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avortement et euthanasie - Page 142

  • Violente contre-attaque pro-vie à l’ONU

    Depuis plusieurs années les défenseurs de la vie ont été sur la défensive au plan international. Ils ont toutefois repoussé avec succès au fur et à mesure toutes les tentatives menées notamment par l’Amérique, la France, le Canada et un certain nombre de pays occidentaux pour faire reconnaître l’avortement et l’homosexualité comme un droit. Le nouveau est que forts des défaites que viennent de subir les tenants de la culture de mort, ils passent à la contre-offensive. (Voir notre article précédent intitulé ONU : l’échec mondial des gays).
     onu-MPI
    A l’ONU, lors d’une réunion diligentée par le quartier général de la Communication, la Russie, l’Ethiopie, la Pologne suivis par un groupe de pays africains, ont fait une déclaration tonitruante pour dire que l’avortement et l’homosexualité ne faisaient pas partie des « droits humains ». Ils ont accusé l’Organisation d’être sous la dépendance d’obsédés de soi-disant droits allégués par LGTB. La Russie n’y a pas été de main morte en accusant le Haut Commissariat des Droits humains de se faire manipuler par LGTB ; lequel considère  comme « digne de l’asile » une catégorie humaine au prétexte qu’elle refuse la promotion du mariage gay sur le plan mondial ; « ce qui aboutit inexorablement au viol des droits de l’enfant ». L’importance du sujet tenant à l’orientation sexuelle est sans proportion avec l’ensemble des problèmes lié  mondialement à l’enfance. C’est avec impudeur que le lobby gay essaye de boycotter les jeux olympiques qui doivent se dérouler à Sochi en Russie. « Ces gens-là n’ont pas leur place dans les discussions sur les droits humains ».
    Il serait possible de superposer ces affirmations avec ce qui se passe en France où Hollande s’occupe en priorité des gays tout en délaissant les problèmes économiques et prônant le « mariage pour tous » sauf pour lui.

  • Un de nous : plus de 1,7 million de signatures

    La collecte des signatures est terminée depuis le 1er novembre 2013. Le comptage des dernières signatures reçues sur papier est en cours. Un chiffre plus précis sera communiqué le lundi 4 novembre.

    Déjà plus de 1,7 million de signatures ont été récoltées (1) en Europe pour protéger l’embryon. 20 Etats membres ont atteint leur quota imposé par la Commission européenne quand 7 étaient nécessaires. La barre des 100 000 signatures a été dépassée en France.

    1er objectif atteint pour passer à la seconde phase : présenter l’Initiative contre le financement des programmes qui conduisent à la destruction d’embryons devant la Commission européenne et le Parlement européen dans les prochains mois.
    Michel Janva
    1) http://www.undenous.fr/

  • L'euthanasie, phase ultime de la société de consommation

    De Jeanne-Emmanuelle Hutin dans Ouest-France :

    "En ces jours de retrouvailles familiales, on se souvient de ceux qui ne sont plus, qui nous ont aimés, précédés. Mais c'est aussi l'occasion de méditer le mystère de la vie et sa fragilité : tant de grandeur dans un vase d'argile qui se brise sur les rivages du temps. L'absence, la maladie, la mort rappellent que nous sommes de passage sur la terre, en marche vers un horizon inconnu. Comme il est difficile d'accepter cette fragilité humaine. En particulier dans les sociétés comme la nôtre qui accordent tant d'importance à l'image, souvent, au détriment de la réalité de la vie tissée de bonheurs et de malheurs. L'habitant de la société de consommation, à force de s'employer à fabriquer de lui-même une image valorisante, oublie d'apprivoiser sa fragilité. Lorsque survient la maladie ou les épreuves de la vie, alors ses repères factices s'effondrent : il ne peut plus « paraître », il est exclu du jeu, il n'est plus « utile». Devant son miroir brisé, démuni, il devient extrêmement vulnérable.

    Dans de telles circonstances, la possibilité de l'euthanasie et, dans certains pays, du suicide assisté pose un grave problème. Comment, dans des moments de grande vulnérabilité, résister aux sirènes mensongères ? Celles qui murmurent que lorsqu'un individu n'est plus « utile » ou qu'il « coûte cher » à la société, l'acte ultime de sa liberté serait d'accepter qu'il soit mis fin à ses jours ?

    Ce qui est présenté comme un acte de liberté ou comme un sacrifice nécessaire est, en réalité, une terrible aliénation, une soumission de l'être humain au conditionnement d'une société aveuglée par son matérialisme. Cette aliénation est combattue par les sources des religions monothéistes. En rappelant la Présence divine, elles ouvrent un espace de liberté entre la personne et la pression de la société. Elles invitent « ceux qui croient au ciel comme ceux qui n'y croient pas » à relever la visière du quotidien, à s'interroger, à se tourner vers l'infini, à refuser les jougs qui la réduiraient à n'être qu'un pion au milieu d'une masse manipulable, à reconnaître que la vie déborde de toute part les constructions humaines. Les racines des religions démasquent l'imposture des systèmes qui prétendent s'ériger en guide des consciences. Il est donc important que les grandes religions puissent prendre part au débat public.

    En France, le Comité national d'éthique se prononce sur ces questions. [...] Cependant, les discussions éthiques sont l'affaire de tous car elles dessinent la société de demain ainsi que la ligne de démarcation entre la pression publique et la liberté de la personne fragile. Il serait dangereux de se priver du questionnement de ceux qui considèrent que l'être humain est sacré et qui refusent que sa mort puisse être déterminée en fonction des modes du moment, des contingences économiques ou des pressions sociales."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Personnalisez les tracts de la Marche pour la vie

    La Marche pour la vie se déroulera à Paris le 19 janvier 2014.

    En province, vous pouvez désormais personnaliser les tracts et les faire imprimer vous-même. Un graphiste se chargera d'ajouter au tract un encart mentionnant le référent local, les horaires des cars et autres informations que vous estimerez nécessaires.

    Pour cela, contactez : communication@enmarchepourlavie.fr
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • UN DE NOUS : plus que 4 jours pour signer !

    1,5 million de signatures pour protéger l’embryon : BRAVO ! J-4 avant la clôture de la collecte Faites signer pour atteindre la barre symbolique des 100 000 signatures françaises.

    La collecte touche à sa fin.

    La clôture officielle de l’Initiative Citoyenne Européenne UN DE NOUS, suivie par la Commission européenne, aura lieu ce vendredi 1er novembre à minuit.

    En Europe, le succès de l’initiative est formidable, les deux conditions de validité sont remplies haut la main

    1,5 million de signatures quand le seuil requis était d’1 million ; 17 Etats membres ont atteint leur quota imposé par la Commission européenne quand 7 étaient nécessaires. En France, nous poursuivons la collecte jusqu’à la dernière minute !

    Avec plus de 98 000 signatures, la barre de 100 000 signatures est atteignable. Nous comptons sur vous et sur votre réseau, chaque signature compte pour passer ce cap symbolique : rendez-vous vite sur www.undenous.fr pour signer en 5 minutes.

    Déjà, un premier succès politique à l’actif d’UN DE NOUS !

    La proposition de résolution ESTRELA « sur la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG) a été mise en échec au Parlement européen mardi 22 octobre 2013. Elle incluait le financement de programmes menaçant l’être humain déjà conçu et excédait les compétences de l’Union européenne. Le texte n’a pas été voté (par un renvoi en commission) grâce notamment à la mobilisation de masse du réseau UN DE NOUS qui a interpellé les élus européens : une partie de la droite s’est in extremis mobilisée contre le texte suite aux innombrables messages d’alerte des citoyens.

    UN DE NOUS : un réseau vivant qui va durer !

    A partir de vendredi 1er novembre, nous entrons dans la phase « post-collecte » et la présentation de nos demandes à la Commission européenne. Si vous voulez rester informé de la suite de l’initiative et de ses actions futures il faut vous inscrire maintenant à la newsletter : http://www.undenous.fr/newsletter/. Ce sera notre fil de contact avec vous dans les mois à venir. Au programme :

    · La surveillance des ordres du jour des instances européennes sur le thème de la défense de la dignité de l’embryon humain (par exemple la résolution Estrela peut revenir en discussion) ;

    · la Commission européenne devra se positionner après une audition des porte-paroles UN DE NOUS devant cette instance et devant le Parlement européen.

    · Etc.

    Restez vigilants, soyez informés : http://www.undenous.fr/newsletter/

    & suivez en temps réel en likant la page facebook, en vous abonnant au fil Twitter.

    L’équipe UN DE NOUS France

  • "Un de nous" : la TV allemande en parle. Rien sur la TV française

    En Allemagne, l'Initiative Citoyenne Européenne "Un de Nous" profite d'une apparition sensationnelle au premier plan des médias allemands. Le journal télévisé très réputé "Bericht aus Brüssel" (Nouvelles de Bruxelles) de la chaîne publique WDR lui a consacré un quart d'heure en prime-time, le mercredi 23 octobre, à la suite de la défaite du rapport Estrela.

     

    La conclusion du repportage est plus que favorable au jeune Allemand Tobias Teuscher, animateur de la pétition "Un de Nous" à Berlin et à Bruxelles, où il est par ailleurs secrétaire de "l'Intergroupe pour la famille, les droits de l'enfant et la solidarité entre les générations" du Parlement européen, assistant parlementaire du député européen Anna Záborská (Slovaquie).

     

    Aujourd'hui, la pétition « Un de nous » a dépassé les 1.4 millions de signatures. Et il reste encore quelques jours pour signer "Un de Nous" sur internet ou pour faire signer amis et connaissances.

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • 40 Days for Life : 369 bébés sauvés de l’avortement

    En seulement 32 jours de prière et d'action.

    Moiu

  • Parlement européen : vote symbolique et basculement de civilisation

    Ce qui vient de se passer au Parlement européen est significatif d’une évolution culturelle profonde, et il me semble important de bien saisir la portée d’un évènement dont les médias n’ont pratiquement pas parlé.

    Mardi 22 octobre 2013, arrive en discussion plénière à Strasbourg une proposition de résolution préparée de longue date par la « commission des droits de la femme et de l’égalité des genres ». Le texte vise à faire la promotion, en Europe et dans le monde, des « droits sexuels et génésiques » (au passage, ces expressions révèlent que l’Europe est déjà très imprégnée du vocabulaire « Gender » qui se déploie dans les instances internationales depuis 10 ou 15 ans).

    Au moment de passer au vote, cette proposition de résolution fait alors l’objet d’un débat court mais animé. Un député demande d’emblée le renvoi en commission, considérant qu’il n’y a pas de position majoritaire sur ce texte controversé. Il demande ainsi que le texte ne soit pas soumis au vote, mais qu’il soit retravaillé dans la commission compétente, ce qui prendra sans doute plusieurs mois. S’en suit plusieurs rebondissements de procédure : la présidente de séance refuse au départ de faire voter sur la motion de renvoi en commission, puis commence à faire voter un amendement, puis se ravise et fait voter sur cette motion de renvoi à main levée ; devant l’incertitude du résultat, elle  décide de procéder à un vote électronique, qui donne 351 voix pour le renvoi en commission et 319 voix contre. Le président de la commission concernée et la rapporteure du texte sont furieux, étant auparavant persuadés que leur résolution serait votée sans difficulté.

    Comment expliquer ce revirement ? D’abord à cause du contenu du texte, qui traitait en majorité de sujets qui ne relèvent pas de la compétence de l’Union européenne. Au sein du Parlement européen, certaines minorités actives cherchent à obtenir des prises de position en leur faveur, qui serviront ensuite pour faire pression sur les Etats et obtenir des lois qui leur conviennent. C’est le cas de la promotion systématique de l’avortement, avec le paradoxe de la condamnation par ailleurs (résolution du 8 octobre 2013 sur le généricide : les femmes manquantes ?) des pays qui pratiquent l’avortement sélectif des fœtus féminins. C’est aussi le cas  de l’ouverture de la PMA aux couples de femmes homosexuelles, question si controversée en France depuis un an : il faudrait ainsi inviter « les Etats membres à permettre également aux femmes célibataires et lesbiennes de bénéficier de traitements de fertilité et de services de procréation médicalement assistée » (§8). Autre exemple : « l’éducation sexuelle doit inclure des informations non discriminatoires et donner une image positive des personnes LGBTI, afin de soutenir et de protéger effectivement les droits des personnes LGTBI » (§53). Une majorité de parlementaires européens a valablement considéré que ce n’était pas le rôle de l’Europe d’aller dans ce sens.

    Mais il y a plus, en particulier pour la France. A mon sens, cet épisode est significatif de l’évolution culturelle qui prend de l’ampleur depuis la « réforme de civilisation » de Mme Taubira. De très nombreux citoyens refusent désormais de subir passivement des évolutions sociétales qui ne leur conviennent pas. Alertés par diverses associations, ils ont appris très tardivement le contenu de la proposition de résolution. Eux qui d’habitude se contentent de soupirer ou maugréer, pensant qu’il n’y a rien à faire, se sont alors mobilisés en quelques jours, en particulier pour écrire à leurs députés et attirer leur attention sur les dangers du texte européen. Ils leur ont dit qu’ils tiendraient compte de leur position à Strasbourg, quand il s’agira de voter pour les élections du Parlement européen le 25 mai 2014. Nul doute que des députés se sont sentis confortés pour défendre leurs convictions profondes, ou pour approfondir un sujet dont ils n’avaient peut-être pas mesuré toute l’importance !

    Le vrai « basculement de civilisation », il est sans doute là. Il mettra des années à s’affirmer pleinement, comme les idées de mai 1968 ont aussi mis une ou deux générations pour imprégner toute la société, en positif comme en négatif. Aujourd’hui, une majorité de Français ne se retrouve pas dans les excès condamnables d’une conception trop libérale-libertaire de la société. Mais ce qui a changé en un an, c’est qu’ils sont de plus en plus nombreux à ne plus vouloir rester passifs. Ils veulent promouvoir un « vivre ensemble » qui valorise mieux le respect dû à l’enfant, la complémentarité homme-femme, la solidité des familles, l’attention aux plus fragiles du début à la fin de vie, la solidarité effective avec les personnes isolées en précarité… ces valeurs qui donnent tout son sens au mot le plus oublié de notre devise républicaine, le mot fraternité.

    http://www.alliancevita.org/?p=12637&preview=true

  • Echec du Planning familial à l'ONU

    Après son échec au Parlement européen, avec le renvoi du rapport Estrela, le Planning familial connaît un nouvel échec, à l'ONU :

    "Presqu’un an après le Global Youth Forum, organisé par une institution onusienne à Bali, les conclusions des jeunes ont été rejetées par les diplomates de l’Onu ; ceux-ci ont même refusé d’y faire une allusion et d’en « prendre note ».

    La « Déclaration de Bali » recommande aux Etats de permettre l’accès à l’avortement et de reconnaître les « droits sexuels » de la jeunesse, quelque soit leur orientation sexuelle ou leur « identité de genre ». L’Onu s’est toujours refusée à le faire, et a réitéré son refus lorsque les jeunes lui ont demandé de le faire.

    La Conférence de trois jours qui s’est déroulée en décembre dernier, a été présentée aux jeunes comme une opportunité d’influencer l’agenda politique mondiale du développement, alors que l’Onu prépare les vingt ans de la Conférence du Caire sur la population et le développement. Après la conférence, la Déclaration de Bali a fait l’objet d’une campagne de promotion , et a été arbitrairement élevée par les militants au rang d’une des «séries de recommandations officielles de l’Onu ». Pourtant, les jeunes présents lors de la conférence n’étaient pas les représentants officiels de leurs gouvernements. Ils avaient été sélectionnés par un comité dans lequel siégeaient quelques membres d’organisations pro-IVG, dont le Planning familial et Astra Youth.

    La semaine dernière, les Etats membres ont rejeté la proposition du Brésil, qui voulait que la résolution de l’Onu sur les programmes et les politiques de la jeunesse fasse mention de la Déclaration de Bali.

    Le rejet de la résolution est comme un reproche contre le Fonds de l’Onu pour la population (l’UNFPA). L’organisateur clef de la Conférence de Bali avait déversé toute son énergie et un budget important dans la conférence. Sa stratégie : faire en sorte que les «délégués de la jeunesse » fassent pression pour l’IVG et les droits sexuels. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le site de Laissez-les-vivre fait peau neuve

    Pendant que le gouvernement fait tout un tapage contre les sites pro-vie, ces derniers se modernisent, sans aucune subvention publique.

    C'est par ici.

    S

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/