voie incertaine où des comateux, des déments ou des dépressifs et même des handicapés incapables de crier non seront euthanasiés en silence sans avoir donné leur accord.

    On trouvera toujours de bonnes raisons de glisser d’une euthanasie librement demandée par le malade à une euthanasie d’opportunité pour le vieillard qui encombre un lit de réanimation, économique pour des patients affectés d’une maladie longue et coûteuse, ou même familiale en cas d’appétissants héritages trop longs à venir.

    Une des difficultés du débat se situe dans la part d’idéologie qui nourrit parfois la revendication du droit à l’euthanasie. Cette part d’idéologie est par définition la plus insensible au raisonnement et à la démonstration tels que nous venons de les faire. Elle rapproche paradoxalement les avocats de l’euthanasie des ayatollahs de l’acharnement thérapeutique. Volonté commune de toute-puissance. Illusion partagée d’une maîtrise totale de la mort que les uns veulent choisir et les autres reculer contre toute raison."

    Michel Janva

  • 160 enfants à naître sauvés de l’avortement

    Les militants pro-vie américains ne lâchent rien. Au quinzième jour de la campagne de Carême lancée par les 40 Days for Life, 160 enfants à naître ont  été sauvés de l’avortement grâce à la présence paisible et priante des vigiles devant 253 avortoirs, grâce aux “conseillers de trottoirs” qui proposent aux mamans qui envisagent des solutions concrètes, grâce aux jeûneurs, et grâce, aussi, aux “prières de l’arrière”. En outre, déjà 102 messes ont été ou seront célébrées pendant cette Sainte Quarantaine aux intentions des 40 Days for Life, la plus grande partie en France, mais aussi en Belgique, au Brésil, à Jérusalem et en la basilique Saint-Pierre… 

    Michel Janva

  • Miss Pennsylvanie 2014, l’enfant du viol qui rend grâce à Dieu de l’avoir gardée en vie !

    Miss Pennsylvania 2014 a été reçu cum laude à l’université de Pittsburg mais ce n’est pas l’information du jour.
    Valérie Gatto, née en 1989, est une chrétienne pratiquante qui a étonné l’Amérique en disant « Dieu est la raison de ma présence au monde ».  La reine de beauté a dit qu’elle était une enfant née d’un viol et le jour de son couronnement, elle a tout de suite pensé à remercier Dieu de l’avoir gardée en vie.
    La jeune fille n’a jamais fait mystère du drame à l’origine de sa conception. Sa mère, qui à l’époque avait 19 ans, a été agressée et violée en sortant de son travail. L’homme, armé d’un couteau, menaçait de la tuer quand la lumière de la rue s’est allumée et le violeur, affolé, s’est enfui laissant la jeune femme libre.

    « Je pense à cette lumière comme l’ange protecteur de ma mère et de moi-même »,  dit la miss.

    Sa mère pensait la confier à l’adoption mais finalement elle a décidé de la garder avec l’aide de sa famille qui lui a promis toute l’aide : « Si Dieu permet une chose, Il te donne la force pour aller de l’avant », disait la grand-mère de Valérie à sa mère.
    L’enfant grandit dans une maison pleine d’amour où elle fut éduquée dans l’espérance et la foi. «  J’ai grandi dans une communauté chrétienne et j’ai vu ma mère aider les plus nécessiteux ». Durant des années, la mère de Valérie s’est occupée des plus pauvres de la paroisse, et enseigna à sa fille « que peu importe le peu que tu as, le plus important est de donner ce que tu as reçu ».

    « Savoir comment j’avais été conçue ne m’a pas empêché de grandir »,  a déclaré Miss Pennsylvanie devant la presse médusée. « Au contraire, cela m’a rendu plus forte : voir le sacrifice de ma mère et de ma famille m’a fait comprendre que peu importe ce qui a pu se passer mais qu’au contraire les limites et les difficultés te renforcent. J’ai appris à tirer parti de chaque obstacle ».

    Durant le concours de miss, la jeune fille s’est souvenue de sa mère qui lui disait qu’elle était la lumière de sa vie : «  J’ai senti le besoin d’être une lumière dans l’obscurité. Dès le moment de ma conception, la lumière a toujours été associée à l’obscurité : mon histoire est dure mais elle aide beaucoup de personnes ».

    Valérie travaille actuellement dans le marketing et est volontaire dans un centre pour enfants nécessiteux qui travaille aussi pour les femmes ayant subi des violences.

    http://medias-presse.info/miss-pennsylvanie-2014-lenfant-du-viol-qui-rend-grace-a-dieu-de-lavoir-gardee-en-vie/7470

  • 152 enfants à naître sauvés de l’avortement

    Au quatorzième jour de la campagne des 40 Days for Life.

    Michel Janva

  • L’Organisation Mondiale de la Santé remet en question l’avortement légal

    La position prise par le plus important office de surveillance mondiale de la santé (OMS) bouscule tout ce qui a été dit à propos de l’avortement depuis soixante ans. Les partisans de l’IVG, depuis toujours, ont avancé l’idée que les avortements légaux étaient sans danger. Conjointement tous ceux qui se faisaient dans l’illégalité étaient dangereux. D’où la nécessité d’autoriser l’ « interruption de grossesse » dans tous les pays où elle est interdite. Or cette affirmation est infondée.

    C’est cette notion qui est contestée dans un éditorial du dernier bulletin de l’Organisation Mondiale de la Santé. Cette dernière revoit la définition de « l’avortement dangereux » en faisant une distinction entre cet acte et sa légalisation. Elle ne rend pas cet acte sans danger comme le proclame la plupart des médias. C’est un renversement total de tendance et un remarquable pas dans la bonne direction.

    L’article reconnaît que « l’OMS a toujours utilisé historiquement un concept opérationnel pragmatique qui mesure la sécurité en termes de sur-appréciation de la dimension légale dans le développement de ses estimations régionales et mondiales des taux des avortements non médicalisés ». Conjointement, cette méthode gonfle artificiellement le nombre des « avortements dangereux » dans les pays qui interdisent l’avortement. Ce qui donne des raisons et du grain à moudre à tous ceux qui veulent imposer mondialement l’avortement. De plus, il est minimisé le nombre d’avortements dangereux dans les pays qui autorisent l’avortement à la demande. Les avortements illégaux dangereux dans leurs conséquences ont été surestimés et la dangerosité des avortements légaux sous-estimée.

    La vérité est que «l’avortement illégal n’est pas synonyme d’avortement à risque», comme l’éditorial de l’OMS l’admet. Nous savons, sur la base des éléments de preuve à travers le monde, que l’avortement peut être autorisé par la loi et cependant être extrêmement dangereux pour la santé des femmes (en grande partie en fonction du contexte médical ).

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  • ONU : l’ECLJ dénonce les atteintes à la liberté des consciences en Europe

    Le 14 mars 2014, dans une déclaration orale prononcée devant le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, à Genève, à l’occasion du débat général sur la liberté de conscience et de religion dans le monde, Grégor Puppinck, Directeur du European Centre for Law and Justice (ECLJ) a dénoncé une tendance en Europe à réduire la liberté de conscience en matière morale.

    La déclaration a visé en particulier les atteintes au droit à l’objection de conscience des médecins, infirmières et pharmaciens face à l’avortement, ainsi que le non respect des droits des parents à ce que leurs enfants soient instruits dans le respect de leurs convictions morales et religieuses.

    L’ECLJ a insisté sur le fait qu’il ne faut pas sous-estimer le danger de ces atteintes, car elles sont causées par l’Etat, contre de nombreuses personnes, et au nom d’une idéologie.

    Le Conseil des droits de l'homme est un organe intergouvernemental du système des Nations Unies, composé de 47 états qui ont la responsabilité de renforcer la promotion et la protection des droits de l'homme dans le monde. L’ECLJ a la faculté d’intervenir devant ce Conseil en vertu de son statut consultatif spécial auprès des Nations-Unies/ECOSOC.

    Voici le texte :

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    Michel Janva