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avortement et euthanasie - Page 144

  • La culture de mort comme axe de gouvernement

    Alliance Vita décode l'actualité législative :

    "I) Bilan de la première année du gouvernement

    Les principales dispositions à connaître sont les suivantes :

    • La loi du 17 mai 2013 ouvrant le mariage aux couples de même sexe, entrainant la possibilité d’adopter.
    • La loi du 6 août 2013 autorisant la recherche sur l’embryon humain.
    • La loi du 17 décembre 2012 pour le remboursement de l’IVGà 100% et la pilule contraceptive gratuite pour les filles mineures (loi de financement de la Sécurité sociale pour 2013, articles 50 et 52).
    • Concernant la fin de vie,  la proposition 21 de François Hollande a donné lieu au rapport Sicard le 18 décembre 2012 et à l’avis n° 121 du CCNE (Comité Consultatif National d’Ethique) le 2 juillet 2013 : les deux rapports refusent d’introduire l’euthanasie dans notre législation et ne recommandent pas le suicide assisté, mais restent ambigus sur la question extrêmement sensible de la sédation terminale.

    - A noter : plusieurs décisions ministérielles importantes, mais passées largement inaperçues du grand public, pour lancer des programmes d’action contre l’homophobie (31 octobre 2013) et sur  l’égalité hommes-femmes (30 novembre 2012), à l’école et dans toutes les sphères de la société. Une convention interministérielle pour la mise en œuvre de ces objectifs au sein du système éducatif, sur la période 2013-2018, a été signée entre six ministères (7 février 2013).

    II) Principaux projets en cours

    A) Mariage et adoption pour les couples de même sexe :

    • Plusieurs recours ont été déposés auprès du Conseil d’Etat cet été pour contester les textes d’application de la loi Taubira. Ont été publiés à ce titre : le décret et l’arrêté ministériel  du 24 mai 2013, la circulaire du ministre de la justice du 29 mai 2013 et la circulaire du ministre de l’intérieur du 13 juin 2013. La loi a été validée par le Conseil constitutionnel, dans son avis du 17 mai 2013, mais ce dernier n’a pris en compte que les exigences de la constitution française. Les textes d’application, qui sont établis par l’administration, peuvent par contre être contestés devant le Conseil d’Etat qui est la plus haute juridiction administrative en France. Ce dernier doit examiner la compatibilité de ces textes avec les accords internationaux, qui ont aussi une valeur supérieure à la réglementation française. [...]
    • La liberté de conscience des maires reste un enjeu majeur : une pression considérable, politique et médiatique, est exercée sur les maires qui ont osé exprimer publiquement leur refus de célébrer des mariages entre personnes du même sexe. Jusqu’à présent, un adjoint s’est finalement substitué au maire pour accéder à la demande de mariage. Des poursuites judiciaires ne sont pas à exclure pour sanctionner les maires récalcitrants, sur la base de peines qui paraissent disproportionnées par rapport à d’autres infractions (voir Décodeur n°30 du 6 juin 2013).
    • Le mariage pour certains couples binationaux fait l’objet d’une controverse attendue entre le lobby LGBT et le gouvernement. La loi Taubira a introduit, contrairement aux règles du droit international, une disposition dérogatoire pour permettre le mariage avec des étrangers. Mais on s’est rendu compte par la suite que les nationaux de 11 pays ne pouvaient pas s’en prévaloir, à cause d’accords bilatéraux qui ont une autorité supérieure à la loi française. Les associations LGBT demandent à l’Etat français de passer outre.

    B) Gender à l’école :

    • La théorie du Genre n’existe pas, d’après des ministres comme Vincent Peillon ou Najat Vallaud Belkacem… Mais les programmes d’action pour «déconstruire les stéréotypes de genre » se multiplient à tous les niveaux de l’école. Pour connaître le détail par niveau primaire, secondaire et universitaire, voir notre Décodeur n° 31 du 21 juin 2013.
    • A titre d’exemple, à partir de cette rentrée 2013 pour les enfants de grande section de maternelle au CM2, le programme « ABCD de l’égalité » va être testé dans les 10 académies suivantes (sur 30) : Bordeaux, Clermont-Ferrand, Créteil, Corse, Guadeloupe, Lyon, Montpellier, Nancy-Metz, Rouen, Toulouse. Ce programme, qui n’est toujours pas rendu public, est en cours d’élaboration et s’inspire des rapports remis précédemment pour éduquer à l’égalité fille-garçon en milieu scolaire.
    • La réforme des rythmes scolaires, qui va permettre d’introduire dans l’école des associations militant « contre les discriminations et pour l’égalité », sera aussi suivie avec beaucoup d’attention par les enseignants et les parents.
    • Dans le même état d’esprit, la Charte de la laïcité à l’école, élaborée à la demande du ministre de l’Education nationale Vincent Peillon, est en cours d’affichage dans tous les établissements scolaires publics (10 millions d’élèves répartis dans 55 000 établissements) : son article 12 stipule notamment qu’ « aucun élève ne peut invoquer une conviction religieuse ou politique pour contester à un enseignant le droit de traiter une question au programme ». Même si l’enseignant a pour instruction de contribuer à « déconstruire les stéréotypes de genre » ?

    De multiples initiatives, régionales ou nationales, sont en train de se déployer pour attirer la vigilance des parents sur les risques de dérives : voir par exemple la nouvelle association Enseignants pour l’enfance, le plan d’action Vigi-Gender que lance la LMPT, le collectif VIGIE, etc.

    C) Recherche sur l’embryon humain :

    • La loi du 6 août 2013 introduit un changement très important sur le plan symbolique, mais qui devrait avoir un impact concret limité sur les programmes de recherche réalisés en France (cf lien vers tribune Pr Munich dans Le Monde).
    • Maintenant, le débat est porté au niveau européen, via le succès de l’initiative citoyenne Un de nous qui a déjà dépassé le million de signatures en Europe, dont 88 000 en France. La Commission européenne devra donc se positionner sur le sujet, vraisemblablement au 1er semestre 2014.

    D) Fin de vie :

    • Des états généraux sont prévus à l’automne à l’initiative du CCNE, comme il y en avait eu pour préparer la loi  Bioéthique en 2010-2011. Le président du CCNE a précisé récemment que ce débat national prendrait la forme d’une « conférence citoyenne » se déroulant sur quatre week-ends, et que des rencontres seraient également organisées par les espaces éthiques régionaux, d’ici décembre 2013.
    • Le gouvernement est loin d’avoir renoncé à ouvrir une brèche sur l’interdit fondamental de tuer. La ministre des affaires sociales Marisol Touraine a par exemple bien précisé (en réponse à la question orale de Jean Leonetti le 3 juillet dernier à l’Assemblée nationale) que l’avis du CCNE n’était qu’un « simple rapport d’étape », que les états généraux doivent tout aborder, y compris sur le suicide assisté, et qu’il y aura bien un projet de loi à l’issue des débats.

    E) Projet de loi Famille :

    La présentation de ce texte en Conseil des ministres est prévue d’ici la fin de l’année 2013, avec des débats parlementaires annoncés pour début 2014. Un avant-projet de loi avait été élaboré au printemps dernier, mais il va sans doute évoluer. Le Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) va remettre un rapport en octobre 2013, dans le cadre d’une auto-saisine faisant suite à son refus de débattre de la loi sur le mariage homosexuel, pourtant demandé par plus de 700 000 pétitions. Selon Mme Bertinotti, ministre de la famille, le texte serait centré sur la protection de l’enfance, en particulier les sujets suivants :

    1. Statut du beau-parent : nombreuses questions autour de la délégation d’autorité parentale dans les familles recomposées, homoparentales, etc.
    2. Réforme de l’adoption : prise en compte des tensions autour de l’adoption internationale, accompagnement du parcours d’adoption souvent difficile.
    3. Accès aux origines : pour les enfants nés sous X ou après un don de gamète.
    4. Médiation : mesures pour répondre aux affaires récentes sur les conflits de garde d’enfants dans les couples divorcés (cf. affaire des pères perchés sur une grue à Nantes en février 2013, suivie de beaucoup d’autres actions spectaculaires).

    - La PMA pour les couples de personnes de même sexe n’est pas prévue dans ce projet de loi. Un amendement PS ou Verts reste possible au cours de la discussion parlementaire, comme cela a été le cas dans le débat sur la loi Taubira en décembre 2012.

    F) PMA :

    • Le CCNE s’était auto-saisi,  fin janvier 2013, sur les attentes sociétales concernant la PMA. Il avait entamé la procédure légale pour organiser des états généraux sur ce sujet, qui devaient préparer son avis officiel. Le président de la République en avait pris acte le 28 mars 2013, indiquant même qu’il respecterait l’avis donné par le CCNE. L’ensemble de la consultation devait se terminer avant la fin de l’année 2013. Mais les états généraux sur la PMA ont été repoussés après ceux sur la fin de vie,  et ne devraient donc pas avoir lieu avant début 2014.
    • Selon le président du CCNE, Jean-Claude Ameisen, quatre questions devraient être abordées au cours de ces Etats généraux :
    1. Ouverture de la PMA aux couples de femmes.
    2. Conservation des ovocytes pour les femmes désirant des enfants plus tard.
    3. Anonymat du don de gamètes, à lever ou non partiellement.
    4. Prise en charge financière de la PMA par la Sécurité sociale.

    III) Autres sujets à suivre

    « Faciliter l’accès à l’IVG »  reste une préoccupation constante du gouvernement. Dans le projet de loi relatif à la consommation, actuellement en discussion à l’Assemblée nationale, les notices des tests de grossesse (qui ne seront plus vendus exclusivement en pharmacie) devraient contenir des conseils supplémentaires, notamment sur les possibilités d’avortement. Et par amendement au projet de loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes, dont le Sénat commence l’examen cette semaine, il est question de pénaliser les sites internet qui ne sont pas ouvertement pro-IVG, voire d’étendre le délit d’entrave à l’IVG.

    Pour les personnes transsexuelles, la demande de faciliter le changement de sexe à l’état civil par simple déclaration, sans obligation d’intervention chirurgicale. La Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNCDH) a remis un rapport le 27 juin 2013 préconisant une loi dans ce sens.

    La GPA n’est en principe pas à l’ordre du jour, le président de la République s’étant engagé à ne pas l’introduire durant son quinquennat. Mais la circulaire Taubira  du 25 janvier 2013, concernant les certificats de nationalité, facilite la reconnaissance des GPA faites à l’étranger."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • Le Dr Dor condamné pour avoir offert des chaussons à une femme qui allait avorter

    Fort du soutien inconditionnel et financier (avec les fruits de nos impôts) du gouvernement, le Planning Familial vient de faire lourdement condamner le docteur DOR.

    Celui-ci était poursuivi par deux plaignants :

    1) L’hôpital St Vincent de Paul à Paris pour un banal rosaire pour la vie dans la rue en 2011, comme SOS Tout Petits en organise régulièrement.

    2) Le Planning Familial parisien pour s’être introduit à deux reprises en 2012 dans les locaux public de cet organisme, y avoir déposé quelques tracts, et remis une médaille miraculeuse et des bottons de bébé en laine à une femme croisée dans l’escalier, alors qu’il quittait les lieux.

    http://img.over-blog-kiwi.com/0/52/98/80/201307/ob_cc94d0_aujourd-hui-tu-vas-avorter.jpgS’il a été relaxé pour la première plainte, le docteur Dor a été condamné pour la deuxième à 10.000€ d’amende et 2.000€ de dommages et intérêts à la personne croisée en repartant. Circonstance aggravante dit la Cour, celle-ci étant catholique, elle fut d’autant plus traumatisée du geste compassionnel du docteur Dor.

    Sachant que même tricoté à la main, un botton de bébé en laine n’a pas spécialement de connotation confessionnelle, cela fait cher la marche d’escalier !

    Cette peine pour entrave à l’avortement dépasse les réquisitions du parquet, qui avait demandé une peine de 8.000 euros d’amende. Le lobby pro-mort se défend bien. Le parquet avait souligné « la pression morale et psychologique » et « les actes d’intimidation » (sic) exercés par le vieillard de 84 ans auprès de cette femme.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Le Dr Dor condamné pour avoir offert des chaussons

    Communiqué de Laissez-les-Vivre :

    D"Fort du soutien inconditionnel et financier ( avec les fruits de nos impôts) du Gouvernement, le Planning Familial vient de faire lourdement condamner le docteur DOR.

    Celui-ci était poursuivi par deux plaignants :

    1) L'hôpital St Vincent de Paul à Paris pour un banal rosaire pour la vie dans la rue en 2011, comme SOS Tout Petits en organise régulièrement.

    2) Le Planning Familial parisien pour s'être introduit à deux reprises en 2012 dans les locaux public de cet organisme, y avoir déposé quelques tracts, et remis une médaille miraculeuse et des bottons de bébé en laine à une femme croisée dans l'escalier, alors qu'il quittait les lieux.

    S'il a été relaxé pour la première plainte, le docteur Dor a été condamné pour la deuxième à 10.000€ d'amende et 2.000€ de dommages et intérêts à la personne croisée en repartant. Circonstance aggravante dit la Cour, celle-ci étant catholique, elle fut d'autant plus traumatisée du geste compassionnel du docteur Dor.

    Sachant que même tricoté à la main, un botton de bébé en laine n'a pas spécialement de connotation confessionnelle, cela fait cher la marche d'escalier !"

    Cette peine pour entrave à l'avortement dépasse les réquisitions du parquet, qui avait demandé une peine de 8000 euros d'amende. Le lobby pro-mort se défend bien. Le parquet avait souligné "la pression morale et psychologique" et "les actes d'intimidation" (sic) exercés par le vieillard de 84 ans auprès de cette femme.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La nouvelle attaque du gouvernement contre ivg.net

    Cet éclaircissement d'un lecteur est le bienvenu : 

    "Le Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) a remis le 13/09/2013 à la Ministre des Droits des femmes, madame Najat Vallaud-Belkacem, son rapport d’information sur l’IVG sur internet.

    Ce rapport de 36 pages s’inquiète de la visibilité de sites qualifiés d’ « anti-IVG », comprendre les sites d’information associatifs comme ivg.net ou avortement.net.

    Mais que sont ces sites exactement ? Chacun est invité à les consulter et se faire son opinion. Ce sont des sites d’information et d’écoute clairs, bien documentés, proposant une information respectueuse de la loi, invitant à la réflexion sur la gravité d’ « un acte médical qui n’est pas anodin ».

    On est donc surpris par le décalage entre l’inquiétude exprimée dans le rapport du HCEfh et la réalité du contenu de sites comme ivg.net ou avortement.net.

    On comprend mieux les choses quand on considère la composition de l’équipe « Santé, droits sexuels et reproductifs » qui a rédigé ce rapport :

    - Françoise LAURANT, Présidente de la Commission, membre du bureau national de la Ligue de l’enseignement, ancienne Présidente nationale du Planning familial (2000 – 2009) ;

    - Carine FAVIER, Présidente nationale du Planning familial, représentée par Véronique SEHIER, Co-présidente du Planning familial ;

    - Alexandre JAUNAIT, Maitre de conférences en sciences politique à l’Université de Poitiers, spécialisé en sociologie et études du genre et de la sexualité.

    - Philippe FAUCHER, gynécologue-obstétricien, GCS Bluets-Trousseau et secrétaire général du réseau REVHO (Réseau entre la Ville et l'Hôpital pour l'Orthogénie) ;

    - Maud GELLY, médecin généraliste au Centre Municipal de Santé à Saint-Denis et au Centre d’IVG de l’hôpital de Colombes, doctorante en sociologie au CSU-Paris 8 ;

    - Philippe LEFEBVRE, praticien Hospitalier, Chef du Pôle Femme-Mère-Enfant et du Service d’Orthogénie du Centre Hospitalier de Roubaix ;

    - Jean-Claude MAGNIER, gynécologue et co-président de l’Association Nationale des Centres d’Interruption de grossesse et de Contraception (ANCIC) ;

    - Maya SURDUTS, porte-parole du Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF) et secrétaire générale de la CADAC (Coordination des Associations pour le Droit à l’Avortement et à la Contraception) ;

    Petit rappel : L'orthogénie est une action dirigée pour faire naître des enfants sans handicap et éviter les naissances d'enfants porteurs de maladies héréditaires. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Orthog%C3%A9nie )

    La France est peu habituée à l’exercice du pluralisme, et le HCEfh encore moins !

    Le Haut Conseil à l’Égalité, ou plutôt de l’Égalitarisme, aurait tout intérêt à considérer l’Equité de sa commission et de son rapport. Mais le peut-il vraiment ?"

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  • Le Haut Conseil à l'égalité prône l'avortement. Il y a une égalité entre enfant vivants et tués in utero ?

    En fait, les acteurs de la culture de mort pâlissent de jalousie devant les sites internet pro-vie et veulent mettre en place un site concurrent. Avec l'argent du contribuable :

    "Le Haut Conseil à l'égalité a recommandé la création d'un site institutionnel "clair et volontariste en faveur du droit à l'avortement" pour contrebalancer la forte influence des anti-IVG sur Internet, dans un rapport qui doit être remis vendredi à Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes. Les sites anti-avortement à l'apparence "neutre, voire institutionnelle" délivrant une information "fallacieuse" sont les premiers référencés et les plus visibles sur Internet, rapporte le Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh), qui souligne que l'accès à une information de qualité est "un droit non garanti".

    Dans sa lettre qui mandatait le Haut Conseil en avril pour dresser un état des lieux de l'information dans ce domaine, la ministre des Droits des femmes avait estimé que "l'information publique sur l'IVG (était) trop peu visible alors même que les sites internet délivrant une information biaisée, voire hostile à la pratique de l'IVG, apparaissent en tête des classements de consultations sur les moteurs de recherche". Le rapport, dont l'Agence France-Presse a eu connaissance, recommande de mettre en place un site internet institutionnel destiné aux femmes et professionnels, un numéro national "guichet unique" anonyme et gratuit, une équipe de veille et d'animation et, enfin, d'organiser la première campagne nationale d'information dévolue notamment à la question du droit à l'avortement". 

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  • Avortement : nouvelle propagande gouvernementale

    Avec nos impôts, le gouvernement veut agir contre les sites internet pro-vie, mieux référencés que les sites comme ceux du Planning Familial, pourtant gavés de subventions. Najat Vallaud Belkacem va créer fin septembre le premier site officiel de désinformation sur l'avortement, pour inciter les mères à faire tuer leur enfant :  où, quand et comment.

    La détresse des femmes, elle s'en moque : il faut tuer, encore, toujours. 220 000 avortements par an, ce n'est pas suffisant.

    Pour que les sites d'associations officielles aient une meilleure visibilité sur internet, le ministère a incité Google à mieux référencer certaines associations comme le Planning familial. Un programme appelé "Google Grants" représentant 10 000 euros d'achat de publicité sera mis en place. A chaque fois qu'un internaute tapera IVG ou avortement dans Google, il verra apparaître le nom de ces sites officiels.

    Par ailleurs, la sénatrice socialiste de l'Oise, Laurence Rossignol, a déposé un amendement au projet de loi, prévoyant l'extension du délit d'entrave à l'IVG. Actuellement, ce délit concerne l'entrave à la pratique de l'IVG ou aux consultations en vue d'une IVG, principalement à l'intérieur des établissements. La sénatrice prévoit de l'étendre "à l'accès à l'information à l'IVG". Objectif: que les militants pro-vie ne puissent pas manifester aux abords des hôpitaux ou des centres d'avortement et d'information sur l'IVG. C'est une façon d'interdire les manifestations du Docteur Dor, les chapelets pro-vie. C'est une nouvelle tentative de museler la liberté d'expression, car l'avortement un dogme de la République, dont on ne doit pas discuter.

    Prochain rendez-vous de SOS Tout-Petits : samedi 14 septembre 2013 près de l'hôpital Tenon, à 10h30, en face du métro Pelleport, Paris 20e.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Immigration : les avortements en fonction du sexe progressent en Grande-Bretagne

    LONDRES (NOVOpress) – L’immigration de masse favorise un ensauvagement des mœurs dans le pays qui doit la subir. Un nouvel exemple d’outre-Manche. Le Daily Telegraph a mené une enquête durant 19 mois sur la pratique des avortements sélectifs dans les communautés immigrées en Grande-Bretagne. Le quotidien anglais a muni d’une caméra cachée quatre femmes enceintes d’origine ethniques différentes et les a envoyées dans neuf cliniques du Royaume-Uni pour demander un avortement, en raison du sexe de l’enfant. Deux médecins ont accepté cette pratique barbare, dont un basé à Manchester, le Docteur Prabha Sivaraman, qui a répondu à sa patiente : « Si vous voulez un avortement, vous voulez un avortement, voilà tout ! ».

    Près de 190 000 avortements sont pratiqués chaque année en Angleterre et au Pays-de-Galle. En 2007, une étude de l’Université d’Oxford révélait que les mères d’origine indienne qui accouchaient en Grande-Bretagne affichaient à partir de leur troisième enfant un ratio garçon fille déséquilibré (113 garçons nés pour 100 filles pour les naissances survenues entre 1990 et 2005, contre 105 garçons pour 100 filles en moyenne). « L’explication la plus plausible, comme en Inde ou en Chine, est que l’identification prénatale du sexe et les avortements sur les fœtus de sexe féminin qui en découlent, sont en augmentation », soulignait le rapport. Avortements en fonction du sexe de l’enfant, conflits, racisme, islamisation, délinquance… L’immigration de masse importe en Europe bien des maux.

    http://fr.novopress.info

  • Des avortements en fonction du sexe de l'enfant

    Le Daily Telegraph a équipé en février 2012 4femmes enceintes d'origines différentes - notamment indo-pakistanaise - d'une caméra cachée. Il les a envoyées dans 9 cliniques du Royaume-Uni pour demander un avortement au motif que le sexe de leur foetus ne leur convenait pas. Si la majorité des médecins ont refusé, 2 ont accepté.

    Le journal britannique a ensuite révélé que le parquet britannique a décidé, "dans l'intérêt du public", de ne pas poursuivre les deux médecins en dépit du fait qu'il y a "suffisamment de preuves" pour le faire.

    Le ministre de la Santé Jeremy Hunt a alors exigé "des clarifications urgentes" au conseiller juridique du gouvernement et rappelé que des avortements fondés sur le choix des sexes étaient "hors la loi et totalement inacceptables".

    Imaginez qu'un grand quotidien français effectue le même type d'enquête en France... Mais non, le seul à avoir fait le même type de reportage, c'est L'Homme Nouveau. Et il n'y a eu aucune suite judiciaire malgré les incitations du Planning familial à violer la loi.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Lever les freins à la natalité pour garantir le système par répartition

     

    Communiqué des AFC :

     

    "Le Gouvernement a achevé ses consultations à propos de la réforme des retraites. Différents leviers sont mobilisés pour partager l’effort et aboutir à une réforme la plus consensuelle possible.

    Le Premier Ministre a dessiné les grandes lignes du projet de loi qui doit être présenté en Conseil des ministres le 18 septembre prochain : maintien de l'âge légal de départ à la retraite jusqu'en 2020, prise en compte de la pénibilité, augmentation des cotisations mais aussi fiscalisation des majorations de retraite pour enfants, avec des annonces concernant le coût du travail en France.

    A ce stade, une question demeure pour les AFC. Cette nouvelle réforme des retraites, qui vise à pérenniser la retraite par répartition, prend-elle en compte les difficultés des familles, et en particulier des familles nombreuses, à croire qu'elles bénéficieront d'une retraite juste et décente ? Une telle incertitude, prégnante, souligne la nécessité de lever les freins à la natalité qui est requise pour garantir la survie du système par répartition. En effet, la France est entrée dans un cercle vicieux.

    La baisse du rendement des retraites par répartition accroît le besoin d'épargne ! Celui-ci a été évalué pour la France, dans une étude publiée récemment par Aviva, à 7500 euros par an pour un actif de 50 ans, 5200 euros par an pour un actif de 40 ans et 3400 euros par an à 20 ans.

    La comparaison avec le revenu net moyen en France de même que les études de l'INSEE sur l'épargne et le patrimoine des ménages et notamment l'examen de la variation du taux d'épargne en fonction de l'âge montrent l'ampleur de cet effort. Il semble même hors d’atteinte quand les familles se montrent ouvertes à l'accueil des enfants, du fait

    -  de la réduction de leur épargne marginale conséquence de la présence des enfants et de l'investissement financier réalisé pour leur éducation ;

    -  des choix liés à l'accueil des enfants (investissement du temps professionnel dans l'éducation, réduction de la mobilité professionnelle, etc.) qui se répercutent négativement sur le niveau de salaire et donc sur le niveau de retraite, mais aussi sur la capacité à épargner.

    En définitive, la menace sur leur niveau de retraite et leur incapacité à constituer des compléments de retraite par capitalisation, conduisent les couples à renoncer à accueillir tous les enfants qu'ils souhaitent et affaiblit toujours d'avantage les équilibres futurs de la retraite par répartition.

    Pour les AFC, l'ensemble des familles en France doivent pouvoir accueillir les enfants qu'elles désirent et c'est d'elles que dépend la pérennité du régime par répartition. Une réforme en la matière peut être l’occasion de rappeler leur rôle essentiel."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Armes de destruction massive des populations d’Europe (arch 2005)

     

    « Même en incluant l’immigration, la population de l’Europe des Douze va diminuer de 7,5 millions sur les 45 prochaines années, selon les calculs de l’Onu. Depuis l’époque de l’épidémie de "mort noire" au XIVe siècle, l’Europe n’a jamais connu un déclin aussi large de sa population », écrit l’historien britannique Niall Ferguson, cité par Pavel Kohout.

    Selon les projections de l’Onu, la Lettonie va perdre 44 % de sa population en 2050. La population va se réduire de 52 % en Estonie, de 36 % en Bulgarie, de 35 % en Ukraine, de 30 % en Russie, de 22 % en Italie, où le taux de fécondité est tombé à 1,2 enfant par femme.

    Le Daily Telegraph écrit : « Il est virtuellement impossible de gagner sa vie. Prenez simplement Rome. Vivre avec un minimum de dignité humaine (un petit appartement loué, un souper à l’occasion au restaurant) exige une paie mensuelle de 13 000 euros avant impôt, ce qui revient à 1 800 euros après celui-ci. 70 % des Italiens de 25 à 29 ans vivent chez leurs parents, où ils bénéficient d’un logement subventionné et où leur pauvre revenu devient un confortable argent de poche. »

    Lorsqu’un jeune Européen doit choisir entre fonder sa propre famille et vivre confortablement sans enfant, il va très probablement choisir la deuxième option - à moins qu’il n’appartienne à une classe sociale qui considère avant tout les enfants comme une source de bénéfices sociaux. Un haut niveau de taxation, combiné à des marchés du travail et du logement déficients, forme un mélange vraiment génocidaire.

    Le modèle traditionnel, qui exista notamment en Espagne et en Italie, mais également en Europe centrale et orientale, souligne les étapes successives de la fondation d’une famille. Premièrement, un jeune homme est diplômé d’une université ou d’une école spécialisée ; il assure ensuite son niveau de vie, qui est suivi par un mariage et seulement ensuite des enfants viennent au monde. Cette succession n’est pas seulement conforme aux conventions sociales, mais elle est également basée sur une vraie logique économique : il est simplement insensé de commencer à avoir des enfants sans gagner sa vie. Le tabou du sexe dans les cultures occidentales a des raisons économiques profondes.

    Les difficultés commencent lorsque l’un des maillons de la chaîne est rompu.

    Dans l’Europe contemporaine, le problème principal réside dans le deuxième maillon : gagner sa vie. Le chômage parmi les jeunes diplômés tend à être bien plus élevé que pour la moyenne des actifs. Dans des pays tels que la France, l’Espagne, la Finlande, la Grèce ou l’Italie, 20 % à 30 % des jeunes sont sans emploi. Quel taux de fécondité peut-on attendre si un cinquième ou même un tiers des jeunes adultes sont incapables de gagner leur vie en raison d’un marché du travail déformé ?

    Mais il existe un autre problème. L’impôt sur le revenu et les contributions à la Sécurité sociale augmentent, alors que les investissements dans le patrimoine bénéficient de réductions d’impôts. Le soutien étatique aux familles existantes implique des charges plus élevées pour les jeunes gens qui n’ont pas encore fondé de famille.

    La prétendue "aide aux familles" empêche ainsi la création de nouvelles familles, et réduit efficacement le taux de fécondité. Si un jeune adulte célibataire n’a plus que de l’argent de poche après avoir payé l’impôt sur le revenu, il sera difficilement capable d’économiser suffisamment pour fonder un foyer.

    Les politiciens de la plupart des pays européens pensent qu’il n y a au fond rien de mal à avoir un faible taux de naissances sur une planète surpeuplée.

    Certes, nul ne peut établir le "bon" volume de population pour un pays ou un continent par des moyens scientifiques. Ce que l’on sait, en revanche, c’est quelle pyramide des âges est favorable, et laquelle est désastreuse. Dans quelques décennies, une grande partie de l’Europe sera dominée par une pyramide des âges très défavorable, avec une énorme augmentation du nombre de personnes âgées.

    Les systèmes de retraites actuels vont inévitablement subir une crise longue et sévère.

    Le scénario le plus probable suggère que l’âge de la retraite doit progressivement être élevé, d’abord à 65 ans, puis à 67 ans au début des années 2030, et ainsi de suite. En d’autres termes, un système de pensions peut fonctionner quelques décennies, avant d’être graduellement marginalisé par l’élévation de l’âge de la retraite jusqu’à revenir au système en vigueur en 1880, lorsque dans l’Allemagne de Bismarck l’âge de la retraite était fixé à70 ans - avec une espérance de vie moyenne inférieure à 50 ans. Si en 2050 l’âge de la retraite est par exemple fixé à 90 ans, avec une espérance de vie moyenne oscillant autour de 80 ans, alors le système de pensions peut être viable à long terme. Mais la retraite à 60 ans sera complètement exclue pour les enfants d’aujourd’hui. Pour maintenir, en effet, l’âge de la retraite à 65 ans il faudrait porter les impôts à 70 % ou 75 % des salaires bruts.

    Ce qui conduirait les plus jeunes et les mieux instruits à émigrer vers des pays aux impôts moins élevés, d’où une aggravation du déficit démographique.

    Si la fécondité chute si brutalement en Europe continentale c’est déjà en raison du système de retraite.

    Par le passé les enfants étaient considérés comme des investissements qui assuraient à leurs parents les moyens de subsister à la retraite alors que le système anonyme d’aujourd’hui amène tous les actifs à payer les pensions de tous les retraités d’une manière totalement dépersonnalisée et permet à un grand nombre de parasites de recevoir plus que ce qui correspondrait à leur contribution globale dans leur vie active.

    Ceux qui ont des revenus largement au-dessus de la moyenne, au contraire, sont pénalisés, parce que le système leur donne moins d’argent que le montant de leur contribution.

    Ce "principe de solidarité" décourage les bas revenus autant que les hauts revenus. Les seconds pensent qu’ils n’auront pas besoin d’enfants dans leurs vieux jours. Les premiers savent ne pas pouvoir se permettre d’en avoir.

    Tout système étatisé de retraite réduit l’incitation économique naturelle à avoir des enfants. En même temps, l’Etat-providence, luxe ruineux, doit être financé par des impôts qui réduisent la capacité financière des gens en âge d’avoir des enfants et renforcent l’effet négatif sur le taux de fécondit ».

    La nature ayant horreur du vide, ce déficit est comblé par l’immigration.

    Dans les années 60, on comptait 350 000 musulmans nord-africains en France, pour environ 1,25 million de Français vivant en Afrique du Nord. Depuis lors, la notion de "colonialisme" a été entièrement renversée. Il n’y a presque aucun Français en Afrique du Nord, mais le nombre de musulmans originaires d’Afrique ou du Moyen-orient en France approche les 10 millions. Le nombre exact n’est pas plus précis, parce que les statisticiens français ne sont pas autorisés à collecter des informations sur les structures ethniques et religieuses de la population.

    Cependant, certaines estimations suggèrent qu’une naissance sur trois en France se produit dans une famille musulmane. Ceci expliquerait en partie pourquoi la France a un taux de fécondité - environ 1,7 enfant par femme - plus élevé que l’Espagne ou l’Italie. Sans cette influence, le taux français se situerait aux alentours de 1,2 enfant par femme, soit un chiffre similaire à ceux constatés en Europe méridionale et orientale.

    A cet égard, le journaliste israélo-russe Shlomo Groman écrit : « Dans n’importe quelle garderie (de Vienne) les clients sont avant tout des Arabes, Iraniens, Pakistanais, Turcs, Japonais, Coréens et Africains. Les femmes Viennoises n’enfantent pas - elles chérissent plutôt leur apparence et leur carrière. Le système de pensions d’Europe Occidentale a rendu l’éducation d’enfants moins avantageuse que l’ascension sociale et la maximisation des revenus. »

    La culture semble jouer un rôle encore plus crucial que les impôts ou les retraites. Les pays de l’ancienne Union Soviétique forment à ce sujet un intéressant "laboratoire démographique". Nous avons déjà mentionné l’Ukraine, les pays Baltes et la Russie. La situation dans les républiques islamiques - l’Azerbaïdjan, le Tadjikistan, l’Ouzbékistan et le Turkménistan - est complètement différente : toutes ou presque vivent une explosion démographique. Le niveau de vie de ces pays est proche de celui de la Géorgie et de l’Arménie, c’est-à-dire pauvre. Mais la Géorgie et l’Arménie souffrent de la même commotion démographique que, par exemple, les pays Baltes.

    La différence réside dans le caractère traditionnellement chrétien de ces nations.

    L’Arménie va perdre un quart de sa population d’ici 2050, alors que la population de l’Azerbaïdjan voisin va augmenter d’un tiers.

    En 2050, le Yémen sera davantage peuplé, par exemple, que l’Allemagne.

    La pression migratoire sur l’Europe sera immense. Compte tenu des lois sur le "regroupement familial", l’exode du Proche-Orient et d’Afrique du Nord aura d’énormes dimensions.

    Au lieu de l’intégration d’immigrés dans une société majoritairement européenne, l’inverse se produira : les immigrés vont intégrer la culture européenne existante dans leur propre civilisation. Après quelque temps, ce sera leur propre civilisation qui deviendra dominante. Nul besoin d’être un supporter de Jean-Marie Le Pen pour être inquiet à ce sujet.